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Tout ce qui a été posté par Valtesse
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Des sauvages, mes écossais ? En tout cas, eux savaient boire, contrairement à ces buveurs d'eau chaude! Nous devons au sage David le Saint l'efflorescence du régime féodal.On lui doit aussi les constructions de magnifiques châteaux et monastères. Quant à Alexandre III, il engagea un combat victorieux contre Haquin, roi de Norvège, afin de récupérer les îles occidentales de l'Ecosse. Evidemment, votre mauvaise foi légendaire vous fait vous garder de citer des rois comme Robert 1er d'Ecosse qui remporta la légendaire bataille de Bannockburn sur le roi Edouard II et se rendit maître de toute l'Ecosse, aidé de la France (encore nous! ), fidèle alliée dans l'adversité... Ou bien encore Jacques 1er qui réitéra la Vieille Alliance franco-écossaise (rien que pour cette brillante idée, ce roi a mon attachement...), lança de nouvelles réformes juridiques et financières... Malcom II n'eut pas son pareil pour prendre les rênes du pouvoir et remporta la victoire lors de la bataille de Carham faisant du Lothian une terre écossaise. Constantin II qui débarrassa l'Ecosse des invasions vikings et réforma l'Eglise chrétienne... Nul ne sert de nous servir vos maudits "fish and chips" à toutes les sauces : ils ne sont bons qu'à coloniser, spollier les conquêtes d'autres royaumes, massacrer à tort et à travers, se laisser gouverner par des fous, des meurtriers, des régicides, des bâtards...ou par une vieille peau dont le fils ne trouve pas mieux que d'alimenter les potins en se vautrant dans l'adultère! Leur cerveau tout englué de gélatine finira par comprendre un jour qu'il est vain de contraindre des peuples, lorsque l'Ecosse reprendra son indépendance!
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Seth Rotten et Stein, je vous adore!!!
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Sus aux lionceaux! Un peu de "mangeurs de panse de brebis farcie "pour te faire plaisir! "La bataille de Bannockburn est une écrasante victoire de l'armée écossaise menée par Robert Bruce sur les troupes anglaises menées par édouard II d'Angleterre pendant la première guerre d'indépendance écossaise. Elle est marquée par l'utilisation par Robert Bruce de carrés de piquiers nommés schiltrons sur lesquels viennent s'écraser les charges de cavalerie Anglaise[1]. Cette bataille entraine une remise en question tactique de l'armée anglaise ce qui aura un impact majeur sur les tactiques de combat de la guerre de cent ans." L'hymne des highlanders : Scots, wha hae wi' Wallace bled, Scots, wham Bruce has aften led, Welcome to your gory bed, Or to victory! Now's the day, and now's the hour; See the front o' battle lour, See approach proud Edward's power - Chains and slavery! Wha will be a traitor-knave? Wha can fill a coward's grave? Wha sae base as be a slave? Let him turn and flee! Wha for Scotland's king and law Freedom's sword will strongly draw, Freeman stand or freeman fa', Let him follow me! By oppression's woes and pains, By your sons in servile chains, We will drain our dearest veins, But they shall be free! Lay the proud usurpers low! Tyrants fall in ev'ry foe! Liberty's in ev'ry blow! Let us do or die! Vincere vel mori! Pour ta culture musicale : http://fr.youtube.com/watch?v=P5P1M5qwBwo http://fr.youtube.com/watch?v=4-rplOisb8g http://fr.youtube.com/watch?v=V84STSWVp3g Les écossais vaincront!
