Aller au contenu

Kégéruniku 8

Membre
  • Compteur de contenus

    8 039
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    5

Tout ce qui a été posté par Kégéruniku 8

  1. La nature n'est pas consciente, Dieu est supposé l'être.
  2. C'est vrai, pour parler de criminel il faut un acte coupable et une intention coupable. Un séisme ne peut donc l'être. Mais Dieu l'est bien.
  3. Dark Vador n'existe pas, pourtant on peut parler de lui et user de nombreux qualificatifs pour le décrire. Par exemple, Dark Vador est un criminel de guerre. Il en va de même pour Dieu. On peut parler des personnages de ficitions et commenter leur caractère ou leur nature. Je n'interprète rien du tout. Je me contente d'appliquer une définition. Tuer est un crime. Une personne qui tue est un criminel. Dieu tue, Dieu est un criminel. C'est aussi simple que ça. Quant au problème, il doit être réel puisque lorsque Dieu tue les premiers nés d'Egypte, c'est une punition, une plaie, plus précisément. Lorsqu'il déclenche le déluge, c'est encore une fois une punition. De même lorsqu'il s'agit du massacre de Sodome et Gomorrhe. Je ne le maudit pas, j'applique une simple définition. Celui qui ôte la vie, tue et donc commet un crime. Il n'y a pas de jugement de valeur à dire qu'une personne qui commet plusieurs fois un crime est criminelle, il n'y a qu'un constat. A aucun moment je ne dis que c'est mal ou bien, je dis seulement que c'est. Toujours pas. Je demande en quoi c'est un cadeau. Pour ma part, je n'y vois toujours ni bien ni mal, il "donne" la vie, c'est tout. Tu m'accuses d'interpréter, mais jusque là, c'est toi qui ne fait qu'interpréter mes propos. Et pour le message, c'est joli de dire que non, ce n'est pas ça, mais une simple négation ne suffit pas. Rien ne me dit cela et rien ne me dit qu'il n'en fera rien. Ce qui est dit par contre, c'est qu'il leur a ôté la vie, sans leur laisser le choix, et donc en dépit du libre arbitre qu'il prétend respecter. Dieu nous à fait son image, il est donc normal de lui prêter des qualités d'homme, non? Et par définition, quand on donne on ne reprend pas. Sinon ce n'est pas un don, mais un prêt. Pour ce qui est de la phrase de Socrate que tu sembles particulièrement apprécier, je trouve l'utilisation que en fait très amusante. Lorsque je dis quelque chose, tu m'assènes qu'on ne sait rien, mais ça ne t'empêche pas de lancer des affirmations à tout va de ton côté. Très amusant.
  4. Je n'ai jamais dis que Dieu existe. :/ Je ne crois même pas en Dieu. :/ J'ai dis que les juifs, les chrétiens et les musulmans croient en un dieu criminel. Leurs propres textes sacrés décrivent un dieu qui tue et extermine à de multiples reprises. Ce qui ne les empêche pas de dire que dieu est amour. Et non, ce n'est pas l'amour que de permettre d'exister. En quoi serait ce une démonstration d'amour? Et pire d'amour ultime? D'autant plus que d'après le coran (je ne sais pas si c'est pareil pour les autres monothéismes) dieu à créé les hommes pour qu'ils l'adorent. S'il fait preuve d'amour, c'est seulement envers lui même. Quant au message des livres sacrés il est clair, faite ce que dieu veut, ou aller vous faire mettre en enfer. C'est beau l'amour. Pour finir, un père qui tue certain de ses fils, même si c'est pour le bien des autres, c'est un père criminel. Tuer est crime, dieu ayant tué à de multiples reprises, c'est un criminel.
  5. D'après les textes sacrés, Dieu à fait mourir tous les premiers nés des égyptiens. Si c'est pas de l'infanticide de masse ça, je vois pas ce que c'est. Alors oui, les juifs, les chrétiens et les musulmans adorent un Dieu criminel. mais ils disent toutefois que Dieu est amour, miséricorde et tout le tratouin. Parce qu'on ne dit pas de mal de ce qu'on adore.
