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Pheldwyn

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Tout ce qui a été posté par Pheldwyn

  1. Pas forcément, si elle est mauvaise. Il faut comparer avec la même règle, ce qui est différent. Et si possible une règle qui tient compte de l'ensemble de la réalité de l'emploi.
  2. Pheldwyn

    Votre série du moment

    Oui, faux vraiment que je regarde ça. J'ai déjà commencé à en regarder 2, faut que je me prenne le temps de voir tout le reste. J'avais bien aimé ... mais j'ai décroché au début de la saison 2.
  3. Juste un sondage pour connaître vos avis sur les différentes réformes des retraites qui sont sur la table : Celle de la NUPES, si jamais elle obtient une majorité (ce qui semble peu probable) Celle d'Ensemble Et le système actuel Pour Ensemble, la réforme n'est pas encore suffisamment précise : au départ il s'agissait de passer l'âge légal à 65 ans, mais Emmanuel Macron y a apporté la possibilité d'une première étape à 64 ans avec une clause de revoyure. En ce qui concerne les annuités : je ne crois avoir rien lu à ce sujet. Aujourd'hui, elles sont fixées à 43. La logique voudrait que l'augmentation des annuités aillent de pair avec le relèvement de l'âge minimal, mais ce n'est pas obligatoire. Je voulais faire 2 hypothèses (celle qui va la moins loin et celle qui va le plus loin), mais cela aurait divisé le poids sur le sondage, donc j'ai mêlé les deux hypothèses. J'en profite également pour clarifier certains points concernant les retraites : Age Légal Il s'agit de l'âge minimal où l'on peut prétendre à partir en retraite (celui dont on parle lorsque l'on évoque la retraite à 60 ans, 62 ans ou 65 ans). Cela ne veut absolument pas dire que l'on peut partir à cet âge avec une retraite complète ou avec un taux plein (c'est à dire sans décote). Il s'agit juste de l'âge où vous pouvez partir. De 62 ans actuellement, la NUPES propose de le ramener à 60 ans, Ensemble au contraire de le porter progressivement à 64 ans, puis peut-être 65 ans. Annuités C'est le nombre d'annuités (les trimestres) qu'il vous faut cumuler pour obtenir une retraite à taux plein (sans décote) et complète (sans proratisation), une fois l'âge légal atteint. Actuellement, il est de 43. La NUPES propose de le ramener à 40. Ensemble n'en parle pas : cela veut dire qu'il restera sans doute à 43, ou qu'il serait peut-être porté à 44 ou 45 pour suivre la progression de l'âge légal. Proratisation et retraite complète Une fois atteint l'âge légal, le deuxième critère est donc d'avoir cumuler suffisamment de trimestres. Si c'est le cas, vous pouvez partir avec une retraite dit complète. Sinon, vous ne recevez que la proportion correspondant aux trimestres validés (donc la pension complète moins les trimestres manquants). Dit autrement, si vous n'avez validé que 85% de vos trimestres, vous ne touchez que 85% de votre pension. C'est ce que l'on appelle la proratisation. La NUPES et Ensemble conservent cette même logique. Décote, âge du taux plein et retraite à taux plein A ne pas confondre avec la proratisation, il y a aussi la décote qui vient se cumuler. La décote intervient également lorsque vous n'avez pas l'ensemble de vos trimestres, et si vous n'avez pas atteint l'âge du taux plein (aujourd'hui, 67 ans). En effet, passé cet âge (67 ans), pas de décote, même si vous n'avez pas vos trimestres (mais vous n'aurez pas pour autant une retraite complète !). Chose importante : si vous n'avez pas le nombre de trimestres, vous pouvez donc subir et la proratisation, et la décote (c'est le cas en dessous de 67 ans). Dans les faits, lorsque vous partez à la retraite, le montant de votre pension est calculé au taux de 50% du salaire brut pris en référence. La décote vient diminuer ce taux de 50%. A l'inverse, si vous cumulez davantage de trimestres, vous pouvez voir ce montant augmenter (surcote). La NUPES veut supprimer cette notion de décote. Ensemble semblerait conserver l'âge de 67 ans pour le taux plein, malgré l'augmentation de l'âge légal. Retraite à taux plein ≠ Retraite complète C'est ce qu'il faut comprendre pour s'y retrouver. La décote ne concerne pas la notion de retraite complète, mais celle de retraite à taux plein. Vous pouvez avoir une retraite à taux plein, sans qu'elle soit pour autant complète.