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Par tous les saints, vous nous portez cette malemaisnie de mangeurs de pudding aux nues! Félonie que tout ceci! William Wallace est devenu le leader d'une Ecosse qui se battait pour échapper au joug anglais, ces serial-killers en puissance prêts à tout pour imposer leur religion de brigands! Il a commencé son combat en tuant l'assassin de son père, mort pour avoir refusé de se soumettre à l'autorité de ce nigaud d'Edouard. L'incompétence de ces Chiens Rouges atteignit un niveau égal à leur intelligence lors de cette fameuse bataille de Stirling Bridge où il démontra ses talents de fin stratège : Dans le but d'écraser Wallace et de reprendre le contrôle de l'Ecosse, Warren va diriger une armée forte de 50000 soldats et 1000 cavaliers.De son côté, Wallace est à la tête d'une malheureuse armée composée de 16000 soldats et de 50 cavaliers, pauvrement armés et bien inexpérimentés. En une heure de temps, les écossais vont faire de ces "mangeurs de viande bouillie" de la chair à pâtée! Quelle cuisante humiliation pour ce grand dadais d'Edouard!!! Quant à Mel Gibson, c'est vous qui en parlez...le film vous a plu? Les kilts sont des tenues très sexy et la panse de brebis farcie n'est point mauvaise (rien n'est pire que la "cuisine" anglaise), je vous conseille d'y goûter. Vive l'Ecosse libre! Frédéric II! Il ne manquait plus que lui! Cet efféminé fils d'un homme à moitié fou qui voulut monter un coup d'état pour renverser son propre père (et vous osiez jeter la pierre à Marie de Médicis!). En se mariant à une Brunswick, il entra dans la famille d'une tsarine chère à votre coeur... Il put s'attribuer la sottise d'être le seul souverain d'Europe à s'opposer à la Pragmatique Sanction, basse excuse pour provoquer la guerre de Succession d'Autriche. Ce ne fut pas la seule nigauderie dont il put s'attribuer le mérite : Son impertinence lui vaudra de se mettre à dos la France, la Russie et la Suède qui se rangent aux côtés de l'Autriche (magnifique alliance!) dans la fameuse guerre de 7 ans (encore une guerre, décidément...). Sa fâcheuse habitude à violer les accords lui vaut, dans toute l'Europe, une réputation de fourbe en qui on ne peut avoir confiance. Sa roublardise n'a d'égal que son anti-sémitisme. Son mépris de la langue allemande en dit long sur le personnage : " Je trouve une langue à demi-barbare, qui se divise en autant de dialectes différents que l'Allemagne contient de provinces. Chaque cercle se persuade que son patois est le meilleur. Il n'existe point encore de recueil muni de la sanction nationale, où l'on trouve un choix de mots et de phrases qui constitue la pureté du langage¿ Il est donc physiquement impossible qu'un auteur doué du plus beau génie puisse supérieurement bien manier cette langue brute¿ J'entends parler un jargon dépourvu d'agrément que chacun manie selon son caprice, des termes employés sans choix; les mots propres les plus expressifs négligés¿ Il faut commencer par perfectionner la langue ; elle a besoin d'être limée et rabotée. " Ce personnage haut en couleurs finira ses jours en versant dans la misanthropie. La seule réussite de ce vil prussien :
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erreur
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Pourquoi les hommes jugent les femmes qui s'éclatent sexuellement
Valtesse a répondu à un(e) sujet de l'amour tous les jours dans Amour et Séduction
Allez, viens mon J-Luc, on va s'amuser un peu tous les deux... Bon, pour parler sérieusement, je pense que la plupart des hommes, du moins occidentaux, apprécient les femmes épanouies sexuellement. En effet, quel intérêt peut trouver l'homme à coucher avec une "femme-iceberg" ? Il n'est pas flatteur pour son ego de constater que sa partenaire ne prend aucun plaisir, lors de leurs tendancieux ébats.Une pensée du genre : "oh, mec, tu es un bon à rien, tu n'es même pas capable de faire prendre son pied à une nana, honte à toi!" pourrait lui traverser l'esprit et finir par le complexer dangereusement. L'homme est un voyeur : il aime regarder la femme sous toutes ses coutures, et adore la voir prendre du plaisir grâce à ses habiles caresses...son orgueil de mâle conquérant s'en satisfait pleinement. Et cela ne date pas d'aujourd'hui : rappelons à notre souvenance le fameux couple Louis XV-Madame de Pompadour. La Pompadour était frigide.Cela frustrait grandement son royal amant qui était un libertin par excellence et qui aimait voir ses maîtresses prendre du plaisir dans ses bras. Il était follement amoureux de Jeanne, mais vivait très mal sa "froideur".Son ego de roi et de mâle était touché. La Pompadour en était consciente et a tout fait pour remédier à ce problème en ingurgitant nombre de supposés philtres censés lui donner cette fougue sexuelle qui aurait pu contenter cet exigant galant. Rien n'y fit, elle lui trouva donc de jeunes jouvencelles promptes à calmer ses chaleurs... Un homme qui passe son temps à fustiger les femmes "hot" a, je pense, un gros complexe d'infériorité : il craint de ne pas être capable de faire jouir sa dulcinée (diantre, si un autre en était plus capable que moi? ). -
Faut-il être celle que les autres aiment ou être soi-même?
