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human

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  1. Voici une solution qui me sembleparfaitement juste : que chacun (mineur ou pas) effectue la quantité de travail correspondant aux dégâts dont il est responsable (en valeur). (en plus d'une peine fixe minimale correspondant au fait d'enfreindre la loi) Ainsi, -pas de problème d'insolvabilité. -Ce n'est pas le reste de la famille qui paie pour le fautif. -Ce ne sont pas les honnêtes gens qui paient (via l'augmentation des impôts et autres primes d'assurance) -Il se rend compte des conséquences de ses actes. Et pour que le travail soit fait : des "camps de travail" dont ils ne pourront sortir qu'une fois le travail effectué. Il y a certes une organisation à mettre en place, mais ça ne me semble pas impossible... et surtout,elle servirait pour les amateurs suivants éventuels... On trouvera cette proposition, et quelques autres (en particulier "éducatives") ici :
  2. human

    L'économie de la reconnaissance

    Pour ceux qui criaient à l'utopie, voici une présentation plus concise et progressive, où il est bien question d'un système monétaire :
  3. human

    L'économie de la reconnaissance

    ? Il y a un rapport avec le sujet ? Peut-être une erreur d'aiguillage ?
  4. human

    L'économie de la reconnaissance

    "voir" n'est pas le bon verbe. Il s'agit toujours d'une interprétation. Donc, tu es victime de ton jugement hâtif, de ton dogmatisme, de ton refus d'évoluer. Certes, c'est moins valorisant comme réalité, ce pourquoi ça ne va probablement pas de plaire. Mais c'est la réalité ! Déjà, ce que tu décris là n'est pas un système, car tu ne dis pas comment tu y parviens. Or, ironie du sort, l'écrec est précisément un moyen pour cette noble fin (chacun y paie pour ce qu'il casse). Mais résoudre les problèmes n'est clairement pas ce qui t'intéresse. Certes, mais dans le cas de la nature, on peut cesser de continuer à casser, limiter les dégâts, voire aussi en réparer un certain nombre. Pas besoin de "remonter le temps". Et plus vite on arrêtera, mieux ce sera. 100% croyance 0% arguments Le dogmatisme dans toute sa splendeur Tu aurais dû prêcher ça en 1789, ça nous aurait évité une révolution. On serait encore au temps du servage. Sinon, ils te paient cher, pour contrer sur internet tout ce qui pourrait altérer leur domination ? Ou tu es juste un idiot utile ? Je la connais sans doute mieux que toi la réalité. (s'il n'y avait que le "néolibéralisme" !) La différence est que j'essaie d'être constructif.
  5. human

    L'économie de la reconnaissance

    C'est marrant... où ai-je parlé de vivre sans argent ? De toute évidence tu n'as pas vu la vidéo ! Ce qui est proposé est un système tout aussi réaliste que l'actuel... (tu as peut-être réagit à l'expérience de pensée proposée dans les premières minutes ??) C'est tout l'intérêt de la chose, parce que les utopies, oui, ça existe... Tu es capable de rester attentif plus de 5 minutes à un truc ? (sinon, tu peux t'y prendre en plusieurs fois, c'est vrai qu'une heure, c'est un peu long, mais on peut décomposer en trois quatre étapes...)
  6. human

    L'économie de la reconnaissance

    Elle est où l'erreur ? J'ai pas trouvé. Le fataliste est celui qui, croyant à la fatalité, ne fait rien, et donc, je n'envisage pas de changer le système... C'est vrai qu'on vit dans un monde formidable, où les conflits, la violence, la criminalité ont pratiquement disparu... Après, je n'ai pas parlé de révolution... Tu as peur qu'on te coupe la tête ?
  7. human

    L'économie de la reconnaissance

    On ne peut pas savoir tant qu'on n'a pas tout essayer. Et l'idée est de ne plus échanger, justement... Bien sûr que si on supprime sans remplacer, ce sera probablement le chaos (ne pas confondre avec l'anarchie, qui est l'ordre sans le pouvoir, par exemple: la fourmilière). Le but de la vidéo ici est justement de montrer à qui est encore capable de penser, qu'une économie de partage, non-monétaire (strico sensu), est possible, et même souhaitable. Tout simplement parce qu'on l'aura remplacé par autre chose de fonctionnel. Pas s'il y a un partage équitable... Et bien sûr, une régulation de la population. La régulation des naissances se fait déjà toute seule dans certains pays, tout simplement parce qu'avoir des enfants y représente un coût important (pour les parents) (et non pas un gain). Il suffira de faire en sorte qu'en situation de surpopulation (comme aujourd'hui à l'échelle planétaire), l'enfantement représente un coût (pas trop élevé car il faut bien se renouveler quand même, mais suffisant pour que l'environnement soit préservé, et le niveau de vie acceptable). Ben non, pas forcément ! C'est quoi ce fatalisme ! Si les gens avaient de tout temps raisonné comme cela, on en serait encore à l'âge de pierre...
  8. human

