Léonard De Vinci 1452-1519

Léonard est né en 1452 à Vinci, bourgade perdue dans les plis et replis que forment les monts Albano. Son père, notaire, fils de notaire, était ser Piero ; sa mère, une jeune paysanne du nom de Catarina. Sa naissance mit fin à l'idylle : ser Piero la même année sagement se maria, et Catarina suivit son exemple. Léonard fut élevé chez son père et de bonne heure montra les plus rares aptitudes. Ser Piero le fit entrer dans l'atelier de Verrocchio, en 1470 au plus tard. On conte que, chargé par son maître de peindre la figure d'un ange dans un Baptême du Christ, il réussit si bien que la figure qu'il avait peinte attira tous les regards et se détacha de l'œuvre au lieu de s'y confondre. On a pu soutenir que Verocchio lui-même avait subi l'influence de son élève.

Nous ne savons à peu près rien des premières œuvres de Léonard. Le carton de la Chute, d'après lequel on devait exécuter en Flandre une tapisserie pour le roi de Portugal, le dragon molto orribile e spaventoso, peint sur la rondache (bouclier en bois de figuier), la Tête de Méduse, ne sont connus que par les descriptions de Vasari. Mais ces descriptions suffisent à nous montrer que déjà il cherche ce que toute sa vie il s'efforcera d'atteindre à force de justesse et de précision dans l'imitation, il veut égaler la nature, parler avec autant de relief le langage des lignes, des formes et des couleurs, mais pour exprimer par ce langage sa propre émotion et pour la transmettre aux hommes. Il est à cette heure ce qu'il restera, le réaliste incomparable qui fixe sur les choses l'œil le plus clairvoyant et rencontre l'idéal sans effort, en continuant le réel, en reliant ses créations à celles de la nature. On s'accorde généralement à voir l'une de ses premières œuvres dans la petite Annonciation du Louvre, d'une intimité charmante. L'Annonciation du musée des Offices (Florence), qui reprend le même motif en l'agrandissant, bien que contestée, ne me parait pas indigne du maître.

Sur un feuillet manuscrit on lit : «... bre 1478 incominciai le due Virgine Marie» ; quelles sont ces deux vierges? Nous l'ignorons. Mais des dessins qui nous restent nous pouvons conclure que déjà Léonard a dû dégager de la légende de la Vierge ces scènes d'une grâce familière où le sentiment religieux ne se distingue plus de la délicatesse et de l'élévation des sentiments naturels....

Sources : http://www.grandspei...aphie_vinci.php

Tout simplement un des plus grands génies.

Léonard finissait rarement ses peintures, et peu nombreuses sont celles que les experts s'accordent à lui attribuer aujourd’hui. Celle-ci lui a été commandée pour orner l'église Saint-François-le-Grand, à Milan. on lui avait donné un délai de sept mois, et il a livré le tableau final vingt-cinq ans plus tard.

Sources : Livre l'essentiel de l'art par Charlie Ayes

je ne sais pas, si c'est pas un des tableaux qui figuraient dans un des indice

du Da vinci code, jè né sé pas si il y un sécrét caché mais bon.

lé tabléau qué jé préféré ést la jocondé

jé pénsé parc qu'éllé crié dé réalismé,

il sémblé qu'éllé soit dévant nous,

ét aussi par cétté subtilité qu'à Léonard dé son prénom,

pour réstituér son charmé

magicién du réél, commé j'ai énvié dé l'appélér.

mais 25 ans c'ést long, il éxagèré, quand mémé.

Tout à fait Californication et bonjour :blush:

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Bonjour Sylvia , il est vrai que le tableau de la Joconde recouvre de nombreux indices mais tout d'abord, je vais vous la présenter

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1503-1506

Cette peinture est l'un des quatre portraits de femme peints par Léonard qui nous restent. En France, on t'appelle "La Joconde", d'après le nom de famille de son époux, Francesco del Giocondo. Ailleurs, on la désigne plutôt comme "Monna Lisa", une abréviation de mia donna Lisa, c'est à dire, "ma dame Lisa". C'est peut-être aujourd'hui la peinture la plus célèbre au monde. Cinq millions et demi de personnes par an défilent pour l'admirer au musée du Louvre, à Paris, où elle est installé derrière une vitrine pare-balles.

