Campagne "Name and Shame".

C'est une campagne de lutte menée par la DGCCRF contre les influenceurs et leurs pratiques commerciales trompeuses.

Le but: aller vers un statut légal pour l'influenceur.

Oui quand l'influenceur-euse fait la promotion de produits sans évoquer à ses followers-euses leurs partenariats rémunéré avec les marques commerciales. Cela concerne 60% des influenceurs...publicités mensongères, trompeuses et risquées.

"la totalité des influenceurs en anomalie ne respectaient pas les règles relatives à la transparence du caractère commercial de leurs publications. Parmi eux, certains ont également trompé les consommateurs sur les propriétés des produits vendus (fausses allégations anti-covid, produits bio ou naturels qui ne l’étaient pas…) ou ont promu des produits ou services risqués, notamment dans le domaine des paris sportifs,  en s’affranchissant des règles encadrant ces produits. Dans les cas les plus graves, certains influenceurs ont réalisé des opérations de promotions non autorisées, comme celle de l’utilisation du compte de formation professionnelle (CPF) pour récupérer des espèces ou des cadeaux, et donc détourner de l’argent dédié à la formation, ou celle d’injections à visée esthétique par des esthéticiens et des non professionnels de santé, pratique qui n’est pas dénuée de risque pour la santé. Enfin, certains influenceurs pratiquant le dropshipping en oublient les régles associées, notamment, dans ce cas, leurs obligations en tant que vendeur vis-à-vis des consommateurs."

ici des noms d'influenceurs-euses connu-es (pas par moi en tout cas) déjà sur la liste rouge.

Mais apparemment il semble que Bercy et les influenceurs soient sur la même longueur d'onde : il faut stopper les arnaqueurs qui proposent des greffes de cheveux en Turquie ou des injections de botox bon marché.