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photon84

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Tout ce qui a été posté par photon84

  1. Je sais ce qu'est une généralisation, si chacun en utilise, c'est pour éviter de détailler toute les nuances de son propos. Un petit éffort de compréhension stp, j'ai pas envie de poster un roman à chaque fois pour éviter les remarques. Mais d'ailleur, qu'elle est pour vous l'essence de la religion?? est elle constante celon les époques et cultures? quelles définitions ont été données de la religion?
  2. En réponse a Pumba La j'approuve, sa rejoint bien mon avis. Pour la question, on tourne autour depuis quelques temps, relis les postes précédants.
  3. O j'aime bien le blasphème aussi, sa me donne l'impression de braver impunément l'interdit
  4. Une science trés particulière alore, et basée sur des connaissances dépassées et sur des hypothéses qui se révèlent fausses aux vues du savoir actuel. Sans compter la rigueure et la méthodologie des raisonnements scientifiques que les religions sont loin d'avoir. Comme disait Grenouille, une éxpérience peut être reproduite en science, elle est vérifié par d'autre. Même en histoire ou il y a peu de preuve 'parfaite', on recoupe les évènements, on prend en compte l'incertitude liée à tel ou tel indice ect.. En définitive, la preuve en science n'est pas un vain mot. En religion, la conviction tient lieux de preuve et trop souvent, la remise en question est un blasphème. En faite, il est normal qu'une religion soit basée sur des convictions, elle ne devrait pas avoir à apporter de preuve de ce qu'elle avance et c'est bien ce qui la différencie de la science. Par contre, elle devrait prendre garde a ce que ces convictions ne contredise pas les preuves fournies par la science. C'est bien l'érreure de la religion de se prendre pour une science, alore qu'elle ne s'applique pas au même domaine.
  5. CQFD... donc tu te contredis...la religion ne rejoint pas la science (sic) Je ne crois pas m'être contredit, la science n'est pas la religion mais certaines ressemblances sont frappantes. """"""""Seul un nombre restreint de personne comprend vraiment le cadre et les limites d'une étude scientifique. Dés que cette étude est diffusée, elle est interprétée et déformée. idem pour la religion...c'est en cela que tu l'assimilles...""""""" Exactement, et en cela, la science est un système de croyance au même titre que la religion.
  6. kyriluk :""Sauf que tu generalises. C'est un peu comme de dire que tous les arabes sont des voleurs ou que tous les noirs ont une grande queue. C'est une generalisation."" Merci pour la comparaison :smile2: , je trouve que c'est une belle façon de décrédibilisé un discoure de le comparer au discoure raciste. Mais peu importe, toute généralisation n'est justifié que si on en connait les limites et les raisons : l'obscurantisme : Pour ne prendre qu'un exemple, il n'y a qu'a voir la façon dont chrétiens juifs et musulmans refusent d'admettre la réalité de l'évolution et reste sur l'idée d'une genèse. l'archaïsme : sa rejoint l'obscurantisme, mais c'est aussi l'étique et les valeurs de l'église qui ne correspondent plus à celles de la société, pour l'égalité des sexes, pour l'avortement, l'homosexualité, le mariage ect.. L'intolérance : Cette façon qu'a chaque religion de se proclamer la seule vraie et la seule possible est en elle même intolérante, proclamer que ceux qui croit différemment iront en enfer et parfaitement inacceptable. Certains croyants font surement la part des choses, mais la position officielle de l'église est ainsi. En faite, même la logique qui consiste a se baser principalement sur les textes sacrés est a revoir. La science à au moins l'avantage d'être vraiment évolutive et de se remettre plus souvent en question. "D'une certaine manière, la science possède aussi ces mêmes défauts. Tant de gens ne jurent que par la science alors qu'ils n'y comprennent pas grand chose. Il y a des mythes scientifiques et un simple article sur une découverte bidon peut déclencher l'hystérie médiatique." Caupine : pour moi science=obligation de résultat, sinon elle n'existe pas cette pseudo science...la science=évolution favorable. Le problème se situe en faite dans la façon dont la science est perçue par l'ensemble de la population. La société se base systématiquement sur la science, ce qu'elle ne peut prouver est perçu comme faut. Seul un nombre restreint de personne comprend vraiment le cadre et les limites d'une étude scientifique. Dés que cette étude est diffusée, elle est interprétée et déformée. Regardes la façon dont les publicitaires se servent de la science pour 'démontrer' que leur produit est bon pour la santé. Sans parler des sciences humaines où les recherches prêtent forcément à interprétation ou bien de l'instrumentation abusive des chiffres dans les médias. D'autre part, la science prouve ce qu'elle avance, mais le regarde qu'elle porte sur un objet est limité aux seules choses qu'elle peut prouver. Le reste, parfois l'essentiel, est négligé car il n'entre pas dans le cadre de la science. caupine :pour ma part, je déteste que l'on me donne mes régles de vie, je suis assez "grande" pour les fixer moi-même. Donc j'en conclus qu'on infantilise l'adulte... je suis comme toi de ce coté, mais ta conclusion est bien négative, car se plier a des régles peut être une source d'apprentissage et de découverte, pas forcément une infantilisation. Mais c'est vrai qu'avec les religions aujourd'hui, le décalage avec la réalité en fait plutot une source d'ignorance et de repli sur soit. Sinon, pour les dix commendement, je pense qu'a l'époque, ils représentaient un progrés de la civilisation. Aujourd'hui les valeures portées par les dix commendements sont encore plus ou moins d'actualité, même si d'autre valeurs ont émergées.
