Aller au contenu

« Les Diaboliques », un classique du film noir.


goods

Messages recommandés

Membre+, Posté(e)
goods Membre+ 35 581 messages
Posté(e)

« Les Diaboliques », un classique du film noir.

Deux femmes s’unissent pour supprimer le mari de l’une d’entre elles, dans un pensionnat de province. Henri-Georges Clouzot déploie ici tout son talent et la distribution est brillante.

9f62b5f_411115502-076-chl-163710.jpg

On ne se lasse pas de ces « Diaboliques » : d’abord, parce que l’intrigue, tirée d’un roman de Boileau-Narcejac, est particulièrement vénéneuse (deux femmes s’unissent pour supprimer le mari de l’une d’entre elles, dans un pensionnat de province) ; ensuite, parce que le réalisateur, Henri-Georges Clouzot, y déploie tout son talent de metteur en scène, maître des ombres et lumières, superbe technicien de l’image ; enfin, parce que les acteurs (comme toujours avec Clouzot) sont absolument géniaux (Simone Signoret, Véra Clouzot, Paul Meurisse, Charles Vanel).

Sorti en 1955, le film a fait date, autant pour l’ambiance poisseuse de l’histoire que pour les sous-entendus de liaison lesbienne entre les deux meurtrières. « Les Diaboliques » est le dernier grand film de Clouzot (après « le Corbeau », « Quai des Orfèvres », « le Salaire de la peur »), qui ne signera plus que des œuvres secondaires et n’arrivera pas à achever « l’Enfer ». Signalons l’apparition de Michel Serrault, ainsi que des seconds rôles savoureux : Robert Dalban, Jean Lefebvre, Noël Roquevert, Georges Poujouly et… Johnny Hallyday (cherchez bien, c’est l’un des élèves).

.Mardi 23 mars à 20h55 sur Paris Première. Drame français d’Henri-Georges Clouzot (1955). Avec Simone Signoret, Véra Clouzot, Paul Meurisse. 1h52.

Suite de l'article.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 25ans Posté(e)
Ohissa Membre 3 542 messages
Maitre des forums‚ 25ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, goods a dit :

« Les Diaboliques », un classique du film noir.

Deux femmes s’unissent pour supprimer le mari de l’une d’entre elles, dans un pensionnat de province. Henri-Georges Clouzot déploie ici tout son talent et la distribution est brillante.

9f62b5f_411115502-076-chl-163710.jpg

On ne se lasse pas de ces « Diaboliques » : d’abord, parce que l’intrigue, tirée d’un roman de Boileau-Narcejac, est particulièrement vénéneuse (deux femmes s’unissent pour supprimer le mari de l’une d’entre elles, dans un pensionnat de province) ; ensuite, parce que le réalisateur, Henri-Georges Clouzot, y déploie tout son talent de metteur en scène, maître des ombres et lumières, superbe technicien de l’image ; enfin, parce que les acteurs (comme toujours avec Clouzot) sont absolument géniaux (Simone Signoret, Véra Clouzot, Paul Meurisse, Charles Vanel).

Sorti en 1955, le film a fait date, autant pour l’ambiance poisseuse de l’histoire que pour les sous-entendus de liaison lesbienne entre les deux meurtrières. « Les Diaboliques » est le dernier grand film de Clouzot (après « le Corbeau », « Quai des Orfèvres », « le Salaire de la peur »), qui ne signera plus que des œuvres secondaires et n’arrivera pas à achever « l’Enfer ». Signalons l’apparition de Michel Serrault, ainsi que des seconds rôles savoureux : Robert Dalban, Jean Lefebvre, Noël Roquevert, Georges Poujouly et… Johnny Hallyday (cherchez bien, c’est l’un des élèves).

.Mardi 23 mars à 20h55 sur Paris Première. Drame français d’Henri-Georges Clouzot (1955). Avec Simone Signoret, Véra Clouzot, Paul Meurisse. 1h52.

Suite de l'article.

Superbe film est à la fin Gabin leur parle de la guillotine 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×