l'arc en ciel

Je touche ces douces joues

Voulant juste m'imbiber dans ces doux moments

Retourner à ce bord de mer

Comme si rien ne s'était jamais passé

Les saisons changent, indifférentes à ta voix

Le raide et lourd rideau d'automne tombe , sans même un au revoir

Soudainement, des ombres sont apparues

Fruit choisi avant son temps

Mon coeur se rempli soudainement de couleur

Je suis revenu à temps

Tu semblais si heureuse et espiègle sur le bord de mer

Tu t'es éloignée à la nage dans la lumière incontestablement brillante

Bien que le temps passe, ces souvenirs sont gravés dans mon âme

Jamais ils ne disparaitrons, me torturant pour toujours

Si tu ne devais jamais me pardonner, donne moi un sourire, si tu ne devais jamais me pardonner

Faisons demi-tour jusqu'à cet été là et ce roulement de vague au bord de mer

Tu semblais si heureuse et espiègle sur le bord de mer

Tu t'es éloignée à la nage dans la lumière incontestablement brillante

Les souvenirs de toi me blessent, chaque fois je prend cette route

Ils se déversent de l'intérieur, comme pour sortir de mon coeur

Nos esprits sont trop éloignés l'un de l'autre

Je ne peux pas t'atteindre

Même si je traduis mes sentiments par des mots

Tes yeux resteront toujours dans le flou regardant par la fenêtre

J'ai une prémonition qui revient sans cesse

Mais c'est trouble, je pense aux jours qui passent

L'oiseau dans la cage s'est envolé

Le soleil t'a attiré dehors

J'ai une prémonition qui revient sans cesse

Mais c'est trouble, je pense aux jours qui passent

A travers les saisons qui changent, nos promesses s'évanouissent

Même si je t'ouvre mes bras, ton coeur passe à côté

Pourquoi restes-tu fixée vers le ciel avec des yeux troubles ?

A travers les saisons qui changent, où est celui que tu aimes ?

Quand je suis passé près de toi, j'ai vu que tu m'as jeté un regard

Mais ton coeur s'est détourné

Je m'endors sous le soleil

Lumineux de l'après-midi en pensant

Aux scénarios de ma vie qui ne se sont pas déroulés comme prévus

Aujourd'hui encore

Tu ne chercheras pas à me revoir

Alors sur mon lit je ferme mes yeux

Je te regarderai dans mes rêves jusqu'au prochain matin

Comme un bourgeon je veux garder ton sourire

Fleurissant comme le soleil pour l'éternité

J'ai de plus en plus mal

Je souhaiterai faner

Mon coeur est sur le point de céder

Dans mes rêves tu me dis

Les mêmes mots

En regardant par la fenêtre

Je me demande ce que tu fais réellement

Et même si j'ai été tenté par un vent

D'une incroyable chaleur

Je penserai toujours à toi

Le ciel est si bleu qu'il semble

Que rien de triste ne peut t'arriver

Et pourtant les fleurs naissent

Par la lumière du soleil

Tel une fleur...

Tel une fleur...

Tel une fleur...

Tel une fleur...

(Les fleurs fleurissent à la lumière du soleil, et je vis fermé à toi)

J'enverrai des graines sur une colline

Pour qu'elle soit recouverte

De magnifique fleurs pour toi

Je serai toujours là

J'attends seulement de fleurir

Et de te retrouver à nouveau

Comme un bourgeon je veux garder ton sourire

Fleurissant comme le soleil pour l'éternité

J'ai de plus en plus mal

Je souhaiterai faner

Mon coeur est sur le point de céder

" Envolons-nous très bientôt"

Chuchota quelqu'un

" Envolons-nous vers les limites à nos genoux ! "

Notre liberté, coup sur coup

" Homme, c'est comme si nous étions libres de ces chaînes rouillées

Que nous portons depuis la naissance "

Dans mon coeur, dans mon coeur, emballant le ciel

Je veux couler profondément dans cette couleur bleue

Supportant l'infini ciel de nuit où que nous allions

Cherchons un nouveau monde

Je veux te rencontrer mais je ne peux pas, je tremble, perplexe

Mais ces ailes ne peuvent pas être emportées

" Qu'est ce qui est juste ? " Une question sans réponse

Un sentier qui dérive, seul Dieu sait vraiment

Imparable vitesse, accélérant autant que nous pouvons

Je continue de me rappeler le toit à forte pente palpitant de mes pulsions

Toute chose doit s'effondrer mais

Ne deviens seulement pas adulte, d'accord ?

Guidé par une lumière nostalgique

Tu agites gentiment la main

En disant adieu à un futur dont nous nous habituions

Peignons une illusion détruite

Séparons ces destins et fuyons vers le ciel

Même maintenant, même maintenant, je me souviens

De la chaleureuse lumière du matin de mon enfance

Supportant l'infini ciel de nuit où que nous allions

Cherchons un nouveau monde

Je veux te rencontrer mais je ne peux pas, je tremble, perplexe

Mais n'emporte pas ces ailes qui s'éveillent

Guidé par une lumière nostalgique

Tu agites gentiment la main

En disant adieu à un futur dont nous nous habituions

Peignons une illusion détruite

Séparons ces destins et fuyons vers le ciel