Valtesse a répondu à un(e) sujet de elene dans Philosophie
"Il n'y a de liberté pour personne s'il n'y en a pas pour celui qui pense autrement" (Rosa LUXEMBOURG) -
Tout mon soutien à Seth Rotten!
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Tu as raison, Mistral Gagnant, j'ai par trop délaissé mon pauvre ami, il me faut trouver remède à cette méprise! Par le sang du Christ et les cornes du Diable, je me doutais qu'une rouquine allait te causer effet certain mais pas à ce point! Ainsi, tu aimes à batifoler avec la cravache ? Qu'à cela ne tienne, allons fouailler gaiement et que l'orgie commence! Viens-t'en rejoindre jouer les Mignons avec ton altesse préférée (tu sais, celle pour laquelle tu conçois volontiers de mettre genou à terre) ! Ainsi, fieffé cuistre, tu m'accuses de pillage et d'esquive ? Je ne peux continuer à batailler vainement avec un maraud d'aussi mauvaise foi, qui se plaît à dénigrer les femelles parce-qu'elles sont femelles et qui, à trop se voiler la face, s'en voile l'esprit... au point de me citer ce barbare de "longshanks" dont le nom rappelle surtout ces massacres d'écossais et ses démêlés avec la France! Le meilleur de son règne fut, sans conteste, l'indomptable et brave William Wallace, qui remporta haut la main la bataille de Stirling Bridge, en faisant de la charpie de ces maudits sassenachs! God save Kingdom of Scotland! Et je terminerai ton instruction par une femme (tu les aimes tant! ), que dis-je, une impératrice, comme on n'en fait plus : Marie-Thérèse d'Autriche, reine de bohême et de Hongrie, impératrice d'Autriche et impératrice consort des Romains (beau palmarès, non?) Elle imposa le catholicisme comme religion de l'Etat, déclara l'école obligatoire, combattit sans relâche son pire ennemi, Frédéric II, veilla à unifier ses Etats, prit des mesures anti-cléricales (pas toujours justes mais judicieuses au possible! ) afin de mettre l'Eglise au pas, s'adonna au mercantilisme, et le roccoco fut son pêché mignon...d'où l'émergence de bâtiments "thérésiens". Son règne, elle le doit à la Pragmatique Sanction (au bûcher, la Loi Salique!). Elle pourra se piquer d'avoir un fils, Joseph II, empereur et "souverain éclairé" à qui l'on doit le fameux Edit de Tolérance, un autre fils, Léopold II, Roi des Belges ; deux filles non moins célèbres, Marie-Caroline, Reine de Naples, et la fameuse Marie-Antoinette... Comment ne pas faire serment d'allégeance devant une souveraine aussi...souveraine!
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J'y ai même ajouté les sels de bains!
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Joyeux anniversaire, mon métalleux d'amour! Stay metal!
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Enfer et damnation! Je laisse Simplicius deux jours tout seul, et le voilà cherchant querelle deçà, delà!!!
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1) Cette déclaration semble trop opportune pour être honnête, d'autant plus que ces derniers temps, vous vous comportez plutôt bizarrement, de façon erratique, très agressive et impulsive. J'ai parfois l'impression que ce n'est plus le même Davoust auquel nous avons à présent affaire. 2) Je ne vous crois pas, j'ai mes sources étant donné que vous participez simultanément à plusieurs fora sur la toile. 3) Ce n'est pas à un vieux singe que vous apprendrez à faire des grimaces. J'ai moi aussi l'impression que nous n'avons pas affaire au Maréchal qui nous est si cher. La piètre qualité syntaxique et les fautes d'orthographes, ainsi que la teneur de certains de ces propos et cet avatar atypique de notre personnage habituel me laissent perplexe... Aurions-nous affaire à une usurpation d'identité ?
