Comment se débarasser d'un voisin dealer et bruyant

Une expérience qui peut aider à apporter des solutions à chacun d'entre nous .

Un ami , que nous appellerons Jean , vivant dans un appartement , au rez-de-chaussée d'un immeuble résidentiel , a été confronté à une situation difficile .

Un propriétaire vivant à une dizaine de kilomètres , venait de louer le studio , séparé par un simple mur mitoyen , à un jeune mineur de seize ans , fils d'un de ses amis . Ce jeune garçon préparait un bac pro .

Seulement voilà qu'au bout de quatre semaines , ce jeune hébergeait un de ses copains en difficulté et en rupture familiale . Un squateur , dealer , fumeur et buveur . Vivant la nuit , dormant le jour , recevant des "clients" et potes à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit .

Très rapidement , pour les autres locataires , la situation devint invivable . Injures . Insultes . Provocations . Menaces et intimidations . Le syndic de l'immeuble , prétextant que ces nuisances étaient du domaine du privatif , s'excusa de ne pas pouvoir faire autre chose que de prendre acte de la situation .

Le concierge , lui-même du même "Club" que le jeune , trouvait un avantage personnel à la présence du trublion . En effet , pour faire ses courses , il lui suffisait de traverser le couloir . Et lorsqu'un tel individu a le concierge dans sa poche , qu'il est le fils de l'ami du propriétaite , iil peut quasiment tout se permettre .

La police municipale est intervenue deux fois , en soirée pour constater les nuisances . La police nationale a fait de même . Une fois de nuit , présente dans l'appartement de Jean durant une heure pour constater l'ampleur du tapage .

Le jeune perturbateur a été verbalisé . Donc , à partir du moment ou il a été verbalisé , il y a possibilité de déposer plainte .

Les voisins , locataires et propriétaires , au nombre de cinq , ont établi et signé une pétition adressée au Procureur de la République , au propriétaire du délinquant et au syndic de l'immeuble . Seul le concierge , embarassé des ennuis de son "fournisseur" , refusa de signer la pétition .

Le propriétaire , malgré sa mauvaise foi , a dû remédier aux nuisances causées par son locataire . Le squateur a été viré . Le calme est revenu quelques semaines . Très rapidement , les allées et venues dans l'immeuble ont recommencé de plus belle . Les habitants du rez-de-chaussée ont recommencé à subir les bruits , la musique à fort volume , les match de foot à volume délirant à la télé . Ils ont surtout recommencé à devenir des fumeurs passifs de hashich , d'herbe .

Seconde lettre recommandée au propriétaire dont copie envoyée au Procureur de la République .

Mais cette fois-ci avec un argument imparable . En effet , le propriétaire , informé de la présence , dans son studio , de mineurs se livrant à l'usage et au trafic de stupéfiant devient "complice" de fait , de l'acte délictueux . Etant informé , s'il ne fait pas le nécessaire , etant personnne ayant autorité , il est passible d'incitation de mineurs à la débauche et toutes les joyeusetés qui en découlent , avec l'usage de drogues .

Très rapidement , il a éxigé de son locataire de quitter les lieux à la fin du mois en cours . Avec menace de porter plainte afin de se "laver" de tous soupçons ou accusations possibles .

Mais , si un propriétaire est informé que son locataire , qu'il soit mineur ou majeur , se livre à l'usage ou au trafic de stupéfiants , que ces activités causent des nuisances , Il peut se retrouver impliqué devant le tribunal correctionnel pour complicité .

Il est important de toujours envoyer une copie de la lettre recommandée , avec accusé-réception , destinée au propriétaire , au Procureur de la République . Et surtout de notifier au propriétaire que copie de cette lettre a été envoyé au Procureur de la République . Qu'il prenne bien conscience de ce qui l'attend s'il ne fait pas le nécessaire .

Mon ami Jean vit à présent dans le calme et la tranquillité . Le locataire du studio est un monsieur de cinquante ans qui n'est là qu'en semaine , du lundi soir au vendredi midi .

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Bien vu le coup de la complicité.

Je savais que ça marchait aussi avec les prostituées.

ben si il ne deale pas on est dans la merde

J'avais un dealer dans mon ancien appartement. J'avais simplement pensé à le dénoncer aux flics, mais j'ai déménagé avant.

Dans ton appartement

Si c'était toi ça ne sert à rien de déménager

Dans le bâtiment quoi ! Mon voisin du dessus !

Pardon

Sinon tu vas voir un de ses gros clients(si possible fraichement sorti de taule car condamné pour violence extrème ) en lui vendant de la farine tout en lui disant que tu viens de la part de ton voisin sans bien sûr oublier de donner son adresse en y ajoutant un truc du genre"et dire qu'il m'a dit que tu étais tellement con que tu ne verrais pas la différence"..............Ah oui! Surtout n'oublie pas de courir très vite!