  4. Mais qui parle d'empêcher la créativité. Revoie ton dictionnaire : faire toujours plus de pognon sur la gueule des autres, ça ne s'appelle pas "créativité".
  5. Alors que la droite pense agrandir le gâteau pour s'accaparer les parts en plus, et laisser les mêmes miettes au plus grand nombre. Donc, je préfère que les gens reçoivent des "petites parts" que des miettes. Et la droite oublie juste un détail : on n'a pas un accès illimité aux ingrédients pour le gâteau.
  6. Elle voit surtout le mal à droite.
  7. Pheldwyn

    Elisabeth Borne 1ère ministre.

    Bah si, justement. En disant que la réforme des retraites serait indispensable : elle ne l'est pas.
  8. Et donc, tu places où le NPA et Lutte Ouvrière, qui ont toujours été historiquement qualifiés d'extrême-gauche ?
  9. Pheldwyn

    Elisabeth Borne 1ère ministre.

    En plus la pauvre dame nous explique que le COR ment aux Français. Si ce n'est pas pathétique ?
  10. Personnellement, j'utilisais Première Pro (pas si compliqué à utilisé au final, pour faire du montage simple). Mais bon, je cherche une alternative gratuite, dans le même genre.
  11. Certes, mais j'ai essayé de le faire en prenant le recul nécessaire. Factuellement rien ne place LFI à l'extrême-gauche : sauf si l'on considère réellement que c'est un parti anti-républicain, anti-laïc et pour l'islamisme. Mais une fois ôté ces invectives stupides, si l'on regarde le programme et même les discours, cela reste un mouvement de gauche. De gauche radicale, certes, qui veut rompre avec la logique néolibérale (mais c'est plutôt logique, à gauche). Concernant le RN ou Reconquête, on peut ôter les invectives "fachos, racistes", il est difficile de ne pas voir dans les propos ou le programme de Reconquête des echos d'autres mouvements ou idéologies passées. C'est moins direct avec le RN qui a lissé son image, mais lorsque l'on rentre dans le programme et dans le fond idéologique, le racisme et la recherche d'un bouc émissaire est là aussi manifeste. La places des thématiques migratoires et sécuritaires également. La composante sociale du RN peut être taxée de populiste, ou plutôt démagogue, dans le sens où elle sert de prétexte à promouvoir des mesures anti-migratoires, sans jamais réellement proposer de véritable mesures sociales dans le programme. Je conçois que ce dernier jugement pourrait être qualifié de subjectif, mais il reste pour moi une évidence. Là encore, c'est leur jeu, leur définition de la gauche se limitant à : "tout ceux qui ne sont pas farouchement opposés à l'immigration". Tiens, Zemmour a t'il déjà utilisé ce qualificatif "de gauche" envers Lepen ? Je ne sais plus, mais au final, ça ne m'étonnerait même pas. Reste que LREM est sur un position économique fortement libérale. Macron a été qualifié "président des riches", et ce qualificatif n'est factuellement pas infondé et correspond à la politique qu'il a mise en place. Le credo était là aussi complètement libéral : l'idée qu'enlever