Edouard Manet 1832-1883

Bonjour à tous ,

Je suis heureuse de vous narrer en ce jour, l'un des impressionnistes de mes préférences et surtout de vous le faire découvrir. De votre intervention m'en fera aussi vaguer aux songes de son talent, ok, je fais plus simple :D, heureuse de vous présentez à ce jour un des peintres de génie :p

Merci, je suis un inconditionnel de la peinture de Manet...

Petite contribution...

Bande annonce de l'exposition Manet, inventeur du Moderne, présentée par le musée d'Orsay du 5 avril 2011 au 3 juillet 2011.

Une production du musée d’Orsay.

Bonsoir,

Me revoici, hé bien oui, il fallait bien que j'oublie quelque chose :p, heureusement que l'on me conseille, alors voici les sources de mon article, pour ce qu'il est de sa biographie, cela a été tiré d'un site "le monde des arts"- http://www.lemondedesarts.com/DossierManetGal2.htm et pour ce qui est du reste, cela est de ma réserve personnelle, le livre "Les impressionnistes de Corinne Graber et JF Guillou de Sola.

J'espère que ces explications vous conviendront et si vous désirez m'en demander plus, je ferais de mon mieux pour vous les remettre :blush:.

---

Oh heureuse de t'avoir fait plaisir Esperluette :) et je compte continuer par de ces œuvres, au plaisir ....

---

Bonsoir David, merci de ta participation et d'avoir mis cette information si importante :blush:

Bon, j'avoue que j'aurais préféré un "o" à la place du "a". J'aurais ainsi eu mon peintre préféré! :D

Mais revenons au sujet qui nous intéresse ici...

J'ignorais qu'il avait été influencé au départ par Vélasquez et Goya.

Heureusement qu'il a échoué au concours, on l'a échappé belle!

Beau "premier" sujet Madame l'animatrice!

Contente de te voir par ici ma constellation, quand je le nommerais, je t'en ferais part, promis mais si je le mets demain, il risquerait d'avoir du favoritisme :D

Cependant, il est prévu que je l'évoque :p et merci, je suis toute gênée moi maintenant :blush: :D.

Oui tu as raison! :D

En plus, ce n'est pas comme si c'était le meilleur peintre de tous les temps... Ah bah si, mince! :D

Mais non, ça te va bien cette couleur rose en plus!

Un peu comme...

Très bonne riposte et il est vrai qu'elle me ressemble assez :D mais plus jeune

Cependant, je n'ai pas trouvé explication à rajouter à cette toile, ni le pourquoi, ni la date et encore moins le lieu mais je ne m'y creuse

et verrais-je si je suis de talent à trouver un indice ou pas :D

---

Pour ne pas rester sous une interrogation, je pose mon dévolu sur une autre toile où j'espère vous plaira :blush:, là, au moins, j'ai pu apporter descriptif, nah nah nah naire ....

Sur la plage 1873

Sur la place fut peint en 1873, lors d'un séjour des Manet à Berck-sur-Mer. Suzanne, la femme de Manet, pose au premier plan tandis qu'Eugène, son frère, qui devait épouser Berthe Morisot l'année suivant, apparaît au second plan, appuyé sur un coude, organisant une transition en contrepoint entre la robe grise de Mme Manet et l'étendue jaune de la plage.

Si la construction de ces deux plans, fait de deux triangles emboîtés, demeure classique, quoique les simplifications formelles ne soient pas absentes du traitement des tissus, les fonds dénotent par contre une influence japonaise qui reflète la vogue de cet art en Europe depuis le début de la seconde moitié du siècle, et auquel Manet avait déjà fait un clin d’œil dans son portrait d'Emile Zola. Quant aux chalutiers qui glissent sur l'horizon, ils comptent moins pour eux-mêmes que comme ponctuation des deux figures, les tons des coques et des voilent rappelant, comme un écho, ceux de la robe de Suzanne et de la veste d'Eugène.

Source "Les impressionnistes de Corinne Graber et JF Guillou de Solar"

Mince, j'ai beau chercher, en rien je n'ai trouvé des propos concernant cette toile, mais je continue à fouiner en vain ....

