l'algerie des années 50/60

La vie c'est comme l'art, à qui perds gagne ! Je n'ai pas la certitude d'y avoir trouvé ce que je cherchais, à défaut d'avoir vécue jusqu'alors au c¿ur d'un kaléidoscope en folie.

Parti à toute vitesse, saturé de lieux et de rencontres, mon énergie est venue de la et inversement. Elle a détruit certaines de mes observations. La nostalgie les a remplacé.

C'est alors que j'ai cherché et trouvé le moyen de survivre pour ne pas laisser s'échapper une autobiographie hors normes et obsédante qui me dépasse. Je la considère aujourd'hui comme un réceptacle moderne. Une sorte d'aimant. Mon besoin de liberté m'a poussé à revoir, à rendre plus vivante, et à rajeunir ma propre aventure connue la bas¿

« Les Tabous qui ce sont abattus entre la France et l'Algérie dès la fin des désordres allant de « 1956 et 1962, se FISSURENT. Quels qu'ils aient été, ils ont fait parti d'un tout méritant au « travers d'un « autrement vu » de revenir sur des moments ignorés et des silences que des « milliers de gens ont connus, subits, entrevus, ou ignorés.

Mon insolite activité les a invités, qu'ils soient militaires ou civils, à poser durant quelques heures un autre regard sur leurs conditions de vie souvent dramatique.

Moi et mes compagnons de galère, avons découvert au cours de nos voyages incessants une

Autre Algérie¿faite d'amour et de souffrances.

Le résumé de cette Saga gaie, insolite et forte vous la trouverez résumé sur mon site :

Aujourd'hui je cherche une reconnaissance légitime, et nécessaire. Une autre naissance de cette histoire qui n'appartient qu'a moi. Rien de prétentieux ne s'est installé en moi, au contraire. Ces instants je les prendrai comme un cadeau laissant entrevoir ce qui me reste de vie. Ils provoqueront la guérison d'une blessure psychique cachée ou visible que je porte en moi.

J'ai besoin d'aide pour ce faire, afin de mettre en place les paragraphes de mes deux cent et quelques pages de souvenirs hors du commun que je viens d'écrire, et de ¿ QUELQU'UN ?- intéressé par le sujet.

Merci à tous.