des barrières à ceux qui réussissent et partagent les profits de la nation, devrait rejaillir, "ruisseler" sur les classes moyennes. Je ne vais même pas critiquer cette idée, juste insister pour dire qu'elle n'est clairement pas de gauche. Et comme les principales mesures du quinquennat de Macron se sont faites sur cette philosophie, difficile de voir ce qu'il y a "de gauche", encore une fois. Il ne se rattrape même pas sur le climat. Et puis, il y a une expérience assez drôle et assez simple : il suffirait de réunir tous les gens qui soutiennent Macron par exemple sur ce forum, et leur demander ce qu'ils pensent de "la gauche". Juste pour se faire une idée J'ai cru entendre Macron l'employer ? (j'ai peut-être un wagon de retard ?) C'était davantage un clin d'oeil. Même si Macron semble être l'un des plus fervents représentant du néo-libéralisme en France. Certains diront que ce n'est rien comparé au reste du monde. Mais donc, même, l'un des plus fervents représentant du libéralisme en France. Il semble, sur cette questions, aller même plus loin que les LR (ce qui les a mis à la rue toutes ces dernières années, car incapables de se positionner face à quelqu'un qui fait à leur place ce qu'ils n'ont jamais osé faire). Bref, c'est à cet extrêmisme là auquel on pourrait penser, lorsque l'on a vu le jusqu'au boutisme sur bien des sujets : gilets, jaunes, retraites, etc ...
  12. Peu importe les invectives que chacun s'assènent de part en part. A un moment donné, on peut aussi prendre du recul et avoir un classement davantage basé sur les discours et les propositions. Encore une fois, je ne vois rien qui classe LFI à l'extrême-gauche. Le NPA davantage, et Lutte Ouvrière oui. Concernant Reconquête et le RN, je vois différents éléments pour les classer à l'extrême-droite (même s'il ne s'agit pas des même extrême-droites). Les LR sont à droite. EELV et le PCF sont comme LFI à gauche (comme la NUPES). Le PS s'était droitisé (allez, on va parler de centre-gauche pour te faire plaisir) en adoptant une ligne économique libérale. Il s'étant retrouvé "entre" depuis, mais en joignant la NUPES Olivier Faure a clarifié la ligne politique identifiant le PS de gauche. LREM est manifestement à droite, à la limite centre-droit (comme l'était déjà le Modem), même s'il est souvent bien davantage libérale que les LR (l'expression d'extrême-centre pourrait avoir du sens, en effet). Alors, effectivement, tout cela dépend de la définition que l'on donne de gauche et droite, et les critères pris en compte comme axes. Peut être qu'une représentation pyramidale serait plus parlante. Ou un diagramme de Kiviat : on verrait que LREM est au final loin d'être au centre par bien des aspects.
  13. Bah ils ont surtout décidé d'être de gauche. Mais bon, encore une fois, ils ne promettent pas non plus les 32h. Ils posent les bases pour en discuter, c'est différent. Ce sera certainement une réforme nécessaire dans 5 ou 10 ans. Et pas qu'en France, d'ailleurs.