Ahhh Lina Campineanu, que d'intrigue

---

Sur ceux pour ne pas partir bredouille, me voici encore à vous soumettre mes choix :p

en y apportant une touche personnelle :blush:

Le Fifre 1866

Les deux années qui suivirent furent plutôt sombres. En 1866, il se vit refuser le Fifre et, l'année suivante, lors de l'Exposition universelle, le jury l'écarta d'office, en compagnie cette fois de Monet, Renoir, Sisley, Bazille et Courbet. La querelle s'envenimait. Zola soutenait toujours Manet avec véhémence dans les colonnes de l'Evénement. Les lecteurs protestèrent auprès du directeur du journal. Celui-ci, inquiet, prétendit alors imposer des articles correctifs. Zola refusa le procédé et donna sa démission.

Sans se décourager, Manet décida d'imiter Courbet qui, comme en 1855, organisait sa propre exposition, quai de l'Alma, en marge de l'Exposition universelle. Il trouva une baraque en planches, y accrocha cinquante toiles et fit publier un catalogue. "Manet oeuvre dans deux jours, écrit Monet à Bazille le 21 mai 1867. Il est dans des transes affreuses." Prémonition, dira-t'on, car le fiasco fut total. L'année passa ; c'était le creux de la vague.

Source : "Les impressionnistes de Corinne Graber et JF Guillou de Solar"

---

De cette beauté, je n'ai pu m'empêcher d'y retranscrire de mon crayon

Manet n'est pas mon impressionniste préféré mais il est dans mon top 5 (Sisley étant mon chouchou)

Il était celui qui parlait le mieux de son art je trouve.

«La concision en art, dit Manet, est une nécessité et une élégance. L'homme concis fait réfléchir, l'homme verbeux ennuie. Dans une figure, cherchez la grande lumière et la grande ombre; le reste viendra naturellement; c'est souvent très peu de chose. Et puis cultivez votre mémoire, car la nature ne vous donnera jamais que des renseignements. C'est comme un garde-fou qui empêche de tomber dans la banalité... Il faut tout le temps rester le maître et faire ce qui amuse. Pas de pensum ! Ah ! non, pas de pensum !»

Un petit jeu à propos du 'Bar des folies Bergères' : avez-vous trouvé les petits pieds verts ?

Mince, j'ai beau chercher, en rien je n'ai trouvé des propos concernant cette toile, mais je continue à fouiner en vain ....

Ahhh Lina Campineanu, que d'intrigue ...

Normal, c'est une "Lina"!

Je ne voudrais pas que tu creuses trop profondément...

J'aurais pu choisir Nana, blonde aussi, , d'autant que j'adore Zola, mais je ne connaissais pas cette oeuvre.

Bonsoir à tous :blush:

Je viens déposer ce que j'ai pu trouver sur la toile de Lina Campineanu, la date, c'est déjà un élément :p

Elle a été faite en 1878.

De cela, je continue mes recherches....

---

et je reviendrais demain pour essayer de répondre à Esperluette ou apporter plus d'éléments

---

Merci Rob de ton intervention :blush:

Et ne t'inquiète pas mon constellation, il est bon de fouiner un peu pour y prendre intérêt.

Tout n'est pas à recevoir sur un plateau mais bien aller se déplacer pour y déposer ce qu'il s'offre à notre demande.

---

Bonne nuit

Un petit jeu à propos du 'Bar des folies-Bergère' : avez-vous trouvé les petits pieds verts ?

Bonjour Esperluette :blush: et à vous tous

Moi, moi, j'ai trouvé :D, bon, certes on m'a aidé, je l'avoue :blush: :p mais je les ai remarqué tout de même, trop forte Ama :D

---

Édouard Manet, Un bar aux Folies-Bergère, vers 1881-1882, huile sur toile

Manet, cependant, demeurait Manet. Et ces scènes si vivantes étaient tout sauf des travaux sur le motif. Manet reconstruisait. Manet interprétait. Georges Jeanniot a laissé à ce propos un témoignage intéressant sur la genèse d'Un bar aux Folies-Bergère : "Lorsque je revins à Paris en janvier 1882, écrivit-il, ma première visite fut pour Manet. Il peignait alors le Bar aux Folies-Bergère, et le modèle posait derrière une table chargée de bouteilles et de victuailles.. Manet.. ne copiait pas du tout la nature ; je me rendis compte de ses magistrales simplifications. Son modèle n'était pas obtenu avec les moyens que la nature montrait. Tout était abrégé : les tons étaient plus clairs, les couleurs plus vives, les valeurs plus voisines."

