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Tout ce qui a été posté par Titsta
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Il y a autre chose à mon avis qui nous empêche d'être. C'est que nous ne sommes pas des pierres, nous avons aussi un regard sur nous même, et une volonté pour nous même. Je m'exprime mieux : Il y a ce qu'on est, mais il y a aussi ce qu'on aimerai être. Au delà du problème courant de prendre nos désirs pour des réalités, dans ce qu'on aimerai être, je distingue deux choses. Ce qu'on aimerai être pour les autres (au regard des autres), et ce qu'on aimerai être pour soi-même. Je pense que le premier apporte souvent le besoin d'une altération de la perception de ce qu'on est réellement. (mensonge, ou erreur volontairement introduite dans la compréhension, selon les avis sur l'existence du mensonge. cf mon premier post). Le besoin est tout autant égoïste que celui d'être. Ensuite, il y a ce qu'on fait sur nous même pour devenir ce que nous ne sommes pas (ou pas encore) Dans ces conditions, nous agissons en contradiction plus ou moins flagrante avec ce que nous sommes, mais il y a un objectif d'évolution derrière. Cet objectif ne me semble pas nécessairement "mauvais", même si on peut discuter longtemps sur la "meilleure" manière de l'obtenir. En définitive, ce que nous voulons être fais aussi partit de ce que nous sommes. Peut être cette enveloppe de "mensonge" ou ces images qu'on envoie de nous font elles plus partie de ce que nous sommes, que ce qu'on veux bien accepter chez les autres. Pour revenir aux cas particulier, je me souviens d'un enfant que j'ai eu pendant des ateliers. Il était clairement violent et mythomane, j'ai toujours perçu la réalité de ce qu'il réclamait : de l'attention, et de l'affection. Je passais outre ses tentatives de perturbation de l'autorité pour lui donner ce dont il avait besoin. Il a fini par comprendre un jour que son comportement ne l'aidais pas à obtenir ce qu'il souhaitait. Mais était plutôt un handicap. Il a essayé de changer, mais n'a pas réussi, et s'est fait exclure après avoir agressé un des autres élèves. Je me dis que l'important, c'est qu'il ai compris, il a trouvé le bon chemin ce jour là, même s'il n'a pas réussi à l'emprunter. Mais si j'en parle ici, c'est pour deux choses. D'une part, ce carcan de "mensonges" autours de nous, même si on le considère souvent comme superficiel, fait aussi partit de nous, et on ne peut pas "l'abandonner". On peut le changer (comme on peut se changer) avec le temps. Je pense que ça a été son erreur de croire qu'il n'était pas ce qu'il voulait paraitre. L'idée n'était pas d'abandonner un masque, mais réellement de changer. D'autre part, je pense que pour toucher l'être des autres, ou au minimum la percevoir, il faut accepter leurs mensonges. Non pas y croire, mais les accepter comme étant une partie d'eux même, négligeable devant des parties plus profondes, mais faisant partie d'elles même. Il ne faut pas prendre ces images pour plus que ce qu'elles sont, des tentatives pour être différent de ce qu'ils sont. Mais pas non plus pour moins que ce qu'elles sont : leur peaux (qui fait partit de leur être), leur volontés, leur tentatives pour changer ou pour être autre choses. J'ai l'impression que si on perçoit ces choses, on perçoit bien mieux les gens qu'en s'arrêtant au "mensonge" de leur image. Par certains moment, cette vision est dégoutante. Car on voit les faiblesses véritable des autres. (ou de nous même). En fin de compte, je pense que tous le monde est faible, et je ne vois pas le "mal" à l'être. Comment demander aux autres d'être plus en accord avec ce qu'ils sont au fond d'eux même, vouloir être ce qu'ils sont (s'aimer, quelque part), si on ne tolère pas leur faiblesses pour aller un peu au delà.
