Nouveau crash d'un avion

Près de cinquante personnes sont mortes, dimanche 10 août, dans le crash d'un avion d'une compagnie aérienne iranienne près de l'aéroport Mehrabad de Téhéran, selon la télévision d'Etat et des agences de presse locales. L'appareil, qui venait de décoller de Mehrabad, effectuait une liaison entre Téhéran et la ville de Tabass (Est). Il s'est écrasé à 9 h 18, heure locale (6 h 48 à Paris) dans le quartier d'habitation d'Azadi qui se trouve à moins de cinq kilomètres de l'aéroport.

« Tous les passagers sont morts. Nous sommes en train de transporter les corps à la morgue », a déclaré le porte-parole des pompiers

https://fr.news.yahoo.com/iran-40-morts-crash-dun-avion-civil-%C3%A0-061513918.html

C'est la série

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Irna attribue l'accident à un problème de moteur. Les sanctions internationales imposées à l'Iran en raison de son programme nucléaire ont sérieusement affecté le secteur aérien iranien, privé de pièces détachées pour ses avions, ce qui a entraîné de nombreux accidents ces dernières années.""

ON dit merci qui ?! Tant de vies encore....

Merci les débiles qui font voler des avions sachant qu ils sont dangereux et fuyant leur responsabilité en disant : c est la faute des autres...

a leur mémoire

Depuis le début des années 2000, c'est la décadence au niveau de la qualité chez les avionneurs ainsi que chez leurs sous-traitants, pour qui travaille dans ce milieu ce n'est pas un scoop, il ne faut rien dire sous peine de se voir mettre au placard et pas besoin d'être un grand ponte pour s'en apercevoir, moins de qualité, moins de personnel qualifié, c'est le nivellement par le bas.

Telle est la nouvelle façon pour ce secteur de faire des économies, cela touche toutes les étapes du process de la vie d'un aéronef, de la sortie d'usine jusqu'à l'entretien et ce dans les deux branches (civile et militaire).

Tous les acteurs de ce secteur s’enorgueillissent chaque année de répondre à de nouvelles normes de sécurité ou de qualité mais tout ceci n'est que du vent.

Le secteur aéronautique est un secteur qui fonctionne en vase clos, cette politique n'est pas prête de changer et pour cause, financièrement, un crash coûte moins cher que l'annulation d'une commande d'avions, étant donné que lorsque un contrat est passé, il y a un très long délai entre le début d'un paiement et la fin de ce même paiement, l'enquête sur un incident de vol a le temps d'être classée ainsi que la panne identifiée ce qui a pour conséquence de rendre le crash insignifiant.