    L'économie de la reconnaissance

    Pourrais-tu être plus explicite ?
  9. human

    L'économie de la reconnaissance

    Petit problème de définition. Ici, je parle évidement de hiérarchie de pouvoir. "A > B" signifie : "l'avis de A l'emporte sur celui de B (dans une prise de décision)". De sorte qu'à la limite, on peut dire que seul A décide. Les points dont tu parles ici, apportent juste de la reconnaissance ou quelques avantages matériels mineurs. Rien à voir avec la hiérarchie de pouvoir qui concerne un gouvernement, un gradé dans l'armé, un propriétaire... Ce système n'est pas hiérarchique car tout citoyen pourrait contester une décision (à la condition qu'il dispose d'une argumentation solide). D'ailleurs, de ce point de vue, il n'y a pas de hiérarchie dans une fourmilière (ou ruche) car la "reine" est juste l'individu spécialisé dans la ponte des œufs. Les ouvrières réagissent à des signaux chimiques émis par la reine et leur consœurs, et de même la reine est stimulée par ses ouvrières (qui n'hésitent pas à la tuer si nécessaire). Elle ne décide pas de ce que doivent faire les ouvrières, de mener des combats contre d'autres fourmilières etc. Il n'y a pas de gouvernement dans une fourmilière. Ce sont donc des anarchies (au vrai sens du terme, comme le système qui est proposé ici pour l'économie de la reconnaissance). Donc, non, la hiérarchie, au sens précis que j'utilise ici, n'est pas si universelle que ça. De même, ce n'est pas parce qu'on peut "capitaliser" des points, qu'on est en "capitalisme" !
  10. human

    L'économie de la reconnaissance

    Vous avez vraiment bien écouté/vu ?? Parce que non : ça ne propose pas "un truc basé sur la pyramide de Maslow". (cette dernière est juste brièvement mentionnée pour expliquer l'importance du besoin de reconnaissance). Et ça n'a pas grand rapport avec les sels, qui sont des systèmes d'échange locaux ! Là, il n'y a pas d'échanges entre les personnes. Pour résumer de quoi il s'agit, je dirais qu'il y a une mesure de l'utilité, de la contribution nette de chacun, de façon à inciter les gens à travailler là où les besoins sont les plus importants. D'où une différence avec les système communistes classiques où faute d'une telle incitation, il y avait souvent des pénuries. L'autre différence importante est qu'il n'y aurait pas de hiérarchie de pouvoir (et donc, de risque de dérive totalitaire).
  11. human

    L'économie de la reconnaissance

    Merci. Mais du coup, je ne vois vraiment pas le rapport avec le sujet... à savoir, une économie non capitaliste !
  12. human

    L'économie de la reconnaissance

    Pourquoi "un gouvernement mondial" ? ça peut très bien fonctionner dans un pays, même petit. Et même pas besoin que celui-ci vive en autarcie (du moment que les échanges se font entre l'État et l'extérieur). Bien sûr, si c'est plus répandu, c'est mieux pour l'écologie ! Mais en attendant, ça résoudrait plein de problèmes au sein du pays concerné. (plus de chômage, plus de criminalité crapuleuse, plus de conflits sociaux, d'exploitation etc.) C'est quoi cette histoire de Bardis ?? (je ne trouve qu'un haltérophile français, qui certes devait être "fort"... )
  13. human