  7. Ouiu, le 'racisme subtile', cette idée pernicieuse qui pourrait faire croire a chacun qu'il est raciste. Il y a quand même quelquechose qui me dérange dans ce débat (par ailleur tout a fait bien argumenté), c'est cette propention a voir le racisme partout et cette tendance à utiliser un mot si chargé de honte pour désigner tout ce qui s'en approche. Prenons l'exemple de ces 'prof de bonne volonté' qui ferait subir le racisme aux noir alors qu'ils veulent les aider : Pourquoi parler ici de racisme? alors qu'il sagit d'un effet pervers parfaitement imprévisible et sans la moindre volonté de racisme (même inconsciente) des profs. En faite, on en vient à traiter de raciste tout ceux qui n'ont pas les "bonnes opinions" pour le combatre, même s'ils ont la volonté sincère de le combattre. Les dialogue sur le forum le montre d'ailleur assez bien. Le racisme, a la base, est de croire que la couleur de peau joue sur les qualités générales innées d'une personne. Ce qui mène a croire qu'une race peut être supèrieur à l'autre. Peu de gens en france sont encore raciste celon cette définition. L'amalgame est vite fait entre cette définition et les autres emplois qui peuvent être fait du mot racisme. Ne trouvez vous pas qu'on utilise aujourd'hui ce mot à tord et a travers? Qu'il a pris un sens bien trop générale et imprécis?
  8. Mais aussi de relativiser la critique de la religion à la vue du contexte dans lequel elle se diffuse Le contexte est en la tradition et l'ignorance dans lesquels la religion a pris tout son sens pendant des siècles. Aujourd'hui, les traditions ont changées, la science a fait reculer l'ignorance, donc la religion nest plus en phase avec la réalité. Mais de la a dire que la religion était une plaie dans le passé, je trouve qu'on fait trop vite le pas. D'une certaine manière, la science possède aussi ces mêmes défauts. Tant de gens ne jurent que par la science alors qu'ils n'y comprennent pas grand chose. Il y a des mythes scientifiques et un simple article sur une découverte bidon peut déclencher l'hystérie médiatique. Du coté de la religion, je constate que certains croyants prennent leurs distances par rapport aux dogmes religieux traditionels. Qu'il se réclamant d'une grande religion ou pas, ils ont en grande partie adapté leurs croyances aux connaissances actuels. Pour moi, l'idéal serait que les religions donnent des réponses uniquement dans les domaines sur lesquels la connaissance a trop peu d'emprise. Elle sont la pour donner des affirmations la ou il n'y a que de l'incertitude, une sorte de réponse arbitraire à la philosophie en quelque sorte. Elle peuvent aussi affirmer des régles de vie et une morale qui leur est propre. Beaucoup de gens ont besoin de mettre une entité divine derrière ses valeurs et croyances. Le fait de les affirmer au seins d'une communauté les renforces et donne une assurance dont ils ont besoin. En faite, ce qui me dérange vraiment dans les religions, c'est leur obscurantisme, leur archaisme et leur intolérance. Mais je ne vais pas jusqu'a dire que le principe même de religion est mauvais.
