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petitemaudite

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Tout ce qui a été posté par petitemaudite

  1. Tu lui p***t de demande. Au p****t de cas où. Parce que oui il y a peut-être des gens pour qui c'est pas très glamour de parler, mais là tu parles de se retrouver dans une situation où tu n'as pas le choix. Parce que oui ça existe le fait d'être bloqué et incapable de réagir même si on voudrait le faire si on était en pleine santé, alors si tu as de toute apparence une poupée gonflable en face de toi, tu fais ce que t'as à faire pour être sûr que si elle voulait se barrer eh ben c'est ce qu'elle ferait. Le sexe, au regard de l'éducation, au regard de la loi, et au regard de beaucoup de sensibilités, c'est pas un pique-nique. Le message est clair : si tu te figures que t'es apte au sexe, alors même avant le minimum vital tu es déjà capable d'assumer le sexe et donc tes responsabilités de personne qui s'y engage. Ça veut dire que quand il est possible que ta partenaire est en train de faire une attaque, déjà tu vérifies qu'elle fait pas une attaque, ça ne se discute pas. Pour quelqu'un qui se croit apte au sexe, la notion de "comment on pourrait deviner" est inconcevable. Ce qui est censé être clair pour toi, c'est que tu te débrouilles pour savoir. Tu es censé être quelqu'un pour qui il est profondément clair que si "c'est pas facile à deviner" alors on fait rien. Et c'est j'imagine précisément par un manquement à ces règles, qu'ils sont arrivés à la notion de viol par négligence. Négliger l'état d'autonomie de son partenaire, n'est pas concevable pour quelqu'un à qui on veut légalement autoriser d'avoir des rapports sexuels. Avec les écarts de fait entre l'attente et la réalité notamment aux jeunes âges qui sont légalement autorisés quand même, certes. En général il y a adaptation du jugement. N'empêche que la compréhension face à l'immaturité n'est pas un acquis. Le message est parfaitement clair.
  2. Bah non. Elle voulait dormir ensemble en sous-vêtements et pouvait pas comprendre que d'un seul coup il dépasse les limites acceptées. Rien de particulièrement étonnant là-dedans, seulement mal imaginé de sa part, et l'autre qui s'en fiche de la façon qu'elle voit les choses. A la rigueur si tu voulais douter, tu pourrais te pencher du côté de l'infâme "miol", où en gros "mouais, c'est ça, ben voyons tu as pas participé quand il s'y est mis". Mais il semble que l'idée de cette décision de justice ici, c'est qu'il y a un accord sur les faits. Effectivement, elle a pas participé. La stupeur n'est pas franchement difficile à imaginer dans ce cas.
  3. Bon je vais pas perdre mon temps à t'expliquer le droit des personnes temporairement vulnérables, manifestement le monde et la loi qui essaie de le réguler sont trop compliqués pour toi pour que tu puisses faire des comparaisons du genre "ça marche comme ça d'habitude". Tu préfères prendre un seul exemple linéaire et simpliste et penser que grâce à ça tu as tout invalidé. À ta guise. Pour t'en sortir dans ce monde il te reste la notion de bien ou de mal et tu sais parfaitement qu'abuser d'une personne vulnérable c'est mal. Pour le reste, tu as oublié deux mots importants. L'homme a réalisé un rapport sexuel _sans aide_. Ça veut dire quoi sans aide ça veut dire avec une poupée gonflable il aurait fait pareil. Personne ne l'a aidé à sortir son engin, personne ne l'a aidé à enlever la culotte, personne ne l'a aidé à se mettre en position, personne n'a attrappé sa tête pour l'embrasser pendant qu'il faisait tout ça, personne ne lui a fait de caresse sensuelle. Il a réalisé un rapport sexuel sans la participation de personne d'autre, comme avec une poupée gonflable. Il n'y a pas que le verbal comme consentement. Participer avec ses gestes à un rapport sexuel qui se fait ou sur le point de se faire, c'est un consentement largement assez clair pour que le rapport qu'on est en train de construire, ait lieu. Et cette fille n'en a fourni aucun. Elle était en état de choc, incapable de bouger et si elle l'avait été ce serait pour l'expulser ou s'enfuir mais pas pour participer. Pas de consentement donc, en sus du fait que ça veut dire pas de révocation de l'intention claire de ne pas avoir de rapport. Pour finir c'est toi qui raconte des débilités. Des millions de filles ont envie de passer un moment en ambiance intime seule à seule avec leur copain, sans pour autant vouloir faire l'amour, qu'elles soient pas prêtes, qu'elles soient pas d'humeur ou mille autres raisons. C'est simplement évident donc ce qu'il en reste c'est que ce sue tu racontes c'est de la merde.
