Michael Moore . Capitalism : A love Story

Capitalism : A Love Story | Regards Croisés sur l'Economie

le nouveau film de MICHAEL MOORE , qui sortira le 25 NOVEMBRE , traite du capitalisme americain .

Des subprimes aux expulsions .

Capitalisme . Le meilleur des systèmes économiques .

http://www.wat.tv/video/capitalism-love-st...wfmo_cncq_.html

"Capitalism : A love story"... qui n'en finit pas de finir mal. Deux ans après Sicko, Michael Moore revient en force, dénonçant les ravages du capitalisme sauvage à la sauce américaine. Vive la crise !

"Capitalism : A love story". Le dernier film de Michael Moore, dans les salles le 25 novembre prochain, était diffusé en avant-première mardi dernier, à Paris. Au menu, la question qui fâche : quel prix les Etats-Unis paient-ils leur amour aveugle du capitalisme ? Quand tout va bien, c'est le meilleur des systèmes et tout le monde y trouve son compte : les frites crépitent et le coca coule à flots. Mais quand la machine se grippe, ça devient du grand n'importe quoi, une anarchie ultralibérale (au sens européen) dont seuls sortent gagnants... les riches qui ont leurs entrées au gouvernement. Telle est en substance la conclusion - un brin simpliste mais plutôt bien étayée - de l'agitateur Michael Moore, qui appelle quasiment à la révolte en guise de chute finale.

Un film réalisé au lance-roquettes

Tout y passe. Des familles expulsées de leur logement, pourtant remboursé jusqu'au dernier cent mais hypothéqué grâce à cette géniale invention que sont les subprimes. Des cohortes d'autoproclamés "vautours", qui lorgnent sur ces pépites au prix inégalable. Des pilotes de ligne endettés sur vingt ans pour avoir financé leurs études à crédits et... payés 20 000 $ par an, ce qui les contraint à pointer à la soupe populaire ou à trouver un job d'appoint. Des étudiants contractant des prêts de 100 000 $, qui devront les rembourser au quintuple, faute de trouver un boulot assez rémunérateur.

Le plan Paulson, un "coup d'Etat financier"

Des gamins illégitimement envoyés en centre de rétention au prix de petits arrangements sonnants et trébuchants entre les gérants de la geôle et un juge véreux. Des prêts quasiment gratuits accordés en loucedé par des banques aux plus hauts représentants de l'Etat, dont le responsable de la lutte contre... la fraude aux prêts bancaires. Juteux business. Ce "coup d'Etat financier" que constitue le plan Paulson (de sauvetage des banques), voté en extrême urgence en contrepartie de supposés "cadeaux". Bling bling. Les centaines de milliards de dollars injectés dans les banques qui profitent surtout à une minorité... ceux qui se sont succédé au gouvernement, à savoir les principaux dirigeants des banques américaines. Le hic, c'est que personne ne sait où est parti l'argent... ce qui n'émeut pas grand monde. Curieux...

Quand les patrons spéculent sur la mort de leurs employés...

Un des moments forts du film est certainement l'interview de l'avocat Mike Myers, qui dénonce les "dead-peasants insurances", aussi appelées "corporate-owned life insurances" (COLI). Pour faire bref, ce sont des assurances vie secrètement contractées par les employeurs sur la tête de leurs salariés... pour leur seul bénéfice ! Qu'un salarié meurt, et l'entreprise touche un petit pactole : entre 50 000 et 5 millions de dollars. Si une femme décède jeune, c'est le jackpot, son espérance de vie théorique étant des plus élevées. Bingo !

:blush: Hi !

Ce que peut raconter Michael Moore est inintéressant. Le mythe de la surpopulation abordé n'est qu'hoax et Cie.

<H1 class=subheadlinemain>Le mythe de la surpopulation: les humains seront Stop Remplacement eux-mêmes en 2020 </H1>

Bilderberg publication The Economist célèbre la chute rapide des taux de fécondité

Prison Planet.com

Vendredi, Novembre 13, 2009

L'élite malthusienne font un si bon travail baisser la fécondité mondiale, exactement ce que le conseiller scientifique White House John P. Holdren réclame dans son livre 1977 Ecoscience, Que les humains eux-mêmes bientôt cesser de remplacement et la population mondiale commencera à décliner. Cette fête est célébrée par The Economist, Un Bilderberg détenue et contrôlée embout mondialiste, qui vantent les chiffres, parce que les humains moins signifie moins de réchauffement global à leurs yeux.

