Yeardley

Si tu as de grands yeux expressifs et que tu fais ta frange de manière à ce qu'elle arrive au début des sourcils, tu as de grandes chances pour que ton nez soit moins visible. Mais généralement, on ne considére pas une frange comme telle. La frange est là pour cacher un front qui ressemble à une bosse ou des sourcils trop épais et qu'on n'a pas l'envie ¿ ou le temps d'épiler. Pour un nez proéminent, je conseillerais des mèches courtes au niveau des oreilles. Elles viendraient se coller à tes joues pour remonter légèrement pour suivre les contours de ta mâchoire. On aurait l'oeil plus attiré par ta bouche que par ton nez. Enfin, une frange posé sur un front ne change pas le regard d'un nez peu discret. A moins que ce ne soit une frange sur le côté .. A méditer.

Une des raisons qui m'ont poussé à adopter le pseudo « Yeardley » est le fait que ce soit le prénom de la femme qui double Lisa Simpsons dans la célèbre série. Non, je rigole. (Néanmoins, c'est la stricte vérité !) C'est le prénom d'un « héros » d'une fiction du Net, sur un blog savamment créé. J'ai eu un coup de coeur pour la consonnance et le caractère du personnage ¿ un adolescent-homme blasé qui se transforme en un bébé étonnant lors de l'apparition d'une certaine personne (fille devenue garçon quand l'auteur est devenu une sorte de " yaoïste ".) Non que j'ai quelque chose contre les relations homosexuels masculines (ou féminines), je suis juste plus attirée par la fille avant sa transformation soudaine. Autant de choses pour si peu. Pour ceux qui n'aiment pas lire inutilement, je dirais juste que mon pseudo a un copyright. Une certaine auteure fantastique et très jeune qui vaut tous les honneurs d'un auteur de fantastique renommé. Dommage que'Orange Planet et son suivant, Orange Day soit effacé et conservé religieusement dans le manuscrit personnel de cette demoiselle.

Un peu de douceur dans ce monde brute. Le double single des Puppini Sisters (qui ont repris pas mal de chansons des Andrews Sisters) : Jingle Bells. Et aussi Mr. Sandman, du même trio. Alleez, vous connaissez pas la pub ?

Sarah, Satine, Géorgie. Aah. Les prénoms des grands-parents, on aurait pu s'en passer.

Ce n'est pas vraiment une autobiographie, mais c'est tout comme. Embrassez-moi, de Katherine PANCOL (oui, oui, l'auteur de ma signature). Il est touchant, mais ne le lis pas si tu aime les histoires qui finissent bien. Remarque, ce roman fini bien, c'est juste une question de relativité. « Trois vieilles amies se retrouvent à New York. Bonnie est mariée à un milliardaire ; Joan a perdu son mari le 11 septembre 2001 et consacre sa vie aux familles des victimes ; quant à Angela (j'ai corrigé le prénom), elle vit une relation ambigüe avec un jeune architecte à l'histoire et à la sexualité un peu floues. Dans les cartons de l'appartement de Bonnie, qu'Angela occupait jusqu'alors, cette dernière tombe sur un magnétophone dans lequel Louise Brooks, ancienne amie star du cinéma muet, avait enregistré sa voix ... Et se languit patiemment de revoir Mathias, son amant de toujours. » Sources. La quatrième de couverture de l'édition « Le Livre de Poche » : « C'est à New York aujourd'hui. C'est à Rochester dans les années 1980. C'est à Hollywood ... C'est à Paris ... C'est en Tchéquie, avant et après la chute du Mur. Angela ¿ la narratrice ¿ est française. Elle est souvent passée à côté de l'amour sans le voir mais cette fois, elle est face à sa peur viscérale d'aimer. Louise est américaine, ancienne star de cinéma. Elle dialogue avec Angela, lui raconte sa vie, ses amours, ses échcs. Virgile est français. Il aime, mais il se méfie, on ne sait presque rien de lui. Mathias est tchèque. Rien ne peut le détourner de sa route. Il refuse de s'abandonner. Ces femmes, ces hommes traversent le chemin d'Angela, qui cherche désespérément un fil. Le fil de la mémoire, de l'amour, du désir, de la liberté d'aimer ou de répéter sans arrêt les mêmes peurs, les mêmes douleurs, les mêmes échecs .. » En ce moment, je lis « Tendresse des Loups », de René Fregni. Fabuleux et émouvant.