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PASDEPARANOIA

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Tout ce qui a été posté par PASDEPARANOIA

  1. Si vous voulez ouvrir un sujet sur les atrocités perpétrées par ce mec, pourquoi ne pas le faire. Ici on parle de l'armée française. Partie faire diversion chez les autres alors que la situation intérieure était pour le moins tendu. Le prétexte d'aller en finir avec la piraterie fait rire, d'autant plus que l'armée est immédiatement venue occuper, pas délivrer. Il fallait reloger les perdant de la guerre contre les prussiens, c'est à dire expatriés d'Alsace Lorraine. Et le comble c'est que le conflit aurait pour origine le non paiement par l'état français d'une dette contractée par l'armée pour nourrir ses soldats en grain, fournis par l'Algérie. Voilà l'honneur de notre nation ! Mauvais payeur, massacreur, voleur. Ca valait bien le coups de se débarrasser des pirates, nous ne valions pas mieux.
  2. Bon, c'est moins pire qu'il n'y parait alors. Quand tu étudies l'histoire, tu le fais obligatoirement avec ton regard, et ce qu'elle que soit l'époque. Plus la période étudié est proche, plus il est normal d'analyser les faits avec une lecture contemporaine. Savoir qu'un néandertalien bousillait ses congénère nous touche moins que les morts de ce siècle. C'est de l'empathie, pas de l'histoire émotionnelle. Ce qui se cache derrière ce vocable, c'est l'instrumentalisation de l'Histoire pour manipuler ses contemporain. Affirmer que c'est atroce de tuer des bébés n'a rien d’émotionnelle, il n'y a pas de soucis de manipulation derrière ce constat. C'est un constat qui est vrai qu'elle que soit l'époque. Même les Grecques antique ne trouvaient pas ça très classe. Et pourtant la notion de mort, de guerre et de vaincu est de bien loin plus dure qu'après l'avènement du christianisme. Victor Hugo décrivant les atrocités des guerres napoléonienne ne peut être taxé de "bobo émotif". Et quand un officier de l'armée française écrit à un ami pour lui décrire la dureté du conflit algérien, il est dans l'instant, pas dans la manipulation.
  3. Mais t'es réellement con ou tu joues un rôle ? TYu saisi le sens de l'Histoire ? Son but ?
  4. C'est pourtant l'armée française qui "civilisa" Paris en massacrant femme et enfants comme hommes. Armée constituée de paysans incultes. J'aimerai bien savoir ce que peut apporter un pecnot à un autre pecnot, une fois qu'on a tout brûlé et détruit, que la population a fuit. Pour l'histoire mémorielle, je glousse. Quand je lis des écrits d'époque, je ne suis pas dans le mémoriel mais dans le vécu contemporain. Vomir bobo comme du mauvais beaujolais à chaque phrase n'apporte que la preuve de l'insuffisance intellectuelle pour tenter de contrer une réalité éternelle. Les guerres ne sont pas faites par ceux qui les commandent, mais par le peuple. Le peuple, qu'il soit d'un côté du canon ou de l'autre en soufre. L'histoire, généralement, ne retient que les vainqueurs. Les perdant n'écrivent pas. Ils se soumettent. Dans le cas qui nous préoccupe, la conquête de l'Algérie, il est intéressant de constater que même les officiers français parlent d'atrocités. Mais on va nous dire que c'est certainement sur le ton du badinage, qu'il ne faut pas juger avec nos yeux de bobos la virilité poignante d'un conflit juste mené par des hommes justes. On adorerai lire, alors, le récit d'une femme violé par un régiment après avoir vu son bébé empalé sur une baïonnette. Pas une pleurnicherie mémorielle hein, mais du vécu d'époque, si tant est que les victimes de ces atrocité savaient lire et écrire.
  5. Les valeurs morale n'étaient pas les mêmes ? A bon ? Tuer son prochain étai il mieux ressenti il y a un siècle ? Et Miss Tic je ne suis pas horrifié, je constate juste que l'armée est une organisation légalisant le meurtre de masse. Que ce soit en 1850 ou aujourd'hui. On lui trouvera toujours des trous du cul pour lui apporter mérite et gloire, libération des peuples opprimés, démocratie... Conneries. C'est bien de ça dont il est question ici. On nous ressort la sempiternelle lutte contre la piraterie pour justifier de massacres. Est ce que les gens réfléchissent avant d'écrire de telle inepties ?