  4. Si, une personne en état de choc est extrêmement protégée par le droit, énormément de comportements sont reconnus comme illégalement abuser de leur état temporaire de vulnérabilité. C'est dur à faire valoir en situation réelle parce que ça consiste à se dédouaner d'un contrat sur lequel on s'est engagé, et il ne faut pas prendre les juges que pour des cons. Mais c'est complètement ce que fait le droit d'habitude. Concernant le fait que les faits ne sont pas caractérisés je ne vois là que de la débilité : communication orale, claire, récente et manifeste de l'intention de ne pas avoir de rapport sexuel. Absence absolue d'une quelconque révocation de cette intention. Le coupable fait quand même en sorte qu'il y ait rapport sexuel, sans aide. C'est juste bien plus qu'il n'en faut pour caractériser le viol par chez nous, dans la mesure où l'absence d'un consentement suffit.
  5. Et des gens, autres que moi, ce sont mis à parler d'autres choses plus ou moins du fait du suivi de la discussion, ce faisant disant des choses fausses et graves. Je devais me sentir obligée d'ignorer ça ? Mais alors, pourquoi c'est pas les autres qui m'ont ignorée si c'est ce qu'il faut faire quand on s'est éloigné du sujet au fil de la discussion ? Des choses fausses et graves et hors-sujet ont été dites. Pas par moi. J'ai réagi. Cherche tes responsables ailleurs.
  6. Il y en a plein qui arrêtent pas de dire, "si tu as rien à te reprocher, tu risques rien" C'est effectivement le cas, et c'est effectivement hors-sujet. Et il se trouve que c'est faux aussi et abominable. C'était ma preuve, elle est là. Toi tu répètes non, non, sans preuve.
  7. Ce qui est affirmé sans preuve, peut être rejeté sans preuve. Moi j'ai affirmé avec preuve.
  8. Il y en a plein qui arrêtent pas de dire, "si tu as rien à te reprocher, tu risques rien" Ce n'est, pas, vrai. Admettez-le et retournons au sujet. Il vient pas de moi ce hors sujet.
  9. C'est pas une question de logique, c'est ce qui se passe. La logique elle est dans le fait que la femme qui accuse un homme est crue sans réserve par la police (en tout cas se comporte comme si) et par les gens. Alors que les autres dénonciations sont écoutées, avec des réserves au cas par cas.
  10. Quand c'est pris au sérieux, c'est pas marrant, et il y a des risques. Mais ses chances de s'en sortir sans quoi que ce soit de mal durable, sont comme on l'espère dans un pays de droit. Ou alors, je suppose que je ne le savais pas, et on a deux situations bien plus disproportionnellement injustes qu'elles ne le devraient, au lieu de juste celle que je connais. Mais il n'y en a pas tant que ça.
  11. Oui, les erreurs judiciaires, ça existe. Et on en est tous horrifiés. Mais c'est pas si facile que ça d'infliger ça à quelqu'un juste parce qu'on le veut. C'est pas un pouvoir bien établi que chacun a sur chacun. Les hommes, qu'ils aient ou non quelque chose à se reprocher, n'ont pratiquement aucune chance de s'en sortir sans séquelle très grave, s'ils sont accusés de ce genre de chose par une femme. C'est un gigantesque déséquilibre. C'est vraiment pas bénin de le nier comme ça.
  12. Qu'ils devraient ça j'en sais rien, est-ce qu'il vaut pas mieux ignorer les dangers de la vie, quand on peut rien y faire. Ils auraient toute légitimité réelle à se sentir en danger, en tout cas. Et nous pour eux. Tu te bases seulement sur le fait qu'ils seront pas condamnés par un tribunal. Comme si perdre tout le reste c'était sans importance.
  13. Non. C'est pas vrai. Un homme qui essaie ça ça marche pas, ou en tout cas l'efficacité n'a rien de comparable, du tout. La présomption d'innocence fonctionne grosso-modo comme elle devrait, dans ce cas-là. Disons qu'en tout cas c'est pas plus injuste qu'autre chose, dans ce cas-là. Les femmes sur les hommes ont un pouvoir énorme, expéditif, et sans danger, en comparaison. Mais c'est toi qui demande "pourquoi, tu as quelque chose à, te reprocher" ? Ca vaut rien et c'est super grave, et je te le dis. T'avais qu'à pas le dire.
  14. Rien du tout, avec ton argument d'autorité. Tu ne regardes que les cas coupables. Ce dont je te parle c'est de l'effet sur les innocents. Il n'y a pas de tribunal qui les condamnera, et alors ? Le reste de leur vie est quand même fini, et ils sont quand même marqués à vie. Et leurs familles, c'est pas rien non plus. Tu parles comme si ça n'avait pas d'importance.
  15. C'est les autres qui arrêtent pas de dire de façon imbécile, "pourquoi, tu as quelque chose à te reprocher ?" comme si ça avait un effet. Ça n'en a pas. Et vous balayez ça comme si c'était pas grave, en plus.
  16. Et voilà l'argument d'autorité... Je veux pas le savoir, des affaires comme ça il y en a partout. Les fausses accusations sont peut-être pas pléthore, mais il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup. Pour le dire plus clairement, c'est un problème que les hommes ont, et que les femmes n'ont pas. Parce que c'est laissé faire, accepté. Et non, effectivement, il n'y a rien de mal à faire les vraies dénonciations, à mettre en place les choses pour que les gens qui subissent vraiment quelque chose puissent parler. Mais une montée contre les hommes, il y en a une. N'importe quelle femme qui veut détruire un homme innocent, peut le faire. C'est beaucoup trop de pouvoir.
