la dépréssion

:blush: bonjour a tout ceux qui me liront,je suis moi-même dépressive depuis 7 ans maintenant au début on a du mal a accepter la maladie,car c'est une réelle maladie dont il ne faut vraiment pas avoir honte, car ça nous arrive sans prévenir;dans mon cas c'est parce-que je lutte chaque jour depuis 7 ans contre une maladie orpheline qui s'appelle la fibromyalgie et contre une autre dégénérente qui est l'arthrose lombaire,je souffre beaucoup chaque jour et j'ai un traitement médical lourd;je suis aussi maman de deux enfants qui sont encore scolarisés,et quand on m'a dit que je ne pourrais jamais travailler ni conduire une voiture,je l'ai très mal vécue et pas accepter,il m'a fallu un certain temps pour cela,mais je me dis que finalement il y a pire que moi car malgré tout j'ai le soutien de ma famille et de mes amis,malgré mon état psychologique et physique et grace au traitement, j'éssaye de vivre normalement chaque jour même si c'est pas toujours facile,surtout dans les moments de crises aigues,j'essaye de positiver un maximum;voila, je tenais a témoigner un expliquant le plus brièvement possible mon cas,et je souhaite bon courage a tout ceux qui comme moi souffrent de quelque manière que se soit.

bonjour lovelye :blush: je suis traitée depuis trente ans.au fond de moi il y a une grande tristesse car beaucoup de dégats dans ma vie et on ne peut rattrapper le temps perdu...la dépression a amené l'indifférence autour de moi et je m'y suis résignée en existant le moins possible,en m'effaçant.au bout de trente ans de boulot et de vécu pas toujours agréable,la décision a été prise pour l'invalidité,je suis licenciée depuis peu.la dépression m'a amenée à la solitude et au silence sur mes souffrances depuis nombre d'années.deux organes vitaux sont touchés sans grand espoir d'amélioration.ma vie a des haus et des bas et d'après le vécu des réactions des autres face à ma tristesse parfois,je suis devenue très anxieuse pour la question de survie mème si ennuis relatifs mais je n'ai jamais que compté sur moi.heureusement j'ai des amis véritables qui me connaissent depuis 20 ans et qui me soutiennent en cas de chagrin.j'ai appris à gérer ma solitude sans géner personne et me maintiens sereine en société.je bénis le fait que je n'ai jamais fait de mal à personne ou inconsciemment et je peux regarder les autres avec honnèteté.ma vie a été démolie mais je me suis aménagé une vie ou la paix prime.celle qui a eu beaucoup de courage c'est ma fille elle a vu sa mère souffrir sans lui en parler.elle m'a toujours été fidèle malgré la souffrance qu'elle a du endurer car on ne nous a pas fait de cadeau.et j'ai noté que les gens si ils s'installent dans l'idée que tu ne peux t'en sortir,s'appliqueront à te maintenir la tète sous l'eau. Mais j'aime les gens et eu loisir à me connaitre profondément et n'ai pas de rancune que de la prudence

Il y a peu de personnes qui arrivent à gérer aussi bien leur mal de vivre, bravo c¿ur bleu. :blush:

Il y a peu de personnes qui arrivent à gérer aussi bien leur mal de vivre, bravo c¿ur bleu.

peut ètre ,mais je ne peux plus affronter les collègues et le moindre détail qui me blesse je me ferme comme une huitre...je suis faite pour avoir des distances avec la société à cause de mes souffrances :blush: je ne fais qu'aménager pour avoir une vie à peu près normale

La vie est un combat, nous devons chacun d'entre nous faire face à nos problèmes.

Celui ou celle qui me dit qu'il n'a aucun ennui est un menteur.

On peut aussi se dire qu'il y a plus malheureux que soi, mais c'est une bien triste consolation.