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Il faut donc laisser chaque pays faire ce qu'il veut . En voila une bonne idee , laissons donc le racisme (l'antisemitisme dans ce cas la ) se developper et proliferer sans broncher ; comme ca le jour ou on se retrouvera avec un genocide sur les bras , certains seront la et se demanderons " mais comment ? pourquoi ? que s'est il passé ? " Force est de constater que nous n'avez rien compris à mes propos! Je ne juge pas utile de polémiquer avec vous, je réserve mon temps et ma verve à des duels plus raffinés...
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Je préfère à ton tyran, les glorieuses Chemises Rouges. Ou encore ce monsieur qui finit par retrouver la raison (il n'est jamais trop tard, ma foi! ) :
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Si chaque pays se préoccupait davantage de sa propre politique intérieure au lieu de venir se mêler de celle du voisin, le monde ne s'en porterait que mieux... Ce genre de propos me fait penser à des caquetages de basse-cour, de bas commérages d'anti-chambre...
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Décidément, tu ne réfléchis qu'avec ton phallus! Que vais-je bien pouvoir faire de toi, mon pauvre ami! Soit, tu fais fi de ma blonde, alors je m'en vais taper dans le bois dur et te quérir une rouquine. Ta devise serait plutôt : "le plaisir par la souffrance!", je me charge donc céans de satisfaire à tes fantasmes inavouables... Il te faut une matronne digne de ce nom, capable de te dresser : La grande Elisabeth! La reine Vierge, fille d'un fou sanguinaire et d'une courreuse de rempart (mais quelle beauté, cette gourgandine!), décida de se passer d'homme (je lui tire ma révérence), pour jouir du pouvoir en toute impunité. Bâtarde, excommuniée, régicide, partisane de l'anglicanisme, autoritarisme démesuré, relations désastreuses avec l'Irlande...Une rouée comme tu les affectionnes, vil gredin! Cependant, la Good Queen Bess put se targuer d'être à l'origine d'une expension culturelle, artistique, industrielle, économique et financière dont peu de ses nigauds d'homologues masculins pouvaient s'enorgueillir! Et dieu créa l'ère élisabethaine! La précellence maritime anglaise incarnée par Sir Drake ou Lancaster alliée à une politique colonialiste (le vice des Chiens Rouges! ) feront le calvaire des espagnols (qui s'y frotte, s'y pique, non ? ). Le plus badin, à mon sens, fut que lui succéda le fils de sa pire ennemie, du sang écossais catholique régnant sur ces "cup of tea"! Fais voeu d'obédience, fieffé gredin, devant la gloriana (et je te pardonnerai peut-être tes fourberies...)! Quant à ton Louis XIV (oh, mon roi adoré, pardonne moi d'avance ce que je vais révéler! ), si sa jeunesse pouvait excuser ses frasques avec la mazarinette, que vas-tu lui trouver comme excuse, lorsqu'il s'est laissé mené par le bout du nez par la perfide veuve Scaron? Un vieux roi sur le déclin, passant alliance à une rôturière, gouge de surcroît, qui jugea bon de transformer Versailles en un mouroir pestant la naphtaline ! Madame l'ordure (comme l'appelait cette claivoyante Palatine) , non contente de faire fuir Monsieur et tous les joyeux lurons de la cour, se mit en tête de fourvoyer le roi en le métamorphosant en un vieux bigot. Lui qui se glorifiait de ne jamais avoir subi l'influence des femmes (lui faisaient-elles peur?), se retrouvait à jouer les Monsieur-Scarron-cul-béni pour plaire à la guenon! Quelle fin de règne misérable! Le soleil se fait bien pâle, pardieu! "Peut-on, sans être satirique, Rire d'un règne aussi comique ? Voyez cette sainte putain, Comme elle gouverne l'empire, Si nous ne mourrions pas de faim, Il en faudrait crever de rire..." Force est de reconnaître à la ripotée ruse de renard! Je me gausse de te voir prendre plaisir à sentir mes griffes sur ton cuir, cela te change de ton porc-épic! Allez, fais toi plaisir à la vue de ce blason brittish, n'hésite pas à pratiquer l'auto-flagellation, tu aimes tant cela!