  6. Pour la même raison que juifs, chrétiens et musulmans refusent de reconnaître que leur dieu est un criminel infanticide. On ne dit pas de mal de ce qu'on adore.
  7. Tu ose prétendre que tous ceux qui marchent sur la pelouse ne le font pas exprès?
  8. Le pire ce sont les gens qui marchent sur la pelouse, foulant ainsi du pied des centaines, des milliers, que dis-je, des millions de vies. Du brin d'herbe aux pucerons en passant par ces pauvres petites bactéries si belles et majestueuses que de cruels individus piétinent allègrement. Je te nettoierai bien tout ça au karsher moi. u_u
  9. Okay, ce sont des illusions, néanmoins, le cannabis en provoque pas le soda. Donc, ça tient toujours. Les personnes qui se font vomir ne sont pas dégoûtés par les produits qu'ils consomment, au contraire. Ils veulent profiter du produit sans en subir les conséquences. Ils mangent et y prennent du plaisir, puis vomissent pour ne pas grossir. S'ils venaient à s'écoeurer du soda, ils n'en boiraient pas.
  10. Et bien soit, voici quelques différences qui me viennent: Le cannabis est une drogue, pas le soda. Une personne dégoûtée du cannabis pourra continuer à en fumer, une personne dégoûtée du soda n'en boira plus. Il n'est pas nécessaire d'apprécier les valeurs gustatives du cannabis pour désirer en consommer, c'est nécessaire pour la consommation de soda. Le cannabis peut provoquer des hallucinations, pas le soda. Pas la peine d'en mettre plus, puisqu'il suffit d'une différence pour montrer que soda et cannabis ne sont pas identiques. Merci de confirmer ce que je disais. L'alcool et le tabac sont des drogues provoquant une addiction bien plus forte que celle du cannabis. Elles sont plus dangereuses pour l'organisme et quant à l'alcool il rend le consommateur plus dangereux pour la société que ne peut le faire le cannabis. Mais, le cannabis étant illégal, on a tendance à imaginer qu'il est plus dangereux, alors qu'il est simplement moins intégré à nos moeurs.
  11. Je te félicite pour ta compréhension, mais, serait il possible que tu me montres donc ces similitudes? Qu'elles puissent être soumises à la critique. http://felina.pagesperso-orange.fr/doc/drogues/roques.htm Sur ce lien tu pourras voir un extrait du tableau du rapport de Roques. Tu verras que les cannabinoïdes sont considérés comme provoquant de faibles dépendances.
  12. Je dois avouer que face à une telle affirmation je ne vois même pas par où commencer, de fait, j'ai besoin d'être aiguillé. ^^ D'après le rapport de Roques, la dépendance psychique provoquée par le cannabis est faible, bien qu'il y ait des exceptions possibles.
  13. Absolument identiques??? Il va falloir que tu me montres en quoi, parce que je t'avouerai que j'ai bien du mal à discerner toutes ces similitudes de moi même.
  14. Justement non, ce n'est pas la même chose de ne pas vouloir ou de ne pas pouvoir. Et le pouvoir addictif d'une drogue n'explique pas totalement l'utilisation qui en est faite, mais il l'explique en partie. De nombreux fumeurs fument, pas par envie ou par plaisir, mais parce qu'ils ont fait l'erreur de commencer. Ils continuent "seulement" à cause du pouvoir addictif du tabac. Il y a même des fumeurs qui ne supportent que mal la fumée, comme il y a des alcooliques qui n'apprécient même pas le goût de l'alcool. C'est là la grosse différence entre addiction et impulsion. Une personne qui n'aime pas le soda n'aura pas d'impulsion. Une personne dégoûtée du soda n'en n'aura pas non plus. Une personne dégoûtée de la drogue continuera à en consommer à moins de parvenir à se sevrer. Et le fait de vouloir se sevrer ne suffira pas forcément pour y parvenir.
