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Le Syndrome Post Vaccinal


Smoeltje

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Membre, Posté(e)
Smoeltje Membre 1 message
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Avez vous remarque qu'après la vaccination de votre enfant ou de vous-même , il y a au un ou plusieurs problèmes (chroniques) suivants: rhumes, rhinites jaune ou verte, oeil purulent, perte de contact oculaire, strabisme, otite, bronchite, respiration bruyante, toux, asthme, eczéma, allergies, etc.... Ceux-ci peuvent être des reactions sur les vaccins reçus.

Le Syndrome Post Vaccinal est réel mais peu connu en France malheureusement.

L'homéopathe Néerlandais, Tinus Smits a déjà soigné des milliers d'enfants (et même des adultes) avec succes. Ci-dessous est une partie de son document sur "Le Syndrome Post-Vaccinal", pris sur son site: www.tinussmits.com/english/ (Lien: Post-Vaccination Syndrom; appuyer sur French) pour télécharger son document gratuit.

DESCRIPTION DU "SYNDROME POST-VACCINAL (SPV)"

Une partie des symptômes faisant partie de ce syndrome sont régulièrement mentionnés dans la littérature en tant que symptômes post-vaccinaux; d'autre part, certains d'entre eux résultent de mes propres observations. Nous appliquons en outre le principe selon lequel un symptôme apparaissant après une vaccination et disparaissant dès l'administration d'un vaccin dynamisé est provoqué par le vaccin en question.

Le SPV peut être subdivisé en syndrome chronique et syndrome aigu. Les symptômes aigus sont principalement : fièvre, convulsions, étourdissements, encéphalite et/ou méningite, membres gonflés autour des points de vaccination, toux coqueluchoïde, bronchite, diarrhée, fatigue excessive, larmes abondantes et inextinguibles, cri encéphalique, évanouissements, syncopes, pneumonie, mort, mort-subite du nourisson (depuis que les Japonais ont remis la vaccination contre la coqueluche jusqu'après deux ans, la mort-subite du nourrisson a pratiquement disparu du Japon)1.

En examinant et répertoriant avec précision les cas médicaux, nous arrivons à la description du syndrome post-vaccinal chronique suivante : rhumes, rhinites jaune ou verte, oeil purulent, perte de contact oculaire, strabisme, otite, bronchite, respiration bruyante, toux, asthme, eczéma, allergies, arthrite, fatigue et mollesse, soif inextinguible, diabète, diarrhée, constipation, migraine, troubles du sommeil avec réveils angoissés en pleurant, épilepsie, surextension du dos, crampes musculaires, troubles de la mémoire, troubles de la concentration, pertes de mémoire, troubles de la croissance, troubles de la coordination, troubles du développement, troubles du comportement tels qu'angoisse, agressivité ou irritation, modifications de la voix, déséquilibre émotionnel, désordre, perte de la volonté, retard mental, etc.

Cette énumération est par définition incomplète, car les symptômes post-vaccinaux peuvent être de nature très diverse. La plupart du temps ce n'est pas le symptôme en lui-même qui est l'indication la plus importante pour le diagnostic, mais le moment de son apparition.

En outre, il n'est pas possible d'imputer spécifiquement certains symptômes du SPV au DTCoqPolio* ou au DTPolio*, d'autres au ROR*, d'autres encore au HIB*. Il faut en conclure que chaque vaccin peut causer un certain nombre de symptômes, connus ou inconnus.

Il n'est également pas possible de séparer clairement les symptômes aigus des symptômes chroniques, parce que les premiers sont souvent le point de départ des seconds.

Qu'il n'y ait pas eu de réaction directe ou aiguë après administration d'un vaccin ne signifie pas pour autant que le vaccin ne puisse être la cause de troubles chroniques. Ceux-ci n'apparaissent la plupart du temps qu'une, deux, voire plusieurs semaines plus tard, et rejeter le diagnostic d'un SPV chronique sur base du délai trop important écoulé entre la cause (vaccination) et l'apparition des troubles est une erreur fondamentale. Ellen, cas n° 12, p .., en est un exemple. Souvent ce n'est que lors du deuxième, du troisième ou du quatrième rappel d'un vaccin que les problèmes surviennent. Voir à ce sujet le cas de Jurgen (cas n° 1, p. ..).

LA METHODE HOMEOPATHIQUE

Tant le diagnostic que le traitement et la prévention se font par l'utilisation de la méthode homéopathique. C'est pourquoi une certaine connaissance des fondements de l'homéopathie est nécessaire. L'homéopathie a été découverte et rendue publique il y a deux cent ans déjà par l'allemand Samuel Hahnemann.

Le principe homéopathique repose sur la loi des similitudes, qui affirme que les indications du remède administré doivent être exactement semblables aux symptômes du patient. Les indications du remède sont contenues dans la Matière Médicale. Le remède homéopathique traite la perturbation énergétique profonde, c'est-à-dire la cause qui produit les troubles. Ceux-ci ne peuvent devenir chroniques que si la substance injectée - je me limite ici à la problématique de la vaccination - a occasionné une perturbation énergétique ou a causé directement des dégâts tissulaires. La substance en elle-même est rapidement expulsée du corps et ce n'est qu'au travers du dégât tissulaire qu'elle peut être la cause d'un trouble persistant. C'est pourquoi la majorité des troubles chroniques liées au SPV reposent sur une perturbation énergétique.