  6. n'importe quoi. c'est quoi un prêche ? qu'est ce qu'il a de différent ? tu fais dans le religieux, maintenant. J'ai pas compris ta sortie là. Vais essayer de préciser la mienne. Les gens sont libre de penser. Si une organisation sociale, qu'elle soit étatique ou morale, intervient pour influer le contenu d'une discussion, on se coupe de pans entiers de la philosophie. Il faut pouvoir aller au bout de raisonnement même absurdes pour se rendre compte de leurs nullités. Qu'un homme clame qu'il faille brûler les sorcières, fermer les bars, ne plus écouter de musique et que sais je encore, si cette ^parole n'est pas suivie d'actes répréhensibles, ou est le problème ? Je veux dire, qui c'est fait lapider suite au prêche de ce fou ? Le public, aussi con que puisse l'être croyant en dieu, sait faire la part des choses. Moi quand je vais à la messe et que j'entend un curer me menacer des flammes de l'enfer parce que je vis dans le pêché, je ne porte pas plainte pour menace de mort par le feu. Sur le plan des libertés voilà. Maintenant politiquement, je trouve cette mesure opportune en période électorale alors que personne n'a bougé depuis des années. Là comme par miracle l'imam est devenu indésirable.
  7. L'Histoire, c'est que l'armée de l'époque n'était faite que d'assassins. La dimension morale d'un conflit n'était pas ce qui préoccupait les dirigeants. Il n'y a jamais eu de grandeur à être militaire. Tuer, piller, massacrer au nom du roi ou de l'empereur. C'était ça. Des roitelets en manque de conquête militaire pour briller dans les salons parisiens, ordonnant aux gradés de tirer sur les civils, qu'ils soient parisien ou algérien, peut importe, c'est de la chair à canon. A l'époque, la France n'hésitait même pas à demander gentiment aux Prussiens de l'aide pour mater dans le sang les aspirations démocratiques des Français.
  8. L'inquisition et les femmes «La poire vaginale», «les griffes à poitrine», «Les araignées espagnoles», la ceinture de chasteté, le masque de la honte Dans l’église dont la structure est patriarcale et profondément masculine, les femmes devaient inévitablement être punies, souvent de manière bien pire encore que les hérétiques de sexe masculin. A l’encontre de celles-ci l'agressivité et la perversion sexuelle des inquisiteurs se déchaînèrent véritablement. Il y avait des instruments de torture spécifiques, conçus tout spécialement pour les femmes, par exemple «la poire vaginale» qui, par l’action rotative d’une vis, élargissait et déchirait l’utérus et les viscères. Il y avait des «griffes à poitrine» qui déchiquetaient les seins; «d'autres griffes» qui, chauffées au rouge, causaient «seulement» une «morsure» à la poitrine des mères célibataires, dont les enfants se tenaient à leurs pieds, arrosés de leur sang. Il y avait ce qu'on appelait les «araignées espagnoles», c.-à-d. des griffes à cinq doigts en ciseaux qui soulevaient la victime par le postérieur, la poitrine, le ventre ou la tête, mais aussi par les yeux et les oreilles à l’aide de deux griffes. «La ceinture de chasteté» contrairement à la mystification qu’il en a été faite, était en réalité également un outil de torture. Naturellement, il y avait aussi «les masques de la honte» pour les femmes, ainsi que les «poires buccales» confectionnées spécialement contre leur prétendu verbiage. Il s'agissait en fait de bâillons en fer, dont l’extrémité aiguisée en pointe avait pour effet de leur trancher la gorge. Mais au besoin des pierres suffisaient aussi pour mener à bien cette œuvre de destruction. Les femmes ayant commis l’adultère, étaient lapidées ou jetées dans une fosse aux serpents … Jamais il n’y eut une religion qui prêcha autant l'altruisme et l’amour pour le prochain et qui, en même temps, pratiqua autant «la haine du prochain» et la haine des femmes en particulier! C'est en cela que le christianisme catholique et protestant se distingue de toutes les autres religions, à savoir de manière négative. Il ne s'est jamais distingué de manière positive en ce qui concerne l'humanité et la protection des droits de l'homme. Au contraire, il a fallu lutter pour chacun des droits de l'homme à cause de la résistance acharnée de l'église, aussi bien catholique que protestante.
  9. On parle de Paris là, pas d'une tribu de montagnards au Pakistan...
  10. Ah tiens, l'église à mis à mort combien de femmes adultères ses dernière années ? Autant que les musulmans je présume .
  11. Quand un homme commet l’adultère avec la femme de son prochain, ils seront mis à mort, l’homme adultère aussi bien que la femme adultère (Lévitique 20.10) Faut vite coller tous les cathos en zonzon.
  12. Attend, c'est pas toi qui nous disais que sans preuve fallait la fermer, sinon, on était dans un régime communiste ? Le barbu, il a caillassé une moukère ?
