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Aroya

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Tout ce qui a été posté par Aroya

  1. Les propos de Jean Marie Bigard, bien que très (trop) affirmatifs, ne sont pas sans fondements ! Si on peut lui reprocher de ne pas être un très grand intellectuel, ces derniers ne manquent pas d'apporter leur avis sur la question. Hier, une lettre ouverte fut émise aux cadres Politiques, Sociaux et Culturels de France par le Dr Jacques Kotoujansky, diplomé de l'Institut d'Etude Politique de Strasbourg, DEA de physique etc... Suite à une analyse fouillée et des faits précis, il s'est adressé a environ 3000 cadres de France (Assemblées Parlementaires, Partis Politiques, Syndicats, Presses et Médias, Instituts Universités et Grandes Ecoles, Confessions Religieuses, Associations Philosophiques, Intellectuels, Artistes, Personnalités Qualifiées) en questionnant la version officielle et en y proposant une théorie intermédiaire. La lettre est disponible ici !!
  2. Tu n'es pas suffisamment renseigné. Lis ceci (et ça aussi)...
  3. Je recentre un peu le sujet. Voici un article publié dans la revue à comité de lecture “The Open Civil Engineering Journal”, qui invite au débat scientifique sur l'effondrement du WTC : ici
  4. Deux articles des plus sérieux ont été publiés récemment sur Agoravox. é toutes les personnes sensibilisées au dossier du 11 septembre, prenez en connaissance. Voici le premier article, tiré de cette page : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=38426 Second article, tiré de cette page : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=38814
  5. 1) Masse max : Charge maximale d'un Boeing 707 (type 320B) au décollage = 120 tonnes Charge maximale d'un Boeing 767 (type 200ER) au décollage = 180 tonnes Différence approximative des masses maximales au décolage = 60 tonnes : OK ! 2) Volume de carburant max : Volume de kérosène maximal transporté par un Boeing 707-320B = 87 000 litres Masse de carburant maximal transporté par un Boeing 707-320B = 70 tonnes Volume de kérosène maximal transporté par un Boeing 767-200ER = 90 000 litres Masse de carburant maximal transporté par un Boeing 767-200ER = 70 tonnes 3) Réservoirs en vol de croisière : Volume de kérosène transporté par un Boeing 707-320B en vol de croisière = 35 000 litres Masse de carburant transporté par un Boeing 707-320B en vol de croisière = 28 tonnes Volume de kérosène transporté par un Boeing 767-200ER en vol de croisière = 38 000 litres Masse de carburant transporté par un Boeing 767-200ER en vol de croisière = 30 tonnes Différence approximative de masse de carburant en vol de croisière = 70 - 30 = 40 tonnes 4) Masse en vol de croisière : Charge approximative d'un Boeing 707 (type 320B) en vol de croisière = 120 - 40 = 80 tonnes Charge approximative d'un Boeing 767 (type 200ER) en vol de croisière = 180 - 40 = 140 tonnes 5) Vitesse de croisière : Vitesse de croisière d'un Boeing 707 = 972km/h Vitesse de croisière d'un Boeing 767 = 860 km/h Différence approximative de vitesse = 112km/h 6) Calcul brut de l'énergie cinétique : Les coefficiants de sécurité ont été calculé suivant la charge maximale d'un Boeing 707 (ou d'un C8), lançé à 950 km/h. Energie cinétique = 1/2mv² Ec(707) = 1/2*120*950² = 54*106 J Ec(767) = 1/2*140*860² = 52*106 J Un Boeing 707 possède donc une énergie de 2*106 J supplémentaire qu'un Boeing 767, selon les hypothèses de calcul. A la charge maximale de ce même Boeing 767, n'a été soustrait que la masse de kérosène, non pas la masse représentée par les sièges de passagers vides (et le remplissage des cuves de cargaison). De plus, la vitesse de vol du Boeing 767 pouvait être inférieure à 860km/h... En conclusion, nous pouvons dire que si les tours jumelles ont été conçues pour résister à l'impact d'un Boeing 707, elles auraient dû l'être suffisamment pour résister à l'impact d'un Boeing 767. ------------------------------------ Comparaison d'énergie cinétique entre Boeing 707 et 767 Détails techniques du Boeing 707 Détails techniques du Boeing 767 Quels experts ? Combien étaient-ils ? Quels calculs ou simulations ont-ils réalisés pour parvenir à cette conclusion ? Quel postulat ? Quel rapport avec le WTC7 ? Alors demandez une réouverture d'enquête, qu'on en finisse : http://www.reopen911.info/petition.html Des films, il y en a plus d'un : http://www.reopen911.info/videos/type/documentaire.html Des livres, il y en a plus d'un : http://www.editionsdemilune.com/rsistances-c-3.html Donc, quel film, quel boukin ? Suite au crash du bombardier B25 Mitchell, au 79ème étage de la face nord de l'Empire State Building, le 28 juillet 1945, les ingénieurs de construction du WTC ont pris d'importantes précautions pour ne pas que les tours ne s'effondrent suite à la collision d'un avion de ligne. Cela suggère qu'ils ont "imaginé" la destruction de leur projet, et ont établis les coefficiants nécéssaires pour ne pas que ça arrive. Pour la simu, ils n'avaient pas les moyens informatiques pour concevoir un modèle de chute... déjà qu'aujourd'hui... ce n'est pas ce qu'il y a de plus évident. Des ingénieurs du mouvement pour la vérité ont néanmoins créés de tels modèles (simplifiés) : Pour le poid des tours, tu te trompes : Masse de la tour du WTC1 = 288 100 tonnes Masse de la tour du WTC2 = 288 000 - (masse antenne) tonnes Masse totale = 570 000 tonnes ≠ 1 800 000 tonnes Source. Résonnance de l'effondrement, sur les autres tours ? L'énergie dégagée a été absorbée par le sol... créant un séisme à peine perceptible pour l'homme... alors pour un gratte ciel ? Il est de toute façon impossible de comparer l'effondrement des tours du WTC avec d'autres effondrement naturels de structure... car rien de ce qu'a connue l'histoire de l'architecture n'est semblable à ça... sauf les démolitions contrôlées : Les derniers civils présents dans cette tour après son évacuation ont été touché par une puissante explosion. Il n'y avait pas de citerne de stockage d'essence à cet étage. Qu'est ce qui peut provoquer une explosion ? D'autres ont-eu lieu ensuite... Des explosions répétées, de source inconnue, peuvent-elles causer l'effondrement d'un immeuble ?