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J'ai entendu une émission sur les technologie de localisation de l'avenir (proche : 2 ou 3 ans max) qui donnais un sens très intéressant au mensonge. Pour faire court, la technologie nous permettrais des choses plus ou moins intéressante. par exemple laisser des messages virtuels à l'intention d'une personne, ou de tous, à des endroits physiques, (on reçoit le message sur son téléphone quand on passe à cet endroit) Mais surtout, de savoir qu'un ami, ou une connaissance sympathique est dans la même ville que nous à cet instant (intéressant si on est en vacances à l'étranger.), ou de localiser nos amis (ou enfant...) Le défenseur/chercheur développant ces technologie considérait aussi qu'avec de tels outils, la seule manière de préserver nos libertés n'était pas seulement de pouvoir les éteindre, mais aussi de pouvoir mentir sur notre localisation. Il revendiquait le droit à mentir pour tous ces types d'appareils. En effet, un enfant enlevé par un pédophile sera toujours localisable grâce à ces appareils, mais si l'ado veux pouvoir aller fleurter avec son premier amour au cinéma, en séchant un cours, il pourra le faire sans que ses parents soit au courant. Autant le mensonge est répréhensible par la morale, autant c'est une de nos liberté élémentaires, que la même morale défendrait avec la même ardeur contre toute tentative de contrôle ! (J'adore faire des démonstrations par l'absurde pour montrer que la morale n'a pas de logique) Et à mon sens, cette liberté est plus importante pour moi que de vivre dans un monde où tout le monde se comprendrait. (quelle horreur ! Il y a certaines personne que j'apprécie de ne pas comprendre ! Où serait la joie de vivre dans un tel monde ?) Pour ma défense, lire un long post, ou deux, au fil de la discussion, c'est encore faisable. En lire trois pages, ça deviens difficile, si on veux pouvoir s'exprimer un jour, et je suis plutôt impatient quand j'ai une idée à écrire, j'ai peur de la perdre ^^ Sinon, parler beaucoup n'est pas le meilleur moyen de bien être compris. Je le sais par expérience (je suis un grand bavard virtuel aussi ^^ mais (j'essaye) de me soigner) Pour ce qui est de l'Histoire (puisque tu semble y porter une attention particulière) et du mensonge, je me souviens d'un débat lointain que j'avais mené sur ceux qui "réécrivaient" l'Histoire. Ma position avait pas mal choqué à l'époque, mais je disais que, pour moi, il n'y avait que des histoires. Et que l'avantage de ceux qui réécrivaient l'Histoire était qu'exposer des contradictions mettaient surtout en valeur l'importance d'une prise de distance vis à vis d'une position "vraie" et "officielle" de l'Histoire, qui n'a en réalité toujours été écrite que par les vainqueurs et qui, bien qu'officielle, possède aussi une très grande part d'interprétation, d'idéologie, voir de propagande. J'estimais donc que le risque, au maximum d'oublis, (toujours trop rapide de toute manière, même en l'absence de "ré-écrivain") était largement contrecarré par les avantages d'esprits critiques évidement plus nécessaires qu'ils apporteraient à l'avenir. L'esprit critique et de nombreuses histoires/hypothèses possibles me semblant plus profitable pour éclairer nos chemins d'avenir que la simple mémoire aveugle d'une "vérité" unique. De sucroit, je suis très loin de penser que nos "ré-écrivains" moderne des livres d'Histoire, sous les projecteurs, fassent réellement pire que ce qui a pu être fait par le passé, quand moins de 10% de la population savait lire et que tout le monde s'en carrait l'os de ces choses là. Je crois qu'on ment tous comme ça. Je pense que la pire des choses est justement de s'arrêter à la volonté de détection du mensonge, on gagnerait beaucoup plus en compréhension mutuelle à rechercher ce qu'exprime et pense réellement l'autre. La morale de la société est aussi faite pour qu'on accepte les mensonges des puissants. Si la morale condamne le mensonge, c'est aussi pour que peu mentent dans le peuple, et que chacun sois plus influençable. Si tout un chacun "mentais" comme des hommes politiques, leurs "mensonges" marcheraient moins. Dis autrement, si les gens avaient un peu plus l'habitude de rechercher la proie réelle des point de vu et de la position réelles des autres plutôt que de rechercher l'ombre de la détection de leur mensonges, les choses seraient rapidement plus claire pour tout le monde. Ce qui n'est pas dans l'intérêt des puissants (qui sont toujours ceux qui prennent des distances avec la morale) La recherche du mensonge reste un problème typique d'un monde de l'apparence : L'important, c'est la forme, pas le fond. On cherche plus à combattre le mensonge que le racisme ou les positions qui sont souvent tout autant, si ce n'est plus, immorale. ça facilite bien les choses des puissants, là encore. Sinon, pour le reste, j'ai lu très attentivement ton message, très intéressant. Mais certainement trop riche pour une "discussion". J'aime bien l'idée de "mensonge tactique" et d'authenticité. J'y ajouterai, pour rester authentique dans son mensonge tactique, tout simplement l'idée de jeu. Le dialogue étant en grande partie ludique, la plupart du temps. (pour moi, ludique va de paire avec pédagogie... je précise ^^ ) S'il n'y a pas de jeu, pas de "pique", on s'endors. J'adore la subtilité de tes jeux parfois ! ^^ Dans quoi tu m'embarques toi !? :blush: Puis tu va rire, mais à défaut d'avoir remarqué le débusquage, l'idée m'était passé par la tête (probablement à cause de tes précédentes analyses, d'ailleurs). Nébuleuse, tu pourrais m'envoyer une photo de toi en mp ? Et ton numéro si tu es jolie ?