    L'économie de la reconnaissance

    Il est dit que le système politique doit être démocratique, au sens fort du terme. Partant de là, si l'on utilise les mots rationnellement (et non seulement comme des armes pour exprimer de l'agressivité gratuite), il n'y a rien de sectaire ou totalitaire là dedans. Il n'y a pas non plus d'idéalisation du passé. Le fait que le "communisme primitif" ait duré longtemps est un fait. Il n'est dit nul part que c'était là un idéal désirable. Au contraire, on parle là d'un projet très orienté vers la technicité et le progrès. Faut pas tout mélanger ! De plus, le fait qu'il y ait eu des "tueries intergroupe" à plus à voir avec le fait que chaque groupe défendait aveuglément sa propriété collective (territoire, femmes etc.) (au lieu d'élargir sa communauté), plus à voir avec un embryon de capitalisme, donc. De même la surexploitation éventuelle (que l'on observe pas vraiment dans la plupart des tribus actuelles, très respectueuses de leur environnement)... Quant à l'infanticide des filles, on voit ça surtout dans familles dont le but est d'assurer la pérennité du capital familial (et où il faut payer une dote), comme en orient. Bref, c'est marrant comme vous projetez sur le communisme les tares du capitalisme.
  14. human

    L'économie de la reconnaissance

    Mais quelle est donc cette "idée d'absolu" que vous avez cru percevoir dans cette proposition ? Pour moi, il s'agit d'une proposition concrète d'amélioration des choses (certes un peu plus radical que d'autres)... mais sans aucune prétention à la perfection, ni même volonté de s'imposer à tout prix... Les jugements hâtifs, les exagérations... voilà bien plutôt les illusions de l'esprit dont nous devons nous méfier... Quel rapport ? Vu qu'il s'agit précisément ici d'un système démocratique...
  15. Voici un système économique que l'on peut certes classer comme "socialiste", mais qui n'en présente pas les inconvénients habituels, et qui, même, pourrait être plus efficace que le système capitaliste (sans les inconvénients de celui-ci) ! Comme son nom l'indique, l'incitation principale serait la reconnaissance, mais pas il y en aurait d'autres... On peut parler d'une économie de la bienveillance, car c'est cela qu'il s'agirait de favoriser, et une économie écologique, bien sûr. Qu'en pensez-vous ? Une solution aux problèmes majeurs de notre époque ? Faudrait pas passer à côté, dans ce cas...
  16. Bonjour, juste un petit problème technique, qui m'intrigue. Je vois que sur de nombreux messages il y a des vidéos (de youtube ou autre), qui apparaissent directement. Dans mon dernier message (dans la section "économie", intitulé "l'épum"), j'ai inséré le lien vers une vidéo de youtube, mais seul le lien apparaît. J'ai pourtant utilisé la fonction "média" en pensant qu'elle servait à ça, mais non. D'où ma question : mais comment ils vont ceux dont les vidéos s'affichent dans leur messageeuh !: Merci
  17. cher Neworder, je suppose que tu n'as pas lu mon message (#123)... Lire les messages précédents pourrait aider à faire avancer le débat... (et tu auras en prime la réponse à la question que tu te poses avec 8 points d'interrogations, ainsi qu'une piste pour un "new order"...) Merci.
  18. Je rappelle cette partie clé de mon précédent message (que l'on peut facilement oublier sous l'effet de l'émotion) : Je n'ai jamais dit qu'il aurait mieux valu qu'ils se couchent. Je n'ai pas remis en question l'intérêt de ce chant au moment où il a été créé, mais seulement pour aujourd'hui... Mon propos en résumé est : -défendre la tyrannie contre le pouvoir absolu, les droits de l'homme, oui, nous sommes d'accord (et les propositions d'alternatives que j'ai soumises ici font bien ça aussi...) mais ce serait encore mieux de le faire avec un langage moins violent (menaces, rejets etc.) et sans prêter le flanc à des interprétations problématiques (de type raciste xénophobe, ici). Car ce sont là des causes de guerre. C'est donc à ces arguments qu'ils conviendrait de répondre (pour ceux qui ne sont pas d'accord). C'est bien beau d'être contre la guerre, mais agir sur ses causes (plutôt qu'y participer sous l'effet de la colère), ce serait mieux, non ? En la faisant ?Je rappelle le refrain : Non, ce n'est pas un cri de colère contre la guerre, c'est un cri de guerre (sous l'effet de la colère, certes). Un cri de colère contre la guerre, ce