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Ah, mon slayerien sorti des profondeurs du metal! Avoues qu'elles sont sensuelles, non, cher confrère? Mon révolutionnaire préféré qui fait des siennes! Tu m'en ferais presque aimer les sans-culottes! Une Royaliste sans son Maréchal ne brille qu'à moitié!
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Si j'aime tes corrections ? Ma foi, n'est pas élève "sadienne" qui veut! Quant à toi, je vois que tu en es resté au stade du : "je m'oppose, donc je suis!" Contrairement à toi, certains estimèrent raisonnable la politique menée par la Florentine, la France traversant une époque de faiblesse. Et rendons considération aux goûts de luxe de la reine qui transformait les palais (comme le palais du Luxembourg) en pays des merveilles, scintillant d'or, d'argent et de cristal de roche... Hommage doit être rendu à la galerie de Pierre-Paul Rubens abritant les 24 tableaux relatant l'histoire de la Reine (et où Henri IV était représenté en Jupiter) : "Cette apothéose, jamais rendue par aucune souveraine, même riche, n'aurait pas de suite.Désormais, personne ne transfigurerait plus les défaites en victoires, la faiblesse en puissance, l'embonpoint flasque en majesté pulpeuse..." (Françoise Kermina). Marie aimait l'art, le faste et la gloire, comme beaucoup de ses homologues masculins. Elle avait au moins un mérite, celui de ne pas laisser indifférent. Gloria victis! Je choisis de continuer votre instruction en me faisant plaisir : Il était une fois une jeune damoiselle de 14 ans qui connaîtra le privilège de porter, par deux fois, la couronne : Anne de Bretagne Précoce et intelligente, elle saura s'entourer d'écrivains érudits, de poètes et son goût pour le luxe et les beaux-arts oeuvreront à transformer ses appartements en un havre enchanté. Le Louvre redeviendra, grâce à elle, un lieu de divertissements et de fêtes. Anne n'aura de cesse de développer et enrichir son duché, et d'y restaurer la quiétude.Elle conservera, grâce à un astucieux contrat, la pleine et entière jouissance de celui-çi. Elle aura gagné, privilège rare (même pour les rois), l'amour de son peuple. Anne perdra une seule bataille : l'abrogation du mariage de sa fille Claude avec le futur François 1er qui aurait permis à la Bretagne de conserver son indépendance (mais nous ne nous en plaindrons pas...) A demain, pourpoint bas!
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J'en appelle au Tout Puissant (et aux Princes des Ténèbres, par la même occasion ) pour venir à mon aide! Voilà que le Masque Vénitien se joint à cette truandaille fielleuse pour tenter (je dis bien TENTER) de trucider cette malheureuse, courageuse, charitable, belle et noble Altesse! Même envers et contre tous, l'Altesse ne rendra pas les armes et se battra, ense et aratro! "Vincere vel mori", telle est ma devise (enfin, celle que j'ai "empruntée"... )!!! Bon, où diable en étais-je ? Ah, mille excuses, Belzébuth, je devrais plutôt jurer "l'Autre", vous avez raison! Ventre Dieu! (c'est mieux, non ?) Non seulement, Acharon, je ne reprendrai pas mon exemple, mais dans un entêtement qui n'a d'égal qu'un orgueil démesuré , je prends la décision de tous vous assommer à coups de Marie par-çi et de Marie par là (jusqu'à ce que vous imploriez mon pardon, à genoux!) Que le spectacle commence! Comment ne pas se passionner pour une tordue comme tu les aimes, Simplicius! Marie aurait vendu père et mère pour