  6. Document récent, à lire absolument : Analyse chimique des poussières du World Trade Center par un collège de scientifiques américains
  7. Aroya

    la jeunesse actuelle

    Ce "décalage", s'il n'est subjectif, est-il problématique ? Je pense qu'il y a des distinctions à entrevoir : Le permis, par exemple, est une nécéssité. L'utilité de son obtention et de son financement dépend évidemment des demandes de la personne majeure (ou proche de l'être). Mais il est de constat que notre société n'offre pas aux jeunes la possibilité de s'intégrer aisaiment dans une profession en vue de la subvention de leurs besoins financiers, d'autant plus que sans permis, les possibilités de déplacements s'en retrouves de nos jours drastiquement réduites. C'est un principe de causalité : Pour avoir le permis, il faut travailler. Or pour travailler, il faut le permis. Le rôle parental n'est-il pas dans ces circonstances de tenir une responsabilité financière au regard des enfants ? Il fut une époque, où, effectivement, les jeunes travaillaient tôt : agriculture, usine de proximité, petits boulots, entreprise artisanale... il était fréquent de les rémunérer. Cela parce que la situation économique et sociétaire en était favorable. Aujourd'hui, suite à d'importantes délocalisations, disparition d'entreprises (exploitations minières, usines de textile, et de sidérurgie), et ramifications de certains métiers par une modernisation évidente des moyens d'exploitation ou d'assemblage (en agriculture, chaine de montage en usine, métiers artisanaux), ces possibilités s'amoindrissent. Il devient donc difficile de gagner de l'argent à l'adolescence, d'autant plus qu'un nombre croissant de jeunes s'engage en cursus universitaire, ou en école d'enseignement supérieur. Cela parce que le monde du travail recquiert des qualifications et diplômes de niveau plus élevé, et que pour les obtenir, travailler tôt en y délaissant l'école est un mauvais choix. Les étudiants de nos jours se confrontent pourtant à de nombreux problèmes, de logement notamment, et doivent combiner revenu et étude. Avant même d'intégrer la concurrence professionelle, ils sont confrontés à la concurrence intellectuelle, à la selection, et doivent "trimer" pour atteindre leurs objectifs tout en assumant leur indépendance. Doit-on dès lors considérer la possession d'internet comme un luxe, ou comme un outil indispensable à l'accès culturel permettant une meilleurs réussite d'études ? Je pense d'ailleurs que "confort matériel" et "exigence de l'avenir" doivent être dissociés. Se voir offrir un ordinateur à 15 ans est-il par exemple pénalisant pour intégrer notre société, que de ne pas en avoir ou l'acheter soit-même plus tard, lors de sa majorité ? A ce propos, si l'on se compare à nos précédantes générations, alors n'oublions pas d'y comparer le cadre de vie : Voilà plusieurs dizaines d'années, aller travailler à 16 ans en vélo n'était pas surprenant. Trouver un métier de faible qualification à proximité de son lieu d'habitation était aisément envisageable. De même, plus de familles cultivaient eux-même leurs légumes, fruits, et entretenaient du bétails ou de la volail : les poules, coqs, dindons, lapins, chèvre, vaches, bouc ou moutons, et haricots, fraises, patates, pommes ou autres sources alimentaires étaient monnaie courante dans les campagnes et milieux ruraux. Plus de jeunes étaient alors intégrés dans ces milieux, et y aidaient leur parents. Aujourd'hui, l'urbanisation et la mondialisation éradiquent petit à petit ce mode de vie, pour laisser place à la consommation de masse, aux grandes surfaces, et aux échanges de flux de capitaux ou de marchandises. Chez les jeunes, l'apparition et l'intégration des nouvelles technologie est devenue incontournable. Internet en est l'un des meilleurs exemples. En effet, impossible même d'intégrer l'enseignement supérieur sans internet (nouveaux dispositifs de portails d'inscriptions éléctroniques imposés), devenu par ailleurs un intermédiaire de divertissement (nombreux jeux en réseaux, films, musiques, vidéos, sites) et de communication inéspéré (msn, forums, sites de chat, blog etc). Avant l'année 2000, internet était encore un privilège, et d'une certaine sorte, un luxe. Aujourd'hui, c'est un outil intégrant de la vie courante, tout comme la voiture l'est pour nos déplacements. Tel que notre société de consommation l'impose, internet devient également un intermédiaire à d'autres technologies, tel que les téléphones portables, les ipod, ordinateurs portables, consoles de jeux, ou lectures multimédias (mp3 ou mp4). Nos prédécesseurs n'en bénificiaient évidemment pas, d'où cette impression apprente d'une nouvelle jeunesse "gâtée" et "privilégiée". Mais ne serait-ce pas un mode de vie nouveau, caractéristique des pays développés ? Doit-on rejetter ces avancés technologiques et leurs intégrations chez les plus jeunes ? Je pense que cette interrogation est centrale aux problématiques posées...
