Idées volatiles
Sincèrement, ce n’est pas la vie dont je rêve
Écoutant pour seul écho les dieux du néant
M’éternisant à te trouver ces mécréants
Tu m’emportes dans ta vision si brève
Pénétrant mon âme futile, libre d’esprit
Tes idéaux créationnistes m’encombrent
Mes odieux souvenirs d’enfance d’outre-tombe
Je t’ai comprise, je t’ai chéri , je te méprise
À toi qui résulte de cette folie humaine
Tu restes la cause de toute cette haine
Et la raison de ces multiples tueries
Ne fais pas de la science ton cruel ennemi
Son existence réveille les esprits endormis
Je ne te hais pas mais je ne t’aime pas
Auteur anonyme