Cependant, puisque les écologistes radicaux poussent à complètement de-industrialiser le monde entier, renversant une tendance qui réduit naturellement le nombre de personnes ont des enfants, si les fanatiques du changement climatique sont autorisés à mettre en ¿uvre leurs politiques, la population mondiale va continuer à augmenter et la surpopulation deviendra un problème - autre exemple de la façon dont les hystériques réchauffement de la planète sont effectivement nuire à l'environnement à long terme de terre en empêchant les pays surpeuplés de se développer naturellement et en abaissant leur taux de naissance.

Bien entendu, l'ordre du jour mondialiste afin de réduire la population mondiale de 80%, un chiffre atteint que par des mesures draconiennes et génocidaire, n'a rien à voir avec l'environnement et tout à voir avec amenuisement du nombre d'esclaves afin qu'ils puissent être plus facilement contrôlé sur la plantation.

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Allez et multipliez beaucoup moins

The Economist

Vendredi, Novembre 13, 2009

Thomas Malthus d'abord publié son «Essai sur le principe de population», dans lequel il prédit que la croissance démographique supérieure à l'offre alimentaire dans le monde, en 1798. Son timing est regrettable, car quelque chose a commencé qui se passe autour puis qui a rendu un non-sens de ses idées. Que l'industrialisation a balayé ce qui est maintenant le monde développé, la fécondité a fortement baissé, d'abord en France puis en Grande-Bretagne, puis dans toute l'Europe et l'Amérique. Quand les gens sont devenus plus riches, les familles se faisait plus petite, et que les familles se faisait plus petite, les gens sont devenus plus riches.

Maintenant, quelque chose de semblable se passe dans les pays en développement. La fécondité est en baisse et les familles sont en diminution dans les lieux, tels que le Brésil, l'Indonésie, et même certaines parties de l'Inde, que les gens pensent de grouillant que d'enfants. Comme notre exposé spectacles, le taux de fécondité de la moitié du monde est de 2,1 ou moins le nombre magique qui est compatible avec une population stable et est généralement appelé «le taux de remplacement de la fertilité». Quelque part entre 2020 et 2050, le taux mondial de fécondité inférieurs au taux de remplacement global.

Au moment où les inquiétudes malthusiennes sont résurgentes et les gens craignent les conséquences pour une planète surpeuplée, la baisse de la fécondité est surprenant et peu rassurant. Cela signifie que les inquiétudes au sujet d'un explosion de la population sont eux-mêmes ont explosé et elle exerce une leçon sur la façon de résoudre les problèmes du changement climatique.

Derrière cette baisse de la fécondité est un stupéfiant. Dans les années 1970 seulement 24 pays avaient un taux de fécondité de 2,1 ou moins, toutes riches. Maintenant il ya plus de 70 de ces pays, et dans chaque continent, notamment en Afrique. Entre 1950 et 2000 le taux moyen de fécondité dans les pays en développement ont diminué de moitié, de six à trois-moins de trois enfants dans chaque famille en seulement 50 ans. Sur la même période, l'Europe a depuis le sommet du bébé

Dans le courant des prochaines années (si ce n'est déjà fait) le monde atteindra un jalon: la moitié de l'humanité sera d'avoir des enfants juste assez pour se remplacer. Autrement dit, le taux de fécondité de la moitié du monde est de 2,1 ou plus bas. C'est le niveau de «remplacement de la fécondité", le nombre magique qui provoque la population d'un pays à ralentir et finalement à se stabiliser. Selon la Division de Population des Nations Unies, 2,9 milliard de personnes sur un total de 6,5 milliards vivaient dans des pays à ou en dessous de ce point en 2000-05. Le nombre s'élèvera à 3,4 milliards sur les 7 milliards au début des années 2010 et à plus de 50% dans le milieu de la prochaine décennie. Les pays concernés sont non seulement la Russie et le Japon mais le Brésil, l'Indonésie, la Chine et même au sud de l'Inde.

Le passage à la fécondité de remplacement est l'un des changements les plus spectaculaires de l'histoire sociale. Elle se manifeste dans les manifestations violentes organisées par des élèves contre leurs dirigeants religieux en Iran cette année. Elle a presque certainement contribué à l'augmentation du nombre des électeurs de la classe moyenne qui ont soutenu les gouvernements en place de l'Indonésie et l'Inde. C'est évident dans la Malaisie rurale en plus riches, des villages vides entourés par des exploitations mécanisées. Et partout, mais elle change la vie familiale traditionnelle en permettant aux femmes de travailler et les enfants d'être éduqués. é une époque où les alarmes sonnent malthusienne en raison des pressions sur l'environnement, la fécondité tombant mai même fournir une mesure de rassurer sur les tendances de la population mondiale.