Les moyens matériels sont trop grossiers pour pouvoir remédier ponctuellement à une perturbation énergétique. C'est pourquoi la thérapie homéopathique utilise des médicaments dilués et dynamisés. Pour le traitement du SPV nous prenons comme substance primaire le vaccin dilué à 1 pour 100 avec de l'eau pure, agité ensuite fortement une centaine de fois (dynamisé). Ceci nous donne une dilution de 1K ou 1CH. Un centième de cette dilution est ensuite mélangé avec 99 centièmes d'eau et dynamisé 100 fois, pour obtenir une dilution de 2K ou 2CH. Si nous utilisons le même flacon - la méthode du flacon unique - nous parlerons d'un Korsakov ou de dilution-K. Si nous utilisons pour chaque dilution un nouveau flacon - la méthode des flacons divers - nous parlerons de dilution centésimale hahnemanienne, de dilution-CH ou de dilution-C. En répétant cette procédure 30 fois nous obtiendrons une dilution 30K ou 30CH. Pour extirper totalement une maladie il est souvent nécessaire d'utiliser des remèdes de différents niveaux énergétiques. L'expérience a montré que certaines dynamisations semblaient produire de meilleurs résultats; c'est pourquoi nous utilisons depuis longtemps les dynamisations 30K, 200K, MK (1.000K) et XMK (10.000K) en étapes successives. J'utilise personnellement toujours les dynamisations-K, mais il est également possible d'obtenir les mêmes résultats avec des dynamisations-CH. Lorsque nous utilisons une dilution 1/10 au lieu de 1/100, nous parlons de dilution décimale ou dilution-D. La dilution-D est beaucoup utilisée aux Pays-Bas.

Vous pourriez définir une dilution 30K ou 30CH de la façon suivante : un remède énergétique pur qui est dilué 30 fois à un centième (100-30) et dynamisé 30 fois 100 fois (10030).

Si un vaccin est la cause d'un syndrome chez un patient, ce même vaccin en dilution homéopathique (par exemple le DTCoqPolio 30K) est le remède équivalent parfait (similimum) et peut alors être utilisé tant comme remède que comme moyen de diagnostic.

DIAGNOSTIC

Poser un diagnostic de SPV repose avant tout sur un entretien minutieux avec le patient ou ses parents. Lorsque les troubles ont débuté lors d'une période de vaccination ou d'une période qui suit une vaccination, il faut que le médecin prenne sérieusement en compte le diagnostic de "syndrome post-vaccinal" et propose en premier lieu un traitement basé sur la méthode décrite dans ce livret. Ceci afin de prévenir une suite sans fin et inutile d'examens et de thérapies. En cas de résultat positif le diagnostic de SPV est fondé. En second lieu seulement, s'il apparaît que le patient ne réagit pas du tout au traitement prévu, un autre diagnostic doit être posé.

Le cas suivant démontre comme ce processus peut encore être ardu.

Cas:

Luc est né début novembre 1994 et a reçu le 15 février 1995 son premier DTCoqPolio/HIB. Quelques jours plus tard il tombe malade pour la première fois : il est dyspnéique et sa respiration est sifflante. Le médecin lui prescrit du Bricanyl* et du Clamoxyl*, mais Luc ne réagit pas très bien et reçoit dès lors une seconde cure de Clamoxyl. Le 11 avril ses poumons sont enfin dégagés et on lui administre le deuxième DTCoqPolio/HIB. Deux jours plus tard il souffre de diarrhée, qui dure une semaine, et pour laquelle le médecin lui prescrit du Dioralyte*. Le 11 mai il reçoit son troisième DTCoqPolio/HIB et le 16 il est à nouveau dyspnéique; le médecin prescrit une nouvelle fois du Clamoxyl et également de la Deptropine*. Luc ne va vraiment pas bien et mi-juin reçoit de l'Atrovent* et de l'Erythrocine*. Le 23 juin on lui donne à nouveau de l'Erythrocine et du Zaditen*, et le 13 juillet il est emmené chez le pédiatre (quatre mois après l'apparition des troubles). Celui-ci ne pose aucun diagnostic, mais suggère de stopper la médication. L'état de Luc s'améliore progressivement. Le 21 novembre on lui administre le quatrième DTCoqPolio/HIB. Le 26 novembre son nez coule, il commence à tousser et est oppressé. Luc est alors chez ses grands-parents. La mère appelle le médecin de garde, qui pose tout de suite le diagnostic de SPV et m'envoie Luc. Je le reçois le lundi : il est oppressé et plein de mucus. Je lui prescris une solution 30K de DTCoqPolio/HIB. En 24 heures l'oppression diminue fortement. Il subsiste encore pendant quelques jours une toux grasse, et durant la semaine suivante ses poumons se dégagent conplètement. Pour le nettoyer complètement des vaccins il reçoit encore une série complète de vaccins dynamisés (30K à XMK) en quatre jours consécutifs. Depuis lors (une période dun an) Luc n'a plus jamais été malade.

A vous de pensez ce que vous voulez...... mais c'est à reflechir.

"KEEP AN OPEN MIND BEFORE ARGUMENTING"

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