  15. Parce que concernant le tabac et l'alcool, ils font partie de notre culture. Du coup, concernant ces produits, on a tendance à dédramatiser, la plupart des gens ne considèrent même pas l'alcool comme une drogue. Un type qui fume un joint c'est un drogué, un type qui boit un verre de rouge tous les jours c'est un bon vivant. La vision qu'on a de la cigarette commence à changer, on commence à montrer que c'est une drogue, mais pour la plupart de gens ça reste moins nocif et moins addictif que le cannabis. Ce qui est totalement faux. Il reste encore beaucoup de relents de l'époque où l'on faisait l'apologie de la clope, où l'on allait même jusqu'à dire que le tabac était bon pour la santé, donnait du charisme et embellissait. Chez les jeunes, seule partie de la population où le taux de fumeurs ne baisse pas, l'image du tabac colle encore à celles très racoleuses du rebelle ou du caïd.
  16. Il n'y a rien d'étrange puisque le fait que le cannabis soit moins addictif est l'un des éléments qui le rendent plus populaire. (les gens qui ont envie d'être accroc, perso, je n'en connais pas.) ça plus le fait que le cannabis soit bien moins cher. (l'héroïne, ça coûte quand même les yeux de la tête.) Et sans oublier le fait que le cannabis est bien moins dangereux et les peines moins lourdes.
  17. Les addictions alimentaires, les addictions au jeu, les addictions au sport, les addictions aux mutilations, et les addictions à tout autre chose sont principalement le fait des personnes. Ce n'est pas le casino qui rend accroc, c'est la personne qui en devient dépendante. Même si le corps libère de la dopamine après que l'on se soit mutilé, les blessures ne sont pas addictives, et pourtant il y a des gens qui ne parviennent plus se passer de leurs scarifications. Là où il y a source de plaisir, il y a possibilité d'addiction, mais la réalisation de cette addiction dépendra en grande partie de la personne. Pour ce qui est de la drogue, le processus est plus systématique. La possibilité d'addiction est plus importante, même si elle n'est toujours pas obligatoire et que sa réalisation dépendra également de la personne, pour le coup le produit est addictif en lui même. Et selon les produits, il l'est d'ailleurs plus ou moins. Par exemple, le cannabis est bien moins addictif que le tabac ou l'alcool, parce qu'il reste bien plus longtemps dans l'organisme, et ses effets perdurent. A l'inverse, l'héroïne est très addictive parce que ses effets sont puissants, mais s'estompent relativement rapidement.
  18. Il n'est pas nécessaire d'être malade pour devenir toxico, même si devenir toxico c'est devenir malade. Par contre, concernant l'addiction alimentaire, ça touche des gens qui sont malades à la base, avant de devenir accrocs. Les rares cas où l'on parle d'addiction alimentaire concernent quasi-exclusivement des personnes qui souffraient auparavant de boulimie ou d'anorexie mentale, ou d'autres troubles alimentaires. En gros, ce sont généralement des troubles du comportement alimentaire qui causent les addictions alimentaires. De la même façon que désir et obsession sont deux choses différentes, l'impulsion alimentaire et l'addiction alimentaire sont deux choses différentes. Le conseil européen de l'information sur l'alimentation fait la distinction entre addiction alimentaire, troubles du comportement alimentaire et impulsion alimentaire, et précise qu'on ne peut parler d'addiction alimentaire que dans de rares cas. (et d'ailleurs, d'après leur site officiel, il est dit qu'il existe des similitudes entre l'action du sucre et de la drogue, il n'est pas dit que le mode d'action est le même, ou quoique ce soit d'autre...)
  19. Alors, pourquoi le glucose n'est pas considéré comme une drogue, si c'est la même chose? Cette ineptie n'est pas de moi, ce sont les principaux critères définissant une addiction, établis par les spécialistes en dépendances. Sinon, effectivement, les addictions alimentaires existent également, même si elles sont en réalité très rares. on a tendance à les confondre, comme tu l'as fait, avec les impulsions alimentaires. Et les addictions alimentaires, contrairement aux autres addictions, relèvent quasiment toujours de la psychopathologie.