  9. Encore une fois, je suis en train de chercher les similitudes entre religion et science, j'approuve tout a fait ton discour quand il sagit d'analyser les différences qui les séparent. Ainsi, je suis bien d'accord que dans l'absolu, un fait est un fait, y croire ou pas n'y change rien. Pourtant, d'un autre point de vue, quelle est la différence entre toi qui fait confiance au corp scientifique pour dire que telle éxpérience est un fait et un croyant qui fait confiance aux religieux pour dire que tel ou tel miracle est un fait? Caupine: tu fuis plutôt que d'exprimer clairement ton idée.....bon je note, photon=esprit Freudien :smile2: j'aurais appréciée un petit éclaicisement néanmoins *un nain con pris tu voulais dire ou un nain qu'on prie ? Moi!!! fuir!!! ... je devrais peut être lire Freud, il doit y avoir un rapport Sinon je suis bien un nain qu'on prie et qui va encore un peu se faire prier avant de répondre ( aussi parsque le nain il bosse, qu'il est grillé par ses collégues et qu'il a pas trop le temps de répondre correctement tout de suite )
  10. Ben, con texte en deux mots évidement : qui désigne tout poste que j'écris. Mais je t'ai déja dit que je suis pas doué en orthographe. .... :smile2: , pauvre Freud, surement un incompris comme moi
  11. photon84

    La fessée interdite

    Réponse a kinoton (en vrac): _Je persiste a dire que, dans la majorité des cas, les parents qui maltraitent leurs enfants en ont conscience, ils peuvent le regrétter, le faire sous le coup de la colère ou d'émotions encore plus noire, ils peuvent le justifier tout en sachant trés bien ce qu'ils font. Mon avis n'est que le résultat de la facon dont je définie la maltraitance. _L'enfant est confronté dés le plus jeune age (a l'école par exemple) à la violence mais pas autant au sex me semble t'il. Vouloir préserver l'enfant contre la violence de la même facon que pour le sex, sa revient à le laisser découvrir ailleur la réalité de la violence, il faut donc la lui éxpliquer rapidement. _La loi du plus fort, c'est pas seulement un concept abstrait, c'est aussi une réalité dans beaucoup de situation. Tu peux vouloir que ton enfant dépasse cette réalité. Mais tu peux aussi vouloir lui apprendre a s'en défendre. L'idée que toute violence est condamnable, qu'elle n'est jamais justifié, c'est un point de vue, pas une vérité absolue. Et beaucoup de parent préfèrent voir leur enfant se défendre plutot que de refuser toute violence. _Je suis d'accord qu'on peut aborder un sujet sans l'appliquer, je pense pourtant que de vivre une éxpérience est bien plus parlant pour l'enfant. Apprendre que la violence peut être un argument d'autorité, je pense que c'est util pour aborder la vie. _Pour moi, plutot que la non violence sans concession, c'est surtout la justice qu'il faut que l'enfant assimil. Je pense d'ailleur qu'une punition injustifié (ou non comprise par l'enfant) et la cause principale d'un traumatisme chez l'enfant, et ce, peut importe la nature de la punition. Bien sur, j'inclus dans punition injustifié les punitions démeusuré au vues de la faute. Et je tiens a préciser que je ne suis pas adepte des punitions corporels, mais je constate que les gens jugent néfaste toutes pratiques éducatives qui diffèrent des leur, sur un sujet aussi sensible et personel que l'éducation, il me semble que la tolérance et l'humilité sont de mise. Pour en revenir au sujet du débat. Vouloir imposer par la loi quelquechose d'aussi subjectif (et même pas partagé) est celon moi parfaitement totalitaire
  12. Les miracles sont des faits à partir du moment ou on les considèr comme tel. as tu vu par toi même les éxpériences prouvant (un exemple parmis d'autre) que la vitesse de la lumière est constante? c'est pourtant un fait scientifique Non, tu fais confiance aux gens qui ont réalisé ces éxpériences, de la même façon, les croyants ont cru (aveuglément je te l'accorde) les 'saints' qui disaient voir des miracles. Question de confiance en faite. D'autre part, la religion possède sa propre logique, certe différente de la logique scientifique, l'existence et la volonté de dieu décrite dans les textes est la base de cette logique. Les incohérance n'ont pas toujours été aussi évidente qu'aujourd'hui, elle découlent de l'évolution rapide de nos connaissances. la religion a su par le passé évolué pour 'lisser' les incohérances. Aprés, j'ai décrit les ressemblances entre religion et science pour alimenter le débat et provoquer un peut :smile2: , ni vois pas une assimilation des deux concept, juste une nuance apporté à la discution. En vérité, je pourrais en dire beaucoup plus sur les différences qui les séparent. Pourtant, je trouve important de bien se rendre compte des similitudes. Mais aussi de relativiser la critique de la religion à la vue du contexte dans lequel elle se diffuse.
