Il est important de noter que les tendances et les comportements sexuels peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre et ne sont pas nécessairement déterminés par des facteurs nationaux. Cependant, il existe plusieurs facteurs socio-culturels, économiques et individuels qui peuvent influencer la fréquence des relations sexuelles et l'intérêt pour la sexualité dans une société donnée.
En ce qui concerne la France, il est difficile de généraliser et d'affirmer que les Français font moins l'amour "côté psy" sans données spécifiques pour étayer cette affirmation. La France est souvent perçue comme un pays où la sexualité est relativement décomplexée et où la discussion sur la sexualité est plus ouverte par rapport à certains autres pays. Cependant, des facteurs individuels tels que le stress, l'anxiété, les problèmes relationnels, les préoccupations professionnelles, la santé mentale, etc., peuvent également jouer un rôle important dans la fréquence des relations sexuelles chez les individus, indépendamment de leur nationalité.
Il est également possible que des changements sociétaux, tels que l'évolution des normes sociales, l'accès à la contraception, l'augmentation des niveaux d'éducation, la montée en puissance des médias sociaux et des technologies numériques, aient un impact sur les comportements sexuels et la fréquence des relations intimes. Je pense que consulté un psychologue
En conclusion, il est important d'aborder cette question avec prudence et de reconnaître la complexité des facteurs qui influencent les comportements sexuels et la santé mentale dans une société donnée. Des recherches spécifiques et des données empiriques seraient nécessaires pour examiner de manière approfondie la question de la fréquence des relations sexuelles "côté psy" chez les Français, et pour identifier les facteurs qui peuvent y contribuer.