bonjour lovelye :blush: je suis traitée depuis trente ans.au fond de moi il y a une grande tristesse car beaucoup de dégats dans ma vie et on ne peut rattrapper le temps perdu...la dépression a amené l'indifférence autour de moi et je m'y suis résignée en existant le moins possible,en m'effaçant.au bout de trente ans de boulot et de vécu pas toujours agréable,la décision a été prise pour l'invalidité,je suis licenciée depuis peu.la dépression m'a amenée à la solitude et au silence sur mes souffrances depuis nombre d'années.deux organes vitaux sont touchés sans grand espoir d'amélioration.ma vie a des haus et des bas et d'après le vécu des réactions des autres face à ma tristesse parfois,je suis devenue très anxieuse pour la question de survie mème si ennuis relatifs mais je n'ai jamais que compté sur moi.heureusement j'ai des amis véritables qui me connaissent depuis 20 ans et qui me soutiennent en cas de chagrin.j'ai appris à gérer ma solitude sans géner personne et me maintiens sereine en société.je bénis le fait que je n'ai jamais fait de mal à personne ou inconsciemment et je peux regarder les autres avec honnèteté.ma vie a été démolie mais je me suis aménagé une vie ou la paix prime.celle qui a eu beaucoup de courage c'est ma fille elle a vu sa mère souffrir sans lui en parler.elle m'a toujours été fidèle malgré la souffrance qu'elle a du endurer car on ne nous a pas fait de cadeau.et j'ai noté que les gens si ils s'installent dans l'idée que tu ne peux t'en sortir,s'appliqueront à te maintenir la tète sous l'eau. Mais j'aime les gens et eu loisir à me connaitre profondément et n'ai pas de rancune que de la prudence

salut lovelye tu me cites seulement je ne suis pas indifférente à ton état...mais que te dire?je pense que tu préfèrerais ne pas souffrir et je ne peux rien y faire.tout comme toi pour moi :blush: j'ai dans ma solitude et ma dépression été conditionnée à me taire car voir quelqu'un souffrir et surtout se plaindre est source de méchancetés souvent gratuite .on m'a vu m'enfoncer jusqu'à faire un infarctus important au bureau et on ne m'a pas ménagé pour autant,on m'a vue tousser comme une tubarde et on s'est moqué de moi ou regardée avec dégout,on m'a attribué des intentions qui n'étaient pas miennes ,on s'est moqué sur' mon physique,on m'a rejetée m'ammenant à me désolidariser de tout groupe pour ètre sure qu'on touche ma dignité le moins possible .et pourtant je n'ai pas laissé paraitre,restant aimable et prète à assumer des taches que personne ne voulait faire.on m'a cataloguée comme incompétente et je suis sure que s'il avait fallu passer l'aspirateur ,on m'aurait confié la tache,je le valais bien.j'ai passé 30 ans avec la tristesse au coeur et l'appréhension de ce qui allait encore m'ètre réservé.dans ma vie j'avais aussi des soucis et des peines et cette vie n'en était pas étrangère.et un matin,il y a deux ans,une parole qui m'a motivée à aller à l'infirmerie pour enfin pleurer.car je m'interdisais de pleurer ou de me rebeller.mon travail était la survie de ma fille et moi.tu vois la dépression?ce qu'on ne m'a pas pardonné c'est de ne pas ètre complice des coups bas et des lynchages organisés.trop beau pour ètre honnète !et on m'a isolée et je ne peux plus me méler à aucun groupe sauf par internet car persuadée que mes souffrances sont fatalités.le souvenir est ancré,traumatisée surement ,cela me poursuivra toujours alors ma vie sociale est en petits comités sécurisants à faible dose.

Que ferais-tu sans internet ?

Je t'ai lu coeur bleu :blush:

Du coup je te connais peut-être un peu mieux

Et les mots viendront plus tard

je regarderais la télé,je n'ai internet que depuis 2 ans.si pas de télé ,les livres.si pas de livre,la bible j'y reviens toujours :blush:

Et pas de spécialistes pour exprimer ta souffrance ?

si j'ai dit que je suis traitée depuis 30 ans,je vois un psy à qui je peux me confier.j'en ai essayé trois,c'est elle qui est vraiment à l'écoute et qui a du respect.elle voit en moi un individu et non une malade.elle fait des miracles sur moi.j'ai un tout petit traitement,surtout pour l'angoisse et je prends en ce moment un antidépresseur car mes peines ne se voient pas et je ne les exprime que seule dans ma chambre au coucher.j'aime tant les gens que je ne me résouds pas à montrer ma tristesse ou mes colères.par contre je dis ce que je pense tout le temps que ça plaise ou pas.je fais cela de façon honnète après réflexion souvent.je regarde chez moi avant de parler.

Tu gardes en toi tout ce que tu n'arrives pas à exprimer par pudeur ou par peur de souffrir ?

Tu es à l'écoute des autres, c'est très généreux, mais es-tu à l'écoute de toi-même ?

