nerelucia

D'accord avec PasdeParanoia et les morts ne sont pas des civils par contre les blessés oui, 2450 depuis le début de la guerre, le 27 décembre, impossible que ce soit des combattants.

Mère et enfant George Sheridan Knowles, anglais en cousant avec grand-mère Wenzel Ulrik Tornøe, danois

Vous m'otez les mots de la bouche.

Rich and poor, jusqu'à quand allons-nous voir des embryons de révolutions ? En janvier, les fonctionnaires sont dans la rue.

Mes premieres copies de tableaux achetées étaient très modernes puis j'ai cherché un tableau sur internet pendant deux ans et lentement, je me suis imprégnée du 19e siècle. Une peinture plus moderne, c'est à voir. En tout cas, je ne recherche pas des tableaux de musées français et rarement d'avant la révolution française.

Portraits de femmes : Music, Etienne Adolphe Piot, français Portrait de miss Julia McGuire, 1926, John Lavery, irlandais On pourrait mettre ce tableau dans un hall de château, l'imagination s'emballe ¿je suis à demi remplie de pensées funèbres¿ dit lady of Shalot, 1913 Sidney Harold Meteyard, préraphaélite anglais Le tissu semble vrai John Lavery, lady Evelyn Farquhar Belle pose, belle femme Melina en vert, 1930 MacRae, Emma Fordyce , américaine On sent l'évolution de l'époque, la femme s'affirme la dame en bleu au Musée Bonnat de Bayonne, le peintre y est né, c'est chez moi, jamais vu. Hubert-Denis Etcheverry le parasol, 1919 de Georges Brasseur, peintre belge Printemps de Jean Lavery Quel tableau ! Ensemble harmonieux même si cette mode ne devait pas être facile à porter Mrs E. Bowen-Davies de John Lavery A l'Opéra, 1887, Guy Seymour Joseph, américain la tasse bleue, 1909 de Joseph DeCamp, français Magnifier l'essentiel, la femme et les ombres, quel génie ! Violon trois, 1902, Joseph DeCamp, américain Il souligne les ombres, peint dans l'obscurité, le dos pour nous révéler la face inconnue de l'être la guitariste, 1913, Joseph DeCamp

Laquelle au juste ?

Baba and Billy, 1920 de Duncan John Quel beau visage ! Mère et enfant, 1910 env., Beckwith Carroll, américain Le hammac, 1895, DeCamp Joseph Un impressionniste américain qui a su peindre la femme dans les clairs-obscurs comme la vie. Cliquer pour voir les détails

On est d'accord, FanDeCarotte. Ceci dit, il est peut-être jeune et à ce titre, un peu maladroit. Je préfère qu'on s'exprime tous plutôt que voir la rubrique Histoire vide. Platon ? Je ne connais rien aux auteurs de l'Antiquité, j'aimerais bien qu'on m'enseigne. J'ai peur de les aborder.

Dans un roman anglais virulent du 19e siècle, l'auteur dit que les enfants des prêtres anglicans sont tous malheureux. La rigueur, au titre de l'exemple, la présence constante dans la cure de leur père étouffent les enfants.

attacher les mains sans consentement, attouchements = viol

Il faut lancer le sujet, exemple : "que pensez-vous du siècle et de Louis XV ?". Je suis d'accord, l'histoire se déroule à partir de souvenirs livresques, on raconte des anecdotes par contre on va vérifier les dates, les chiffres parce que la mémoire n'est pas extensible. Chacun a son témoignage, ce n'est pas une joute. L'école n'est pas l'endroit pour aimer l'Histoire, le goût vient plus tard, dans les bibliothèques par exemple.

Georges Harcourt, anglais (1868-1948) George Harcourt George Harcourt, en démêlant l'écheveau Emile Friant, peintre réaliste français (1863-1932] Il peint bien Portrait de Dolly Charles Courtney Curran, américain (1861.1942) Réveil Charles Courtney Curran Portrait de femme Laureano Barrau (1863-1957), impressionniste espagnol C'est sublime Onteora, 1912, John-White Alexander, américain (1856-1915) Entre rêve et réalité, beau Alice Bacon, 1881 Frank Weston Benson, américain (1862-1951) C'est le portrait le plus parfait que j'ai jamais vu Helen Allingham, peintre anglais (1848-1926) Les bulles En apprenant la leçon Dans la nurserie Ethel Pennewill Brown Leach (1878-1959), a peint aussi un beau portrait de femme interrogative le nouveau-né, 1861, Toulmouche, peintre prisé du Second Empire

A cette époque, la France "devenait" riche, c'est différent et le Second Empire fut une époque de jouissances et de progrès mais pas de république où chacun pouvait vivre de son travail et non l'inverse. La bourgeoisie naissait et ce fut le triomphe de l'argent et de la Bourse (les grands travaux faisaient appel à l'épargne publique) tandis que les ouvriers s'entassaient n'importe où et étaient souvent payés une misère. Tout celà a été étudié par les romanciers, les politologues, futurs socialistes, communistes comme Karl Marx- et le monde ouvrier était souvent très pauvre : semaine sans repos, il fallait parfois marcher deux à trois heures pour aller à son travail, familles entassées dans des taudis, la meilleure description est celle que j'ai trouvée dans les polars d'Anne Perry et sa description de Londres en 1875 dans East End, WhiteChappel, là où a opéré Jack l'Eventreur en 1888. Londres : le soir, les indigents dormaient assis dans une pièce, une corde tendue sur leur torse, le matin on tirait dessus et les gens tombaient en se réveillant. De grands patrons construisaient des logements ouvriers dans les régions minières du Nord par exemple. Monde de courtisanes, de prostitution, de maisons de passe où l'on pouvait acheter l'extrême misère, en premier les femmes pour presque rien ou en les entretenant grassement. Winterhaler oui ou Toulmouche que j'aime mais que fustigeait Zola (il parlait de ses poupées à propos de ses modèles) et la colonisation d'où un goût immodéré pour l'orientalisme, en peinture notamment et une Europe à deux niveaux : Sissi, Eugénie de Montijo à la divine beauté, Louis II de Bavière et ses ruineux châteaux mais aussi une France industrieuse car le 19e, c'est celui de l'invention de la vapeur donc de la production massive. J'ai à l'esprit le mot d'accélération : le progrès engendre le progrès, bêtement. Train, omnibus, bourse, banques, électricité, fax, téléphone, grands magasins et mille autres choses mais sur un siècle. Napoléon III a abdiqué en 1870 et la république est enfin née mais à quel prix : la Prusse, la Commune -une effroyable tuerie de 36 000 morts plus les déportés -, j'ai compté environ 46 gouvernements jusqu'en 1914-18, 24 présidents, on peut dire que la république fut une lente et difficile conquête.