  17. C'est là que tu te trompes, les gens qui ont vécu un traumatisme ne vivent pas une vie normal, ce genre de choses est courant parmi eux. Et accuser en se trompant, dans sa propre tête c'est tout le temps, alors forcément, en étant un peu sensible c'est courant aussi. C'est quand même dingue tout ce déni qui se base sur rien du tout et d'autant moins la simple réalité des faits. Oui, c'est horrible et le mot est faible. Mais c'est pas le sujet. C'est pas une raison pour nier à quel point la montée de la diabolisation des hommes, les met déjà en danger.
  18. Il y a des gens qui accusent d'autres gens de s'être montrés agressifs ou dangereux avec eux, alors que cela n'a pas été le cas. Cela est se tromper. Un traumatisme, c'est quelque chose qu'on garde longtemps avec soi. Ca ne se limite pas à un évènement temporaire. Premièrement, la personne peut avoir été traumatisée par un accident qui lui est arrivé dans la vie, où personne d'autre qu'elle n'était impliqué. A moins de personnifier la vie, il n'y a pas eu d'agression. Et sinon, il est possible, et même en fait logique, d'avoir été agressé (extrêmement gravement) par une personne et d'en être traumatisé, puis ensuite d'accuser quelqu'un d'autre, soit de l'agression véritable, soit de quelque chose de complètement inventé. Quand on a besoin de dire une chose sans y avoir réfléchi on le dit, et bien que ça n'en était pas l'intention, les mots étaient une accusation sur quelqu'un. Mais on ne va pas accuser son propre oncle ou son propre cousin, on a bien trop peur, surtout qu'ils te manipulent avec le traumatisme qu'ils t'ont infligé. Résultat, quelqu'un d'autre, que tu connais mais qui n'a jamais rien fait, se retrouve accusé parce qu'il faut bien nommer quelqu'un.
  19. Se tromper, c'est une raison suffisante ? Où y a-t-il un agresseur ? Et dans le cas traumatisé, on peut l'être par la vie au lieu de quelqu'un. Et l'agresseur peut être quelqu'un d'autre que l'accusé. Les gens traumatisés méritent et on besoin d'aide, mais ne sont pas exactement parmi les plus fiables.
  20. Certaines ne sont pas malhonnêtes mais se trompent, ou sont traumatisées. Et cet acharnement vient du fait qu'il a été affirmé que les hommes qui n'ont rien à se reprocher n'ont pas de raison de s'inquiéter, et c'est faux ! Une femme qui n'a rien à se reprocher n'a pas de raison de s'inquiéter de fausses accusations, parce que la mécanique en place limite plutôt bien l'effet, et que les échecs à les protéger de ça sont vraiment très très rares. C'est différent pour les hommes. La fausse accusation sur un honnête homme bien intégré, aimant et aimé, est extrêmement efficace. Et d'une simplicité déconcertante, sans risque. Si l'accusation est du genre #metoo avec des conséquences assez lourdes à porter socialement mais sans rien d'officiel, c'est fait sans même se donner la peine d'y réfléchir, juste parce que c'est pas grave que l'homme soit accusé et subisse.
  21. Vraisemblablement pas, mais comme le dit notre @Léna-Postrof, les femmes ont des pouvoirs extralucides qui leur permettent de prédire qu'un homme dont elles savent qu'il existe, est sur le point de leur faire du mal. Normal donc que cet homme, n'ayant rien à se reprocher, soit quand même pris en chasse puisqu'on a les femmes qui savent qu'il va le faire. D'ailleurs, cette même @Léna-Postrof dit que mes autres arguments, qui prouvent que les hommes innocents peuvent être facilement accusés et même détruits, sont faux. Mais, elle ne donne aucune explication à part sa croyance que tous ça c'est des films. Pas étonnant qu'elle ne puisse pas donner d'argument contre, mes arguments étant la réalité ni plus ni moins. Non, les hommes n'ont aucun besoin d'avoir quoi que ce soit à se reprocher, pour être accusés. Ni même menacés. Ni même détruits. On nous dit aussi, que des fausses accusations il y en a pour tout et envers tout le monde. Oui, mais normalement, la présomption d'innocence ne joue pas trop mal. Et ces fausses accusations sont mal vues, et le fait que ça existe est pris en compte. La personne n'est pas crue, elle est écoutée, et les enquêtes et les idées se font. En général, pas toujours mais ces cas-là sont tout aussi révoltants, leur effet, en tout cas si la vérité est découverte, est assez limité. C'est pas agréable, mais il y a un effet limité. Ce n'est pas le cas avec les fausses accusations de maltraitance, et encore moins de viol, d'hommes sur les femmes ou les enfants. L'effet est dévastateur. Et en plus, la fausse accusatrice ne risque rien, même pas de pression sociale, alors il suffit d'un état d'esprit un tout petit peu malveillant, et il n'y a aucune raison de ne pas faire l'accusation.
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