alexdesdébats

"Je vois pas en quoi ce que tu dis ici s'oppose a mon idée?" Peut-être un coté plus authentique alors si ca ne s'oppose pas à tes yeux... Un peu plus cru mais un soupçon moins hypocrite...

Pas forcément... Y a des thunes à faire dans tous les domaines pour certains rapaces! Mais celà me fait penser à une autre question: "Serons-nous sauvé par des rapaces?"

Perso, j'ai choisis "satisfaction" car celui qui est satisfait atteint une certaine forme de bonheur sans pour autant s'en rendre compte forcément. La satifaction, c'est un pilier porteur du bonheur car comment le résumer plus concrètement quelque soit la condition de vie de l'individu dans sa généralité? Ceux qui pense atteindre le bonheur à un niveau quasi complet n'ont que la satisfaction de celui-ci comme sorte de clef de voute! Personnellement, je pense que quête reste complémentaire car finalement, tous le monde est à sa quête mais sa conclusion c'est la satisfaction.

Ce qui serait intéressant, ca serait d'avoir une argumentation ou explication sur le mot choisit car nous sommes dans la rubrique "philosophie"

Quel meilleur mot que "bonheur" pour qualifier le bonheur? Sinon, je dirais "satisfaction"...

Bonheur

Si on prend "l'individu protecteur" (Don Corleone était un protecteur dans un certain sens...) comme celui qui détient le pouvoir dans une collectivité humaine, il faut prendre en compte le facteur historique qui démontre que celui-ci est ephémère... Le pouvoir fait maturellement tourner la tête à celui qu'il obtient par l'ivresse qu'il lui procure! Celui-ci se transforme en sorte de drogue addictive au point d'en vouloir toujours plus malgrés les facteurs réaliste de son environnement qui font la solidité de cette emprise! Il n'y a pas de pouvoir sans autrui et plus il est qualitatif, moins il est réparti quantativement dans la hiérarchie obligatoire établie. Le pouvoir c'est un équilibre et cet équilibre ne peut prospérer car la tête ne reste qu'un humain qui subit les effets de cet acquis!

Si tu as raison, dans ce cas là ne nous voilons pas la face, nous sommes dans un régime dictatorial et nous l'assumons en conséquence... Il ne faut pas se plaindre si on l'accepte sans broncher dans certains cas!

Pour ma part, je pense qu'une politique indépendante visant à prendre du recul sur les effets néfastes collatéreaux serait à envisager... Ca ferait grincer des dents certains mais un détachement brutal et total ne serait pas une solution constructive selon moi! Nous pouvons trouver une optimisation dans l'alliance en partageant nos méthodes et modèles dans un but (qui peut paraitre utopiste certes...) de pouvoir distinguer le plus réaliste des concepts abordés. L'union n'est pas l'uniformisation mais bel et bien le partage de la diversité! Par exemple, l'age légal de la retraite est différent et incomparable au diverses infrastructure nationnales car nous ne pouvons pas nous aligner sur des modèles si différent! L'innovation national permettrait une optimisation européenne!!

"est ce que tu répondrais à chacune d'entre elles? " Absolument toutes sans exceptions personnellement!!! Mais c'est pas une question qui sera posée à mon avis... Pour avoir des réponses, il faut poser les bonnes questions malheureusement, dans tous les débats en période présidentielle, on a l'étrange impression que les questions sont soigneusement sélectionnées préalablement! En bref, je rejoins ce que tu sous entends...

Et bien ils devraient s'en faire une part s'ils le construisent...

Bin moi je vous regarde de loin et pour l'instant, je ne vois qu'un mur...