serait plutôt quelque chose comme ça : (c'est extrait de cette version trop "extrémiste" pour pouvoir être proposée concrètement tout de suite (carrément antimilitariste), mais perso, j'adore) : @ Pheldwyn: oui, assez d'accord avec toi, ce couplet d'Allwright est excellent (j'ai d'ailleurs conservé les deux vers centraux). On pourrait changer seulement le refrain (d'Allwright). L'avantage de ma proposition est de conserver plus de choses du couplet actuel pour faciliter la mémorisation et moins choquer les conservateurs et de moins choquer les nationalistes. Plein de propositions de marseillaises ont été faites à ce jour, mais le changement est généralement très radical et au profil d'une chapelle particulière.
  19. p'tain, j'relisais le chant de guerre pour l'armée du Rhin (parfois appelé "la marseillaise" ), pour voir s'il n'y avait pas quelque couplet plus ou moins récupérable. Eh ben non, c'est toujours : "faut tuer les méchants, parce qu'i sont kré kré méchants, et qu'ils nous veulent du mal". On pourra en épargner quelques uns, mais pas tous (faut pas pousser quand même) : « Épargnons ces tristes victimes, A regret, s'armant contre nous ! (Bis) Mais ce despote sanguinaire ! Mais ces complices de Bouillé ! Tous ces tigres qui, sans pitié, Déchirent le sein de leur mère ! » Et bonjour les menaces : « Pour qui ces ignobles entraves, Ces fers dès longtemps préparés ? » pour qui, hein ? « S'ils tombent, nos jeunes héros, La terre en produira de nouveaux Contre vous tout prêt à se battre. » Et toc, pire que Daesh (ou les Orques dans le Seigneur des Anneaux ?) ! La vengeance est légitimée : « Amour sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! » Le plus drôle est que l'auteur de ce chant reconnaît que le refrain est terrible, puisqu'on peut lire à la fin des couplets dits "des enfants" : "Nos vils ennemis tomberont, Alors les Français cesseront De chanter ce refrain terrible". Au fait, il reste encore des nobles émigrés à nos frontière ? non ? Bah, faut arrêter de le chanter alors... Et pour ceux qui s'attendraient naïvement à ce que ces "couplets des enfants", soient un peu plus doux, je vous soumets ce passage : « Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre. » En gros, les petits : tuez ou faites-vous tuer ! et tout ça par orgueil ! (Au fait, on les met au panthéon, les frères Kouachi ? Ah, non, ils n'avaient pas la bonne "patrie", pardon !). Quand comprendra-t-on que c'est l'attitude intérieure de chacun, induisant un type de rapport humain, qui importe avant tout, plus que son idéologie ou le camp dans lequel il se trouve ? Attitude qu'il est aisé de modifier en entretenant d'autres pensées, d'autres sentiments. Quand comprendra-t-on que ce sont la vengeance, les menaces ou encore la condamnation hâtive et irréversible de personnes, qui doivent être condamnées, si l'on veut sortir du cercle vicieux de la violence ? Mais p'tête que c'est comme le coran, faut pas y toucher, c'est "sacré", même si c'est plein d'horreurs d'un autre âge... C'est quand même un problème, le conservatisme ! non ? Cela dit pour les "Daesh" de chez nous (ou les "Anders Brevics", si vous préférez, ceux qui voudraient bien bouter hors de nos frontières les sangs impurs qui nous envahissent, quoi !), ce chant est du pain béni... sûr qu'ils vont pas être partisans d'y toucher, à la "vraie" Marseillaise ! On va bien sûr nous expliquer qu'on n'est pas obligé d'interpréter les paroles de ce chant ainsi, que historiquement blabla... Oui, mais voilà, ça s'interprète fort bien comme ça, et bien plus facilement qu'autrement... Tous ceux qui l'entendent doivent-ils, au préalable, passer un test de connaissance sur la contextualisation de ce chant dans les évènements de la révolution française ? Donc, "amis solidaires" et autres pacifistes, faut qu'on fasse quelque chose... Les préoccupations d'aujourd'hui ne sont plus les mêmes qu'en 1792. Pourquoi ne pas adapter ce qui va avoir, qu'on le veuille ou non, une certaine influence sur les esprits ? La proposition de Graem Allwright et Sylvie Dien de 2005 est pas mal, mais le côté franchement internationaliste ainsi qu'un petit côté mystique dans le refrain ("la flamme qui nous éclaire" ..."marchons vers la lumière") ne sera sans doute pas du goût de tout le monde"... Un peu trop "différent" et déconnecté des spécificités françaises. Voici une autre proposition (de