Un modèle engagé place Pigalle, une scène recréée dans l'atelier : la vérité de la nature importait moins que la vérité de la toile. Comme pour Cézanne plus tard, comme pour tout grand peintre au sommet de son art, la peinture prenait le pas sur le reste. Les temps de la théorie s'éloignaient. Source : Livre les impressionnistes par Corinne Graber/JF Guillou de Solar

---

Un BAR aux FOLIES-BERGÈRE

Même s'il fut toujours très proche des membres du groupe impressionniste et s'il lui arriva, au cours de sa carrière, de travailler assez étroitement avec eux, en particulier avec Monet, Renoir et Caillebotte à Argenteuil, en 1874, Manet ne participa jamais aux différentes expositions que ses amis organisèrent à partir de 1874 et qui se poursuivirent jusqu'en 1886 après la mort du peintre. Manet était toutefois très proche des conceptions esthétiques des impressionnistes avec lesquels il partageait la recherche de thèmes nouveaux, ce qu'illustre parfaitement sa dernière grande toile, Un bar aux Folies-Bergère (Courtauld Institute Galleries, Londres). Elle évoque en effet le Paris nocturne, celui des cafés-concerts et des théâtres qui attirèrent alors tant de peintres d'avant-garde, Degas, puis Toulouse-Lautrec et les nabis. Cette toile était aussi, pour les contemporains de Manet, emblématique du Paris moderne bâti par Haussmann, auquel s'attachèrent Claude Monet ou, dans ses séries urbaines, Camille Pissarro. Enfin, par l'aspect naturaliste de son sujet, Un bar aux Folies-Bergère peut être aussi rapprochée du courant réaliste qui, depuis Courbet, n'a cessé de gagner du terrain dans toute la peinture européenne. Source : Barthélémy JOBERT de Encyclopaedia Universalis

---

Le peintre et son modèle : au-delà du miroir...

Pour sa composition commencée en janvier 1882, Manet reconstitua, d’après des croquis réalisés in situ, le décor des Folies-Bergère dans son atelier de la rue d’Amsterdam. Toutefois, c’est une authentique employée de ce café-concert alors mythique qui lui servit de modèle pour le personnage principal officiant derrière le bar. Isolée au centre d’une animation élégante et de lumières étincelantes, le regard las et absent, la jeune fille semble indifférente à ce tourbillon de plaisirs. Dans le tableau de Londres(1), le couvre-chef a disparu, mettant à nu la chevelure dorée de la jeune serveuse. Ajustée à la taille, la tunique de velours bleu met ici en valeur la large échancrure carrée du décolleté soulignant la blanche carnation de la poitrine, rehaussée par le velours noir du tour de cou au médaillon d’or et le rose du bouquet placé symboliquement entre les deux seins. L’artiste a tout autant soigné le décor du comptoir qui compose, au premier plan, une superbe nature morte, genre dans lequel excella aussi Manet. Sur le plateau en marbre du buffet, le peintre a savamment disposé des bouteilles de champagne et de bière anglaise, reconnaissable au triangle rouge de l’étiquette, auxquelles s’ajoutent un compotier d’oranges et un vase transparent d’où émerge un bouquet de roses jouant sur le velours bleu-noir du casaquin de la serveuse. Derrière elle, le miroir reflète la salle du café-concert sous les grands lustres électriques(2) évoqués par Maupassant : « (...) cette brume légère montait toujours, s’accumulait au plafond, et formait, sous le large dôme, autour du lustre, au-dessus de la galerie du premier chargée de spectateurs, un ciel ennuagé de fumée... » (Bel-Ami, 1885) On reconnaît ici, à l’arrière-plan et noyée dans les vapeurs de tabac, la galerie du premier étage(3), avec ses loges en demi-cercle et, au-delà, les badauds, rapidement esquissés, circulant dans le promenoir. Tous les spectateurs semblent ignorer le numéro de trapéziste dont on aperçoit seulement, coupés par le cadre du tableau, les pieds chaussés de vert vif, en haut à gauche : accoudée au balcon, une femme vêtue de blanc et gantée de jaune - sans doute Méry Laurent - a le visage tourné vers un galant en chapeau haut-de-forme, tandis que sa voisine observe la foule avec ses jumelles. Derrière elles, une autre élégante, coiffée d’un grand chapeau noir, a pu être identifiée comme l’actrice Jeanne Demarsy dont le portrait isolé fut exposé au Salon de 1882 aux côtés du Bar aux Folies-Bergère. A droite de la scène, l’attention est attirée par l’étrange reflet décalé du dos de Suzon qui fait face à la grosse tête d’un homme libidineux à favoris. Par cet effet de miroir irréaliste, l’artiste place le spectateur dans une relation ambivalente avec le modèle tout en suggérant l’univers sous-jacent de la prostitution.

