En passant, en pensant ...

Nous, mais vous aussi, dont l'inspiration tourbillonne,

images, phrases, mots, ponctuations, rien ne pourrait être laissé au hasard,

infiniment, inlassablement, les écrits résonnent en nos pensées, y accoler une voix mystérieuse,

imaginer le son de celle-ci, en disposer en notre guise selon l'ambiance des messages que l'on veut faire passer.

Oui , c'est bien de cela qu'il s'agit, abusons de ce qui nous est donné, enflammons, crions, hurlons nos profondeurs,

on le peut, on le doit presque, on ne peut faire autrement, du moins pour le moment,

on ne sait pas ce qui nous attend, on est là, on le clame !

Demain sera un autre jour, demain peut être encore aurons nous cette force !

Infinitive, pardon! je découvre seulement aujourd'hui tes écrits, si bien que je n'ai pu te donner mon avis! oh, un simple avis d'une "écrivaillonne" qui n'a pour tout talent que celui de laisser sa plume aller au gré de son humeur et surtout de sa nostalgie!

Je pense donc, sincèrement que tu as un énorme talent! J'adore ta façon d'écrire et, surtout, si ton roman est publié, n'oublie pas de me le faire savoir, afin que je le commande au plus vite!

Au plaisir, comme toujours, d'avoir le grand honneur de lire tes passages dans ce topic que j'aime tant: "mes histoires" qui sont devenues les vôtres...

+1 , un peit mp qui nous donnerait des infos sur ton livre serait bienvenu :)

Vous m'avez redonné le gout, la saveur... Vos mots, vos langueurs comme un pointillé...

J'écris ma douce belle, comme une affamée... Je ne sais s'il s'agit dêtre éditée, la démarche me peine...

Mais vos avis me confortent.

Je serais là, à écouter vos ames, quoiqu'il en soit...

ok... En quelques mots sans trop oser en dire...

Quand Julie, enceinte, meurt sous ses yeux, Marc se déchire, se dilue.

Il se perd, se marginalise et s'installe dans un parc public sur un banc de bois.

Dans ce parc, il attend désespérément sa Julie.

Ce sont Antoine et sa fille, travailleurs de Samu social, la Princesse, très vieille dame brodeuse d'oiseaux,

Dave et le petit prince, jeunes enfants égarés qui vont le toucher du cœur et le réanimer.

Mais si la mort n'était pas ce qu'elle était, si ce parc était le lieu des possibles,

si la déambulation de chacun était un fil unique, une trame étonnante d’amour, qui les lie les uns aux autres et permet le plus surprenant des tissages ?

Et si vraiment, tout cela était réalisable?

C'est nous mettre l'eau à la bouche là.....

Nuit blanche , encore une,

pour rien, juste une rancune,

nuit interminable,

insomnie lamentable.

Nuit noire, aucune lumière,

juste un flash, juste un éclair,

mais pas assez, trop de démons,

penser et oublier son nom.

Nuit profonde, trop d'ombre,

minutes, heures, tous ces nombres,

prendre l'air, m'évader,

chercher réconfort, m'évaporer.

Nuit sereine ne viendra pas,

matin maussade commence en tracas,

vient une journée pour oublier,

que nuit sombre est passée.

Discussion philosophique de jour avec une princesse de dix ans, entre deux tartines de pain grillé hier matin :

"Maman, je t'adore, tu es une maman follette, j'en connais pas d'autre comme toi, je suis heureuse."

Moi évidemment, un peu larmoyante...

"Tu sais ma puce, c'est parce qu'on choppe le bonheur par petites touches, on le prend à chaque fois qu'il pointe le bout de son nez. Des petites cuillères de bonheur, et puis on en fait un gros tas, comme une montagne de billes qui roulent sous le coeur"

"Dis maman, quand on a un gros tas de petites billes de bonheur, même si il y a un gros calot de malheur qui tombe dessus, on peut refaire le tas bien comme il faut et enterrer le gros calot sous les petites billes!"

"T'as raison ma puce, que si on avait juste un énorme calot de gros bonheur, qu'un calot de gros malheur tombe dessus, dès fois on ne sait pas, il pourrait tomber maladroitement et casser en une seule fois tout ce bonheur-là!"

