La reine Margot - Partie 2

Rappel des règles:

- Ce topic est fait pour ceux qui lisent ou ont lu La reine Margot, de Dumas, suite a la proposition de lecture collective numéro 6.

- Nous allons commenter ce livre du début a la fin donc nous allons révéler tout ce qui se passe!

Ce topic concerne la deuxième partie du livre (d'après un découpage établi au préalable), donc du chapitre 17 (Le confrère de Maître Ambroise Paré) au chapitre 31 (La chasse à courre).

Je suis prem's ?

Bon j'y vais ! Bon comme j'ai allègrement dépassé sans m'en rendre compte le chapitre final indiqué, j'ai dû reprendre le livre pour commenter !

Alors pour l'amitié entre Coconnas et la Mole je la comprends un peu mieux dans la mesure où la Mole a quand même soigné Coconnas et où ils sont maintenant liés par leur complicité dans les affaires de coeur (oui je m'exprime à l'ancienne moi aussi ).

J'ai bien aimé la rencontre avec le bourreau, chargée de prémonitions. Et ça m'a fait sourire de voir ces valeureux guerriers si mal à l'aise devant lui, alors que regarder des cadavres suppliciés ne les dérange pas, voire même leur plaît...

J'ai adoré les chapitres avec René, je ne comprends pas trop s'il sauve Henry (et la Sauve aussi en même temps) parce qu'il croit dans le Destin, parce qu'il sait qu'Henry est le futur roi et le repecte donc, ou parce qu'il espère en tirer un bénéfice, ou parce qu'il est vexé que Catherine l'ait 'doublé'.

Les intrigues se multiplient et les histoires de complots entre de Mouy, le duc d'Alençon, la royauté de Pologne, tout ça me saoule un peu. Et j'ai d'u mal à m'y retrouver quand Dumas parle du roi (de Navarre, de France ?) et d'Henry (de Navarre, d'Anjou ?).

Les amours de la Mole et Coconnas avec Marguerite et Mme de Nevers n'ont pour moi d'intérêt que parce que l'on sent qu'elles leur amèneront de gros ennuis...

J'adore le personnage de Catherine, malgré les horreurs qu'elle fait, peut-être parce qu'au fond ce n'est pas pour elle mais pour protéger ses fils, c'est une lionne prête au pire pour eux.

Quant à Henry, quel sournois personnage, j'hésite entre sympathie et antipathie.

Au final, je me demande quand même pourquoi c'est Marguerite le pivot et le titre du roman ?