Sources : Livre chefs-d'oeuvre l'essentiel de l'art par Charlie Ayres

Une envie subite de vous narrer un peu la vie de ce génie, certes, il va y avoir de la lecture mais un vrai plaisir de s'y poser un instant :blush:

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Léonard de Vinci arrête de peindre et s'écarte du chevalet. La femme assise en face de lui lisse le voile qui recouvre ses cheveux. Elle demande combien de temps encore elle va devoir rester ainsi ; son corps se détourne du peintre, mais on regard est rivé dans sa direction. Léonard sourit et lui dit qu'ils ont bientôt fini. Il est très content du paysage qu'il a peint dernière elle. Celui-ci paraît étrange et mystérieux, car ses deux parties ne coïncident pas.

Il va s'en dire qu'il évoquait la Joconde, énumérée sur le message précédent.

Léonard a toujours aimé expérimenter. Peu de temps auparavant, il a pensé redessiner une machine sur laquelle il a travaillé pendant des années : une machine pour voler. Il a étudié les oiseaux et les insectes, essayant de comprendre comment ils arrivaient à voler. En fait, Léonard a presque tout étudié. Il est curieux de tout et il a dessiné de nombreux bâtiments, machines et armes. Il a même disséqué des corps humains et dessiné ce qu'il découvrait de l'intérieur. Il est gaucher et prend ses notes dans un carnet en écrivant à l’envers, comme si son texte était reflété par un miroir, afin que personne d'autre que lui ne puisse le lire.

Dessin d'hélicoptère

Le dessin de la machine à voler

Pendant plus de vingt ans, Léonard a essayé de dessiner une machine à voler. Certains de ses dessins présentent des engins rotatifs ressemblant à des hélicoptères ; d'autres montrent d'un homme attaché dans une sorte de Deltaplane, avec des ailes géantes battant au-dessus de sa tête. Léonard n'a jamais cessé d'étudier la nature, afin de comprendre comment on vole.

Le portrait sur lequel il travaille à présent est peint à l'huile. Léonard aime essayer de nouvelles techniques, et la peinture à l'huile est chose récente à Florence. Il y a encore peu, les artistes n'utilisaient que la peintre a tempera, où les différentes poudres de couleur, appelées pigments, étaient, mélangées à du jaune d’œuf pour tenir sur le support. La peinture a tempera sèche rapidement, tandis que celle à l'huile nécessite plusieurs jours de séchage. Cette lenteur permet à Léonard de fondre les couleurs en dégradé, si bien que l'on ne distingue pas les limites de chacune. Léonard appréciait tellement cette nouvelle technique qu'il a tenté de l'utiliser pour une grande peinture murale commandée par le gouvernement de Florence. il s'agit d'une scène de la bataille d'Anghiari, qu'il a commencé à peindre sur le mur de la salle du Conseil. D'après ses recherches, il aurait pu utiliser les peintures à l'huile qu'il avait préparées spécialement, mais, curieusement, la peinture a refusé de sécher et a glissé le long du mur jusqu'au sol.

Dessins d'anatomie

Léonard avait une passion pour l'étude de l'anatomie humaine. Il déclarait avoir disséqué plus de trente corps d'hommes et de femmes de tous les âges. Dans beaucoup de ses carnets, on trouve des études de foetus dans l'utérus de leur mère, le schéma du système nerveux central ou encore la position des organes internes.

Je me disais bien que j'avais oublié quelque chose, la source : Le livre d'essentiel de l'art par Charlie Ayres

Bonjour Amazones et les autres :)

Bonsoir ma louve,

Très intéressant et merci de les avoir inclus

Bisous :blush: