Qui est vraiment responsable du changement climatique?

nanouchka

oui, force est de constater que le progrès semble nuire à la planète dans tout son ensemble.

mais je voudrai préciser que ce n'est pas le progrès par lui même qui nuit à notre planète, mais bien plutôt la façon dont l'homme utilise le progrès. c'est l'avidité et l'égoïsme dont souffre notre espèce qui nuit autour de nous et nous nuit par conséquent.

Bonsoir Nanouchka

Les politiques ne comprennent rien - de toute façon ils sont là à s'agiter juste pour amuser la galerie, ce sont les nouveaux people - alors ils se défaussent sur les hauts fonctionnaires qui n'y comprennent pas grand chose non plus (ils sortent tous du même moule) et activent donc leur parapluie (faut bien sauvegarder le plan de carrière, n'est-ce pas?) avec des experts qui peuvent dire tout et son contraire, il n'y a qu'à suivre l'argent, celui qui finance leurs recherches ou leurs laboratoires... Quant aux citoyens lambda, tous ces bavards sus-cités aidés par la presse généraliste complice ou trop fainéante pour rélaiser un vrai travail d'enquête (ça coûte cher c'est vrai), les enfument à longueur de journées... comme au plus beaux jours de l'agence soviétique Tass.

Le problème, c'est que les scientifiques sont dans leur rôle en poussant à leur maximum les techniques, les technologies bref tout ce que l'on met dans le terme "progrès". "Si je peux le faire, alors je dois le faire", voilà leur motto. C'est la beauté du geste technique. Le geste pour le geste. Les conséquences à court ou moyen terme ? Bof... "avec ce discours on en serait toujours à inventer la roue", voilà ce qu'ils répondent. Sauf qu'une nanotechnologie, c'est autrement plus perturbant pour le fonctionnement de la Nature que la roue !!! La vérité, c'est qu'ils jouent aux apprentis sorciers en inventant des trucs dont ils ne maîtrisent souvent ni les tenants ni les aboutissants. D'ailleurs nombreuses sont les découvertes faites par accident... Alors comment pourraient-ils se targuer de maîtriser l'alpha et l'omega, car cela voudrait dire qu'ils maîtrisent la Nature, en ont décrypté le fonctionnement et donc cela signifierait que les questions fondamentales de la vie sur Terre, de la création de l'Univers seraient du domaine des connaissances humaines !!! Evidemment, c'est très lon d'être le cas. Notre monde de progrès, c'est Mickey chez Merlin l'enchanteur. Et c'est donc de la responsabilité des représentants du peuple, élus, parlementaires et ministres, de poser des limites et des cadres réglementaires... pour le principe de précaution, parce que la science doit aussi faire écho à une certain bon sens, que d'aucun appelle moralité. Mais comme le monde économique pousse aussi à la roue, en adoptant une gestion sur bicyclette, comme pour la question des emprunts /dettes souveraines, il faut pédaler deplus en plus vite, car sinon on tombe... Sauf que plus on prend de la vitesse et plus il y a de risque de s'écraser violemment contre un mur. Au contraire du cercle naturel de l'énergie-masse, le cercle politique-administration-sciences-monde économique n'est pas vertueux.

Le réchauffement climatique ? on continuera à en chercher les responsables (parce qu'il faut donner l'impression aux peuples que l'on agit) quand il faudrait repenser le mode de développement de l'humanité, travailler l'idée du partage équitable des ressources et de la nécessaire adaptation du milieu et des populations (animales et végétales) qui y vivent. Mais cela voudrait dire repenser nos échelles de valeur et nos besoins réels, loin des besoins créés par un système consumériste.

des profondeurs de l'océan surgit de la lumière !

Comme toujours la NASA a repone a tout .Elle illustre le rechauffement climatique de 1880 a nos jours .Trés interessant.

http://ecologie.blog.lemonde.fr/2012/01/26/la-nasa-illustre-le-rechauffement-climatique-de-1880-a-2011-%E2%80%8E/

je n'ai pas lu la totalité de l'article, mais les vidéos et courbes ne trompent pas et parlent d'elles-mêmes. c'est depuis qu'on s'est mis à produire et consommer, consommer et produire à outrance, que la montée s'accélère.