Sodak

Peut être que la terre est un organisme pensant et qu'elle influence l'évolution de la vie qui est en son sein. Peut être qu'après avoir fait une évolution arrivant à celle des dinosaures elle s'est retrouvé confronter à une comète qui a détruit la vie à laquelle elle avait participée donc la prochaine étape qu'elle s'est donnée avec le vie qui restait c'était de l'influencer à observer le ciel avec pour conséquence l'invention des religions allant jusqu'à la science contemporaine... Pour qu'elle puisse continuer tranquillement l'évolution de la vie qu'elle exprime, elle choisit de faire des être très cérébraux soit l'homme pour qu'il trouve la solution au défi de se prendre une comète pour ou qu'il la détruise ou la dévie laissant le cours de l'évolution de la vie terrienne aller à son terme. Que pensez-vous de cette théorie ?

La science c'est la connaissance, le savoir, on peut faire une science de tout est n'importe quoi car dès que l'on définit une chose on peut dire que cela fait une science de cette chose définit, donc la non-science c'est quand on se fait aucune définition des choses.

J'hesite entre la mort apaisante comme par exemple pendant le sommeil, ou alors une mort marrante genre rupture d'anévrise sur les chiottes par cause d'état de constipation.

Mon rôle dans la vie c'est de survivre.

On verra bien quand ceux qui boivent du coca cola jetteront des bombes atomiques sur ceux qui boivent du pepsi. On aura le même discours. Je tiens cet exemple de l'une des nouvelles d'un livre de Bernard Werber.

S'il existe un lobbying derrière le féminisme c'est sûr que leurs intentions ne peuvent qu'être de bénéfices economiques. De toute manière quelque soit le lobbying je n'aime pa ça car ils utilisent tous la propagande et le matracage psychologique pour arriver à leur fin. Si le féminisme est un extremisme comme le machisme je ne suis pas d'accord non plus. Mais s'il est pour l'égalité malgrès les sexes alors je suis d'accord car on ne parle pas d'égalité au niveau des capacités, car on peut trouver des femmes bien plus barraquer ou capables que des hommes, si on parle d'égalité c'est au niveau des droits et ça ne peut qu'être bien.

En effectuant la démarche de s'aimer on trouve comment le faire à partir de là on peut exprimer aux autres comment ils doivent nous aimer en démontrant ce qui est valorisable dans sa manère d'être. Un con qui ne s'aime pas essayera de le cacher en étant un autre, mais vu qu'il est con cela sera en vain, alors mieux vaut qu'il s'aime et qu'il trouve comment s'aimer avant tout pour espérer avoir la chance d'exprimer comment il faut l'aimer cela pourrait donner une sorte d'humoriste ou d'un bouffon dans le pire des cas et cela apporte quoi qu'il en soit beaucoup d'humour et de divertissement. Dans un autre sens aime les autres et sois toi même et avec de la chance ils te le revaudront en t'aimant à leur tour, quoique si ton principe d'être est de detester cela te sera difficil mais il restera toujours un con pour t'aimer. :blush: Et puis tu peux toujours être toi même avec les gens qui t'aiment ou les gens qui te détestent sauf que le résultat ne sera pas le même c'est tout et être toi même avec les gens qui ne sont ni tes amis ni tes ennemis comme par exemple ceux que tu ne connais pas, ce n'est pas un problème puisqu'on dit que les premières impressions sont souvent trompeuses.

En répondant maladroitement je comparerai la psyché à l'âme est quand on parle d'une chose avec le mot psycho- c'est que ça parle du cerveau alors je dirais que le siège principal de l'âme c'est le cerveau. Mais ou sinon l'âme ça renvoit au fait de se mouvoir par un esprit en action donc un souffle c'est pourquoi que parler d'âme reste très abstrait. C'est pourquoi quand tu es souvent avec quelqu'un tu t'impreignes de sa personne et quand il meurt il laisse une trace dans ton esprit qui le fait vivre en te donnant l'impression que quelque part son âme existe encore.

Si tu aimes être toi même alors il y a beaucoup de chance que les autres t'aiment. Si tu ne t'aimes pas alors il te sera difficile d'être toi même.

Je crois que notre personnalité est composé du coté enfant, adulte et parent parfois s'il manque un coté ou qu'un des cotés prend trop souvent le dessus sur les autres cela est un signe d'un mal psychologique. (Voir analyse transactionnelle) Et c'est ce qui en parti fait la relation avec l'autre car cela dépend quelle côté de la personnalité est sollicité. Tout ça pour dire que l'on est un enfant, comme l'enfant lui fait l'adulte, voire le parent, comme par exemple quand il joue à la poupée. Donc avoir un coté enfant nous rend probablement plus sujet à l'inconscience et à la suggestion. D'ailleurs ce fait de formuler les choses de manière positive ou affirmative ayant pour but d'être executées est le résultat d'études comme celui de l'effet pygmalion.