  8. Aroya

    La citation du jour

    "On dit que les nouvelles générations seront difficiles à gouverner. Je l'espère bien." Alain.
  9. Il ne doit pas avoir de version... connait-il seulement le sujet ? A ce propos, j'apporte quelques documents que je vous invites sérieusement à lire. Voici un diaporama au format pdf, synthèse des théories alternatives sur l'effondrement des tours, très instructif pour les non-initiés : Pourquoi trois gratte-ciels se sont effondrés le 11/9/2001 ? Et ici, un dossier émanant du Centre Français de Recherche sur le Renseignement, qui également, apporte de précieuses informations et analyses d'intellectuels, dont celle du docteur Michel Nesterenko, directeur de recherche au CF2R, chargé des sources ouvertes, du cyberterrorisme et de la sécurité aérienne ; actuel expert en sécurité des infrastructures auprès de l'United Nations Interregional Crime and Justice Research Institute (UNICRI) et du Haut comité français de Défense civile, et membre fondateur de Protection Totale Engineering Group, un cabinet d'experts en sécurité pour la protection des flux d'information au sein de groupes industriels et la gestion de crises chaotiques basé à Genève (Suisse) : Project for a New American Century (Notez que ce dernier ne s'inscrit pas dans le cadre des théories alternatives, mais y apporte nombreuses informations en adéquations à la problématique géopolitique et stratégique d'un laissé faire ou d'une implication interne au gouvernement américain sur les attentats du 11 septembre 2001).
  10. Je précise que j'apporte au sein de ce thread, des faits, témoignages, documents, et arguments, qui tendent à démontrer que, non seulement la version officielle parait dans son intégralité improbable, qu'un laissé gouvernementale à vraisembablement eu lieu, mais aussi et surtout, que la théorie la plus redoutée, celle de l'implication directe d'un groupe de la haute dirigeance améraicaine, semble s'imposer... Si vous avez des réserves (ce qui est tout à fait normal), ou que vous refusez d'accepter la possibilité de cette réalité, alors apportez des contres-arguments, mais ne dénigrez pas gratuitement les personnes qui font l'effort de rechercher, de comprendre et de partager les faits et informations disponibles sur ces attentats. Et pour ma part, je ne suis pas un complotiste (cf : "Putain l'attaque des complotistes de Dailymotion !"), mais suis au contraire inscrit dans une démarche de scepticisme visant à dénoncer et contrecarrer par des analyses objectives, les faux complots. Or, le seul faux complot ici, c'est bien celui de la version gouvernementale. Un peu de lecture...
  11. J'aimerais revenir sur la réaction de flapx : Bien évidemment, les choses sont loins d'être aussi évidentes et simplistes. Bush n'est que le pion d'un complexe échiquier. Si tu souhaites t'informer davantage sur ce qu'un gouvernement est capable de mettre au point pour défendre ses interêts et conserver sa suprématie, je t'invite par exemple à lire ce projet déclassifié, connu sous le nom "d'Opération Northwoods". Ce scénario false flag projetait d'organiser une série d'attentats contre les états-Unis, par l'état-major interarmes américain lui-même, de manière à en imputer la responsabilité au régime cubain. Le plan conçu par le brigadier général William H. Craig présenté le 13 mars 1962 au « Groupe spécial élargi », siégeant au Pentagone, par le général Lemnitzer, consistait à faire subir des dommages aux biens et personnels américains suffisamment importants pour susciter une forte indignation dirigée contre le maître de l'île voisine. Ainsi, il était prévu : - l'attaque de la base de Guantanamo par des mercenaires cubains sous uniforme castriste - de faire sauter un navire de guerre américain dans les eaux territoriales cubaines avec la présence proche de navires ou avions cubains aux fins d'imputation, attaque voulant rappeler la destruction de l'USS Maine à La Havane en 1898 (qui fit 266 morts, victimes, en réalité, d'un accident), utilisée pour justifier l'intervention militaire menée alors pour déposséder l'Espagne de sa colonie. Le navire aurait pu être téléguidé et les fausses victimes auraient bénéficié de funérailles simulées. - de terroriser les exilés cubains de Floride en organisant des attentats contre eux, y compris de couler, réellement ou en simulation, des embarcations chargées de ces réfugiés fuyant le régime castriste. De faux agents cubains auraient été arrètés et contraints aux aveux afin d'exhiber des preuves. La presse aurait été alimentée de faux documents compromettants pré-établis. - le bombardement nocturne