Si tu souffres toujours, ce petit traitement pour traiter tes angoisses, ne faudrait-il pas l'augmenter afin que ces angoisses disparaissent ?

j'ai libre cours pour gérer mes gouttes.quant à l'écoute de moi mème,il en a résulté l'écoute des autres :blush: j'ai eu ma période égocentrique et, comme pas méchante ,cela m'a apporté beaucoup pour l'indulgence et l'effort de compréhension.la peur de l'autre s'est installée,c'est comme une nature chez moi,les traitements ne pourront rien y faire ,j'en suis imprégnée.et l'habitude du repli fait partie de ma vie maintenant.

ce qui me peine c'est que lovelye a lancé un sujet et il n'y a que moi qui parle je pensais à un débat au départ :blush: j'ai donc tout dit ce que j'avais à dire merci de l'écoute

salut lovelye tu me cites seulement je ne suis pas indifférente à ton état...mais que te dire?je pense que tu préfèrerais ne pas souffrir et je ne peux rien y faire.tout comme toi pour moi :blush: j'ai dans ma solitude et ma dépression été conditionnée à me taire car voir quelqu'un souffrir et surtout se plaindre est source de méchancetés souvent gratuite .on m'a vu m'enfoncer jusqu'à faire un infarctus important au bureau et on ne m'a pas ménagé pour autant,on m'a vue tousser comme une tubarde et on s'est moqué de moi ou regardée avec dégout,on m'a attribué des intentions qui n'étaient pas miennes ,on s'est moqué sur' mon physique,on m'a rejetée m'ammenant à me désolidariser de tout groupe pour ètre sure qu'on touche ma dignité le moins possible .et pourtant je n'ai pas laissé paraitre,restant aimable et prète à assumer des taches que personne ne voulait faire.on m'a cataloguée comme incompétente et je suis sure que s'il avait fallu passer l'aspirateur ,on m'aurait confié la tache,je le valais bien.j'ai passé 30 ans avec la tristesse au coeur et l'appréhension de ce qui allait encore m'ètre réservé.dans ma vie j'avais aussi des soucis et des peines et cette vie n'en était pas étrangère.et un matin,il y a deux ans,une parole qui m'a motivée à aller à l'infirmerie pour enfin pleurer.car je m'interdisais de pleurer ou de me rebeller.mon travail était la survie de ma fille et moi.tu vois la dépression?ce qu'on ne m'a pas pardonné c'est de ne pas ètre complice des coups bas et des lynchages organisés.trop beau pour ètre honnète !et on m'a isolée et je ne peux plus me méler à aucun groupe sauf par internet car persuadée que mes souffrances sont fatalités.le souvenir est ancré,traumatisée surement ,cela me poursuivra toujours alors ma vie sociale est en petits comités sécurisants à faible dose.

salut lovelye tu me cites seulement je ne suis pas indifférente à ton état...mais que te dire?je pense que tu préfèrerais ne pas souffrir et je ne peux rien y faire.tout comme toi pour moi j'ai dans ma solitude et ma dépression été conditionnée à me taire car voir quelqu'un souffrir et surtout se plaindre est source de méchancetés souvent gratuite .on m'a vu m'enfoncer jusqu'à faire un infarctus important au bureau et on ne m'a pas ménagé pour autant,on m'a vue tousser comme une tubarde et on s'est moqué de moi ou regardée avec dégout,on m'a attribué des intentions qui n'étaient pas miennes ,on s'est moqué sur' mon physique,on m'a rejetée m'ammenant à me désolidariser de tout groupe pour ètre sure qu'on touche ma dignité le moins possible .et pourtant je n'ai pas laissé paraitre,restant aimable et prète à assumer des taches que personne ne voulait faire.on m'a cataloguée comme incompétente et je suis sure que s'il avait fallu passer l'aspirateur ,on m'aurait confié la tache,je le valais bien.j'ai passé 30 ans avec la tristesse au coeur et l'appréhension de ce qui allait encore m'ètre réservé.dans ma vie j'avais aussi des soucis et des peines et cette vie n'en était pas étrangère.et un matin,il y a deux ans,une parole qui m'a motivée à aller à l'infirmerie pour enfin pleurer.car je m'interdisais de pleurer ou de me rebeller.mon travail était la survie de ma fille et moi.tu vois la dépression?ce qu'on ne m'a pas pardonné c'est de ne pas ètre complice des coups bas et des lynchages organisés.trop beau pour ètre honnète !et on m'a isolée et je ne peux plus me méler à aucun groupe sauf par internet car persuadée que mes souffrances sont fatalités.le souvenir est ancré,traumatisée surement ,cela me poursuivra toujours alors ma vie sociale est en petits comités sécurisants à faible dose.

