En passant, en pensant ...

J'avais oublié que j'existais, souffrance me l'a rappelé,

douce sensation au coeur, me laisse en rancoeurs,

vertige d'une boule au ventre, subtile elle entre,

saveur enjouée, elle m'a lascivement entraînée.

J'avais oublié une date, ce jour de naître,

grand mal me fasse, il en reste une trace,

un papier déposé, un chiffre tant regardé,

ne m'est pas apparu, l'évènement à disparu.

J'avais oublié que j'aimais écrire, comme ça fait sourire,

encre versée sur mes mains, l'ôter ne sert à rien,

plumes et cahiers entassés, ravivent mon passé,

conter , souffler magie,couleurs indéfinies.

J'avais oublié que je pouvais parler, silence m'a transporté,

muette je suis, bouche bée m'a envahie,

enfouie la clef des dires , mots et phrases vont s'évanouir,

ne restera que le calme indécis, sereine en sera la poésie.

Pétard Evasive.....

J'avais oublié que j'existais, souffrance me l'a rappelé,

j'ai vu sur le topic quel livre lisez-vous ? qu'apparemment tu lis beaucoup....... trop ? quel dommage effectivement lorsqu'on lit ou vit "par procuration", la seule chose qui nous fasse nous sentir exister au bout d'un moment soit la douleur, jtrouve ça triste mais je partage

douce sensation au coeur, me laisse en rancoeurs,

un peu idem, quel dommage que face aux gens on n'ait qu'une envie : leur casser la gueule ; et qu'on n'arrive point à faire mentir l'expression : loin des yeux loin du coeur (le mec qui a inventé cette expression était un génie -nan c'était sûrement pas une gonzesse du coup, ça se saurait si elles savaient écrire ^^

vertige d'une boule au ventre, subtile elle entre,

c'était quand ma dernière fois ? pffffff jpréfère po me souvenir, ça me provoquerait une tumeur, chuis plus prés pour ma part du cancer que de la varicelle ^^

saveur enjouée, elle m'a lascivement entraînée

ah bon, t'as rencontré lassie chien fidèle en vrai ?

J'avais oublié une date, ce jour de naître,

bon anniversaire....

grand mal me fasse, il en reste une trace,

ben ouais tu m'as envoyé une gifle lorsque j'ai essayé de te caresser les épaules, la poitrine, puis le ventre, etc, etc..... remercie moi pour cette trace de toi que je recueille, donc

un papier déposé, un chiffre tant regardé,

mais de quoi tu parles ? des fois on n'est pas sur la même longueur d'onde, décidément

plumes et cahiers entassés, ravivent mon passé,

ouais bon moi aussi j'avais pas des notes fantastiques à l'école, mais curieusement c'est pas l'image de plumes qui me viendraient à l'esprit en resongeant à cette époque-là, je ne pouvais me permettre la luxure.....

conter , souffler magie,couleurs indéfinies

c'est joli, j'aime......

oublié que je pouvais parler, silence m'a transporté,

oh ça c'est comme je disais à quelqu'un par message privé y a pas si longtemps, la quantité de mots qui sortent de notre bouche par jour est un bon indicateur de notre QI (prononcer "chi" ; il s'agit d'une énergie de vie universelle utilisée notamment par la médecine chinoise -l'ancestrale, pas la moderne)

muette je suis, bouche bée m'a envahie,

ma biche ?

la clef des dires , mots et phrases vont s'évanouir,

j'aime beaucoup mais l'image évoquée, mais c'est de la littérature, faut donc la retrouver cette putain de clef dis hein...

ne restera que le calme indécis, sereine en sera la poésie.

Mais tu me fais quoi toi tu t'appropries mes mots ? comme ça ? ben dites donc , vous en avez du culot jeune homme !

Nan moi jsuis un Etranger...

Une Nuit kje me promenais

Au bois des Trinitaires, Air,

Par chez moi, dla routine, galères..

Mes rêves battant la cambrousse

Mes oreilles et mon nez cramoisis

Mon esprit cet hiver-là très endolori..

Fantasmant dans le froid sur la Belle, douce...

Animale, spirituelle, gentille,

Mzelle au bois dormant, han.....

--- personne se moque merci--------

"Z'êtes point un extra-terrestre"

conclut-elle.. ce qui calma Ardeur

Et passions naissantes en rimes

Finissant par "-ère" en l'heure

Et place de la Joie que la Lime

De son regard avait fait renaître

En mon être alors que le Hêtre..

Qui nous dominait.. et le Houx

A côté de nous, sous le vent...

devisaient sur mes chances.. tandis qu'en ce doux...

Instant les rosiers fleurissant en

Son balcon dson appart' ouais nan.. (arf ^^)

Jetaient leurs sortilèges par delà

Les frontières, chère Evasive,

De la Voie Lactée, mais en épargnant

Bel et bien ce bois des trinitaires qui eût pu constituer notre jardin secret....

L'écriture, clairement, nécessite un émerveillement du regard dont je ne dispose plus depuis ce jour et cette date là......

Les jardins secrets ne se dévoilent pas,

ils se sèment seuls, de fruits gourmets,

aux couleurs de nos envies, de nos trépas,

pour parfois nous mener au bûcher.

Se l'imaginer, entrer en ce fantasme savoureux,

s'y complaire à perdre haleine et réalité,

s'y réfugier et ne plus en sortir que heureux,

s'y blottir de souhaits , de voeux, et ce pour l'éternité...