d'états voisins par de faux avions cubains. - la destruction d'un avion charter, opéré par une compagnie aérienne détenue en sous-main par la CIA, dont les passagers, des étudiants en vacances, auraient été transférés sur un avion similaire, et dont les messages radio auraient dénoncé une attaque par un chasseur cubain. En plus de ces projets, le ministère de la défense avança plusieurs idées d'opérations, telle l'opération 'Coup vicieux', partie d'un ensemble de projets baptisé « Opération Mongoose », qui envisageait un possible accident du vol Mercury devant envoyer dans l'espace John Glenn et prévoyait d'en rendre les Cubains responsables à l'aide de preuves préfabriquées établissant des interférences électroniques. Finallement, ces projets, reliés au contexte de la guerre froide, auront été contrecarré par Kennedy, qui aura suivi les mises en gardes de son prédécesseur, Eisenhower, lors de son discours de fin de mandat : « Dans les conseils de gouvernement, nous devons prendre garde à l'acquisition d'une influence illégitime, qu'elle soit recherchée ou non, par le complexe militaro-industriel. Le risque d'un développement désastreux d'un pouvoir usurpé existe et persistera. Nous ne devrons jamais laisser le poids de cette conjonction menacer nos libertés ou les processus démocratiques. Nous ne devons rien considérer comme acquis. Seules une vigilance et une conscience citoyennes peuvent garantir l'équilibre entre l'influence de la gigantesque machinerie industrielle et militaire de défense et nos méthodes et nos buts pacifiques, de sorte que la sécurité et la liberté puisse croître de pair.» (Dwight Eisenhower, Farewell adress, 17 janvier 1961) Mais quels seraient dès lors les grands bénéficiaires d'une machination interne au gouvernement américain sur les attentats du 11 septembre 2001 ? Le complexe militaro-industriel, qui a accumulé des dizaines de milliards de dollars de bénéfices ; les compagnies pétrolières, qui espèrent mettre la main sur le pétrole irakien, et peut-être iranien ; le système gouvernemental, qui a permis le vote de lois liberticides appliquées au nom de la lutte contre le terrorisme international ; le Parti républicain, qui a sauvé un président, George W. Bush, fraîchement élu et vulnérable, considéré par beaucoup comme illégalement élu par une voix de majorité à la Cour suprême, en en faisant un "président de temps de guerre" drapé dans la bannière étoilée ; la Republican Federalist Society, qui s'est servi du 11 septembre pour atteindre son objectif de concentration du pouvoir au sein de l'exécutif ; le vice-président Dick Cheney et les néoconservateurs, qui ont utilisé le "nouveau Pearl Harbour" pour mettre en oeuvre leur "Projet pour un Nouveau Siècle Américain" et pour étendre l'hégémonie américaine sur le Moyen-Orient ; et enfin les sionistes israéliens de droite, qui ont utilisé avec succès le sang et l'argent des Américains pour éliminer des obstacles à une expansion territoriale israélienne. De plus, comme précisé dans ce projet de nouveau siècle américain (PNAC) et dans son rapport Rebuilding America's Defenses (Reconstruire la défense de l'Amérique) : "Le processus de transformation, même s'il apporte un changement révolutionnaire, sera probablement long en l'absence d'un événement catastrophique et catalyseur - comme un nouveau Pearl Harbor" (« Further, the process of transformation, even if it brings revolutionary change, is likely to be a long one, absent some catastrophic and catalyzing event – like a new Pearl Harbor. »). Cela suggère la réalisation de faux attentats terroristes permettant aux gouvernements de prendre des mesures extrêmes sous prétexte d'urgence, en usant de la méthode de l'angoisse. Autres dominances idéologiques apportées par ce rapport : - La domination du monde par les états-Unis profite à la fois aux états-Unis et au reste du monde ; - Cette domination nécessite l'usage de la force militaire, d'un jeu d'influence diplomatique et d'un engagement à des principes moraux ; - Il incombe aux dirigeants des états-Unis, au niveau de la légitimité et de la responsabilité, de gérer cette domination mondiale ; - Le gouvernement des états-Unis doit user de sa supériorité afin d'obtenir une autorité absolue par tout moyen nécessaire. Comment considérer dès lors les objectifs initiaux de la série de guerre au Moyen Orient ? Est-ce les terroristes qui étaient traqués, ou le pétrole ? * N'oulbions pas que l'administration Bush s'est déjà faite complice de la libre divulgation des mensonges sur les armes de destruction massive en Irak, sur les tortures des prisonniers