:blush: bonjour coeur bleu,excuse moi mais je suis nouvelle sur le forum et je ne sais pas encore très bien comment m'y prendre pour écrire et envoyer mes messages,mais non je ne t'ai pas laisser tomber,et je ne refuse pas la discussion,je suis sensible a ton cas,car cela m'arrive aussi mais dans d'autres circonstances,a la différence c'est que moi je ne travail pas et que par conséquent je ne peux pas m'imaginer le monde du travail et tout ce qui va avec ;j'ai toujours été que mère au foyer et je ne m'en plaindrais pas,car c'est aussi un travail à pleins temps. .mes enfants me procurent beaucoup de joies et cela m'aide dans la lutte de mes maladies.je te souhaite beaucoup de courage pour tout ce que tu passe et te dis a bientôt sur le forum.

salut lovelye je suis sauvée grace à l'invalidité,je peux ainsi me cacher car j'ai perdu une image de moi,une identité je quitte mème la région pour rhabiller ma pudeur et mon intimité,je vis dans la peur d'ètre connue et cataloguée :blush: j'ai regardé des reportages sur tes maladies,c'est difficile pour toi surement d'ètre comprise dans tes douleurs car la fibromyalgie est depuis peu reconnue.et comme on ne peux voir que ta personne qui souffre,on a du au début te prendre pour quelqu'un qui se plaint tout le temps.ma souffrance non plus ne se voit pas car je ris le plus souvent mais en ayant peur des relations suivies sauf celle de mes amis.mème de ma famille j'ai des appréhensions et je me méfie donc je ne me confie pas et évite de parler de mes problèmes car peur de m'en créer.je suis faite pour ètre solitaire...

bonjour coeur bleu,excuse moi mais je suis nouvelle sur le forum et je ne sais pas encore très bien comment m'y prendre pour écrire et envoyer mes messages,mais non je ne t'ai pas laisser tomber,et je ne refuse pas la discussion,je suis sensible a ton cas,car cela m'arrive aussi mais dans d'autres circonstances,a la différence c'est que moi je ne travail pas et que par conséquent je ne peux pas m'imaginer le monde du travail et tout ce qui va avec ;j'ai toujours été que mère au foyer et je ne m'en plaindrais pas,car c'est aussi un travail à pleins temps. .mes enfants me procurent beaucoup de joies et cela m'aide dans la lutte de mes maladies.je te souhaite beaucoup de courage pour tout ce que tu passe et te dis a bientôt sur le forum.

bonjour lovelye je te souhaite bon courage et que tu trouveras du reconfort parmi nous

salut lovelye je suis sauvée grace à l'invalidité,je peux ainsi me cacher car j'ai perdu une image de moi,une identité je quitte mème la région pour rhabiller ma pudeur et mon intimité,je vis dans la peur d'ètre connue et cataloguée :blush: j'ai regardé des reportages sur tes maladies,c'est difficile pour toi surement d'ètre comprise dans tes douleurs car la fibromyalgie est depuis peu reconnue.et comme on ne peux voir que ta personne qui souffre,on a du au début te prendre pour quelqu'un qui se plaint tout le temps.ma souffrance non plus ne se voit pas car je ris le plus souvent mais en ayant peur des relations suivies sauf celle de mes amis.mème de ma famille j'ai des appréhensions et je me méfie donc je ne me confie pas et évite de parler de mes problèmes car peur de m'en créer.je suis faite pour ètre solitaire...

coeur bleu quand tu ne vas pas bien je veux te dire que je suis la

Pour ma part je suis passé par un épisode de dépression durant lequel j'ai touché le fond, internet m'a aidé aussi.

Je n'ai pas de maladie "réelle", mon seul "défaut" c'est d'être caractérisé comme hypersensible, une catégorie de surdoué qui sont assez mal préparé à la vie tel qu'elle est. :blush:

J'ai réussit à m'en tirer grâce à ma passion qui m'a aidé a croire en moi et a me dépasser, aujourd'hui je cherche mes limites, en essayant d'aller toujours plus loin, de prendre ma revanche sur ce début de vie trés chaotique.

Aussi, loin de raconter ma vie pour le plaisir, c'est aussi pour vous dire de continuer à vous battre coute que coute, que rien ne vaut la vie, même si elle n'est pas rose tout les jours.

Je comprend ce que la dépression fait ressentir et même si je suis toujours un peu fragile, j'ai réussit à me construire plus résistant et plus fort qu'avant, encore un fois courage, vous pouvez vous en sortir, la dépression n'est pas une fatalité mais un démon contre lequel il faut se battre de toute son âme.

Courage, je suis de tout c¿ur avec vous