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Je n'ai jamais considéré que vouloir faire un poncif était particulièrement romantique. Si tu lis mes posts, tu saura que, pour avoir les échanges véritables que je souhaite, je change la relation que j'ai avec eux pour finir par trouver celle qui correspond le mieux à nos échanges. Toi, pour avoir le couple que tu souhaite, tu change les mecs pour finir par trouver celui qui correspond à ton couple. Chacun son truc. Moi je préfère mes relations souples et véritables à tes relations éjectables et précaires. Pour ce qui est de ta seule preuve de la profondeur d'une relation, tu m'excusera mais je connais trop de couple qui sont très fidèles et ensemble depuis très longtemps, et qui n'ont qu'une relation très superficielle. Qui ne font que se "sauter" mutuellement de temps en temps le soir, pour accomplir le "devoir conjugal", et avoir un couple "normal". Sans jamais chercher le plaisir et la profondeur d'un véritable échange, ni sexuel, ni aucun autre d'ailleurs. En quelques jours, j'ai plus des relations plus profondes que certain en un an. Par contre, des couples qui ont eu des échanges intense, qui leur ont forgé des souvenirs pour le reste de leur vie, je n'en connais pas qui ai été des relations superficielles. Qui plus est, je trouve ça plus romantique. Sinon, pour ce qui est de l'engagement, je m'engage bien plus que tu ne t'es jamais engagé. Pour certaines je m'engage à la mort. Ce qui signifie que j'accepte même l'idée d'être tué par elles. (Oui, je l'ai fait, même si ça peut paraitre un peu ridicule) Je doute que tu ne te sois jamais autant engagé dans ta vie. Moi, je m'engage à aider l'autre, autant que je le peux, à s'accomplir, à se réaliser, à vivre. é la respecter et à la soutenir dans ses moments difficiles ! Et ce même si on est pas "ensemble". Et même si elle couche avec d'autres. Et même si on ne couche pas ensemble (par contre, la relation durera moins longtemps dans ces conditions, c'est sûr. Mais ça reste un engagement que je tiens) Et toujours à accepter et à rechercher à ce qu'elle soit et puisse être elle même avec moi. Sans jamais avoir à jouer la comédie (ou seulement pour le plaisir de le faire :blush: ) C'est à dire aussi qu'elle puisse être franche avec ses désirs. Que je serais le premier à aider à accomplir. Même si c'est avec d'autres. La relation ne tiens pas à ça pour moi, au contraire, la complicité n'en est que plus forte. Quitte à ce qu'elle rencontre quelqu'un de mieux que moi et me quitte. Et à la laisser partir sans faire de scène de jalousie, ou en disant qu'elle m'a "trompé" ! Ou que c'est une "salope". Un engagement ne se mesure pas à la durée, mais à la force de ce qu'on s'engage à accomplir. Un engagement n'a aucune valeur s'il n'a aucun risque. Toi tu t'engage à obtenir le couple que tu souhaite, avec la maison le chien etc... que tu souhaite ? Et si ton mec s'éloigne un tant sois peu de ton rêve, c'est un salaud, il jarte et tu ne lui dois plus rien ? Tu appelle ça un engagement ? Tu t'engage surtout à interdire à ton mec de regarder la moindre fille par peur qu'il puisse être attiré ? Ton "contrat" n'a rien d'un engagement. Qui plus est, ton contrat ne parle que de sexe. C'est la seule chose sur laquelle tu t'engages. Moi, je m'engage sur des choses autrement plus difficile et importante à tenir dans une relation. Et je n'ai pas la prétention et l'orgueil de croire que je suis capable d'y arriver "à jamais". Qui plus est, tes engagements ne sont pas de véritables engagements. Parce que si l'autre ne remplis pas sa part du contrat, la remplira tu, toi ? non, certainement pas. Il est facile l'engagement, dans ces conditions. Moi, par exemple, je me suis engagé à offrir un théâtre à une fille que j'ai aimé, (et avec qui je n'ai jamais couché d'ailleurs), celle avec qui j'ai eu la relation la plus complice que j'ai connu dans ma vie. Et je lui offrirai même si elle ne m'aime plus, même si je ne l'aime plus, et même si elle n'a plus la moindre envie de me voir. Et je lui offrirai sans la revoir. Elle le recevra un jour en cadeau par un notaire qui lui transmettra l'acte de propriété, et elle en fera ce qu'elle voudra. (je me suis seulement engagé à le lui offrir... parce qu'elle a toujours rêvé de faire du théâtre) ça ! C'est un engagement. (et ça c'est romantique) é ma meilleure amie, je lui ai promis un château. (ou une ferme fortifiée). (Vi, je compte gagner pas mal de fric dans ma vie. Et je tiendrais mes engagements dès que je le pourrais, avant d'en profiter pour moi.) Et à une autre, je lui ai promis une chose, une seule, mais quelle qu'elle soit. Et quel que soit mes sentiments à son égard au moment où elle me le demandera. Et même si c'est dans 20 ans, ou plus. Tes "engagements absolu" à condition, que tu ne respecte plus quand ça t'arrange, je suis désolé, mais ça ne vaux pas grand chose à mes yeux.