Moi aussi je veux écrire un poême :

Quand j'étais petit

je n'étais pas grand,

je montrais mon c..l

à tous les passants,

ma mère me disais

veux tu le cacher !

moi lui répondais...

et j'avais une fessée... :D

Merci David , trop bien écrit et maintenant tu sors , c'est par là ------>[:D]

Oui m'dame, bisous en sortant... :D

Bisous emmerdeur :D

Le corps d'une Fille

Zut, flûtes et hautbois,

Le corps d'une fille aboie...

Au loin, comme les klaxons

Réglés des étoiles, en ce salon

Spacieux et pires que le son

Insondable des passions,

Résonnent moult leçons

Nous guident pires que visions,

Enchanteresses de ce beau monde....

Le corps d'une fille réclame...

Simplement un petit peu de soi

L'on veut déposer en guise de soie

Le corps d'une fille petite chenille

Rampe sur les vignes ou mes chevilles

Le corps d'une fille désire, goût vanille

Comme la vie souvent quand fourmille

L'espoir de caresses, après les lentilles

Le soir venu, le corps d'une fille titille

Affute la tendresse, le corps d'une fille

Soulève le sable sur la plage souvent dans mes rêves....

Evasive, Chat000, j'admire vos poèmes

Je voudrais pouvoir vous accompagner

Mais je ne sais jamais

Compter tel ou tel pied...

Alors, je me contente

D'ajouter des mots,

Les uns après les autres!

Je suis trop "indisciplinée"...

Et pourtant, combien de fois,

Baudelaire, Rimbaud, Verlaine m'ont accompagnée!

Mais voilà, tête de linotte je suis,

Tête de linotte je resterai...

Oula compter les pieds alors ça jlaisse ça perso aux véritables blaireaux qui sprennent pr rimbaud, perso mes pieds jme contente de les essuyer sur l'paillasson des bourges lorsque chuis contraint de franchir l' seuil d'leurs portes.... le reste du temps jme contente de la leur mettre bien profond :)

Bienvenue Cosette,

Dépose donc tes mots comme bon te semble .....

Merci Evasive, des mots, j'en dépose déjà pas mal dans mes histoires, alors, je ne voudrais pas, non plus, exagérer! Je m'essaierai, parfois, avec votre indulgence, à écrire des vers qui n'en seront pas, sans rimes, sans raison, au hasard du moment...

Dans le ciel c'est la nuit

Aucune étoile ne brille

Dans mon coeur c'est la nuit

Personne dans la charmille

Mon ami, ma douceur, ma vie

Tu vogues sur l'océan

Tel un corsaire maudit,

Tu fuis vers le néant

Tu n'entends plus mes cris

Tu ignores l'existence

De celle qui fut l'amie

De toute cette errance...

ceci fut donc dit en passant :)

C'est vrai, que là, j'ai essayé de faire des rimes, mais c'est très rare et peu probant!!! :)

La poésie peut être aussi très belle sans pour autant se creuser à rimer....

J'avais oublié , en ces allers et venues, combien je l'aimais,

combien je pouvais lui donner, combien ...il ne le sait pas.

J'avais oublié, dans ma façon d'être, combien je m'investissais,

combien je le rattrapais, combien.....je ne compte plus.

J'avais imaginé, faut arrêter d'imaginer, faut stopper toutes rêveries,

combien se sont effondrées, combien j'osais espérer, il ne s'en doute même pas.

J'avais imaginé tant de choses, tant de chemins, mais ô combien ....

combien en ce labyrinthe, combien..... je ne rêve plus.

J'avais cru percevoir, en ces yeux , comme ses yeux me regardaient....,

combien j'étais si belle, combien.......il ne me regarde plus.

J'avais cru percevoir , en son sourire, ses tendres paroles,

combien de mots doux, combien.....je ne les entends plus.

J'avais, mais combien de ''j'avais"....une éternité,

combien en un espace temps, ça dure depuis combien ce temps ...,

j'avais combien de " si j'avais" , je ne le sais plus,

combien encore à le penser, ô combien.....

Cela faisait un moment que je voulais m'inviter ici ^^ c'est fait . il faut dire que ton texte est très beau éva .

A l'imparfait, l'imperfection de ce passé,

A l'imparfait , les rêves oubliés .

Que voir du present , à travers ces oeillères ,

Cousues par nos blessures, cellés de deception.

C'est qu'elles ne s'ouvrent, ces paupières ,

Et dans le noir , et sans passion ,

C'est qu'elle m'échappe la raison.

bise ^^

Beau passage demoiselle , bises:)

Le corps d'une Fille

Zut, flûtes et hautbois,

Le corps d'une fille aboie...

Au loin, comme les klaxons

Réglés des étoiles, en ce salon

Spacieux et pires que le son

Insondable des passions,

Résonnent moult leçons

Nous guident pires que visions,

Enchanteresses de ce beau monde....

Le corps d'une fille réclame...

Simplement un petit peu de soi

L'on veut déposer en guise de soie

Le corps d'une fille petite chenille

Rampe sur les vignes ou mes chevilles

Le corps d'une fille désire, goût vanille

Comme la vie souvent quand fourmille

L'espoir de caresses, après les lentilles

Le soir venu, le corps d'une fille titille

Affute la tendresse, le corps d'une fille

Soulève le sable sur la plage souvent dans mes rêves....

J'aime beaucoup ce texte, pas de complication en mon cerveau embrouillé , merci .

ps: oui , je me permets de te citer car parfois , je ne comprends pas tes pensées.....