La place des hermaphrodites et transsexuels dans le sport?

Une question me taraude dans la ligne de cette article:

Inconnue il y a trois semaines, Caster Semenya est devenue championne du monde du 800 mètres mercredi soir avec une marge insolente. Mais est-elle vraiment une femme ?

Pas la première

Son cas pose un gros problème à l'IAAF. La Fédération Internationale exige que seules les athlètes «100 % féminines», selon la formule employée, peuvent participer aux épreuves féminines. Elle a donc ouvert une enquête pour connaître le «vrai» sexe de Semenya. Des experts gynécologiques et psychologiques vont se réunir pour déterminer l'identité sexuelle de la Sud-Africaine. Le résultat ne devrait pas être connu avant trois semaines. Si des éléments de masculinité apparaissent, Semenya devrait être déchue de son titre, et sa carrière sans doute terminée. Ce n'est pas la première fois que l'athlétisme est confronté à ce genre de cas. A l'autopsie de la Polonaise Stella Walasiewicz, championne olympique du 100m en 1932, on découvrit en fait qu'elle était un homme. Championne d'Europe du poids en 1986, l'Est-allemande Heidi Krieger décida, elle, de changer de sexe, tellement transformée par les anabolisants. La question pour Semenya est de savoir si cette apparence masculine est naturelle ou le fruit d'un dopage. Elle pose également une question éthique voire philosophique : quelle place dans le sport de compétition pour les personnes hermaphrodites ?

l'article

Peut-on librement changer de sexe et participer à la catégorie sportive de son choix?

Qu'est-ce qu'être 100% féminine?

Doit-on considérer que les hermaphrodites bénéficient d'un avantage injuste?

Une tenniswomen Sarah Gronert avait déjà défrayé la chronique, voici sa photo (si, si!) :

Lorsqu'elle voit le jour, en juin 1986, Sarah Gronert est dotée des organes génitaux mâles et femelles. Elle est hermaphrodite. Mais à 19 ans, l'Allemande décide de vivre en tant que femme. Elle se fait opérer et commence logiquement une carrière sur le circuit féminin. En progressant dans la hiérarchie nationale, passant notamment de la 300e à la 31 place allemande, Sarah Gronert attire du même coup l'attention sur sa différence. Aujourd'hui classée 539e à la WTA, l'Allemande aurait, selon les spécialistes, les capacités d'intégrer très vite le Top 100 mondial...

Une tenniswomen Sarah Gronert avait déjà défrayé la chronique, voici sa photo (si, si!) :

Lorsqu'elle voit le jour, en juin 1986, Sarah Gronert est dotée des organes génitaux mâles et femelles. Elle est hermaphrodite. Mais à 19 ans, l'Allemande décide de vivre en tant que femme. Elle se fait opérer et commence logiquement une carrière sur le circuit féminin. En progressant dans la hiérarchie nationale, passant notamment de la 300e à la 31 place allemande, Sarah Gronert attire du même coup l'attention sur sa différence. Aujourd'hui classée 539e à la WTA, l'Allemande aurait, selon les spécialistes, les capacités d'intégrer très vite le Top 100 mondial...

Très bon exemple. :smile2:

Moi dans c'est histoire se qui me choque le plus c'est certainement que l'on ne regarde plus les performance sportive d'une personne pourquoi le sexe de quelqu'un et il si important puis sérieux regarder un peut l'amalgame que vous faite un hermaphrodite c'est naturel alors que l'on c'est tous pertinamment que les transsexuel c'est du a des operation chirurgicale,ou as des prise d'ormone je voie mal en quoi on peut les comparait

Rassure-moi Razihel, tu n'es pas française pour faire autant de fautes ?? ( Humour je précise, il y en a c'est pire mais c'est vrai que là, ça commence à être difficile à comprendre...

Sinon pour te répondre, on ne fait pas l'amalgame puisque le sujet dissocie bien les deux termes. Si on faisait un amalgame, on parlerait de trans. tout en citant des hermaphrodites.. Ce qui n'est pas le cas, on parle des deux et on essaie de situer comment leur faire une place dans le sport ( Je pense qu'il suffit de créer une troisième catégorie asexué ou tout le monde, homme, femme, trans ou herma pourraient participer !!! ). Et on ne dit pas que le sexe est important mais si un trans ou une herma s'amuse à exploser tout les records de la catégorie féminine (nb: on parle donc bien de performances sportives) , le sport en lui-même perdrait de l'attrait. Alors pour l'instant, on ne peut pas les empêcher de jouer ( ENCORE HEUREUX !! ) et on ne peut pas leur permettre de fausser les résultats féminins alors faisons les jouer avec les hommes avant de créer cette fameuse 3ème catégorie.

Sur ce.

Il est rare à notre époque que les médeçins laissent les deux sexes jusqu'à la majorité... ce qui pose aussi d'autres questions... sur une castration forcée ou un choix de sexe qui ne correspond pas au ressenti de la personne une fois adulte...