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Je m'incruste dans le débat (dites moi si je dis des conneries qui ont déjà été dites, ou si je dérange ^^ j'ai lu pas mal de réponses, mais j'ai sauté quelques longs posts tout de même.) Pour moi, le mensonge n'existe pas. Ou plutôt, c'est toujours qu'on a mal compris ce que l'autre voulais dire. Un enfant qui vient de faire une bêtise, pris par le temps avant de se prendre une baffe, va dire : "ce n'est pas moi !!" Le sens littéral est un mensonge. Ce qu'a voulu dire l'enfant, c'est : "ne me punis pas". Si on sait regarder le sens réel et non pas le sens "objectif" de la phrase. On n'a pas toujours ni le temps, ni les capacités de se faire comprendre (et aimer, parce que ça se résume souvent à ça). Depuis quelques années, j'observe souvent qu'on s'arrête au sens littéral, ou objectif, des phrases. On se bloque dessus, on argumente dessus. Et ont oubli ou ignore totalement ce qu'a voulu réellement dire l'autre. Et ce même si, la plupart du temps, ça n'est pas réellement caché ! Dans ce sens, je pense que les deux acteurs sont partie prenante dans un mensonge, pas seulement celui qui l'exprime, mais celui qui le prend comme tel. Il est plus facile de dire à quelqu'un "tu mens", que de répondre à sa parole véritable, à la vérité qu'il a exprimé dans son mensonge, si on savait, ou acceptait de le prendre au bon degré. Plutôt que de dire "tu mens", il serait plus vrai souvent de répondre : Tu cherche à m'agresser là... ou "tu te défend", "tu te protège", "tu cherche à me séduire"... Si c'est plus vrai, c'est que le "tu mens" est une moins bonne description de la situation. Ce que je veux dire, c'est que dans tout échange, quel qu'il soit, il y a une vérité, un sens. Le mensonge n'est qu'une mauvaise interprétation du sens réel de l'échange. Un aveux d'échec dans la compréhension de l'acte de l'autre. Les échanges ne sont pas toujours verbaux ! Pourquoi ceux qui s'échangent par des mots devraient être les seuls à ne pas devoir être pris, et interprété, comme des échanges "non verbaux" ? Après, c'est vrai qu'on cherche toujours plus ou moins à être compris. Mais l'autre cherche aussi toujours plus ou moins à comprendre. J'ai connu de nombreuses personnes qui faisaient exprès d'interpréter mes réponses en prenant pour mes mots le sens classique du dictionnaire, alors que je précisais expressément que j'avais une définition particulière de tel ou tel mot. Qui crée le mensonge dans ce cas ? Est-ce toujours celui qui s'exprime ? ou celui qui interprète mal exprès ce que je voulais dire ? En pratique, il est aussi très facile de sortir "le mensonge" de l'autre comme on "soulève un lièvre". Plutôt que de répondre réellement à l'argumentaire pas toujours très bien exprimé de l'autre. Un "tu es un menteur", c'est vachement pratique aussi. Au moins autant qu'un "mensonge". Et en fin de compte, personne ne peux jamais être totalement compris. Personne ne peut jamais totalement se dévoiler (ne serait-ce que par manque de temps) Donc soit tout est mensonge, soit les mensonges n'existent pas. Comme je suis un éternel optimiste, (et provocateur) je préfère la deuxième thèse ^^ Je précise que je me place dans un monde où seul ce qui existe, et qui donne un sens au monde, c'est ce qu'on ressent. C'est le "je pense donc je suis", de Descartes (pour une fois que je peux citer un philsophe ^^) qui est la vérité ultime face au mensonge. Et cette vérité, c'est uniquement la sensation. (parce que Descartes aurait mieux exprimé sa pensé en disant : je ressens que je pense, donc je suis... mais ça faisait moins cool comme phrase) Dans un tel monde, ce qui donne sa vérité aux choses, et en particulier aux échanges, et à la parole, c'est les sensations, sentiments, volontés de celui qui s'exprime, (et de celui qui les reçois, et en fonction du contexte où ça a été dis). Et non pas un sens "objectif" d'une phrase. Et si cette dernière peut aboutir à un "faux" objectif, qui devient mensonge si volontaire, ces premiers (sensations, sentiments, volontés...) ne peuvent pas être "faux".
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Tu sais, je commence vraiment à me trouver con parfois... Je rigole pas, si tu me l'avais pas fait remarqué, j'aurai pas vu d'attaque personnelle. ^^ Franchement, je m'inquiète :-/ (Edit : c'est nébuleuse !!!!!! J'avais pas remarqué au premier abords ! ) Déjà, je ne consomme jamais les femmes. J'échange avec elles. Et pour moi, la sexualité n'est jamais superficielle. Je trouve dommage que pour toi, la sexualité le sois forcément. Sincèrement, ça m'attriste vraiment pour toi. Crois moi, j'ai eu de nombreuses occasions ou j'aurai pu "sauter" des filles qui ne demandait que ça. (é poil dans mon lit, même. pour certaines. ça m'es arrivé.) Mais qui ne m'offrait rien d'autre que leur corps. (et certaine en s'imaginant que ça me ferait "plaisir") Quand il s'agit de cul pour le cul, je n'en ai tout simplement pas envie. Encore plus si la fille se "sacrifie" en s'imaginant faire une "bonne action" :blush: ça ne m'intéresse pas. (Ou plus simplement, je ne peux pas. En l'occurrence, c'est physique comme réaction. Si la fille ne prend pas un minimum de plaisir, ça me coupe toute envie) Ce qui m'importe, c'est de toucher une âme, pas un corps. (Vi je sais, je suis très ambitieux dans mes rapports ^^ ) Ce qui me motive, ce qui m'attire, c'est un échange intense et une forte sensation de vivre ! C'est de vivre une Aventure. De celles qui restent gravée dans les mémoires (la mienne et la sienne) et apporte un peu de bonheur dans la vie, et le sentiment de s'être accomplis, ou tout du moins d'avoir profité de notre vie en ce monde. Et comme je ressens ce que ressentent les autres (malheureusement), si la fille en question n'est pas entrain de vivre une aventure intense elle aussi, ça m'arrête très vite. Ma difficulté première consiste à trouver des partenaires capables de saisir et de vivre intensément les aventures qui se présentent, quand elles se présentes. (Et c'est malheureusement assez rare !) Parfois j'envie ceux qui ont la capacité d'ignorer ce que ressent l'autre. é part dans de très rares cas, l'empathie est plutôt une malédiction.
