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Carla Bruni-Sarkosy "au cœur d’un scandale financier international"


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Via sa fondation et en tant qu'ambassadrice de la lutte contre le sida, Carla Bruni-Sarkozy aurait fait rétribuer plusieurs millions d'euros à son entourage, affirme le magazine.

"Au terme d’une enquête de plusieurs mois aux Nations Unies et dans plusieurs pays, Frédéric Martel révèle dans Marianne les dysfonctionnements et le mélange des genres auxquels aboutit l'action - et l'inaction - de Carla Bruni-Sarkozy dans sa fondation et son comportement en tant qu'ambassadrice de la lutte contre le sida" écrit sur internet le magazine, sous forme de bande-annonce, à la veille de publier son enquête.

Citant le magasine, en devenant philanthrope d’État en 2009, à la tête de sa fondation contre l’illettrisme et comme ambassadrice contre le sida, Carla Bruni-Sarkozy semblait sincère, surtout en matière de lutte contre le sida (son frère aîné est mort de la maladie).

Mais deux ans après sa création, sa fondation est dans l’impasse.

Ses actions concrètes contre le sida sont rares.

Pire, Carla Bruni-Sarkozy, révèle Marianne, est au centre d’un scandale international : 3,5 millions de dollars ont été versés par le Fonds mondial de lutte contre le sida, en marge de la légalité, et sans appel d’offre, à la demande de la première Dame, à plusieurs sociétés d’un de ses amis.

Le musicien et chef d’entreprise Julien Civange est à la fois le principal conseiller de Carla Bruni-Sarkozy, il est officiellement dans l’organigramme de sa fondation et a un bureau à l’Élysée (où Marianne a pu joindre et être rappelé par sa secrétaire).

Révélée au conseil d’administration du Fonds mondial à Accra, au Ghana, fin novembre 2011, cette affaire vient de coûter sa place à un ambassadeur français, le professeur Patrice Debré, qui vient « d’être démissionné » par Sarkozy.

De plus, le directeur général du Fonds mondial de lutte contre le sida, Michel Kazatchkine, vient d’être officiellement écarté aussi, à la demande d’Hillary Clinton même si sa démission réelle ne devrait intervenir que les 21 et 22 mai 2012 – soit après le deuxième tour des présidentielles. Nicolas Sarkozy est intervenu en ce sens, au plus haut niveau à Washington.

Frédéric Martel, sociologue et journaliste, qui a dévoilé son enquète, précise d'ores et déjà en ligne comment il a mené ses investigations en s'appuyant sur de nombreuses sources : "Cette enquête a été conduite en novembre et décembre 2011 à Genève, Bruxelles et Paris, ainsi que dans plusieurs organisations des Nations unies ; une cinquantaine d’acteurs d’une dizaine de pays, notamment à Washington, à New York, à New Dehli et à Londres, ont été également interviewés par téléphone entre novembre 2011 et début janvier 2012…

Dans son droit de réponse publié sur le site même, Carla Bruni-Sarkozy a réfuté sa mise en cause, en affirmant, vendredi que sa fondation philanthropique n'avait "jamais reçu d'argent public". Selon elle, "l’insinuation selon laquelle des fonds auraient été levés auprès de partenaires publics est entièrement infondée".

Source : Alterinfo.net

Autre source : Marianne2.fr ( plus un document pdf )

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Membre, 44ans Posté(e)
epmd71 Membre 10 304 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
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quand on est aux pouvoirs la justice et l'argent devient vos alliéslazy.giflazy.giflazy.gif

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Bonjour, à la veille des élections, en pleine campagne électorale il est bon de rappeler qui sont ceux qui nous gouvernent.

L'entourage d'un président est important et est à prendre en compte.

Justice et argent ne font pas bon ménage, c'est évident sauf pour ceux qui bénéficient d'une impunité.

Impunité qui par définition est impropre à une république démocratique.

Cela ne choque t-il personne, d'être spolier ?

De voir l'argent volé renflouer les poches des puissants, déjà fortunés, lorsque leur priorité devrait être de représenter le peuple et d'en prendre soin, j'ose dire.

Car dans cette affaire, les puissants démontrent, encore une fois, ô combien les intérêts du peuple et donc des électeurs y compris, passent à la trappe.

Etre à la tête d'une fondation, comme être ambassadeur ou ambassadrice d'une cause humanitaire à défendre, fait bonne figure.

Mais que fait-on des malades, de ces gens, de ces vies à sauver ?

" Aux urnes citoyens " est un appel insuffisant, n'est-il pas quand on constate l'inertie des ciyoyens face à l'humiliation qui leur est faite.