  13. Des peuplades ???? En Afrique ???? Qui migrent à cause des imams ??? Putain moi qu pensais qu'ils fuyaient la famine pour venir se gorger d'allocation familiales. Je préfère ça dis donc.
  14. Et les cathos traditionalistes. Je ne crois pas que l'état est à intervenir dans le religieux. Si on constate une dérive illégale et réelle, sanction. Laà; en lisant l'article, il n'est question que de conditionnel. Si c'était un nid de terroristes, on ne le laisserai pas partir. On ne le préviendrait pas par voix de presse... Mais il a une bonne tête de méchant, alors, hop, la com du ministre se met en branle. Votez Sarkozy !
  15. On se gausse. Allons ! Le ministre en personne bouge son cul pour un imam, qui aurait dit qu'il faut caillasser les femmes adultères ? Mais dans n'importe quel bistrot de France je lève 10 connards qui vous soutiendrons que'une femme adultère mérite mille souffrances ! Et pourquoi attendre 20 ans pour le virer ? On le garde sous le coude. Et hop, le Figaro en parle, l'air de rien. Plus grosse est la ficelle, plus vous l'avalez. C'est risible autant de crédulité. Mais on applaudit des deux mains, et sans retenue, le ministre qui vient de sauver la patrie de la guerre sainte. Amen.
  16. Va faire un peu d'histoire et évite de raconter des conneries. C'est pas possible de lire des bêtises pareilles.
  17. On peut revenir au sujet ? Expulsion d'un imam accusé de prêche antirépublicain. Je ne défends donc pas ce pauvre mec. Que ce soit clair, mais je m'interroge sur le calendrier... En période électorale, un coup de vis à droite est bien venu. On n'allait pas demander aux lefevriste de quitter la France, où plus simplement de les interdire de prêche. On se contente de taper sur l'arabe. Ca coûte rien et ça fait plaisir aux inquiets. Mais maintenant, ils vont aller où les barbus ? Dans une cave, se cacher, revenir à la clandestinité. Se radicaliser encore plus. Mais pourquoi demander au gouvernement de contrôler le prêche ??? C'est déjà anti républicain à la base, la religion, ou on la tolère, ou non. On veut quoi ? Des imams, prêtres et rabbins bleu blanc rouge ? Des jureurs, comme aux temps obscur des purges républicaines ?
  18. M'étonne pas. Ben si, un curé qui aurait des propos antisémite, il est normal de le viré car contraire au lois françaises. Propos à la con. Mais on est habitué avec toi. Et le même nous fera un article virulent et criera au racisme quand un député voudra organisé un apéro pinard-saucisson : t'es ridicule... Mais tu peux te carrer ton saucisson où tu veux, libre à toi. J'ai jamais rien dis là dessus, merci de t'en tenir au sujet sans extrapoler sur d'éventuels commentaires que je pourrais faire ailleurs.
  19. c'est parce que cette mesure d'interdiction est prise à l'encontre de musulmans .. que tu nous fais des ronds dans l'eau depuis le début de ce topic? Comprends pas rond dans l'eau. Je trouve que des curés on un prêche détestable, mais c'est pas une raison pour les virer. Et question, si l'imam est français, on l'expulse où ?
  20. Ben tant qu'on ne fait rien aux rouquins, ni aux femmes, on peut dire ce qu'on veut. C'est une question de liberté. Aimeriez-vous que l'état contrôle ce qui se dit dans une assemblée générale syndicale ? Il peut pourtant y être prononcer des propos dure, violents. Mais la parole ne fais pas le passage à l'acte. De plus l'arsenal législatif est suffisamment étoffé pour boucler sur incitation à la haine, ce genre de choses. L'article précise bien que depuis les contrôles, les imans radicaux se calment en public pour prêcher sournoisement en fourbe. J'imagine d'ici la police des moeurs et des religions donner son assentiment sur les discours dans les lieux de cultes...
  21. Ce sont les tunisiennes qui vont être contentes de le récupérer. Le gouvernement ne peux pas et n'a pas à s'immiscer dans le contenu des prêches. C'est en plus pratique de savoir où vont aller les intégristes pour entendre ce qu'ils veulent, on les contrôle mieux. A mon avis c'est pour ça qu'on a attendu si longtemps. Aujourd'hui, il doit être archi cramer et inutilisable, alors on le vire.
  22. Ben les élections. Pour que les droitiers soient contents de voter à droite. On a des terroristes corses et basques en libertés depuis plus longtemps...