Le bilan des émeutes du 1er au 4 décembre 1851 sont les suivantes : 26 000 personnes arrêtées, 15 000 condamnés dont 9 530 déportées en Algérie, 239 au bagne de Cayenne, 80 députés bannis. Par contre, je crois que Napoléon III a amnistié plus tard les proscrits. Napoléon III a passionnément aimé les femmes, ce qui n'est pas à son honneur car il les collectionnait : la plus célèbre fut la Castiglione, courtisane dont la beauté éclipsait celle des autres femmes. C'était le temps des crinolines - souvenez-vous d'Autant en emporte le vent- Cette mode n'était pas pratique et le style Napoléon III n'a jamais été beau. C'est la naissance de l'Algérie colonisée, de l'extension du chemin de fer. Haussman oui, mais il fut aussi préfet et l'auteur de la répression du 2 décembre 1851. Ses travaux génaient d'ailleurs beaucoup les parisiens,les pauvres sont chassés des villes par un phénomène naturel d'expropriation -François-Joseph en Autriche créait le Ring, sorte de desserte qui encerclait la ville pour entrer et sortir facilement du centre de Vienne. Epoque de faste, de fêtes aux Tuileries tandis que les aspirations sociales montaient, le socialisme était en gestation -voir Blanqui-, les conditions de travail étaient telles que même les enfants travaillaient. Zola, Eugène Sue, Charles Dickens, Victor Hugo ont trouvé là la matière de leurs romans populistes. J'ai trouvé ici une amorce de la vie ouvrière subtile et détaillée : http://www.napoleontrois.fr/site/index.php...ur-des-ouvriers J'aime passionément le 19e siècle parce qu'il est complexe mais je réprouve la répression.

Victor Hugo a passé 18 ans en exil à cause de lui. L'auteur a écrit un pamphlet intitulé Napoléon le Petit qui a eu un succès mondial et un tirage tellement important qu'on peut difficilement l'imaginer. http://membres.lycos.fr/jccau/ressourc/hug...ud/hugon3lp.htm Je retiens du règne de Napoléon III la superficialité, des guerres (Crimée, Italie, Mexique), un muselage de la presse, du droit de réunion, tout est contrôlé. Il a exigé du roi belge l'extradition de Hugo, de la Reine Victoria son renvoi d'Angleterre et de Jersey, a interrompu la représentation d'Hernani en plein triomphe, a détourné à titre personnel des sommes fabuleuses et nombre de proscrits ont végété à l'étranger dont notre divin Victor Hugo. Elu par le peuple en 1848 après le départ de Louis-Philippe, il veut être réélu mais une loi scélérate stipule que le Président de la République, élu pour quatre années, n'est pas immédiatement rééligible. L'Assemblée législative vote non, il arrête donc ses opposants "républicains dans la nuit du 1 au 2 décembre 1851. Par la force, il dissout l'Assemblée nationale, rétablit le vote universel et... se fait élire par moultes pressions. En fait, il a agi comme son oncle, l'autre Napoléon. A vomir. Victor Hugo s'est découvert républicain alors qu'il était royaliste jusque-là ! Il doit s'exiler, d'abord en Belgique, en Angleterre, Jersey et enfin à Guernesey et comme lui, 75 députés républicains et proscrits divers. La notion de république est née de ce jour. Je sais, c'est compliqué, pour moi aussi.

Lancret Nicholas, Les acteurs de la commédie italienne, le Louvre Pierrot, de Wateau, 18e Arlequin et Colombine d'Edgar Degas, 1886-90 environ Arlequin, 1901, Pablo Picasso Prolixité du peintre dans ce domaine, beaucoup d'Arlequins Base Joconde, recherche Wikipedia "la commedia del arte" puis par personnage.

Watteau, Pierrot taper dans Google : la commedia del arte en peinture et sélectionner images

Dérive et la mère Alliot-Marie (jamais dans sa ville de St-Jean de Luz dont elle est le maire) confirme, c'est légal comme pour le PDG de Libé.

Bonjour à tous Il pleut

D'accord avec Créolita et je trouve ces photos hors sujet. Laide, pas difforme suite à un traitement, accident invalidant.

Ascain, à 6kms de St-Jean de Luz. Les maisons du village datent du 17ème et 18ème siècles et se serrent autour de la place principale et de l'église médiévale construite à la fin du Moyen Age. Bonjour, jolie maison Pottolo.

Basquaise et son âne Le Baïgoura est une ballade prisée par les montagnards. Agur, bonjour.

19e. Riche, idées, train, industrie, socialisme naissant.

generallee !