Une fois que l'on sera entrain de tous crever, on s'entraidera peut-être enfin... C'est vraiment une question que tu poserais? C'est sur qu'un politicien va te faire un discours qui va limite te mettre les larmes aux yeux et trés loin de ma réponse qui serait qualifié de politiquement incorrecte... Les plus honnêtes d'entre eux te répondront: "quand l'humanisme sera rentable tous comme l'écologie"

Je suis né en France et mes parents aussi... Et je vais te dire un secret mais le répète à personne: En fait, c'est pas moi Benladen! (mais chhhhhut!) ixtabécrit Aujourd'hui à 14h07 C'est quand qu'on va où ?ixtabécrit Aujourd'hui à 14h07 C'est quand qu'on va où ? ixtabécrit Aujourd'hui à 14h07 C'est quand qu'on va où ?"C'est quand qu'on va où?" Bonne question, c'est déjà un premier pas que de définir où nous nous trouvons vraiment avant d'établir un itinéraire! "Quel est l'avenir de l'agriculture biologique dans notre pays!" Pour ne pas risqué de te mentir, je te dirais que c'est par la demande que se dévelloppera l'offre!

De haricot:"...c'est une mafia légale" On ne peut pas dire que ce soit légal quand on parle de mafia... Il n'y a pas que la politique qui fonctionne comme celà mais l'intégralité du système! On rale en trouvant injuste une justice à deux vitesses mais on autorise des exceptions... En 2008, j'ai entendu un discours de Sarkozy dans lequel il disait mots pour mots:"Nul n'est en dessus des lois!" J'étais choqué car je me demandais si il était sérieux en disant celà (et que même si c'était le cas, il devrait descendre de sa tour d'ivoire voir un peu se qu'il se passe tous les jours dans nos rues et que l'on ne montre pas vraiment à la télévision...) Une mafia légale? Non! Nous sommes tous des mafieux en puissance... Et ceux qui disent celà n'ont pas la part du gateau qu'ils souhaitent dans leur assiette rien de plus!

"Il est écrit dans les gênes de l'humain qu'il doit défendre son territoire, il s'est rajouté qu'il a besoin de celui qui a la puissance et qu'il doit le suivre car il sera protégé. " Je ne suis pas vraiment d'accord avec celà... L'homme n'a pas toujours été sédentaire et la notion de territoire s'est dévelloppé au cour son évolution! Le facteur puissance a également évolué car au départ, la seul puissance que l'humain avait été la force physique et je pense que si tu avais dis au premier homo-sapiens qu'un jour la puissance serait des morceaux de papiers, ils auraient ris pendant un moment! L'homme n'a naturellement pas besoin de celui qui a la puissance mais c'est celui qui la détient qui peut créé cette sorte d'addiction en se présentant comme utile par cette argument. "Protégé"? Et à ton avis, ne doit-on pas se protéger d'eux pour la même raison? Si nous comparons l'espèce humaine à l'antropologie animal, c'est le plus puissant qui s'impose et pas le faible qui a besoin de l'autre! Le plus faible trouve son intérêt que par l'intimidation donc, une sorte de "terrorisme naturel"...

Ce sujet n'était pas vraiment fini... Du moins on s'est égaré!

Rrrroh, je suis décu de ne pas avoir de réponse quand je pose une question pertinante sur un sujet ou je répond à n'importe laquelle qui est posée... (up quoi...)

Déjà s'en rendre compte est un bon début... Aprés, on a tendance à suivre le moule donc, temps que se ne sera pas les bons gens mis en avant, l'humain n'est pas prêt de changer. Et puis c'est une sorte d'investissement à long terme dans ce monde où le court terme est plus attrayant. Je ne suis pas péssimiste mais réaliste et d'autres avant moi pensaient la même chose donc, je suppose que d'autre après en feront de même!

Comme disait l'auteur du film "Le jour où la terre s'arrêtera de tourner" réadapté à plusieurs sauce, la moralité reste que l'homme peut changer lorsqu'il est au bord du précipice... Moi je rajouterais "et encore, c'est pas dit..." La première adaptation cinématographique est philosophiquement intéressante pour comprendre l'évolution de la société depuis, car au final, on en ressent l'origine de la problèmatique d'aujourd'hui. En quelque sorte, pour résumé, c'est un extraterrestre qui vient prévenir que les humains sont partis pour devenir nocifs pour la galaxie et que si ils ne cessent d'être des parasites, ils seraient obligés de les éliminer... Bien sur, la fin moraliste fait que l'extraterrestre a pitié de nous grace à des gens qui sont quasi annodins dans la société et qui lui permet de voir les qualités humaines malgrés le système qui lui parrait plus dangereux. En gros, c'est pas prêt de changer car nous n'avons pas encore eu quelquechose qui nous mette au pied du mur!