  23. Mohammed Hammami se voit reprocher des prêches à caractère antisémite. Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a annoncé la dissolution de l'association Forzane Alizza. Présentés comme des acteurs du fondamentalisme musulman prônant violences et valeurs contraires à la République, un imam parisien et une association Forsane Alizza, «Les cavaliers de la fierté», devraient prochainement être durement sanctionnés. Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant a même annoncé lundi la dissolution de cette association, jugeant «insupportable que dans notre pays, un groupement forme des personnes à la lutte armée». Un porte-parole de Forsane Alizza a de son côté a immédiatement réfuté toute dimension armée, jugeant que les propos du ministre relevaient de «la pure calomnie» et «de la diffamation». D'après nos informations, Mohammed Hammami, imam de la mosquée tabligh Omar à Paris (XIe), a été informé en fin de semaine dernière qu'une procédure d'éloignement, initiée par le ministère de l'Intérieur, était envisagée contre lui. Le 7 février prochain en effet, son cas sera examiné par la commission d'expulsion à Paris. Dès l'avis de cette structure émis - le jour même ou dans un mois -, un arrêté ministériel d'expulsion devrait être pris. Une mesure qui pourra alors s'appliquer sur-le-champ. Né en 1935 et arrivé en France dans les années 1960, Mohammed Hammami, ce Tunisien qui avait ouvert un lieu de culte rue Jean-Pierre Timbaud, dans le XIe arrondissement de Paris, paie aujourd'hui tous ses excès. À l'origine de prêches virulents, notamment à caractère antisémite, il aurait indiqué que: «L'argent des fidèles ne devait pas être placé en banque car il profite aux juifs.» Adepte d'un islamisme radical, il aurait aussi demandé que la femme adultère soit battue à mort. Condamné à quatre mois de prison avec sursis D'après Samir Amghar, chercheur et auteur d'un récent ouvrage sur le salafisme (éditions Michalon), cette mosquée du XIe arrondissement «a régulièrement défrayé la chronique». Dans les années 1990, elle abritait des filières de recruteurs djihadistes. À sa tête, Mohammed Hammami avait été, durant plusieurs années, le représentant du Tabligh en France, ce mouvement «rigoriste et ultraorthodoxe», qui fut, pendant un temps, le «sas du terrorisme». Autre particularité de cette branche de l'islam militant: son fonctionnement comme une secte. «Quand on l'intègre, on est coupé de la société», d'après le spécialiste. Des journalistes qui avaient voulu enquêter, en avaient fermement été dissuadés. Ils avaient été agressés après avoir voulu pousser les portes du centre de formation d'imams situé au château de Grisy-Suisnes en Seine-et-Marne. Présent ce jour-là, Mohammed Hammami en était venu aux mains et avait été condamné à quatre mois de prison avec sursis. Mais depuis que le Tabligh est représenté au Conseil français du culte musulman, il «s'est désectarisé», selon Samir Amghar. Entre-temps, Mohammed Hammami a été écarté de son rôle de leader au sein du mouvement. «Concernant ses prêches, je sais qu'il a été très critique à l'égard des régimes arabes», indique le spécialiste qui admet ne pas avoir eu connaissance de propos pouvant heurter les valeurs de la République française. «Mais il y a aujourd'hui beaucoup d'autocensure de la part des imams depuis que plusieurs d'entre eux ont été expulsés. Du coup, il y a la parole officielle et la parole officieuse tenue en petit comité», explique-t-il. Des prêches surveillés Depuis le 11 septembre 2001, en effet, les prêches sont surveillés par les services du renseignement intérieur. Sur les 145 mesures d'éloignement d'islamistes qui ont été prises, 34 concernaient des imams ou des prédicateurs. Des expulsions qui, à chaque fois, ont lieu sur la base de l'article L 521-3 du Code d'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile. Le texte évoque notamment «des actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination, à la haine ou à la violence contre une personne déterminée ou un groupe de personnes». L'association Forsane Alizza qui signifie «les cavaliers de la fierté» et créée en août 2010 doit être pour sa part dissoute à la suite d'une enquête la concernant. Selon le rapport de police, ce groupement propage «une théorie de promotion de la lutte armée pour des motifs religieux». Prônant l'instauration du califat en France, il remettrait en cause notre régime démocratique. Opposé à la loi interdisant le voile intégral, son fondateur, Mohammed Achamlane se serait, quant à lui, illustré en août dernier en brûlant publiquement un Code pénal. Trois motifs sont aujourd'hui invoqués pour cette dissolution. L'association qui présente «le caractère de groupes de combat ou de milices privées» a pour but «d'attenter à la forme républicaine du gouvernement» et propage «des idées racistes et antisémites». Forsane Alizza qui s'est vu adresser un courrier l'informant de cette procédure doit y répondre dans 10 jours. Ensuite, un décret en Conseil des ministres sera pris entérinant cette décision. Angélique Négroni Le FIGARO
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