Au Salon de 1882, où Manet bien que « moins contesté » n’était pas encore entièrement accepté, cet effet qualifié de « neuf et d’ irrésistible » créa la surprise : « Le Bar des Folies-Bergère de Manet stupéfie les assistants qui se pressent en échangeant des observations désorientées sur le mirage de cette toile dont l’optique est d’une justesse relative... » (Huysmans) Tous les critiques s’accordent toutefois sur la parfaite maîtrise des effets lumineux et colorés. Préférant les oppositions brutales à l’équilibre des teintes, l’artiste crée un contraste saisissant entre les masses sombres du vêtement et la pâleur nacrée des carnations. Matériau souple et rapide, le pastel se prête à cette recherche de sobriété tout en permettant, grâce à sa texture poudrée, de flatter le modèle en lui conférant un maquillage naturel. Dans le tableau, Manet ose les juxtapositions hasardeuses, comme l’orange et le rouge, déjà présents dans ses sujets espagnols. Source : Musée des beaux arts de dijon, rédaction par Sophie Barthélémy et si informatique complémentaire : http://mba.dijon.fr/...euse_du_bar.pdf

---

Pour une certaine analyse

Le tableau de Manet « Bar aux folies-bergère » me vient à l’esprit. On peut penser que ce que l’on voit derrière la serveuse, dans le miroir, est devant elle, que l’on voit ici, rassemblés le réel et son symétrique, une sorte de réel inversé. Non… Ce n’est pas tout à fait le réel et l’inversion du réel. La vue directe est traitée de manière précise, ce qui est vu dans le miroir, de manière floue, de plus en plus floue à mesure que l’on pénètre en profondeur sous les lumières des immenses lustres de cristal. La serveuse semble perdue dans des rêves tristes. Et puis il y a l’homme au chapeau, ou plutôt le reflet de l’homme au chapeau. Dans le miroir il paraît si près de la serveuse qu’on devrait voir au moins une partie de son corps au premier plan, dans l’espace du réel, mais il n’en est rien. Si l’on pense voir le reflet d’un corps qui n’est pas présent, ce n’est pas un reflet, c’est autre chose, d’ailleurs Manet souligne que cela ne peut pas être un reflet. Si c’était un reflet les lois de l’optique la plus élémentaire seraient violées. Manet n’a pas pu faire cette grossière bévue de débutant. Il a voulu nous dire que ce qu’il peignait là, ce n’était pas un reflet. Qu’est-ce que cela peut bien être alors ? Une sorte de fantôme ? Un corps immatériel ? Deux éléments frappent d’entrée le spectateur : le regard absent du modèle, tourné vers lui-même qui invite le spectateur à le suivre dans son voyage intérieur et la pose très inhabituelle, très frontale, sans ombres donc sans relief, qui renforce le sentiment qu’elle n’est pas vraiment présente. Alors quoi ?... Qu’a voulu peindre Manet ?...Et s’il avait utilisé le subterfuge du miroir, dans lequel tout est un peu flou, sans substance, pour peindre le rêve dans lequel s’abîme la serveuse? Le premier plan serait alors cohérent avec le reste du tableau et l’homme au chapeau serait l’amoureux rêvé. Dans le coin où ils se retrouvent rien ne les sépare tous les deux, ni le bar, ni le reflet du bar, et le balcon qui fait puissamment barrage dans la partie gauche a disparu ; rien ne les sépare non plus de la société brillante des clients du cabaret à laquelle elle aimerait sans doute tant se mêler. Elle sait bien cependant que c’est une chimère, son air infiniment triste vient de là. Dans le miroir se donne à voir, non le reflet de la réalité mais son contrepoint, ce contrepoint qui montre la dimension de désespérance dans la prise de conscience, par la serveuse, de sa position sociale et de l’impossibilité de cet amour. L’image dans le miroir n’est pas une duplication, elle est un commentaire, elle donne son sens au tableau… comme dans les Ménines… Oui, c’est bien possible que Manet ait peint le rêve de la serveuse des Folies Bergère. Source : Forum du cercle maux d'auteurs de Jupira

