Un fil en rimes, ça vous dit ?

N'attendons pas dimanche,

Roulons, pédalons,

Et ta télé débranche...

je hais toute soustraction

vive le zéro

mais j'aime les additions...

La vie est une jungle ou il faut bien choisir ses chemins

Ce petit chemin, qui sent la noisette... (Mireille).

Bac' de français qui vient de passer.

J'ai pour ainsi dire bien raté

Ce petit bout du baccalauréat.

Tant pis, ça m'apprendra.

Aussi longtemps que mon patron fait semblant de bien me payer, aussi longtemps que je fais semblant de bien travailler!

Jedino, c'est pas d' chance

tu feras l'reste

avec grande élégance !

(faut bien les booster, ces petits jeunes ! )

Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous,

Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ?

Que le jour recommence et que le jour finisse,

Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice..."

Jedino, c'est de chance

tu feras l'reste

avec grande élégance !

(faut bien les booster, ces petits jeunes ! )

Je compte sur la chance.

Elle m'a déjà souris.

Mais je l'use avec méfiance :

Elle peut devenir malpolie.

Polisson, polissonne,

tous ces coquins foisonnent

trier, il n'y a qu'ça d'vrai

le bon grain de l'ivraie.

Adieu printemps,

Bonjour été de promesses,

Fruits dans la coupole.

Sur mer calme les bateaux,

Vient la tempête...

Sur mer houleuse les radeaux...

Un jour sans mirage

Un jour sans nuages

Le ciel traverse les ages

Quand nous ne sommes que passage.

Encore plus que mes cerises

Jaime mes fleurs, qu'on se le dise

Elles ne verront jamais un vase

Celui qui les cueille, je le rase !

Les pauvres petites fleurs!

Dis toi qu'en ses tristes heures

Un enfant les regardent en pleurs.

Dis toi que tu lui offres le sourire,

Qu'il en oublie ses martyrs...

Mais je comprends ta fureur,

Tu as raison d'avoir peur

Pour tes quelques fleurs

Si cet enfant les veut, mes fleurs

Qu'il les prenne :ne veux ni pleurs

Ni chagrin ni envie quelconque

Garder ces fleurs, mais pourquoi donc ...?

Pour se réchauffer le c¿ur?

Pour oublier un temps soit peu la misère?

Pour panser une seconde la douleur

D'un enfant qui est effacé de cette Terre?

Et ben c'est gai par ici :D

Ou est la joie passée hein dites ?!

Bien trop longtemps absente

De ces lieux.. que je m'en veux !

J'en tairai la raison trop indécente :D

Mais me revoilà alors soyez heureux

Avec les prémices de l'été revient l'envie

De coucher ces mots qui comme les fleurs

N'ont qu'une envie : celle d'éclore à la vie

Le soleil à son zénith réchauffe nos coeurs

Les frimas du Printemps passé déjà oubliés

Quelle joie de ranger les pulls dans un tiroir

De le fermer à double tour et d'en jeter la clé

L'été est là... de là débute une nouvelle histoire !