Ce n'est pas moi qui est fait le texte c'est une citation d'un site. Et bien là il explique que la formulation étant positive l'inconscient ne le traduira pas autrement car elle lui paraitra claire. De toute manière la reflexion se serait qu'il se dise j'ai envie de jouer sur la rue et non pas elle ne veut que je joue sur la rue selon ce qui est expliqué sur le rejet de la négation. Ce qu'ils expliquent c'est que le risque qu'il joue autre part est limité car l'information à executée est claire pour l'inconscient et n'est pas suggestive à faire autre chose que de jouer sur la pelouse. Alors que si on lui dit de ne pas jouer sur la route on lui suggère inconsciemment et maladroitement d'y jouer. S'il prenne l'exemple d'un enfant c'est qu'il est plus sujet à ce laisser aller à son inconscience et donc à ce qu'on peut lui suggèrer. Comme quoi pour notre bien l'esprit de contradiction ne joue pas toujours en notre faveur. De toute manière quand tu l'as lu les premières fois tu n'as du rien y comprendre et il faut savoir que lire ce n'est pas que de déchiffrer mais comprendre aussi. :blush: A moins que t'as conscience refoule tellement dans ton inconscient qu'il ne t'est même plus possible d'y accéder. Ce qui ferait que tu es tellement sujet à la suggestion qu'inconsciemment tu te suggères des choses et pour que tu sois plus docile à la suggestion ta conscience te le cache et ne te permet même pas de te dire que tu peux en être receptif. Petit mouton inconscient.

Je trouve que le film "butterfly effect" illustre bien le voyage dans le temps par la mémoire biologique, l'ecriture et le support.

2. FORMULEZ-LE POSITIVEMENT L'inconscient n'accepte pas la négation. Si l'on vous enjoint de ne pas penser à un éléphant bleu avec une boucle rouge autour du cou, non seulement vous y penserez forcément en raison de l'interdit mais... pour arriver à ne pas se le représenter, votre inconscient devra tout d'abord le «voir», cet éléphant !... é chaque fois qu'on utilise une négation (ne pas), on obtient exactement l'effet contraire. Par exemple, si vous dites à un enfant «Ne joue pas dans la rue !», il y a de très fortes chances pour qu'il s'y jette avec enthousiasme. Alors qu'une phrase toute simple mais positive comme : «Joue sur la pelouse !» l'incitera davantage à obéir car cette recommandation est spécifique, formulée de façon positive et dit ce que l'on désire, plutôt que ce que l'on ne veut pas. J'ai mis cette citation d'un site pour expliquer que quelque part on ne pense pas en binaire ou en nuancé parfois on pense qu'en unaire.

Si tu participes d'une mauvaise manière à la vie, les corps vivants auxquels tu participeras à former en patiront. Par contre si tu y participes d'une bonne manière ces corps pourront jouir de cet avantage. Comme toi tu patis et tu jouis des avantages comme des inconvénients générés par la vie qui t'as précédée. L'au dela c'est, ni plus ni moins, le résultat de la participation à la vie présente pour la vie future.

Un grain de blé donne un épi à plusieurs graines tu ne peux qu'être fructueux pour la société surtout si elle est de consommation. Il se peut que tu ne te sentes peut être pas valorisé et cela te donne l'illusion de ne pas être utile.

Il y a la différence entre le role que me donne la société et le role que je me donne en société. Ces roles mélangés sont d'être une fructueuse compagnie.

Le péché originel reste à réfléchir. Dans la religion c'est ; Dieu dit à l'homme et la femme de ne pas s'approcher d'un arbre et eux vont tout de même manger le fruit défendu et comme ils ont mangé le fruit ils se sont rendus compte de leur nudité et par pudeur se sont mis à cacher leur sexe. La science dit que si l'humain marche, peut être, parceque la première fois qu'il s'est mis debout c'était pour regarder plus loin dans l'horizon. Dans un certain cas si on s'imagine qu'il s'est mis debout pour atteindre un fruit d'un arbre défendu donc à accés réduit autre que par la position debout alors c'est vrai qu'il avait ces parties à l'air ce qui n'a fait que lui faire prendre conscience d'une forme de nudité et par reflexe de la cacher. Mais ceci n'est qu'une hypothèse qui à pour but de faire une sorte de synthèse de la théorie scientifique et religieuse. Ou sinon pour moi dans un sens général le péché, pas obligatoirement originel, c'est de vouloir la souffrance pour soi ou son prochain.

J'espère que tu n'es pas aussi agressif avec et que tu lui dis, d'une autre manière, qu'il faut être plus courageuse.

Si ton intention est de l'endurcir bien pour toi dans le cas contraire elle fait preuve d'une fragilité, et toi, tu remues, peut être par maladresse, le couteau dans la plaie. :blush:

bonuité

Dans les deux cas du kamikaze ou du déprimé ait une raison de courage comme de faiblesse à le faire.

C'est vrai que c'est lorsque dans la vie on arrive à une voie sans issue comme cerné par la souffrance que l'on pense au sucide. Mais la question se pose pour reconnaitre le contexte du sucidaire comme pour les kamikazes ou alors pour les déprimés.

Beaucoup de gens lorsqu'ils veulent se sucider ne le font heureusement pas et quand ils le font ils font en sorte que cela ne soit pas radical comme un appel à l'aide et ceux qui le font vraiment devrait se poser cette question de faiblesse ou de courage. Se tuer est un acte de souffrance ou sinon tous dès que le monde nous plairait plus on se laisserait mourir gentillement dans son sommeil. Donc la question se pose aux sucidaires de savoir si la souffrance qu'ils vivent est plus grande que celle qu'ils veulent s'infliger à mort et s'il est plus courageux ou faible de vivre l'une ou l'autre.

Peut-être que penser à cela peut remettre en cause l'acte. Si sur le coup tu le trouves courageux c'est que la situation n'est plus viable à tout point du vue et alors c'est pour atténuer justement la souffrance, si tu te dis que c'est un acte de faiblesse cela reste une lueur d'espoir car il te serait plus courageux de lutter contre ce qui te fait souffrir.

Et bien face à la souffrance dirait on que l'on fait preuve de courage ou de faiblesse à se sucider ?