assouvir ses ambitions (elle s'occupera au moins du fils! ). Mais elle n'est pas le diable que l'on décrit (enfin, pas à ce point...). A la mort de son époux, elle devint régente. Elle fera preuve de charité en supprimant une cinquantaine de taxes et en annulant des "commissions extraordinaires" (bon, c'était aussi pour soigner sa popularité ). "Elle dote des jeunes filles pauvres, aide à vivre des étudiants, fait libérer des prisonniers pour dettes et se rend même jusqu'à la prison pour vérifier si elle a bien été obéie." Elle fera preuve de sagesse dans l'expédition de Juliers, en réconciliant la France avec l'Espagne et l'Autriche. Marie et Margot s'entendent si bien que cette dernière désigne le dauphin comme unique héritier. Les algarades entre la Régente et Richelieu ou Louis XIII sont mémorables de cocasserie et valent leur pesant d'or, comme le fut la Journée des Dupes! Seul Gaston peut rivaliser en ce domaine (et il le fait si bien, diantre! )! L'ingrate Eminence devait son ascension à la Régente, qui le fit entrer au Conseil, ayant été la première à découvrir ses qualités d'homme d'Etat. Dans une période plus que troublée, Marie ne s'est finalement pas si mal débrouillée. Toutes les intrigues de la muse de Rubens furent, en fait, dirigées contre Richelieu à qui elle ne pardonnera pas la trahison. Et que dire de cet ingrat de Louis qui en oublie le respect qu'il doit à sa mère, tant il rampe derrière la soutane du "porporato"! La bassesse atteignit son paroxysme avec la condamnation à mort du malheureux duc de Montmorency qui fut pourtant l'un des compagnons de jeu de son enfance ! Ce dernier ne cherchera même pas à se défendre devant des juges qu'il arrivera à faire pleurer : "Je ne vais pas chicaner ma vie!" Marie était exubérante, volcanique à l'italienne, comédienne hors pair, parfois maladroite et charitable.Un mélange détonnant! Et sa façon de demander "du soucré" est irrésistible et charma même le vers galant.
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Jarnicoton! Vous vous égarez, mon jeune ami! Prenez garde, à vous égarer, de ne point vous perdre! Quoi que vous puissiez en dire, le vers galant se laissait mener par le bout de son...phallus! Quelque historien éclairé pourrait vous le confirmer! Marie de Médicis (ses biographies sont divertissantes à souhait, quelle femme!) s'est aisément passée de son défunt époux pour mener à bien ses ambitions, son pauvre fils en témoignerait! Margot fut immortalisée par Dumas, je n'en dirai pas plus... Quant à Louis XIV, vous faites bien d'en parler, vous vous fourvoyez à souhait! Vous avez la mémoire courte ou votre mauvaise foi vous aveugle : La jolie Marie Mancini fit tant remuer les sens de notre pauvre petit astre, que Mazarini fut contraint d'user de toute son ardeur pour contraindre le roi de renoncer à l'épouser. Les conséquences pour la France auraient été désastreuses, si notre pauvre amoureux n'avait pu se résigner à exécuter ce que l'Etat attendait de son auguste personne : partager la couche (de temps en temps seulement, n'exagérons pas! ) de la grosse dévote mangeuse d'ail entourée de ses vilains nabots! Exit les mazarinettes! Les Favorites jouaient un rôle plus important qu'il n'y paraît dans l'histoire. Elles servaient d'exutoire à la populace, telle Madame de Pompadour et ses "poissonades"! Gageons que, si notre malheureux Louis XVI avait eu une favorite, le cours de l'histoire en aurait peut-être été changé...