  13. Quelques ressemblances entre science et religion. Les deux s'affirment comme vrai, elles ont même tendance à s'accaparer le monopole de la vérité. S'il est vrai que la science peut évoluer car elle reconnait mieux ses limittes, la religion le fait aussi au fil des interpretations, tentant ainsi de garder une cohérance. Les deux s'appuient sur la confiance (la foie) en une élite (religieux /scientifiques), ainsi que dans des textes (textes sacrés/grandes téhories scientifiques) Les deux s'appuient sur des faits pour appuier leurs affirmations (miracles/éxpériences) Les deux s'appuient sur une logique avec des axiomes de base (éxistence de dieux/divers). Et oui trés chères scientifiques , science et religions se supportent difficilement car elles se concurencent trop souvent. Quand on voit que certains utilisent la science pour "prouver" que la féssée :smile2: est mauvaise pour l'éducation, on se demande si la science n'est pas la nouvelle religion.
  14. photon84

    La fessée interdite

    Je suis pour laisser les gens éduquer comme ils l'entendent. La maltraitance n'est pas une question de méthode éducative, c'est une question de volonté de maltraitance. Et oui, les parents qui maltraitent en ont conscience. Soit dit en passant, la maltraitance physique est loin d'être la seule matraitance, et pas forcément la pire. De même toute punition physique n'est pas de la maltraitance. Pour la féssée (si elle est maitrisée), je pense que l'impacte psycologique est bien plus important que la douleur physique, alors quelle différence avec les autres types de punitions? Concernant toutes les études qui peuvent être éffectuées sur le sujet, je doute qu'il soit possible de tirer des conclusions claires sur un sujet aussi complex que l'éducation. Comment connaitre l'impact de quelques féssées sur l'éducation d'une personne. De toute facon, c'est une question de jugement et non de science. Aprés tout, la violence fait partie de la vie, et chacun a son point de vue sur la facon dont il faut l'aborder. Interdir la féssée entrainera surtout des injustices a mon avis (un exemple :les parents qui s'accusent lors des divorces, plus par vengeance que par souci de justice). D'autre part, je ne crois pas que cela diminue les maltraitances réelles (qui bien sur peuvent passer par la féssée), tant une telle loi est inapplicable.
  15. Que ce soit pour les évènement heureux ou pas, les émotions sont bien plus forte lorsqu'elles t'affectent, la mort ou le mariage d'un proche sucite évidement plus d'émotions que ceux d'un inconnu. non ne fait pas d'effort, je constate juste que tu parles souvent de bien et de mal, et douleur et plaisir, là ou moi je dirais : le politiquement correct, socialement, les convenances etc... t'y vas un peut fort la je trouve, cites moi stp que je puisse au moins me défendre. Quand tu vois une injustice, tu sais que c'est mal, et ce n'est pas par convenance ou politiquement correct. Enfin bon, je répond surement a coté de la plaque. Toute question de jugement et une question de bien ou de mal. Et le bien et le mal ont pour origine la douleure et le plaisir, c'est pourquoi j'en parle. Aprés, tu peux trouver que sa sert a rien de voir les choses de cette façon. Nouveau sujet abordé sur radio Gluon, pour enfin renouer avec un théme sérieux:Le 5eme élément, un être formidable qui a sauvé le monde :smile2: . Je répondrais a toutes questions idiotes, métaphysiques ou philosophiques le concernant .