d'Abou Ghraib ou de Guantanamo, sur le statut prétendument imprenable des grottes de Tora Bora, sur les manipulations relatives aux réalités vécues par les soldats américains envoyés en guerre au Moyen Orient (Afghanistan et Irak), et sur l'actuel nucléaire Iranien, (j'en oublie probablement encore). Ne serait-elle pas capable de mentir une fois de plus, sur ses intentions, et sur la version descriptive qu'elle développe des évènements du 11 septembre 2001 ? Non, des TROIS tours... ----------------------- Quelques documents instructifs : - Le débat sur le 11 septembre s'envenime - Des experts face au 11-Septembre : entre doutes et accusations - J'ai financé le 11 septembre et tout le monde s'en fout ! Actualité : - Sharon Stone : Comme Marion Cotillard, elle émet des doutes sur les évènements du 11 septembre... ----------------------
  12. Heum... bienvenu quand même sur ce thread flapx... Dis moi, quand tu dis "ce mec", à qui t'adresses tu ? As-tu lu ce topic ? Tes insultes et ton apparent "dégout" sont-ils basés sur une mauvaise compréhension de nos propos ? Peux-tu argumenter clairement ta position ? Crois tu TOUT ce que nous dis la fable officielle ? Enfin, je précise une dernière fois pour les lecteurs non avertis : LES THEORIES ALTERNATIVES NE REMETTENT, NI LES ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE EN CAUSE, NI LES VICTIMES DE CES ATTENTATS, MAIS LE RECIT GOUVERNEMENTAL DU DEROULEMENT DE CETTE JOURNEE ! J'en reposte une synthèse des points principaux : A ce propos, une pétition à signer : "Pétition pour l’ouverture d’une enquête internationale sur les attentats du 11 septembre 2001"
  13. marcomarseille, lisez vous ce que j'écris ? Bon, on reprend tout : Pas des centaines, mais des millions. C'est parce que ces images ont été filmé et diffusé en boucle par nos médias qu'une grande partie de la population mondiale, tout pays confondus, ont vu ces avions entrer en collision dans les tours. De même, plusieurs milliers de New-Yorkais étaient déjà dans les rues, les yeux fixés sur la tour nord en flamme, lorsque le second avion a impacté la tour sud... - L'onde de choc de l'effondrement des tours jumelles a fait s'effondrer d'autres bâtiments dites vous... Allez, dites moi lesquels... - L'onde de choc provoquée par la collision des Boeing dans les tours était gigantesque dites vous... Elle ne représentait en réalité qu'une faible oscillation absorbée en quelques secondes par leur structure solidement ancrée au sol. Lors des tempêtes ou de vents puissants, les tours étaient bien davantage sollicitées... La grande majorité du kérosène s'est consommé par l'importante explosion engendrée lors de l'inflammation des réservoirs, en quelques secondes, notamment par les boules de feu développées à l'extérieur des tours. Les incendies se sont ensuite rependus vers les étages supérieurs à l'impact (la chaleur monte), consumant progressivement le kérosène... Précisons que l'intensité des incendies diminuait au cours du temps, de même que leur température. Une équipe de sapeurs pompiers était d'ailleurs parvenue jusqu'au foyer incendiaire de la tour sud, et avait déclaré par radio que quelques simples lances à incendies suffiraient à en venir à bout... la tour s'effondra après cette communication... Pour la chaleur d'enfer, elle était tellement importante qu'elle permettait aux employés de circuler librement dans les étages endommagés (Voir ce site) : C'est bien pour eux que les familles des victimes se battent contre l'administration Bush... pour tenter de connaitre la vérité... pour tenter de faire le deuil de leurs proches... Vous pourrez également prendre en considération les témoignages de ces personnes, et qui pour une partie importante des survivants, ont vécu des explosions, voir.. en ont été directement victime. Et il ne s'agit pas d'explosions crées par l'imflamation du carburant des Boeings...
  14. On avancera pas beaucoup comme ça... Surtout que le pentagone est le point le plus instable des théories alternatives. Même entre chercheurs indépendants, les avis divergent... Peut-on alors faire un léger détour sur l'effondrement des tours du WTC ? Parce que là, il y en a, des choses à dire... Voici une courte synthèse d'éléments incompatibles à la théorie gouvernementale, que j'ai rassemblé sur le fil "Marion Cottilard parle du 11 septembre" (je copie-colle ici, si vous n'y voyez pas d'inconvénients) : Je pense et j'espère qu'à partir de ces éléments, le débat sera plus riche (inutile donc de dire "reveillez vous, allez vous coucher, dormez bien, ne vous réveillez pas"... etc... ) Bref, bonne nuit quand même !!