votre serviteur) où le premier couplet est moins modifié (tout le début et conservé : moins de nouvelles choses à apprendre) Dans le refrain, l'appel à la guerre et au massacre est remplacé par une référence au triptyque républicain (liberté, égalité, fraternité), ainsi qu'une préoccupation écologique, plutôt dans l'air du temps ; ça me semble donc plus acceptable pour la plupart des Français. De plus, le contenu a été enrichi. Parce que "marchons, chantons..." oui, et alors ? Nationalistes et internationalistes pourront s'y retrouver. Pour les seconds : considérer que la patrie est celle "universelle" de l'humanité, remplacer "tout le pays" par "tous les pays", et considérer que "notre terre" est la planète. Pratique, non ? Alors ?
  20. L'idéal universaliste de la France pourrait justifier qu'on fasse mieux qu'un simple chant de guerre (même s'il y est question de lutter contre les tyrans). Ce n'est pas parce que d'autres pays font pire, que l'on ne pourrait pas faire mieux. J'invite ceux qui ont d'autres valeurs, à retenir et clamer plutôt ces paroles (proposées par la chansonnier G.Alwright en 2005, suite à la décision d'apprendre un chant de guerre dans les écoles) : Pour tous les enfants de la terre Chantons amour et liberté. Contre toutes les haines et les guerres L'étendard d'espoir est levé L'étendard de justice et de paix Rassemblons nos forces, notre courage Pour vaincre la misère et la peur Que règnent au fond de nos coeurs L'amitié la joie et le partage {Refrain:} La flamme qui nous éclaire Traverse les frontières Partons, partons, amis, solidaires Marchons vers la lumière
  21. Cette façon d'affirmer des choses désobligeantes et insuffisamment fondées sur ce que pense l'autre n'aide pas au dialogue... entre les êtres humains... Je suis attristé par le nombre de propos irrespectueux (envers d'autres contributeurs) que je lis par ici. Ne devrions nous pas tous faire un effort, au vu de la gravité de la situation ?
  22. Oui, il faut dialoguer dans le respect, au sens de ne pas manifester (ni éprouver!) de haine ni de mépris. Par contre, je pense qu'il serait préférable de dialoguer entre êtres humains plutôt qu'entre "cultures"... Car une culture représente un grand nombre de personnes de sorte qu'il y a toujours des barjots des deux côtés qui vont déconner, en ne respectant pas le "sacré" de l'autre côté e/out en exprimant un peu trop leur colère, de sorte que ça va entraîner tout le monde par effet d'identification de chacun à sa culture... Cette histoire de "sacré me pose également problème, car c'est une façon de donner un caractère d'objectivité à ce qui est subjectif, ce qui peut légitimer la violence. Ou alors, le seule chose sacrée devrait être la paix, là d'accord, mais si des "cultures" estiment "sacré" tout et n'importe quoi (comme la non représentation de tel personnage historique), alors le risque de conflit est trop important... Voilà ! C'est pourquoi il faut que les gens arrêtent de s'identifier à des cultures. Et si en plus, ils deviennent moins susceptibles, alors là, quelle paix ce sera !
  23. Justement ça dépend de ces "autres". Cela dit, je partagerais cette tristesse (c'est déjà mieux que la colère), si l'hypothèse que l'autre est "plein de haine" était avérée. Mais là est aussi le problème : encore faut-il en être sûr... Et vu qu'on n'est pas dans la tête des autres, mieux vaut ne pas faire d'hypothèse négative... ça évite souvent pas mal de violence inutile. Ainsi, toute critique peut être utile, même si l'intention de l'autre n'est pas forcément très positive. À celui qui la reçoit de faire preuve de sagesse. Bien sûr, une critique scientifiquement argumentée, c'est toujours mieux, nous sommes d'accord; mais l'efficacité d'une critique résulte aussi de l'attitude de celui à qui elle s'adresse, tout comme l'"efficacité" d'une insulte.... Pour proférer délibérément une insulte, il faut être un peu con, mais pour y être sensible également...
  24. Le terme "insulte objective" est ici, au vu du contexte, mis dans la bouche d'une personne que l'auteur n'approuve pas... Du coup, je ne suis pas sûr que tu aies bien compris. Le propos est de dire que fondamentalement, il n'y a pas d'insulte objective... (si quelqu'un a un exemple, je veux bien...) Cela dit, je ne crois pas que cette question résume le texte en lien...
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