Pourquoi j’existe

A la question pourquoi j'existe la réponse pourrait être une autre question : comment j'existe ? Comment j'ai la sensation d'exister ? :mef2:

Car dès l'instant où tu as trouvé des raisons d'exister tu ne te poses plus la question ! :smile2:

Mais comment trouver ? C'est en effet très personnel et chacun possède un certain bonheur à vivre très différent les uns des autres...

Malgré tout si il existe des raisons standard je suis preneuse lol ! :D

Merci d'avance

Fyreval : Car dès l'instant où tu as trouvé des raisons d'exister tu ne te poses plus la question !

Genesiis : (Surprise ): Figurez-vous que la tension entre le temporel et l'intemporel subsiste même si on en connait la passerelle. (Autrement dit :) Une réelle raison d'être nous ouvre aux possibles plutôt que de nous fermer aux impossibles. (Allégoriquement :) Celui qui cherche à élever son point de vue (sa conscience) est heureux de trouver un sentier qui serpente vers le sommet de la montagne (raison d'être) mais il lui reste encore à gravir la montagne (si c'est facile c'est que ça descend !).

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Fireval : Malgré tout si il existe des raisons standard je suis preneuse lol !

Genesiis : Croire que nous ne sommes pas semblables est une plaque de verglas pour notre raisonnement : On peut la dépasser qu'en glissant dessus. (Cet écueil est parfois appelé (le gaffla de) l'égo).

Genesiis

pouvez vous m'expliqué le passage ,

(Cet écueil est parfois appelé (le gaffla de) l'égo).

Genesiis : (Cet écueil est parfois appelé (le gaffla de) l'égo).

Le calme ; pouvez vous m'expliqué le passage

Genesiis : l'égo est la partie de notre mental qui ancre l'identité face à la frustration ; c'est le noyeau nécessaire à notre survie en communauté ; la gonflette qui nous évite de nous faire écraser par les autres. L'ennui c'est que cet ancrage est une entrave à la progression du mental, notamment à l'élévation de la conscience. Ainsi celui qui s'accroche à son égo survit plus qu'il ne vit. Le gaffla est la mouche qui distrait. L'égo est donc bien parfois un gaffla de notre vie.

Peut-être qu’après tout, le sens de la vie, c’est d’être là où l’on est – et là seulement.