Quand on parle d'amour, on a systématiquement une vision préconçu étroitement lié au sexe... Pour celà je te rejoins! Dire "je t'aime" à un ami par exemple n'est pas vraiment perçu de la façon que l'on le souhaite forcément car déjà dire celà à sa compagne se révèle déjà asser difficile au début d'une relation pour la majorité des hommes compte tenu des moeurs en place même si l'on le ressent réellement! Le sentiment tabou quand le choquant se démocratise est un peu le reflet d'une société ayant un malaise quelque part... Les publicitaires sont fort pour exploiter l'émotion sans pour autant la désigner explicitement car la plupart d'entre eux se rendent compte de la complexité du relationnel par rapport à l'expression de ce qui fait de nous des humains! Les psys vont surement trouver une place importante dans notre société dans l'avenir car les gens perdent peu à peu leurs repères et sont perdus dans cette overdose d'informations, de désinformations et se perdent eux-même de vus en n'ayant plus conscience d'être uniques et différents les uns les autres. En gros, réapprendre à être soit-même dans l'uniformisation erronée de la masse! Parlez de sentiments, d'émotions semble "has been" dans cette globalisation car la cruauté dans nos rapports nous impose de garder une distance sur eux pour s'éviter un sentiment qui ne s'exprime pas asser mais ayant une grande place dans la société "la souffrance"

Et moi j'aurais une question à poser aux électeurs: "Pensez-vous voter pour un candidat que vous avez choisit ou qu'on vous impose?"

Je ne suis pas d'accord avec toi... Je pense plutot que c'est naturel mais que culturellement on le rend plus accessible dans l'inconscient collectif que ce qu'il ne l'ait réellement! C'est dans l'intérêt d'un pays vieillissant démographiquement que d'accroitre un renouvellement d'un essort de natalité et donc, si l'on ne conditionne pas la population à maintenir l'accessibilité à l'idyle et que l'on l'ait laisse dans la réalité de la dureté de trouver une véritable complicité relationnelle, on arrivera pas dans un avenir proche à résoudre le problème des retraites sans donner un bonus aux conducteurs qui renversseront des vieux sur les passages cloutés! C'est sarcastique, de l'humour noir pour ceux qui prennent tous au pied de la lettre! La vision de l'amour reste subjective car nous vivons dans un environnement qui nous maintiens dans une forme d'amour par le biais de la consommation qui nous en détourne de sa réelle définition!

Pourquoi l'amour est éphémère? A mon avis, le fait de l'uniformisation comportemental actuel y est pour beaucoup! les gens sont complexés par le modèle qu'on leur impose dans un but purement marketing qui pousse à la consommation. Les gens n'acceptent pas ce qu'il sont bercés dans un monde d'apparences et d'illusions qui fait que nous sommes réduits à l'état de figurants du système ce qui affecte les relations humaines par une hypocrisie ambiante et une perte d'authenticité dans les rapports directs. Le mode de séduction suit l'évolution de la société et nous sommes incités à prendre une apparence plus ou moins en décalage avec ce qui fait de nous des êtres distinctifs et différents les uns des autres. La séduction est un art mais trop en faire au départ et jouer un jeu de figuration déléssant sa propre originalité pour montrer notre maitrise des facteurs actuels d'attirance dans sa globalité stéréotypant l'individu entraine une évolution systématiquement voués à l'échec mais une efficacité plus rapide... Au départ, dans un couple, on ne voit que les bons cotés car volontairement on fait abstraction de ses véritables qualités et défauts en s'inventant une personnalité qui peu à peu s'efface avec le temps. Quand la réalité rattrape cette fiction, la plupart du temps la déception fait son apparition! Embélir son existance dans le but de séduire est à double tranchant mais totalement humain... S'inventer une existance comporte beaucoup plus de facteurs de risque d'une dégradation brutale point de vu relationnel. En bref, rester soit-même n'est pas vraiment efficace pour séduire point de vu quantitatif mais potenciellement plus propice à des relations de qualités et durables.