les jeunes de banlieue en réinsertion

Si je vous frappe vous pensez vraiment que vous allez vous insérer ou résister?

Qui a parlé de frapper ?

Ah oui, les gens placés en ERS, mea culpa.

L'insertion se fait par le dialogue et le mélange, pas en les mettant de coté, c'est pas des prisonniers mais des collégiens...

Non, ce sont des jeunes juste au bord de la primo-délinquance, c'est différent. Ce sont des jeunes qui vont mal finir si ils ne sont pas recadrés très vite.

Nous avons largement dépassé le stade du "ce sont des collégiens".

C'est des mômes qui ont besoin de dialogue d'encadrement et de couper avec l'esprit violent, et c'est pas en leur tapant dessus qu'on leur fait oublier la violence...

Mais enfin qui t'a parlé de leur taper dessus enfin ???

Et au passage, tu ne veux pas te porter volontaire pour aller le leur expliquer à eux que tabasser ne mène nulle part ?

J'ai comme dans l'idée qu'ils ne sont pas au courant.

A Craon ils sont a cran .

Purée elle est loin la politique du touche pas mon pote .

Le vinaigre et l'huile quand tu le mélange il fini toujours par se séparer

Pourquoi l'huile et le vinaigre ne se mélangent-ils pas?

L'huile est un composé apolaire (hydrofuge, lipophile) à l'inverse le vinaigre est une solution aqueuse polaire (hydrophile).

L'huile et l'eau ne peuvent pas former de liaisons entre eux, donc au cours du mélange il n'y aura pas suffisamment d'énergie libérée pour casser les liaisons hydrogène présentes entre molécules d'eau pour permettre la dispersion.

Chacun restera chez soi : molécules de lipides entre elles et molécules d'eau entre elles, d'où la formation des deux phases superposée (huileuse supérieure car moins dense que l'aqueuse.)

ici

Alors qu'il faudrait les séparer de la population paisible on les mélange carrément.

Les problèmes sont totalement prévisibles...

C'est comme mettre des chiens enragés au milieu des moutons, pour les calmer ...

On nage en plein délire collectif !

C'est le devoir de l'école d'accueillir tous les enfants de France , y compris ceux qui ont de grandes difficultés

Luc Chatel

Bon sinon je rigole

Quelle gâchis...

Plutôt de les isoler carrément du cadre de vie local, autant qu'il retourne à Paris. La solution adoptée dans la vidéo revient, in fine, à faire du collège une sorte de prison, avec un régime d'apartheid local. Ca valait franchement pas le coups Et c'était prévisible...

Puis, il y a la grande vitesse avec laquelle cette mesure, qui aurait demandé du temps, de la préparation, de la formation pour des professeurs (alors que les réformes précédentes sur cette même formation ont plutôt l'effet inverse ) a été exigée rapidement. Cette rapidité me semble largement contre-productive.

La politique de l'immédiat de Sarko a encore fais des victimes. Décidément, il n'y a rien de durable.

Il n'y a plus de pression dans le karcher....Dommage.

j'aurais bien aimé savoir comment ces jeunes ont été accueillis, je doute que ca a été avec les bras ouverts et sans aprioris

Déjà en mettre 15 c'est énorme et c'est une bêtise , ensuite les parquer dans un coin du collége avec ordre de ne pas se mêler aux autres c'est faire un ghetto au sein du collége

Les mômes n'avaient absolument rien de changer par rapport à leur ancien environnement dans ces conditions

De multiples études ont montré que ce qui influençait d'abord les mômes c'était d'abord leurs copains (c'est pareil pour tous les mômes) et leur famille

Tant qu'on met ces mômes ensemble y'aura rien de changé

Quelle gâchis...

Plutôt de les isoler carrément du cadre de vie local, autant qu'il retourne à Paris. La solution adoptée dans la vidéo revient, in fine, à faire du collège une sorte de prison, avec un régime d'apartheid local. Ca valait franchement pas le coups Et c'était prévisible...

+1 y'a aucun bon sens dans cette expérience

En prime leurs parents sont laissés sur le bord de la route , ils n'ont pas d'aide , pas de suivi obligatoire

ce n'est pas la seule expérience et d'autres seront faites.

8 ados de bobigny sèment la panique ds un village de la manche.

Jeudi et samedi, huit jeunes adolescents de Bobigny qui avaient rejoint, en début de semaine, le second ERS de la Seine-Saint-Denis ouvert à Portbail, dans la Manche, sont rentrés dans leurs familles. Hébergés dans un centre de vacances des pupilles de l'enseignement public, ils ont été à l'origine de deux incidents qui ont semé l'émoi dans ce tranquille village côtier.

Caillassage et menaces de mort

Jeudi, deux de ces adolescents entre 13 ans et 15 ans entrent dans le bar tabac de Portbail pour y acheter des cigarettes. Le gérant refuse, car ils sont mineurs. S'ensuivent insultes et menaces. Ils sont retirés sur le champ du centre. Second accrochage deux jours plus tard : les six jeunes restants reviennent au bar où ils se mettent à fumer. « A Bobigny, assurent-ils, on ne nous dit rien. » Mais quelques habitants qui assistent à la scène prennent la défense du gérant. Les six jeunes, qui profèrent insultes et menaces de mort, sont contraints de s'éloigner avant de lancer quelques canettes et des cailloux en direction des clients, sans faire de blessé. L'inspection d'académie décide alors de tous les faire revenir « afin de faire un bilan de ce qu'il s'est passé cette première semaine ». Mais contrairement à Craon, il ne s'agit pas d'un renvoi, assure l'inspecteur d'académie. « Le projet pédagogique prévoyait de faire revenir des élèves si nous jugions, à un moment important, que c'était nécessaire, justifie Daniel Auverlot. L'ERS n'est pas remis en cause. »

Il ne l'est pas non plus pour le maire de Portbail : « L'objectif de cette structure, c'est précisément de sortir ces jeunes de leur contexte pour leur donner une chance supplémentaire, approuve Guy Cholot. Nous ne remettons pas en cause l'avenir de ce centre, à la condition exclusive que nos administrés ne soient jamais perturbés. »

« Personne n'a dit que ces élèves étaient les plus sages. Mais ce projet a le mérite de s'attaquer au c¿ur d'un problème complexe. Ce sont des élèves décrocheurs, pour lesquels il n'y avait jusqu'alors pas de solution », défend Daniel Auverlot. Ces ERS ont pour but d'offrir une prise en charge différente des collégiens en difficulté scolaire et sociale, dont le comportement « nécessite un éloignement ».

Malgré les couacs de Craon et de Porbail, l'ouverture d'un nouvel ERS pour la Seine-Saint-Denis est en préparation.

leparisien

On leur a juste mis des petites claques .

La pauvre petite victime s'explique

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he ben il a pas l'air vieux celui-la... l'a pas du avoir assez de coups de pied occultes.

Ah ben alors ... Ce sont des victimes finalement. La vérité éclate enfin.