Du coup, on est arrivée en retard à l'école, Princesse n'aime pas ça, mais on ne peut pas philosopher sur le bonheur et prendre un retard ensuite comme une chose grave...

Elle a filé dans le vent frais, s'est arrêtée, est revenue en courant vers la voiture et m'a embrassé, en partant elle m'a crié

"la petite bille pour la journée !"

Quelle douceur....merci :)

si les agrafeuses pouvaient parler

j'étais passée semer quelques virgules,

Entre parenthèse, à tes exclamations,

Ouvrir quelques guillemets à tes bulles

Et me perdre dans tes interrogations.

J'ai escaladé avec mes crochets

tes astérisques et tes trémas,

Louvoyant au gré de tes tirets.

J'ai repris mon souffle à l'alinéa.

De mon accent grave mais gentil,

Je t"ai apostrophé entre deux points.

Je finis par trébucher sur ta cédille,

Oublieuse du circonflexe un peu vain.

Mon regard aigu en trait d'union

Joua son point virgule à la cabale,

Et dans un soupir en suspension

Je rendis, enfin, mon point final.

BISOUS

:smile2: pas mal, j'aime beaucoup !

Elle lutta pendant que je la maitrisais, la faisant plier. Elle semblait outrée.

Je l'ai savamment liée, puis ointe d'une huile délicate. Comme un animal, je l'ai humée, m'enivrant de son parfum, de ses odeurs les plus intimes.

Elle gémissait ainsi, offerte.

"Vous me bafouez balbutiait-elle, vous m'avilissez à me traiter ainsi."

Sa voix n'avait aucune importance, je ne l'entendais pas.

Je l'ai soulevé et posée délicatement sur la douce tiédeur. J'ai pénétré sa viande avec force.

Quand elle hurla avec suffisamment de conviction, j'imprimais alors au couteau, une lente progression dans ses rondeurs.

"Cessez, par pitié, cessez."

je cessais, non pas que ses cris m'emplissent d'une quelconque honte, mais simplement par ce qu'il le fallait.

Je me servis un verre de jurançon. Ce n'était ni l'heure, ni le moment à ces saveurs sucrés, mais qu'importe, le désir qui m'imprégnait me faisait oublier

toutes les nécessaires associations.

Tandis que je lapais mon vin, je l'en aspergeait négligemment, elle devint alors furieuse

Le liquide froid et doux la tétanisa puis elle se tut.

Sa peau dorée et chaude se craquela. Elle recommença doucement à gémir. D'un doux bruissement d'abandon.

Je déposais, enfin, sur un lit de salade, ma paupiette de veau cuite à point. Délicate et parfumée, elle fondit sous mon palais de ses mille saveurs.

Waow que de sensualité , l'eau à la bouche ..... irrésistible paupiette.

La pauvre...Tant pis pour elle, elle s'était parée de sa plus belle barde... Tant pis pour elle !

:smile2: :smile2:

oui, la pauvre comme tu dis, mais cependant si exaltante !

aprés L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux voila la femme qui écoutait les paupiettes

Gilles ne le répète pas... Ma is je crois qu'elle l'a BOUFFEE !!!!

"et moi ?" semble en corolles

vouloir nous émerveiller une

pensée je crois, émoi ou rôle

voire tout cela à la fois, Lune

et soleil, sa texture est frivole

Choix

Un vent de liberté et venu effleurer tes pensées,

ouvre ton coeur sur un panel de couleur,

ne sois pas spectateur ni acteur d'une vie

sans saveur.

Pimente ta vie de quelques gouttes de folies,

donne toi la possibilité d'améliorer

ton quotidien en guidant tes pas

au rythme d'une agréable mélodie.

Telle une guitare, accorde tes journées

pour en obtenir la meilleur qualité.

aime jusqu'a en perdre la raison

mais ne jamais se faire d'illusion.

Avance vers ta destinée sans te retourner

sur un passé qui pourrait entraver

et modifier l'acheminement que tu as

enfin choisi, celui d'une vie parfumée

de finesse, de tendresse et agrémentée

de doux moment passionnés ..