  20. Je te souhaite un joyeux anniversaire. ^^

  21. Si tu manges de façons équilibrée, ton envie de graisses et/ou de sucre s'estompe puisque celle ci ne répond plus à aucun besoin. Si tu manges de façons déséquilibrée, les besoins de ton organisme te feront désirer d'autres aliments plus riches en graisses et/ou en sucre pour compenser ce qu'il te manque. Et ça, si je me souviens bien, c'est parce que l'homme a d'avantage connu la faim et la famine que la saciété. De fait, il faisait privilégier les aliments riches en graisses et en sucres, puisque ceux ci lui permettait de supporter d'avantage la faim. Ce sont des aliments qui "tiennent mieux au corps". Et le fait de se tourner vers le sucre et la graisse lorsqu'on mange de façon déséquilibrée serait lié à ça.
  22. Euh... Ce n'est pas parce qu'on suppose, avec un certain degré de probabilité, qu'il y a des ressemblances que c'est la même chose. :/ Sinon le glucose serait considéré comme une drogue, ce qui n'est pas le cas. Tout ce qui est dit c'est qu'il est probable que le glucose stimule les mêmes zones du cerveau que les drogues. http://www.passeportsante.net/fr/Actualite...e_dependance_do Je n'ai pas retrouvé la source originelle, mais si j'ai bon souvenir, je la tiens d'un autre débat sur ce même forum. http://www.cannabis-med.org/index.php?tpl=...mp;lng=fr#Depen (j'avais lu ça dans un autre article à la base, qui d'ailleurs ne parlait du cannabis comme produit de substitution que pour l'héroïne et pas pour l'alcool et les benzodiazépines, mais je ne le trouve plus. Dommage d'ailleurs, parce qu'il avait le mérite d'expliquer l'utilisation du cannabis. Si je me souviens bien, c'était parce que celui ci reste longtemps dans le sang et de fait ne provoque qu'une très faible dépendance) Sinon, ce que j'attribue aux drogues seules c'est ça: "Le désir persistant pour la drogue et l'incapacité d'arrêter de la consommer ; Le développement d'une tolérance à la drogue qui l'oblige à en consommer des quantités croissantes pour avoir les mêmes effets ; L'apparition de symptômes de manque pour la drogue dès que l'on cesse d'y avoir accès (syndrome de sevrage) ; Beaucoup de temps est passé à se procurer la drogue, à sa consommation et à la récupération de ses effets ; L'incapacité d'interrompre la consommation ou de la contrôler et ce, parfois même au mépris de ses propres valeurs ; L'usage de la drogue est maintenu, malgré la reconnaissance de problèmes physiques, psychologiques et sociaux importants créés par cet usage." Et le goût du sucre n'exclut pas d'autres plaisirs. :/ Il peut exclure certains plaisirs de la table, et encore je n'en suis pas vraiment certain, mais c'est tout. Il n'y a pas de désir persistant, contrairement aux drogues, justement parce que "l'accroc au sucre" peut se procurer du plaisir autrement.
  23. Même si ce n'est pas encore certain, puisqu'aucune étude sur l'homme n'a permis de l'affirmer, on pense que le sucre stimule les mêmes zones de plaisir et de récompense que les drogues, mais la ressemblance s'arrête là. Premièrement parce que le glucose est l'aliment principal de notre cerveau, il nous est nécessaire, contrairement aux drogues. Deuxièmement, c'est que concernant le sucre, il n'y a pas addiction mais impulsion. On peut ressentir un important désir de consommation mais il n'y a pas de besoin compulsif et non contrôlé. De plus, il a été prouvé que le sucre ne cause pas de réactions caractéristiques de dépendance. Par exemple, le fait de ne pas avoir accès à des aliments sucrés ne provoque pas d'irritabilité ou de crise d'angoisse. ( Pas même lors de crises d'hypoglycémie.) Alors, oui, pour une personne ayant des troubles de l'alimentation le "sevrage" ne sera pas simple, de la même façon qu'il ne sera pas simple pour un accroc des casinos. Mais, il le sera tout de même d'avantage que pour un toxicoman. (Pour sevrer un accroc du sucre on lui donne des légumes alors que pour un héroïnoman on lui donne du cannabis.)
×