  15. C'est évidemment l'une des questions les plus problématiques dans l'hypothèse du crash d'un drône ou d'un autre vol. Mais un certain nombre d'hypothèses existent... je vous invites par exemple à lire ce thread : Où était le vol 77 après 8h56 ? Pour l'hypothèse du missile, je n'en pense pas moins que vous. Seuls quelques témoignages corroborent cette possibilité, et encore, ils n'auraient pas vu directement le missile, mais l'auraient seulement "entendu" ("ça faisait wooshooo, comme un missile"). A vrai dire, cette piste du missile seul a été abandonnée par les chercheurs indépendants. Elle laisse trop de faits inexpliqués et ne répond pas aux observations. Pour l'explosion, ce n'est en soit pas compliqué de mettre en place un dispositif explosif (bombe), mais là encore, cette hypothèse à elle seule ne tient pas. S'il y a eu des explosions, c'est en associativité à la collision d'un appareil (lequel ?). Pas sur le pan entier, mais sur quelques points précis du pan. Les charges auraient pu être stockés sous le rez de chaussé (il y a des témoignages d'une présence intriguante de militaires dans ces sous-sols une fois les incendies éteints). Et si personne n'aurait rien vu, c'est avant tout parce que la zone touchée était en rénovation (elle devait pouvoir faire face à un attentat terroriste impliquant une forte explosion ou un accident d'avion). Drôle de hasard dirons nous. Vous me demanderez alors, pourquoi poser des explosifs si un avion serait bien entré dans le pentagone ? Car si cet avion était insuffisamment lourd (énergie cinétique moins importante), les dégâts risqueraient d'être clairement incompatibles, ce pourquoi l'on aurait "simulé" l'intrusion d'un Boeing en explosant une bombe sur l'anneau C, dans la trajectoire correspondante à la direction d'incidence de l'avion, voir peut être dans d'autres parties du bâtiment. Il y a d'autres hypothèses que celles que j'avance là, mais l'on rentre ensuite dans le subjectif. Personnellement, je n'ai aucune certitude sur ce qui s'est réellement passé au pentagone, et à vrai dire, malgré d'importantes réflexions et efforts d'objectivités, aucune piste ne peut être privilégiée. Le pentagone est un passage délicat en interprétation, et porte souvent à confusion, tellement les éléments dont nous disposons nous paraissent incohérents et difficiles à recoller entre eux (la version officielle ne s'en sort pas mieux, loin de là). Les interventions de l'ancien commandant militaire français Pierre-Henri Bunel, agent de rensiegnement et expert en explosifs, est en revanche très instructive et répond à nombre d'interrogations sur cette épidode : Pierre-Henri Bunel répond à vos questions
  16. Bonsoir à tous, je me permet d'intervenir dans ce débat. Je suis quelqu'un de rationnel, d'objectif, et curieux par nature. Il existe de nombreuses théories dites "conspirationnistes" sur internet, probablement plus que ce que vous ne pouvez l'immaginer. Le complot lunaire, l'origine militaire des crop-circles, et la dissimulation de la présence d'Ummites sur notre sol terrestre (rapporté au phénomène Ovni), ont par le passé fait l'oeuvre de mes investigations personnelles. En m'ôtant de tout préjugé et tendance de rejet ou d'acceptation affective aux hypothèses relatives à ces sujets, j'ai analysé l'ensemble des arguments qu'elles présentaient, pour les entrecouper et tenter d'y porter des conclusions. Celles-ci étant particulièrement riches en informations et arguments, difficile de se forger un avis fiable en peu de temps. Mais l'étude raisonnée des faits m'a permis de conclure, entre autre, que les crop circles ont véritablement été tracés par l'homme (hypothèse extraterrestre peu probable), par l'intermédiaire de moyens rudimentaires à même le sol (hypothèse militaire peu probable) - l'exposition de mon raisonnement peut-être consultée ici - et que le complot lunaire n'en est pas un (arguments contre arguments, cette thèse du canular des missions Apollo est aisément démystifiable par l'analyse scientifique). Pour l'explication du phénomène ovnis, plus complexe et tenace, je privilégie le modèle sociopsychologique, mais reste néanmoins ouvert (ce qui ne veux pas dire que j'y adhère) aux développements scientifiques impliquant des origines non terrestres sur une minorité d'observations classifiées "D" par le groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEIPAN), actuellement en défaut d'explications rationnelles. Mon intéressement aux sujets à polémique m'a inscité à étudier toute une panoplie de sujets caractéristiques de la zététique, dont la parapsychologie, le créationnisme (dessein intelligent), l'homéopathie, le magnétisme, l'astrologie, la psychanalyse et les pseudo-sciences en général (graphologie, morphopsychologie, acupuncture, PNL (programmation neurolinguistique), phénomènes paranormaux et medecine fantaisistes). J'ai alors acquis une partie des méthodes zététiques d'approche et d'étude des sujets controversés, en affinant davantage mon esprit critique et le scepticisme s'y rattachant. Avec l'expérience, on prend beaucoup de recul sur les rumeurs, complots, et croyances diffusés par internet... Vous devinerez facilement que j'ai alors découvert le passionnant sujet des théories alternatives du 11 septembre 2001, cela par l'intermédiaire du film Loose Change 2, diffusé sur Reopen.info. Je me suis alors immédiatement lancé dans un travail de recherche, comme je l'avais déjà fait pour les dossiers précédents, en essayant de confronter les arguments, de chercher des failles de raisonnement, de trouver d'autres interprétations aux faits... Puis j'ai vu le film "Screw Loose Change", démontage de