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Tu crois à la poisse ? C'est possible mais moi j'y crois pas trop ^^ Puis c'est pas vraiment de la "poisse". Ces relations m'ont toutes apporté quelque chose de précieux. C'est juste que vos réactions sont parfois vraiment étrange. Je découvre et je m'adapte petit à petit à chacune de ces réactions étranges... Du coup, à chaque fois, c'est dans d'autres "réactions" (piège ? travers ?...) que je me retrouve. Le comportement féminin à beau être fou, et limite névrosé ^^ Il est surtout d'une variété infinie... Si on se rencontrais, je suis à peu près certain que c'est encore sur une autre "folie" que je me heurterai :blush: Nann, plus sérieusement, je crois que je commence à comprendre quelques trucs qui peuvent avoir joué. Jusqu'à maintenant, je m'adaptais un peu trop facilement au comportement des filles que je fréquentais, en sachant rester moi même. é tisser des relations profonde. C'était une sorte de "quête de la profondeur" des relations et des échanges avec ces filles. Le problème, c'est que mieux on fait ça, plus vite on tombe sur les "problèmes" pas vraiment réglés. é se fréquenter un peu plus superficiellement, on évite l'apparition de ce genre de chose, je pense. C'est un peu ce qui me faisait me sentir un peu comme un "catalyseur". é mon contact, au fur et à mesure, les gens se révèlent tel qu'ils sont... le problème, c'est que "tel qu'ils sont" n'est pas toujours très sain, et pas toujours très compatible avec le monde extérieur, et pas toujours très accepté non plus par les personnes elles mêmes. (sinon ça ne serait pas "enfoui" ) Il faut que j'apprenne un peu plus la superficialité. Je pense que l'aventure nécessite certes un peu d'intensité, mais aussi un peu plus superficialité, pour pouvoir tenir.
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Et encore, si tu savais...
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C'est un règlement de compte... avec le monde ! Ce monde est pourri. Plus on est égoïste, plus on prend de force, plus on prend de pouvoir. Plus je prend en force et en pouvoir, plus je mesure la noirceur des sains, la faiblesse des forts, le masochisme ou la conformité des modestes... HYPOCRISIE de toujours prétendre être ce qu'on n'est pas !! Ne vous y trompez pas, ce n'est pas un rejet. Mais une contemplation de la beauté de ce monde !! Voir l'hypocrisie, c'est voir la beauté de la vérité derrière le mensonge. Et la vérité du mensonge lui même ! Sa force qui lui donne vie ! Les sains sont des pervers névrosés et pourris au plus profond de leur moelle ! Les sages, des gens qui ont compris comment rayonner aux c¿urs des autres, et les plier sous la force des sensations qu'ils arrivaient à dégager de leur être. Les agressifs, les forts, les violents, sont des faibles dont la plus grande peur est qu'on découvre leur grande faiblesse. Voir pire, leur manque d'amour. Ceux qui veulent se faire passer pour méchant les plus gentilles personnes au monde. (et j'en fais partis, je pense) C'est étrange, mais tout ça me donne envie de rire. J'ai toujours voulu jouer un autre jeux. J'ai toujours voulu montrer au monde qu'on pouvait être puissant et sincère. Je n'ai pas peur qu'on découvre mon manque d'amour. J'ai été désiré, mais jamais aimé. Sauf par une chimère qui n'est pas vraiment de ce monde. Mais je n'ai pas la faiblesse de devoir cacher au monde ce que je ressens, quand je le ressens. Mais ce soir, j'accomplis encore une évolution vers les retranchements que je cherche à fuir... Je continu mon chemin vers ce pouvoir sombre. Vers ce mal que chacun invoque dans ses rêves les moins avouables. Ce soir, je perds encore une de mes peurs : Celle de ne pas être aimé. J'en ressens une force et une chaleur, qui monte dans mes veines. Un plaisir ! Réel ! Une extase, comme l'ivresse qui m'a remplis lorsque j'ai perdu la peur de la mort et de la souffrance. J'ai commis l'erreur d'être sage avant d'être fort. Cette force maintenant est dévastatrice, et je m'en rend compte. J'ai toujours refusé d'être un puissant, mais je n'ai plus la folie de craindre cette puissance. Et n'ayant plus la peur de ne pas être aimé, je ne crains plus l'isolement que la domination confère. La lumière, le bonheur, l'amour, la paix, j'ai cru pendant longtemps qu'elles attiraient. et elles attirent... lorsqu'elles font raisonner l'obscurité des masochistes. Les plus nombreux de ce monde. N'existe t'il que des maso qui se plaignent en victime, ou des maso qui se sacrifient pour les plaindre ? Tout le monde est il toujours poussé uniquement par ses peurs, par ses rêves et par cette attrait malsain de la faiblesse ?! Où est la vie ? Qui vie ici !!? J'en ai assez de ces jeux. Moi, je ressens maintenant une joie, une force et une colère. Colère contre ce monde où seul les sombres peuvent vivre puissant. Et je vie puissant en ce moment.