  14. Elle n'est pas "perçue" : il y a eu une campagne de la droite, puis des médias, puis de LREM pour imposer ce qualificatif d'extrême-gauche, dans un sens de dénigrement. Le but étant de disqualifier un adversaire politique. Bref, c'est une guerre de mots, qui rejoint la même logique que l'islamo-gauchisme, le wokisme et compagnie. Mais d'un point de vue politique, les idées de la NUPES ne diffèrent pas des idées du PS d'il y a 10, 20, 30 ou 40 ans. Mélenchon n'a finalement pas changeé de ligne depuis qu'il était au PS. La ligne économique et sociale ou se trouvaient les frondeurs du PS, les écolos et le PCF, Benoît Hamon lors de sa candidature en 2017, et en fondant Generation.s, Anne Hidalgo cette année, etc ... Une ligne de gauche tout ce qu'il y a de plus banal enen fait. Alors pourquoi les taxe-t'on d'extrême-gauche ? Encore une fois, juste par dénigrement. Tout s'est fait en parallèle de la dédiabolisattion du FN. Il fallait dire que le FN n'était pas si extrême, donc relativiser. C'est la droite qui a commencé par dire, lorsqu'on lui reprochait ses accointances avec l'extreme-droite, que la gauche défilait bien parfois avec le NPA (d'extrême-gauche). Bon, puis comme le NPA était quand même assez distant du PS, ils ont visé les communistes. C'est vrai, de verticales types d'extrême-gauche les gens du PCF. Puis, au final, ils ont voulu mettre en balance Mélenchon et Lepen, dire que c'était la même chose. Le but étant toujours le même : banaliser Lepen et les thèses du FN. Aider à la dédiabolisation. Jusqu'à arriver désormais, à diaboliser la gauche. En la qualifiant d'extrême, même si elle ne propose rien d'extrême , rien de bien différent, encore une fois, qu'il y a 20 ou 40 ans. Quand à l'aile droite du PS, oui, ils ont beau jeu de reprendre ce qualificatif. Cela leur permet de faire croire qu'ils seraient sincèrement de gauche (alors qu'ils sont au final en accord dans le fond sur la politique néolibérale de Macron), en dénigrant les valeurs de gauches traditionnelles comme "extrêmes". Cela me sidère un peu : cela prouve que les gens n'ont plus de repères et ne savent plus de quoi ils parlent. Ça fait flipper. Bref, les questions sont au final plus simple. Qu'y a t'il de gauche chez les gens du PS dont tu parles ? Qu'y a t'il d'extrême dans les propositions de la NUPES ? Qu'entend-on, au final par "extrême" ? Pour moi, il s'agit davantage de partis qui remettent en cause les principes républicains : par exemple Lutte Ouvrière qui prône le grand soir et la prise du pouvoir du peuple par la grève. Le NPA qui est un peu sur cette ligne. A l'opposé, le RN qui remet en cause les principes d'égalité et de fraternité, et bien souvent de laïcité. Qui porte des thèses racistes, etc ... Ce n'est pas le cas de la NUPES qui s'inscrit dans une démarche électoral (accéder au pouvoir par les urnes), qui s'inscrit dans une démarche républicaine (en proposant une refonte davantage démocratique et participative) et qui au final, encore une fois, n'est jamais que l'union des partis de gauche autour des valeurs historique de celle-ci. Ah ? Depuis quand la compétence est un critère pour garder un ministre Et sinon, pourquoi lui précisément ? Ta phrase ne s'appliquerait pas aux autres ?
  15. Tous les partis de gauche ont les 32 heures en tête. C'est loin d'être une découverte !
  16. La mesure est déjà de revenir à une véritable application des 35h en arrêtant d'exonérer les heures supplémentaires. Bref revenir à avant Sarkozy. Pour les 32h, c'est un programme électoral qui pose des objectifs : l'idée est d'installer cette idée, il ne s'agit pas de les mettre en oeuvre pour tout le monde. Ils en parlent pour certains métier pénibles et le travail de nuit, en compensation. Ce serait déjà un début, et ce n'est ma foi pas idiot. Ensuite, il laisse les 32h à une négociation par entreprise. C'est déjà plus ou moins ce qu'il se fait en Allemagne il me semble. Le passage aux 35h a été mal accompagné, mais il n'en reste pas moins qu'il a permis de créer de nombreux emplois, même si on ne sera pas d'accord sur les chiffres. Avec l'automatisation des métiers, c'est selon moi un chantier qu'il est souhaitable de mettre sur la table. Car c'est une évidence : la quantite de travail diminue. Pire : elle doit diminuer, vis a vis de notre empreinte sur l'environnement.
