Belle définition que ce texte. Cependant, faudra-t-il infliger à la mère de garder l'enfant issu d'un viol ou craignant un enfant handicapé (si toutefois l'obstétricien penche sur une telle éventualité) ? Par ailleurs, s'est-on déjà posé la question si, à la suite d'un avortement, ou pire, de deux, trois, voire davantage d'interruptions de grossesse, la future mère ne subisse pas de maladies gynécologiques, des fois bien des années plus tard. Entrant dans le domaine médical, la réponse ne pourra nous ètre fournie que par le personnel médical hospitalier, et bien évidemment les spécialistes, à ce sujet. Merci de me répondre. Bien à vous !