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La flamme peut toujours repartir des cendres. Tant qu'il reste des braises. :blush: Mais je crois que le sujet commençais à s'essouffler, surtout.
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Ha oui, en remplissant les lignes c'est plus facile pour faire les trais rectiligne ! Merci !! :blush:
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é mon avis, c'est clairement de la lâcheté. Tant qu'à se faire passer pour mort, autant ne pas se faire passer pour mort, s'en foutre de sa famille, parent, ami etc... et être sois même de suite. Pourquoi passer par de tels chemins détournées ? Penser ce genre de chose me fais plutôt penser que la personne n'arrive pas à être elle même, et plutôt que de s'en sentir responsable, elle considère que c'est de la faute des autres, de son entourage. é mon avis, c'est une erreur. Cet échec provient plus de nous même que des autres. Car c'est nous uniquement qui donnons de l'importance aux point de vu des autres. Qui plus est, se faire passer pour mort, ça va peut être aider les autres à agir comme si on n'était plus là. Mais nous, ça va pas nous changer. On est notre histoire. Même quand les autres son mort, ils continuent de nous "hanter". On continue d'agir de telle ou telle manière, parce que nos parent nous ont formaté à être comme ça... Même quand ils sont mort. C'est lié à notre éducation, pas à leur présence. S'en éloigner ne nous en libère pas. Ne nous aide pas vraiment plus à être nous même. La seule solution, plus facile en plus, c'est simplement d'oser être sois même, quitte à faire du mal autours de nous. Mmm oui, clairement, je pense que vouloir ça, implique qu'on considère toujours comme extrèmement important d'avoir l'estime des autres sur ce qu'on est, même si c'est pas vraiment nous même qu'on est. Se faire passer pour mort, ça n'est pas tuer notre image, c'est au contraire s'arranger pour pouvoir changer sans "tuer" cette image qu'ils avait de nous. C'est toujours considérer notre image au yeux des autres comme plus importante que d'être nous-même. Et tant qu'on pensera ça, même si on change de vie, ça ne changera rien, on n'arrivera pas à être nous même. On ne fera que reproduire les mêmes trucs. ^^ Parce que c'est directement cette priorité qui nous empêche d'être nous même. Pas les autres.
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Merci le géni !! :blush: Je vais m'amuser à trouver ça ! Mais le T me semble difficile à trouver :/ (D'un autre côté, mon nom, c'est pas vraiment Titsta ^^ Me dis-je après réflexion...)
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J'aurai dis échange entre les mondes, plutôt que compréhension. ça me semble plus précis. Ce qui fait que des mondes disjoints s'échange tout de même. Le mystère qui fait que les choses peuvent être séparée sans l'être. Sans vouloir retomber dans le cas général du staïla (qui est serai plutôt la vision de Sandrilicia de la magie je pense... quoi qu'il faudrait que je lui demande) la parole est un de ces liens. et il a une valeur importante pour moi. C'est le lien particulier que j'entretiens avec mes semblables. Mais je conçois que j'ai une vision de la magie très centrée sur l'empathie. Pour des raisons personnelles ^^ Mais beaucoup on conçut le monde comme étant la parole de Dieu. Ou plutôt Dieu comme étant la parole elle même qui a donné naissance à ce monde. (le Verbe pour être plus précis.) L'idée est intéressante, c'est l'idée de la parole créatrice de monde. Pouvoir que nous possédons tous quelque part. Mais si je les apprécies, je ne partage pas vraiment ces croyances. Tu va trop loin à mon avis :blush: Je n'ai pas des prétentions universalistes. Je connais mieux la magie humaine, parce que j'en suis un. Je conçois et peut ressentir une forme de magie naturelle, plus vaste. La théorie Gaïa par exemple, avec notre monde, notre planète. Au delà, les choses me semble un peu lointaine. Bien qu'à y réfléchir, le soleil, (divinité dans tant de culture après tout), et gaïa forment peut être un ensemble communicant dont je peux faire partit lorsque je profite de ses rayons et de sa chaleur. En bref, je ne pense qu'à la magie qui me touche. Les autres me semble trop distante pour pouvoir en parler. ça n'est à mon avis pas comme la science qui peut parler si facilement de choses qu'elle ne voit et ne maîtrise pas. Non, pas d'excuse à avoir. Il ne m'a pas appris grand chose dans ce domaine, mais j'aime vraiment bien sa façon de présenter les choses dans ses premiers livres. Si ça vous intéresse faites. ^^ Surtout si ça a un lien avec la blague précités, je ne connais pas et ça m'intéresse ^^ Mais plus sérieusement, (et plus amoureusement), j'ai déjà un ange qui m'a écris son nom. Et je n'aime pas vraiment le mien.