  16. oui, mais dans ton exemple c'est là ou l'homme commencera à dire ce qui est bien et ce qui est mal. hors ce qui est mal pour l'homme ne l'est pas forcemment pour la femme, d'ou le dilemme....il façonne et conditionne les émotions. c'est bien ce que je veut mettre en avant, chacun ressentira les émotions si la situation est (celon lui) bien ou mal. Un évenement neutre sucitera peu d'émotion. Donc Ok sur ce point là j'ai de la difficulté à te suivre car pour moi l'émotion n'est pas profondément égoïste, mais vitale, sans émotion tu es mort spirituellement parlant. Je dit profondément égoiste car les évenements qui t'affectent directement suciterons bien plus d'émotion. Alors qu'en terme de jugement du bien et de mal, qu'ils t'affectent ou pas ne change rien. oui elle se veut universelle, elle est conceptualisé. là ou l'homme met des barrières, je les franchis, donc mon émotion reste intacte....disons que je tends vers ma personnalisation, car comme tu l'as bien dit, le bien et le mal (la morale) dépersonnalise. j'ai ma propre morale, ou une morale qui m'est propre. Conceptualiser le bien et le mal, sa n'est pas mettre des barrières a mon sens mais au contraire en retirer une de taille. C'est comprendre que le bien et le mal ne sont pas ton bien et ton mal, mais celui de chaque Homme animaux ect.. L'émotion a, pour sa part, beaucoup plus de difficulté à se distinguer de ton intéret propre. Quand elle y parvient, je parle d'empathie, et c'est une chose qui n'est pas aquis et qui découle d'un long processus d'apprentissage. tu parles souvent de douleur, et moi je fuis la douleur, c'est là ou le bât blaisse... l'injustice est ce qui t'oblige à réagir....agir c'est se donner les moyens d'être reconnu. La ou je parle de douleur, je pourrait parler de plaisir, je pourrais prendre l'amour comme émotion plutot que la colère, la conclusion serait la même. Je trouvais juste les exemples plus parlant Donc je ferait un effort dorénavant ok pour le 6eme sens, ko pour l'égoïsme. égoistement OK pour les deux :smile2: j'en pense que les écrits restent toujours, que l'inspiration vient en écrivant, et l'appétit en mangeant.
  17. Laisses moi le temps cow boy, je répond en 3 jours et toi en seulement une heure :smile2:
  18. Lol je suis un peut en manque d'inspiration pour te répondre, t'as peut être raison, je ne comprend pas bien ce qu'est l'émotion... Apprends moi alors :smile2: , je suis curieux par nature, peut être me fera tu changer de point de vue. Je te donne quand même mon explication. Je dit que l'émotion est directement liée a ta perception du mal et du bien. Prenons l'émotion suscité par un même évènement chez deux personnes: Disons la mort d'un animal provoqué par la cruauté d'un enfant par exemple. Une personne tierce pourra être choqué (émotivement) alors que l'enfant n'y aura vu qu'un acte amusant. Si on demande a l'enfant s'il a fait quelque chose de mal, la réponse sera sûrement négative alors que le témoin y verra un acte fondamentalement mauvais. C'est un exemple parmi d'autre, mais il démontre bien q'une relation existe. Cependant, je vois aussi une grande barrière entre l'émotion et le bien et le mal. Notre vision du bien et du mal tend à être universelle, un évènement est mauvais indifféremment du fait qu'il nous affecte ou non. Au contraire, l'émotion a quelque chose de profondément égoïste puisque les évènements qui nous affectent directement suscitent de bien plus fortes émotions. On peut évidement ressentir de l'émotion par empathie, mais elle ne sera jamais aussi forte que pour nous même ou nos proches. Mais en y réfléchissant, notre vision du bien et du mal se veut universelle car on la conceptualise. Il intervient une réflexion, une transformation de notre ressenti qui prend en compte que chaque être est égale devant la souffrance ou le plaisir, qui dépersonnalise le bien et le mal. L'émotion, elle est brute, il n'y a pas le filtre de notre raisonnement conscient. Une sorte de sensation de bien et de mal en faite. Dire que l'émotion est reliée aux sens..? dans la mesure ou le bien est le mal sont à l'origine compris comme la douleur et le plaisir, c'est vrai. Cependant, au fil de notre apprentissage, ces notions de bien et de mal se dissocient de la douleur/plaisir, elle prennent un sens beaucoup plus vaste. Par exemple, l'injustice peut amené à une colère noir, c'est pourtant un concept qui n'a aucun lien avec les sens. ( mais que l'on qualifie clairement de mauvais). Pourtant, on peut constater que l'émotion à quelque chose de physique, on ressent l'amour et la colère plutôt que de les penser. En faite, plutôt que de dire que l'émotion est reliée aux sens, je dirais plutôt qu'elle est elle même une sorte de 6eme sens : notre sens du bien et du mal (avec une bonne dose d'égoïsme ). Hey , finalement, l'inspiration vient en écrivant lol, c'était pas facile, mais je crois c'est assez cohérent. Qu'en penses tu?
