Des étiquettes collées aux femmes

Par exemple quand un homme et en colère et qu'il est bien remonté contre quelqu'un, on ne dit jamais qu'il est "testiculique ou vergique"?

En revanche quand une femme est forte en gueule et qu'elle exprime trop ses émotions, comme la colère par exemple, paf, le couperet tombe :elle et hystérique et le verdict (c'est presque un diagnostic) fuse: elle est malade de l'utérus!

C'est quand même "THE" coup bas misogyne par excellence, assurément!

Le ‎16‎/‎09‎/‎2018 à 21:54, Vilaine a dit :

Ce topic ne devient interessant que si on associe un pseudo à chaque étiquette.

J’ai déjà des idées pour « garce » et « « cagole ».

Tu m'as l'air d'être une drôle de luronne, toi!

Mais des femmes, lassées que le monde soit ce gigantesque lupanar où sont bafouées les vertus et où l'amour est galvaudé et si peu durable ni présent, ni fiable en définitive, se targuent d'en être les cautions morales.

Elles se tournent alors vers la religion, deviennent dévotes, bigotes, de vraies grenouilles de bénitier.

Certaines recherchant (rien que ça!) à être durablement aimées se font l'épouse du Seigneur (quand même est-ce raisonnable ce mariage posthume avec un type jamais marié mort il y a plus de 2000 ans!) et deviennent religieuses. Et en tant qu'épouses du seigneur on les nomme (va comprendre pourquoi ) des bonnes sœurs.La cheftaine des bonnes sœurs est la mère supérieure.

Certaines prennent des responsabilités dans un couvent et de moniales et deviennent abbesses.