ce premier, réalisé par un Canadien. J'ai par son intermédiaire découvert les sites "anti-conspirationnistes" bénéficiant des explications scientifiques et rapports déjà établis par la FEMA et le NIST pour appuyer leur argumentaire et démonter certaines des explications alternatives. Ensuite, vadrouillant de lien en lien, j'ai découvert des documents, des papiers de scientifiques sur le calcul des vitesses d'effondrement des tours en fonction de la résistance des matériaux, des publications de travaux sur une possible présence de thermate dans les décombres, des forums de discussions avançant de nombreux éléments étonnant que je ne connaissais pas (quelques papiers scientifiques : [1][2][3][4][5][6][7][8], format pdf). Et là, de charge en décharge, j'ai exploité une multitude de liens, d'infos, de témoignages, de vidéos... en ne m'interrogeant que davantage au fur et à mesure de mes recherches. Ne sachant plus trop quoi penser, tout en assistant aux confrontations idéologiques et argumentaires des truthers et de leurs détracteurs, qui ripostaient d'arguments en arguments sur de nombreux forums, j'ai décidé de constituer un dossier de synthèse confrontant la défense de chaque "camps". De cette façon, j'ai constaté une déficience évidente de la thèse de Thierry Meyssan sur le pentagone, comme quoi aucun Boeing n'y fut impacté, par un démontage massif d'arguments émanant des sites "anti-conspirationnistes", dont : - la réelle présence de débris (des photographies s'en font témoins) - la majorité de témoignages confirmant le passage d'un avion de ligne - les traces de destruction sur son passage (lampadaires sectionnés, cime d'arbre arrachée, caisse de générateur déformée, voiture de taxi endommagée, morsure du béton au sol, débris de carlingue émiétés sur la pelouse) - le cratère suivit de l'effondrement de la façade - les quelques vidéos surveillances publiées confirmant l'explosion dans la façade du pentagone C'est donc l'impossibilité qu'un avion se soit écrasé dans le pentagone qui me paru impossible. Thierry Meyssan aurait alors négligé les différentes informations et tronqué sa recherche, en selectionnant seulement ce qui allait dans le sens de sa thèse. Mais c'est là que je me distingue des démonteurs classiques de complot, qui conserveraient une orientation prétracé en généralisant leurs pensées : "Il y a des traces de l'avion, des témoignages le confirment, donc : la théorie de Meyssan ne tient pas = Thierry Messyan est un fabulateur = ses adeptes conspirationnistes sont à leur tour soit manipulateur-désinformateurs, soit naïfs et paranoïaques = les théories complotistes en général sont du même acabit = le complot du 11 septembre est absurde" Mais voilà, si l'on conserve son objectivité, et que l'on entrecoupe les témoignages et éléments disponibles, de nombreuses contradictions apparaissent. Par exemple, des enquêtes sur le terrain effectués par des truthers américains à proximité du pentagone ont confirmé la présence de nombreuses cameras surveillances déjà présentes le 11 septembre, estimés à près d'une centaine, dont plusieurs dizaines en direction du point d'impact de la face sud-ouest. Des photographies les recenses, et différents ingénieurs et spécialistes américains en audio-visuels ont déduit que la fréquence d'image des vidéos surveillances rendues publics par le gouvernement ne pouvaient être aussi basses (une image par seconde), mais qu'elles devraient par les normes sur la surveillance audiovisuelle du district de Columbia à l'époque des attentats, filmer sous les conditions d'un lieu militaire hautement protéger, à des fréquences minimales de 30 images par secondes. D'autres analyses mettent en évidence des trucages vidéos, où d'ailleurs, aucun avion n'est visible (il s'agit au mieux d'un ovni), alors qu'en parallèle, il est démontré qu'au moins 4 vidéos supplémentaires auraient nécessairement filmées l'avion (le passage de l'avion dans le champ de vision entre 2 images successives était très fortement probable). Pourtant, le gouvernement ne les diffuses pas. Pourquoi ? (ça lui permettrait de faire taire une partie des théories sur le pentagone). Autres faits "incohérents" : Un trou circulaire inexplicable est présent au niveau du troisième anneau du pentagone (anneau C) : aucun objet susceptible de l'avoir crée n'a été retrouvé. Le pilote supposé, Hani Hanjour, auquel une école de pilotage a refusé le prêt d'un petit Cessna pour « insuf­fisance », effectue des manoeuvres parfaitement maîtrisées : spirale descendante avec perte d'altitude contrôlée, approche en rase-motte avec des manoeuvres d'évitement d'obstacles, impact entre le RDC et le 1er étage du Pentagone (ce qui signifie que le bas des réacteurs est au niveau du sol) - le tout, d'après la boîte noire analysée par le NTSB, à 850km/h (530miles/h). De nombreux pilotes expériementés se sont d'ailleurs déclarés être incapable de réaliser de tels manoeuvres (ici et là). Le FBI s'est rendu très vite sur tous les sites possédant des caméras de surveillance autour du Pentagone et a saisi tous les enregistrements, donnant l'ordre aux employés d'un hôtel proche qui avaient visionné une vidéo du crash, de conserver un silence absolu. Une journaliste de l'US Navy, Barbara Honeger, a rapporté qu'une explosion avait eu lieu préalablement à l'impact sur la façade. Elle a également constaté que plusieurs pendules étaient restées bloquées à 9 h 32 alors que l'heure officielle du crash est 9 h 37. Les traces d'impact sur la façade sont difficilement attribuables à celles d'un appareil de l'envergure d'un Boeing 757 et de ses deux réacteurs. L'enregistreur de vol, dont les données