Les parents ou les médeçins ont ils le droit de "choisir" le sexe de leur enfant ?

Article

Rassure-moi Razihel, tu n'es pas française pour faire autant de fautes ?? ( Humour je précise, il y en a c'est pire mais c'est vrai que là, ça commence à être difficile à comprendre...

Sinon pour te répondre, on ne fait pas l'amalgame puisque le sujet dissocie bien les deux termes. Si on faisait un amalgame, on parlerait de trans. tout en citant des hermaphrodites.. Ce qui n'est pas le cas, on parle des deux et on essaie de situer comment leur faire une place dans le sport ( Je pense qu'il suffit de créer une troisième catégorie asexué ou tout le monde, homme, femme, trans ou herma pourraient participer !!! ). Et on ne dit pas que le sexe est important mais si un trans ou une herma s'amuse à exploser tout les records de la catégorie féminine (nb: on parle donc bien de performances sportives) , le sport en lui-même perdrait de l'attrait. Alors pour l'instant, on ne peut pas les empêcher de jouer ( ENCORE HEUREUX !! ) et on ne peut pas leur permettre de fausser les résultats féminins alors faisons les jouer avec les hommes avant de créer cette fameuse 3ème catégorie.

Sur ce.

je suis malheureusement française voie tu et oui je fait des faute mais tu voie contrairement a certain et bien je fait au moins l'effort de ne pas écrire en sms comme vous le reprocher si souvent,je me fous bien de savoir si mes faute te choque tout se que je veut c'est avant tout pouvoir m'exprimer.

enfin merci quand même d'avoir au moins répondu au sujet

Je dirais que si le choix est fait en fonction du contexte (je suis sportif professionnel et je choisis un sexe), cela pose un gros problème, car effectivement le corps qu'on a à l'origine peut influencer les résultats et physiologiquement parlant les hommes ont des résultats sportifs un cran supérieur aux femmes.

Mais si le choix a été fait dès l'enfance en dehors du contexte sportif, qu'y faire? L'hermaphrodite est bien obligé de se positionner, notre monde n'a pas de catégorie "mixte" ni dans le sport ni ailleurs.

Si l'on créait cette catégorie, il n'y aurait pas assez de participants.

je suis malheureusement française voie tu et oui je fait des faute mais tu voie contrairement a certain et bien je fait au moins l'effort de ne pas écrire en sms comme vous le reprocher si souvent,je me fous bien de savoir si mes faute te choque tout se que je veut c'est avant tout pouvoir m'exprimer.

enfin merci quand même d'avoir au moins répondu au sujet

Aucun problème razihel, je te remercie de me répondre sans t'emporter, alors que tu aurais pu mal le prendre, et ton argument est d'une force tout a fait exacte (au moins l'effort de ne pas écrire en sms) pour ton self control je t'admire et pour cet effort je te remercie .. :smile2:

Si l'on créait cette catégorie, il n'y aurait pas assez de participants.

Pas d'accord, déjà il y a beaucoup + de trans et herma qu'on ne pourrait l'imaginer, mais surtout, comme je l'ai dit précédemment :

Je pense qu'il suffit de créer une troisième catégorie asexué ou tout le monde, homme, femme, trans ou herma pourraient participer

Sur ce.

Je pense quand même qu'il y a une question bioéthique sous-jacente: comment fixer les critères de féminité?

Bonjour,

Et si Caster était complètement innocente ? source: Caster Semeya: qui est coupable ?

A+

Une question me taraude dans la ligne de cette article:

Inconnue il y a trois semaines, Caster Semenya est devenue championne du monde du 800 mètres mercredi soir avec une marge insolente. Mais est-elle vraiment une femme ?

Pas la première

Son cas pose un gros problème à l'IAAF. La Fédération Internationale exige que seules les athlètes «100 % féminines», selon la formule employée, peuvent participer aux épreuves féminines. Elle a donc ouvert une enquête pour connaître le «vrai» sexe de Semenya. Des experts gynécologiques et psychologiques vont se réunir pour déterminer l'identité sexuelle de la Sud-Africaine. Le résultat ne devrait pas être connu avant trois semaines. Si des éléments de masculinité apparaissent, Semenya devrait être déchue de son titre, et sa carrière sans doute terminée. Ce n'est pas la première fois que l'athlétisme est confronté à ce genre de cas. A l'autopsie de la Polonaise Stella Walasiewicz, championne olympique du 100m en 1932, on découvrit en fait qu'elle était un homme. Championne d'Europe du poids en 1986, l'Est-allemande Heidi Krieger décida, elle, de changer de sexe, tellement transformée par les anabolisants. La question pour Semenya est de savoir si cette apparence masculine est naturelle ou le fruit d'un dopage. Elle pose également une question éthique voire philosophique : quelle place dans le sport de compétition pour les personnes hermaphrodites ?

l'article

Peut-on librement changer de sexe et participer à la catégorie sportive de son choix?

Qu'est-ce qu'être 100% féminine?

Doit-on considérer que les hermaphrodites bénéficient d'un avantage injuste?