Quand il faut courir après l'argent, un salaire, un droit de pension, une retraite tout le monde descend dans la rue, tout le monde se met d'accord.

Mais quand il s'agit de défendre d'autres valeurs que celle de l'argent, il n'y a plus grand monde à battre le pavé pour son dû et son droit de vivre.

Extrait de l'article de Marianne2.fr :

Au terme d’une enquête de plusieurs mois aux Nations Unies et dans plusieurs pays, Frédéric Martel révèle dans

Marianne les dysfonctionnements et le mélange des genres auxquels aboutit l'action - et l'inaction - de Carla Bruni-Sarkozy dans sa fondation et son comportement en tant qu'ambassadrice de la lutte contre le sida.

En devenant philanthrope d’État en 2009, à la tête de sa fondation contre l’illettrisme et comme ambassadrice contre le sida, Carla Bruni-Sarkozy avait de bonnes intentions. Et semblait sincère, surtout en matière de lutte contre le sida (son frère aîné est mort de la maladie). Mais deux ans après sa création, sa fondation est dans l’impasse. Ses actions concrètes contre le sida sont rares. Pire, Carla Bruni-Sarkozy, révèle Marianne, est au centre d’un scandale international : 3,5 millions de dollars ont été versés par le Fonds mondial de lutte contre le sida, en marge de la légalité, et sans appel d’offre, à la demande de la première Dame, à plusieurs sociétés d’un de ses amis. Le musicien et chef d’entreprise Julien Civange est à la fois le principal conseiller de Carla Bruni-Sarkozy, il est officiellement dans l’organigramme de sa fondation et a un bureau à l’Élysée (où Marianne a pu joindre et être rappelé par sa secrétaire). Il fut le témoin de mariage de Carla Bruni-Sarkozy.

Révélée au conseil d’administration du Fonds mondial à Accra, au Ghana, fin novembre 2011, cette affaire vient de coûter sa place à un ambassadeur français, le professeur Patrice Debré, qui vient d’être démissionné par Sarkozy. Le directeur général du Fonds mondial de lutte contre le sida, Michel Kazatchkine, vient d’être officiellement écarté aussi, à la demande d’Hillary Clinton même si sa démission réelle ne devrait intervenir que les 21 et 22 mai 2012 – soit après le deuxième tour des présidentielles. Nicolas Sarkozy est intervenu en ce sens, au plus haut niveau à Washington.

Les puissants ont les moyens, ils sont en première ligne pour pouvoir changer les choses et c'est ce qui rend leur légèreté, leur irresponsabilité bien plus détestable et condamnable.

Alors pourquoi voter si c'est pour voir les puissants réduire en confettis les cartes d'électeurs dont ils se fiche royalement ?

Leur intérêt est d'être élu, une fois en place qu'advient-il concrètement du future de chaque citoyen ?

Temps que cela va bien dans la vie personne ne bouge mais dés que l'individu tombe dans les rouages de la société, il est déjà trop tard pour faire marche arrière. C'est comme attendre qu'il y ait des morts à un carrefour pour y installer un feu rouge.

Attendre le dernier moment pour réagir comme si se retrouver au bord du précipice est propice au changement.

Le peuple doit-il toujours réagir dans l'urgence ?

Ne peut-il agir dans l'ensemble par prévention ?

Car entre-temps, Carla Bruni-Sarkosy se la coule douce et à moins de finir comme Marie-Antoinette,

elle à encore de très beaux jours devant-elle.

A plusieurs reprises, il est constatable que le peuple, qu'il soit voler, humilier, trahit, ne réagit pas ou si peu.

Même dans les urnes, il suffit de voir ô combien sont nombreux encore celles et ceux prêts à voter pour Nicolas Sarkosy.

Votent-ils donc pour une image ? Ou ont-ils baisser les bras ?

Il y a quelque chose de malsain, comme un vote aveugle, voter aujourd'hui c'est surtout pour voter, pas pour défendre son pain.

C'est à croire que le peuple qui vote préfère à bien des égards les riches malhonnêtes aux pauvres malhonnêtes.

Ces derniers font l'objet d'un mépris quotidien et les autres sont encensés, alors ne faut-il pas interdire le vote tel qu'il est pratiqué aujourd'hui ?

...sachant qu'une partie du peuple est irresponsable.

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Membre, 13ans Posté(e)
watain Membre 331 messages
Baby Forumeur‚ 13ans‚
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pour sarko et sa " " il est facile de puiser dans les caisses de l'état , monter des magouilles financières pour préparer leur retraite.Rien de bien étonnant.Peu importe la crise, la situation des français

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