ont été rendues publiques en 2006, montre une altitude de 273 pieds au-dessus du sol sur la zone d'impact, alors que le pentagone ne mesure que 77 pieds de haut. Les témoignages sont très contradictoires, certains affirmant avoir vu un Boeing, d'autres, un drône ou un avion de plus petite taille. La Commission d'enquête n'a quant à elle retenue que les premiers témoignages. Bien que des débris soient présent sur les lieux, ils sont loins de représenter la masse totale du prétendu Boeing, s'élevant à une centaine de tonnes, notamment par les imposants réacteurs et les autres parties résistantes tel que l'appareillage éléctronique ou les dispositifs de freinages. Sachant que la température d'évaporation des principaux matériaux constituant l'avion s'élève pour l'aluminum à 2520°C, pour le nickel à 2913°C, pour le titane à 3286°C, et qu'un incendie d'hydrocarbure atteint généralement des températures maximales de 1000°C, l'hypothèse d'une évaporation de l'avion par l'incendie est exclue, d'autant plus que cela ne s'est jamais produit par le passé, et que si tel fut le cas, le béton et les structures de soutient du pentagone seraient-elles même fondues, si ce n'est évaporées. L'hypothèse de fusion visant à expliquer le déficite massique de l'appareil se vaut pour l'aliminium, dont le seuil de fusion se trouve à 660°C, mais ne s'applique pas aux autres matériaux plus denses, tel que le nickel, qui fond à 1453°C, ou le titane, qui fond à 1660°C. Or, nous n'avons à priori retrouvé aucune flaque de métaux fondus, et sommes bien loin d'atteindre une masse de débris s'élevant à 100 tonnes. En vue de ces éléments, se pose les questions suivantes : pourquoi les services secrets ont-ils cherché à récuperer les cameras surveillances ; pourquoi le gouvernement refuse t-il de les diffuser ; comment expliquer le manque massique de débris du prétendu Boeing ; comment expliquer la contradiction des témoignages ; comment expliquer le cratère mystérieux de l'anneau C, et que se cache-t-il derrière l'ensemble de ces faits ? Quoi qu'on en dise, il n'y a actuellement AUCUNE PREUVE du crash d'un Boeing de 100 tonnes contenant 20 000 litres de kérosène dans le pentagone. C'est pourquoi l'ouverture d'une enquête se révelerait être très utile. En outre, je n'ai discuté que de l'épisode "pentagone". Concernant l'effondrement du WTC7 et des twin towers, beaucoup de choses (plus encore) sont à dire... Toutefois, sachez qu'en appliquant les mêmes principes d'analyses zététique appliqués aux théories conspirationnistes que j'ai l'habitude d'étudier, je tends inexorablement, pour les attentats du 11 septembre, dans la direction contraire à la version officielle... la thèse MIHOP... ...Plus on en sait, plus la version gouvernementale parait improbable... Aroya.
  17. Précisons toutefois qu'il s'agit d'un calcul s'appliquant à un mouvement rectiligne uniforme. Si le véhicule entre en mouvement curviligne ou circulaire, aucune des 4 roues ne tournera à la même vitesse. C'est alors le rôle du differentielle avant et arrière, associé de l'arbre de transmission, de communiquer la puissance du moteur aux roues. Il est à ce propos possible de calculer des rapports de transmission du train d'engrenage : i = w(s)/w(e) = (-1)^p[(Z menantes)/(Z menées)] De même, en cas de virage, la vitesse instantanée de chacune des roues peut-être calculée par diverses méthodes graphiques, tel que celle du CIR (Centre Instantané de Rotation), dont la position est aisée à déterminer puisque ne pouvant se trouver qu'à l'intersection des normales aux vecteurs "vitesse" (il suffit graphiquement de reporter l'angle défini depuis le CIR en encadrant le vecteur vitesse puis d'appliquer la proportionnalité des vecteurs "vitesse" et des rayons de giration). En se basant sur l'hypothèse d'une rotation des roues sans glissement au sol, d'autres méthodes tel que celle du champ des vecteurs "vitesse" autour de l'axe de rotation fixe (fixation roues/chassis), de l'équiprojectivité des vecteurs "vitesse" ou de la composition en un point des vecteurs "vitesse linéaire" ou des vecteurs "vitesse angulaire" peuvent être employés. Mais pour revenir sur le problème initial, la formule utilisée par sousene est amplement suffisante : v(t) = ω(t)/r, avec v(t), la vitesse de déplacement du véhicule, ω(t), la vitesse angulaire des roues (autrement dit, vitesse de rotation des roues/châssis), et r, leur rayon. r = 30 cm = 0.3 m ω(t) = 150tr/min = 2π.150 radian/min = π.150/30 radian/s = 15,7 radian/s v(t) = 15,7 x 0,3 = 4,7 m/s = 16,9 km/h La vitesse du véhicule est donc de 16.9 km/h
  18. Moi j'crois pas qu'il est l'heure que j'me couche, mais j'ai la flème quand même... Sinon, j'crois en la science, en la logique et en la rationnalité de notre monde.
  19. Aroya

    La vie est belle?

    Autant camper directement dans l'émission de télé réalité (pas dans la télé hein)... Mais pas l'île de la tentation non, le cadre est trop parfait et paradisiaque (on le voit bien ils chialent tous). J'voterais plutôt pour Koh Lanta :D Wué là bas c'est le tip du top, ils mangent des super grains de riz moulé à l'eau de mer salé, avec de bon gros vers dégoulinant comme dessert, ils ont des tatouages trop stylés de moustiques, ils font des super parties de jeux olympiques tropicales, ce qui renforcent leurs défenses immunitaires, après quoi ils tombent sous le charme des maladies exotiques de l'île, pour au final profiter d'une croisière en bateau (voir en hélicoptère),et enfin rentrer joyeusement dans le centre hospitalier le plus proche de leur pays tant adoré. Ca c'est le bonheur, le vrai
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