Bravo !

Une anecdocte sur Manet :

Concernant une autre oeuvre, il y a une histoire assez savoureuse - forcément savoureuse - d'une asperge oubliée... De quelle oeuvre s'agit-il ? Hum ?

Bonsoir à tous :blush:

Je viens déposer ce que j'ai pu trouver sur la toile de Lina Campineanu, la date, c'est déjà un élément :p

Elle a été faite en 1878.

De cela, je continue mes recherches...Et ne t'inquiète pas mon constellation, il est bon de fouiner un peu pour y prendre intérêt.

Tout n'est pas à recevoir sur un plateau mais bien aller se déplacer pour y déposer ce qu'il s'offre à notre demande.

Bonne nuit

Oui, c'est bien de persévérer, mais il est possible que ce tableau n'ait pas d'anecdote particulière.

Ou...

Bonne nuit aussi

Même si ce n'est pas la même!

Bravo !

Une anecdocte sur Manet :

Concernant une autre oeuvre, il y a une histoire assez savoureuse - forcément savoureuse - d'une asperge oubliée... De quelle oeuvre s'agit-il ? Hum ?

Bonsoir Esperluette

Merci :D et merci aussi à la personne qui m'a bien aidé

---

Oh chouette une nouvelle énigme, tu me gâtes :D

Donc je dirais............. tain tain tain, suspense...........

LA BOTTE D'ASPERGES

De fil en aiguille, il découvrit le tableau de Edouard Manet, « la botte d’asperges » et l’histoire qui y était rattachée.: « un richissime client (en fait, Charles Ephrussi, fils de banquiers juifs originaires d’Odessa, mécène et figurant dans des tableaux de Renoir notamment, spécialiste de Albrecht Dürer, directeur de la gazette des Beaux Arts, ami de Proust justement, il a même été avancé qu’il aurait pu lui inspirer le personnage de Swann, wikipetc…), un richissime client, donc, commanda à Manet, Edouard, peintre impressionniste, à ne pas confondre avec l’autre artiste impressionniste tout aussi célèbre que ce dernier, une nature morte : la « Botte d’asperges ».

Il fut ravi de son acquisition qu’il paya 1000 francs au lieu des 800 francs convenus. Manet fut si touché par le geste qu’il peignit un second tableau représentant une asperge et le fit porter au mécène avec un mot de remerciement : « Il en manquait une à votre botte. » »

Source : http://quotiriens.blog.lemonde.fr/2010/05/31/l%E2%80%99asperge/

La Botte d'asperges - peint en 1880

Oui, c'est bien de persévérer, mais il est possible que ce tableau n'ait pas d'anecdote particulière.

Ou...

Peut être que c'est la patronne d'une confiserie! :D

Bonne nuit aussi

Même si ce n'est pas la même!

Bonsoir ma constellation :blush:

Tu m'as bien fait rire avec ta patronne d'une confiserie, de toute manière, il n'y en a qu'une confiserie et elle se trouve en ce lieu :p

Je me fais de la pub - la confiserie virtuelle :D

---

Oui, de ta réflexion, en est exacte, il se peut d'aucune origine en soit divulguée pour ce tableau mais bon, je n'ai pas encore épuisé toutes mes ressources pour me garantir de cela

Bonne soirée à tous

Bonjour!

Du moment que tu en as encore, ça va.

...Je me fais de la pub - la confiserie virtuelle :D...

Madame ne perd pas le Nord!

Superbe sujet sur Manet merci ma douce de faire revivre nos ancêtre