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Le 1+1 = 3 existait bien avant Werber ^^ J'en avais entendu parler plus de 10 ans avant qu'il ne sorte ses livres. (j'étais assez jeune, effectivement) La parole est indivisible. Les mots la compose, mais pour comprendre, on peut faire l'analogie avec un être vivant. Un morceau d'être vivant, ça n'est pas un être vivant, c'est un truc mort. Ce qui fait la vie, ça n'est pas l'ensemble des composantes. ça n'est même pas l'assemblage de ces composantes. (Sinon, on a reconstitué un cadavre.) C'est dans ce sens que je dis que la magie ne se trouve pas dans les mots. Ils sont des "briques", c'est vrai, mais la brique n'est pas celle qui contient la magie en elle. C'est leur agencement (et même un peu plus) qui la fait apparaitre. (C'est pour ça aussi que c'est magique) Pas simplement par la forme, mais par la signification, c'est à dire, la volonté, les envies et désir qui ont amené à cette construction. Ces choses là sont contenu dans la parole, et pas du tout dans les mots. La magie, c'est que cet assemblage de mot puisse transmettre ces choses. Et pour les saisir, il faut faire autre chose qu'une simple lecture littérale. Il faut savoir saisir la magie elle même de la parole. (mais cette magie est accessible, si on sait lâcher un peu son côté "analyste rationnel" et si on fait confiance un minimum à son instinct.) C'est cette magie qui fait qu'on sait très clairement que quelqu'un plaisante, parle au second degré etc... cette chose là n'est pas contenu dans les mots. Ni même dans la phrase ! Mais vient bien d'autre chose. Sinon, comme vous le dites, un mot, une lettre peut être une parole. Et c'est dans ce cas seulement que ce "mot" cette "lettre" est forte. Quand elle est parole. Et non pas le contraire. @miq75, je me sens assez proche de ta vision de la magie ! C'est très bien expliqué je trouve ! C'est vrai qu'au début, la définition me semble étrange, mais en fait, ça colle très bien si on creuse un peu. Si l'amour était reproductible, et "maitrisé", un peu comme si on donnait une "pilule", ou si on appliquait une simple recette. Il ne serait plus magique du tout.
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ça y est, on est revenu aux mots ^^ Difficile d'en sortir hein ? Les mots ne sont rien, et ne sont porteur d'aucune magie en soit. C'est la parole qui est porteuse de magie. Même si parfois, une parole peut être contenue dans un seul mot. Un mot pris hors de son contexte peut faire passer une situation de la magie à l'horreur, c'est précisément le cas quand on "tue" la parole en la découpant, et en plaçant le sens dans les mots qu'on arrive à cette horreur. Ce qui est vivant, c'est la parole. Elle est indivisible. Et c'est un réflexe très moderne, et très récurent, que de vouloir sens cesse découper la parole en mot. Et à leur accorder la magie qui ne provient pas d'eux. C'est précisément ça qui est source d'erreur, et parfois d'horreur. Un découpage systématique purement intellectuel en brique élémentaire, qui oublient que la somme est souvent plus que l'ensemble des parties. C'est le 1 de plus dans le 1+1 = 3 qui est magique, dans la parole ^^ pour reprendre l'exemple des portes, je pense que ça va même plus loin que ça. Je suis peut être prétentieux, mais je ne relativise pas mon savoir sur le fonctionnement de l'ouverture. ça n'est pas vraiment non plus que je suis pas entrein de penser que je ne sais pas tout. Dans ces cas, ça serait toujours l'ignorance qui serait porteur du sens magique. Je sais tout ce qu'il y a à savoir, je sais aussi précisément que mon geste est inutile, et c'est pour ça qu'il en deviens magique, beau, et provoque autant d'émotions. Je pense que c'est parce que je saisie quelque chose de plus que la simple compréhension du phénomène. Je le ressens, ce qui est une chose souvent oublié par les scientifiques, et qui plus est j'y ajoute un geste inutile qui ne prend sens que parce qu'il est inutile. J'invoque la magie par ce geste, et c'est pour cette raison qu'elle existe et apparait. Pour donner sens à ce geste. Si je ne l'invoquait pas, elle n'existerait pas. Et c'est le principe même de l'invocation : faire apparaitre des choses par le simple pouvoir de mot ou de geste. Moi, je décide d'invoquer la magie elle même. C'est d'ailleurs souvent en partie ainsi que j'agis, dans ce domaine. Je radote un peu, mais je pense que c'est difficile à comprendre si on n'a pas déjà saisie ma définition de l'existence des choses. En réalité, ça n'est pas un geste de télékinésie, c'est un geste d'invocation.
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J'aime bien la définition "l'art de déformer la réalité selon sa volonté". Même si à mon avis, c'est une définition un peu vague. (car après tout, la moindre de nos actions sur le monde déforme la réalité selon notre volonté) Pour rentrer un peu plus dans les détails, dans ce que tu dis plus loin sur la magie ésotériques, je ne pense pas que la force soit contenue en elle même dans les symboles et les cercles. (les symboles auraient suffis, je pense) Mais qu'elle est contenue en nous, parce qu'en tant qu'être vivant, nous possédons une part de magie en nous, et que ces symboles ou ces cercles servent à utiliser, stoker ou transmettre plus facilement cette force en nous.