  19. En faite, une seule chose me dérange vraiment dans cette vision des choses : Soufrance <=> questionnement <=> philosophie La première question à poser, c'est de savoir qu'est ce qui nous inspire un questionnement philosophique (je ne parle pas des questions pratiques de la vie courrante ou techniques). Soit ce questionnement vient du désir de trouver la réponse, soit il vient du désir de poursuivre un raisonnement (la réponse devient alors secondaire, et seul le raisonnement compte). Dans les deux cas, il y a bien un désir à l'origine du questionnement Associer souffrance et philosophie, c'est confondre le désir avec la souffrance. J'estime pour ma part que le désir et autant lié au plaisir qu'a la souffrance. Comme j'ai déja dit, plaisir et souffrance ne sont que les deux penchant d'un même phénomène. La ou certains souffrirons de voir un problème, d'autre seront heureux de l'identifier et de pouvoir le résoudre. Question de tempérement en faite. C'est pourquoi je trouve l'association souffrance et philosophie extrémement péssimiste et négative. D'autre part, je trouve même que ramener la philosophie au désir est également trés flou puisque la pluspart (la totalité??) des actions humaines sont issues du désir. Ainsi philosophie<=>désir est sans doute vrai, mais apporte peu.
  20. Je te dis, le verre à moitié vide ou le verre à moitié pleins, c'est de sa qu'on discute en réalité. As tu déja pensé à l'origine de la vie par exemple? la souffrance n'est pas franchement à l'origine d'un tel questionnement
  21. En effet, tu peut souffrir de ton ignorance si tu n'as pas conscience d'elle, si tu t'implique dans une érreure. Dans tes exemple, c'est plutot le fait d'avoir été (de s'être) trompé et d'avoir cautionné certains actes qui fait souffrir, pas l'ignorance elle même (ou alor indirectement oui :smile2: , mais sa compte pas lol). C'est quand tu sais que tu commences a souffrir, pas quand tu ignores. J'ajouterais qu'il y a une différence de taille entre, 'être dans l'erreur' et 'ignorer' Bon, je me rend compte qu'on est assez d'accord sur le fond, c'est plus une question de réthorique qui nous opposes, a savoir, la différence entre le désir et la souffrance. La ou tu souffres de l'erreure, moi j'ai plutot tendance à être content de la possibilité de le résoudre. Question de tempérement j'immagine.
  22. Non désolé, même si la soufrance peut être un moteur du questionnement (on cherche la réponse à sa souffrance), c'est pas forcément le principale, chaque détail peut prétter à un questionnement. D'autre part, tu as une vision trés pragmatique de la philosophie (pourquoi devrait elle seulement analyser des situations vécues??) alors qu'elle s'approprie également des questions purement abstraites. Une phrase m'interpelle en particulier : "La souffrance du manque de savoir ou de connaissance ..." Personnellement, je vie rarement l'ignorance comme une souffrance. Alors que je vie souvent la découverte comme un plaisir. C'est un peut le dilemne du verre moitié vide ou moitié plein. Un peut d'optimisme svp :smile2: . Autrement dit, la souffrance et le plaisir ne sont que les 2 penchants d'un même phénomène. On peut noter que l'on ignore une infinité de chose alors qu'on ne découvre qu'un nombre fini de connaissance. Aprés, il est vrai que quelqu'un d'heureux aura surement mieux a faire que de philosopher et se remmetra surement moins en question... a moins qu'il ne tire en partie son bonheur du questionnement et du fait de philosopher. PS :ou veux tu en venir Dandy??
  23. Le questionnement n'a pas forcément les soucis (la soufrance) pour origine. A part pour ceux qui considèrent l'inconnu comme un mal. Pour moi, c'est surtout la curiosité qui pousse à philosopher. On pourrait parler de "branlette intellectuelle" ou comment se faire plaisir à partir de rien.
  24. Je suis réclamé pour la chronique de la mort annoncé!!? :smile2: Grand malheur aujourd'hui, j'ai pas le temps de répondre la, comme sa devient compliqué, je remet sa a plus tard . Mais si le bonnheur et le malheur sont a somme nulle, y a surement quelqu'un pour qui c'est une bonne nouvelle .
  25. photon84

    Et un rmiste de plus!

    Je te rejoin dans 6 mois lol
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