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Ce livre est le vaisseau spécial que j’ai dû me confectionner pour survivre à ma propre guerre des étoiles. Panne sèche de moelle osseuse. Bug biologique, risque de crash imminent. Quand la réalité dépasse la (science-) fiction, cela donne des rencontres fantastiques, des déceptions intersidérales et des révélations éblouissantes. Une histoire d’amour aussi. Ce journal est un duel de western avec moi-même où je n’ai rien eu à inventer. Si ce n’est le moyen de plonger en apnée dans les profondeurs de mon cœur.
M. M.

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"Rien ne relie les passagers montés à bord du train de nuit n° 5789. À la faveur d’un huis clos imposé, tandis qu’ils sillonnent des territoires endormis, ils sont une dizaine à nouer des liens, laissant l’intimité et la confiance naître, les mots s’échanger, et les secrets aussi. Derrière les apparences se révèlent des êtres vulnérables, victimes de maux ordinaires ou de la violence de l’époque, des voyageurs tentant d’échapper à leur solitude, leur routine ou leurs mensonges. Ils l’ignorent encore, mais à l’aube, certains auront trouvé la mort.
Ce roman au suspense redoutable nous rappelle que nul ne maîtrise son destin. Par la délicatesse et la justesse de ses observations, Paris-Briançon célèbre le miracle des rencontres fortuites, et la grâce des instants suspendus, où toutes les vérités peuvent enfin se dire."

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" Être vrai, oser l'abandon plutôt que la lutte, voilà qui me guide dans l'existence, où jamais nous ne pouvons nous installer. Pour demeurer fidèle à soi, pour vivre une authentique simplicité du cœur, tout un art est requis. Comment s'abandonner à la vie sans baisser les bras ? Comment goûter la joie sans nier le tragique de l'existence ? Comment traverser le découragement sans devenir amer ?

Ce Petit traité de l'abandon tente de dégager un chemin vers la liberté intérieure. J'ai puisé dans la tradition philosophique et celle du zen une invitation à une vie plus simple, car le bonheur ne procède pas de l'accumulation mais du dépouillement. C'est la joie qui mène au détachement et non la privation. D'où cet itinéraire vers l'abandon, né de mes joies et de mes blessures. "

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Hélène a bientôt quarante ans. Elle est née dans une petite ville de l’Est de la France. Elle a fait de belles études, une carrière, deux filles et vit dans une maison d’architecte sur les hauteurs de Nancy. Elle a réalisé le programme des magazines et le rêve de son adolescence : se tirer, changer de milieu, réussir.

Et pourtant le sentiment de gâchis est là, les années ont passé, tout a déçu.
Christophe, lui, vient de dépasser la quarantaine. Il n’a jamais quitté ce bled où ils ont grandi avec Hélène. Il n’est plus si beau. Il a fait sa vie à petits pas, privilégiant les copains, la teuf, remettant au lendemain les grands efforts, les grandes décisions, l’âge des choix. Aujourd’hui, il vend de la bouffe pour chien, rêve de rejouer au hockey comme à seize ans, vit avec son père et son fils, une petite vie peinarde et indécise. On pourrait croire qu’il a tout raté.
Et pourtant il croit dur comme fer que tout est encore possible.
Connemara c’est cette histoire des comptes qu’on règle avec le passé et du travail aujourd’hui, entre PowerPoint et open space. C’est surtout le récit de ce tremblement au mitan de la vie, quand le décor est bien planté et que l’envie de tout refaire gronde en nous. Le récit d’un amour qui se cherche par-delà les distances dans un pays qui chante Sardou et va voter contre soi.

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Ninon06 Membre 59 messages
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Pour moi c'est ça :spacer.png

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  • 1 mois après...
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"Je ferai, oui, l’éloge de la poésie. Sans restrictions. Sans états d’âme. Parce que la poésie n’est justement pas le lieu de la demi-mesure. Je le ferai d’une voix pleine, vive s’il le faut. Parce qu’on ne peut admettre plus longtemps, n’est-ce pas, que les poètes, malgré les révérences qu’on leur fait de loin en loin pour se disculper de la désinvolture et de l’indifférence avec lesquelles on les traite ordinairement, soient renvoyés à leur étrange petit commerce particulier qui n’aurait rien à voir avec les affaires du monde. Je veux faire l’éloge de la poésie pour tous, non pas, voyez-vous, comme un agrément, un ornement de l’existence ou le partage de je ne sais quelle distinction supérieure : comme une nécessité vitale."

 

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Je sais bien que, s’agissant de poésie, qui veut mal de mort à la froideur du concept et à l’esprit de système, ce titre "Une théorie de l’amour", semble contrevenir au bon sens. Je tiens cependant que c’est trop rapidement en juger. La vérité est qu’aujourd’hui plus que jamais sans doute, la pensée du monde, de la vie et de ses circonstances, otage des machinologues en tout genre, s’asservit pour notre malheur à la souveraineté d’une abstraction qui s’épargne les démentis du réel. Seule objecte à mes yeux à cette emprise délétère ce que la poésie depuis toujours fomente : une compréhension des choses non surplombante mais impliquée, sensuelle assurément, qui a aussi pour moyen la main et le pied. La pensée dans le poème a du corps enfin, et c’est le corps du monde, et c’est le corps de chacun. En quoi elle s’accroît d’un souffle, d’un rythme, d’un dynamisme, pulsations du sang et du vent. Le poème réchauffe le concept et soumet la pensée au vivant contrordre que recèle la liberté native du réel. Mouvement perpétuel, mort du dogme. Il est temps de repenser poétiquement la vie." 

 

 

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S'il en est encore temps

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Il est stupéfiant qu’il faille passer par la voie du poème pour découvrir que l’éphémère, dont on ne cesse de regretter la brièveté, est en fait le plus vieil insecte ailé de la création. Comme si les mots gardaient en réserve, par-delà l’oubli des millions d’années, tant de secrets à raviver.
À croire que la force ou la fragilité ne sont pas toujours l’apanage de qui l’on pense. Mes baisers sont légers comme ces éphémères / Qui caressent le soir les grands lacs transparents, écrivait Baudelaire il y a moins de deux siècles. Et les huit chapitres de ce livre, au petit galop, de rattraper non pas le temps perdu, mais la part des êtres comme on le dit de celle des anges. La part fugitive s’entend. Et la vérité de la vie de s’avouer aussi fugace, précieuse et inespérée que l’envol d’une danseuse ou le coup d’aile d’une éphémère.

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