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Mmm le savoir ne s'oppose pas nécessairement à l'émerveillement. Mais celà demande d'accepter l'idée de "ne pas être sérieux". Et c'est très mal vu dans notre monde. Moi je sais plus que beaucoup de gens comment fonctionnent les portes automatiques (celles qui s'ouvrent toutes seule quand on passe devant.) étant physicien/électronicien de formation ^^ Il reste que je m'émerveille toujours de ces choses, et j'aime beaucoup faire un signe magique avant l'ouverture de ces portes. Signe qui ne m'aide qu'à soutenir cet émerveillement, à me conserver dans cet état, et non pas réellement à ouvrir la porte. La parole peut prendre bien des formes ^^ Parfois un simple silence en dit long. Et s'il "dit", c'est une parole. Je pense que toi plus que quiconque ici, cherche en parlant la magie de la parole qui donne sens aux mots. Ce qui fait qu'on comprend les choses incompréhensibles de premier abord. C'est la magie de la parole aussi, qui fait qu'on peut apprendre notre langue maternelle. Ou qu'on comprend mieux un mot quand on le place dans la phrase (et la phrase dans son contexte si elle n'est pas suffisante) et qu'on apprend des mots nouveau ainsi. La parole, pour moi, c'est l'élément vivant qui contient le sens. Si on le découpe, on obtiens des éléments précis qui la compose, mais le sens est mort si on ne le prend dans son ensemble. Il peut être mort aussi si on le prend dans son ensemble sans y ajouter la magie qui fait qu'on comprend réellement ce que la phrase veux dire. C'est à dire en ne lisant pas littéralement le texte mais en acceptant cet "instinct", cette "magie" qui fait qu'on en comprend réellement le sens.
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J'aurais dis la magie de la parole plutôt. Car c'est elle qui donne leur sens aux mots, c'est uniquement elle qui fait sens. kikoo Timidou !! Sans vouloir généraliser mon cas, je pense qu'elle est vitale à chacun d'entre nous, mais nous l'appelons différemment, car il est souvent mal vu de parler de "magie". Et pour certains, il est plus important d'être accepté dans ce monde que de le regarder en face. ^^
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Avec leurs contradictions, les femmes mettent un peu de folie dans nos vies. Et ça date depuis "l'amour courtois", qui ne date pas d'hier. (voir avant, certainement. Mais je manque de références) C'en est à se demander si, sans contradiction, il pourrait y avoir de la place pour l'amour. ^^ Je pense qu'en parlant de "la fille du net" il parlait de celle dont j'ai parlé dans le premier post :blush: Dans ce cas là, c'en est une autre ^^
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Je suis d'accord que l'amour est une des plus belles magies qui soit. Mais je ne pense pas que ça soit la seule (ou alors, on peut dire aussi que "tout est amour", mais ça serait dévaluer ce mot à mon sens).
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S'il survit ! ^^
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Chaque fille est unique :blush: (Enfin, les filles intéressante, bien sûr.) ça doit être pour ça que tu ne t'y retrouve pas.
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@ lilly : Je ne vais pas me mettre à "pardonner" quelque chose que j'apprécie. bien sûr que tu peux être franche. :blush: Je suis d'accord avec toi, cette liberté est incompatible avec la construction de quelque chose. Mais je ne cherche pas à construire un couple, ni à construire vraiment quelque chose avec elle. Je cherche plutôt à vivre quelque chose avec elle. Remarque, je vie quelque chose. Je ne suis seulement pas très sûr que ça soit avec elle. Là où tu as raison, c'est que j'aurai peut être dû considérer qu'il est peut être toujours nécessaire de construire un minimum les relations qui nous entourent. Et je sais que ça peut paraître étrange, mais elle ne me déçois pas du tout, au contraire. Elle s'est enfin ouverte, et ça fait plaisir. Je suis seulement étonné de sa réaction. Je regrette un peu quelque part que cette ouverture n'ai pas pu se faire un peu plus tôt aussi. Totalement d'accord avec toi ! (cet exercice te va bien ) Peut être que je ne lui fais pas assez confiance. En tout cas, je pense que c'était un peu le cas avant hier. Je ne me lâchais pas vraiment, et c'est précisément pour ça qu'elle a fini par se construire cette image. Je pense que si je m'étais lâché plus tôt, les choses auraient été différente. C'est peut être encore un peu le cas aussi quand j'ai écris ce message. C'est vrai que, comme je l'ai dis, rien n'est encore joué. Je vais lui faire confiance (pas sûr qu'elle appréciera, je pense possible que précisément, c'est en elle même qu'elle ne fasse pas confiance. Mais j'aurai de la confiance pour deux, ça lui montrera au moins qu'elle peut se faire un peu plus confiance) Oui, je crois que tu as mis le doigt dessus. Je suis parti comme si elle n'avait pas de passé. Et ça, c'est peut être clairement une grosse erreur. Surtout que maintenant que tu m'as aidé à mettre le doigt dessus, je vois plus nettement les "pas encore une fois". dans son comportement. Oui, ça aussi c'est une erreur, j'ai peut être trop cherché à être perçu, pas assez à être compris. C'est étrange, je pensais ce dernier post plus obscure que les précédent, mais vous avez tout de même mis le doigt sur pas mal de truc important ! Je comprend mieux pas mal de mes erreurs !! Merci les filles.