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Ovnis : Soixante-dix ans après le premier témoignage, "nous ne pouvons pas écarter cette hypothèse"


Kira

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Membre, 42ans Posté(e)
cheuwing Membre 17 227 messages
Maitre des forums‚ 42ans‚
Posté(e)
il y a 48 minutes, solon a dit :

Je ne doute pas de votre bonne foi mais à l'époque, cette "info" était REELLEMENT relayée par les médias. Essayez donc de recouper vos renseignements avec d'autres sources, voire mieux, des témoins de l'époque. 

http://www.lci.fr/politique/30-ans-de-tchernobyl-comment-a-t-on-pu-affirmer-que-le-nuage-radioactif-ne-passerait-pas-la-frontiere-1508979.html

...

Pourtant, les informations venant de l’ex-URSS quant à l’ampleur de l’accident nucléaire sont floues. Les services météo se veulent eux-même rassurants. "En France, l’anticyclone des Açores s’est développé. (…) Il restera jusqu’à vendredi prochain suffisamment puissant pour offrir une véritable barrière de protection. Il bloque en effet toutes les perturbations venant de l’Est", entend-on de la bouche de la speakerine Brigitte Simonetta dans le bulletin du 30 avril d'Antenne 2. La carte elle-même est barrée d'un panneau "Stop" sans équivoque, laissant entendre que le nuage ne passera pas la frontière. 

 

.......

Le nuage détecté en Corse et en Alsace

"A la météo, on parlait d’un anticyclone qui bloquait le nuage radioactif, ce qui était en partie vrai et faux puisque le nuage a survolé l’Alsace, les Alpes ou la Corse. Le nuage avançait au gré des vents et il a affleuré une partie du territoire français", se souvient pour metronews Galia Ackerman, journaliste et essayiste franco-russe, auteur de Traverser Tchernobyl (éd. Premier Parallèle ; 2016). Dès le 30 avril 1986 pourtant, le "nuage" radioactif est bien détecté en Corse. Et jusqu’au 5 mai, il survole le territoire français , contaminant en iode-131 et en césium-137 des régions entières : en Corse, en Alsace, dans les Alpes ou dans le Sud-est.

A l’époque, ces données sont loin d’être connues du grand public. Jusqu’au 10 mai 1986, les communiqués des ministères se veulent tous aussi rassurants les uns que les autres. Le 6 mai par exemple, le ministère de l’Agriculture précise que "le territoire français, en raison de son éloignement, a été totalement épargné par les retombées de radio-nucléïdes consécutives à l’accident de la centrale de Tchernobyl. A aucun moment les hausses observées de radioactivité n’ont posé le moindre problème d’hygiène publique". Même son de cloche au ministère de la Santé : "Ni la situation actuelle ni son évolution ultérieure ne justifient quelque contre-mesure que ce soit", affirme la ministre Michèle Barzach – il faut dire que le SCPRI est sous la tutelle de son ministère.

.......

 

en faite on constate que juste une image mise une fois par simplicité de l'information est devenue une légendaire urbaine de version officielle qui s'est propagé

 

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