  17. Avec le système actuel, cet étudiant devrait partir à 68 ans (43 annuités), pas 65 ans. Et s'il est usé ou fatigué et veut partir à la retraite en touchant moins de pension, il ne peut le faire avant 62 ans (et non 60). C'est ça l'âge légal minimum. Macron propose de porter cet âge minimal à 65 ans (et plus 62). Donc la norme serait que personne ne parte plus avant 65 ans, même à pension réduite. Donc notre étudiant ne pourra pas partir avant 65 ans, et devra continuer comme actuellement jusque 68 ans pour avoir ses 43 annuitées (alors que je le rappelle, il partait à 65 ans avec Mélenchon puisque seulement 40 annuités). Et encore ! On ne connait pas les contours de la réforme Macron, je n'ai pas vu ce qu'il disait des annuités : car s'il relève l'âge minimal de 3 ans, il serait logique qu'il réhausse les annuitées de 2 ou 3 années également. Car quelqu'un qui commence à 20 ans et qui ne peut partir avant 65 ans, on lui demande l'équivalent de 45 annuités. Il serait donc logique que celui qui commence à 25 ans s'acquitte des mêmes 45 annuitées (non ?) .... et parte à 70 ans ? Une hausse de l'âge minimal s'accompagne généralement d'une hausse des annuités. Dans tous les cas, on voit bien que les deux réformes n'ont strictement rien à voir : celle proposée par Mélenchon améliore les droits à la retraite par rapport à actuellement, celle de Macron les diminue. Comment arrives-tu à la.conclusion que ce serait la même chose ?
  18. La droite et le centre droit, en fait. La gauche n'est pas réduite à son extrême : l'extrême-gauche est toujours là avec le NPA et Lutte Ouvrière, et la gauche est réunie dans la NUPES. A droite, LR peine à exister car LREM lui a pris la place et les idées. Elle n'arrive qu'à subsister en adoptant une ligne sécuritaire ou nationaliste plus dure, mais de ce côté elle se heurte à l'extrême-droite.
  19. Bien qu'on peut nier l'existence des races, puisque justement les races n'existent pas chez l'humain : ça n'a aucun sens scientifiquement.
  20. Rien à redire, c'est exactement ça.
  21. Mais c'est quoi ce titre de topic au fait ?
  22. J'imagine la gueule de l'anti-wokiste obsessionnel Blanquer lorsqu'il a appris qu'il se faisait remplacé par un wokiste. J'adore Ah puis la tête de Darmanin Bon la manoeuvre est grossière, on se doute que la personnalité n'a pas été choisie au hasard. Macron croit-il encore qu'il va récupérer les profs ? Qu'il va dégoupillé la gauche ?
  23. Mais j'avais bien compris, et je suis bien d'accord avec toi. Mais du coup, je ne vois toujours pas le rapport avec mes propos. La politique n'est malheureusement pas autre chose qu'une confrontation d'influences et de rapports de force. Désolé de casser tes rêves, mais on n'a rien sans rien. La désobéissance n'est pas un but en soit, et elle ne sera faite que pour pouvoir appliquer des mesures visant à améliorer les choses pour nos intérêts nationaux, mais qui pourraient concerner chacun des pays membres. Que chaque pays ait la main, la souveraineté sur son eau et son énergie, ça ne me choque pas outre mesure. Il y a là de fait une opposition net avec l'Europe actuellement libérale : ne pas céder certains pôles au marché, à la finance. Encore une fois, je suis pour l'Europe, pas pour la finance débridée.
  24. Arrivé 3ieme, à même pas 1% du second, je n'appelle pas cela se faire "rejeté". Sinon que dire des autres ? Sinon, si tu avais un tant soit peu d'objectivité, tu reconnaîtrais que la France est en gros divisée en 3 pôles. Une gauche assumée avec la NUPES, un populisme d'extrême-droite avec le RN et Reconquête, et une droite néolibérale avec Ensemble. Ensemble, mais on ne sait toujours pas pour quoi faire, puisque tu es apparemment incapable de nous expliquer leur projet, leurs mesures, leurs orientations : à se demander, même, si ça t'intéresse.
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