un monde sans argent vivrait t-il mieux ?

... :blush:

On est bien d'accord sur le fait que l'idéal de la répartition parfaite est aussi problèmatique sous certains aspects fonctionnels.

En fait, le problème n'est pas tant de réguler exactement les revenus. C'est plutot de faire en sorte de se contenter de ce qui est necessaire à son bien etre plutot que de vouloir a tout prix le maximum.

:blush: Bpnjour Bwaa

"L'intérêt de tous est alors poussé par l"égoïsme de chacun"

Ce n'est pas l'argent qui est un problème (car il a une valeur fixée) mais la conscience de chacun a vouloir tirer le maximum de sa pièce ou de son billet. Il apparaît là une autre situation tierce: "les tomates sont petites et pas mûres" (par exemple),"vous me les faites a combien ?"

L'argent a une valeur, pas les tomates. D'où l'ambivalence du désir d'acheter et celle d'en avoir plus pour le même prix. Le conflit n'est donc pas traitable dans la généralité ou appliqué à toute une nation mais dans une situation particulière. Or, il y a s/Terre 6,5 milliards de situations particulières où chacun a le droit d'argumenter/de négocier. Chacun voit sa richesse ou sa pauvreté (mais nul ne connaît l'autre). Tout est dans l'élément du Savoir.

Dire qu'il y a des gens s/terre qui vivent avec $1/jour n'est pas une réponse apportable vis-à-vis des trains de vie de telle ou telle société. Par contre, s'il est cité que la baguette de pain ou le litre d'essence est à $1, cela rend bien compte de la situation.

"Qui dit propriété privée dit richesses"

Le savoir est une propriété privée. Les biens mobiliers ou immobiliers dépendent de cette richesse. Le savoir évolue comme tout bien acquis. Mais le vouloir monnayer est toujours inadaptable d'où la confusion d'application de règles, de normes, de contingentement à l'esprit de chacun.

Le prix de la cervelle n'a cours qu'en boucherie, même s'il est un principe fondamental.