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Corne de bouc! A me provoquer de la sorte, tu frôles le crime de lèse-majesté! Je m'en vais te transpercer la quintaine ipso facto et manu militari! Ne t'en déplaise, vil ignare, la favorite de notre bon roi Henri eut une influence non négligeable, comme le prouve l'entretien entre l'un des plus grands parlementaires du royaume, Groulard, et le roi un certain 27 décembre 1597 au sujet du possible renvoi du chancelier Cheverny qui n'est maintenu dans cette dernière que grâce à l'influence de Gabrielle : Le Roi à Groulard : "Voyez-vous cette dame? Elle est bien fâchée car son ami le chancelier s'en va.Je baillerai les sceaux au bon homme de M.de Bellièvre, qui s'en acquittera mieux ; et si, c'est du consentement de ma maîtresse." La puissance de cette femme est telle que même Bonciani cherche son appui pour calmer le courroux royal contre le grand-duc de Toscane! (l'Altesse fait mouche!) Et comment ne pas reconnaître les talents politiques de Louise de Savoie, deux fois Régente de France (et quelle Régente!), qui réussit à faire libérer son nigaud de fils (pardon François, c'est pour les besoins de cette joute! ) lors de la bataille de Pavie! Un peu de volupté, cher ami, pour te détendre :
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Ventre biche! Vil phallocrate!Que de batelage! Dieu m'en est témoin, je m'en vais férir dans le tas! S'en prendre de la sorte à mon impératrice et la comparer à une femelle contemporaine est proche du casus belli! De ce fait, ce sera mon avatar.Ainsi, vous pourrez jouir de son portrait à profusion! Rien à dire de Pierre le Grand, seigneur parmi les seigneurs, réformateur despotique et visionnaire auquel lui succéderont trois impératrices et une régente, autocrates extravagantes (qui s'effaceront néemmoins devant Catherine II La Grande). Force est de reconnaître que l'on ne s'ennuya pas avec de telles tsarines, toutes plus épicuriennes les unes que les autres! Le règne éclair de Catherine 1ère ne nous fera pas oublier sa sensibilité pour le raffinement français et ses fastes licencieuses restées dans les annales de l'histoire! Sa fille Anna force l'admiration lors de la "Journée des Dupes". Sa nièce, une autre Anna, jouera les "régentes éclair" (la pauvre) pour s'effacer devant la belle Elisabeth (encore une ! ), la plus francophile des quatre, qui pourra se targuer d'avoir rendu la Russie victorieuse de trois guerres ( ne t'en déplaise, chapon maubed!) Ton Henri IV (le mien aussi ) eut perdu sa tête si elle n'eut été solidement attachée, ébloui par la délicieuse et fort habile Gabrielle qui fut un soutien moral précieux lors de son abjuration et qui le poussa à proclamer l'Edit de Nantes (ah, ces hommes, ils sont perdus sans leur ange féminin!). Quant aux fils de la Florentine, que tu qualifies de piètres politiques, j'émets une objection quant à Henri III l'incompris : Pierre de l'Estoile dira de lui que "c'était un très bon prince, s'il eut rencontré une bonne époque".Ce fut l'un des souverains les plus habiles dans un temps difficile. Concernant François II (tiens, un descendant de Monsieur, soit dit en passant! ) et mon maître Louis le Grand, rien à dire! Tu pourrais éviter de m'acoquiner de près ou de loin à cette grosse gourde de buveuse de cacao, cela m'éviterait d'avoir à t'estourbir! Complainte sur la mort d'Henri III 1589 Pleurez, Pleurez, fidelles royalistees Et vous aussi que l'on dit Politiques Vous devez bien pleurer a ceste fois D'avoir perdu noble, Henri de Valois. Ce noble roy de France et de Pologne Qui vous aymoit autant que sa personne Il fut tué par un meschant mutin Jacques Clément qui estoit Jacopin. Jacques Clément si tu estois à naistre Las ! nous aurions nostre roy, nostre maistre Tu l'as occis avecques un couteau Tu as faict pis que fit oncques bourreau. Incontinent que tu reçus baptême Te fust venu quelque mort bien extresme L'on te tiendrait au rang des innocents Là où tu es le meschant des meschants. Ce fut en Aoust, en sortant de l'église Estant remply de toutes meschantises Comme celui qui n'a ne foy ne loy Tu t'en allas pour massacrer le roy. Quand de Sainct Pierre aux liens on faict feste Droict au faux bourg ce traistre se transfère Devant le roy se mettant a genoux Avant toujours son malheureux courroux. En lui disant : Bonjour mon roy et maistre Je suis icy vous portant une lettre Que vous transmet de Brienne le seigneur Qui prisonnier a besoin de faveur. Ils ont cogneu la faulte qu'ils ont faicte D'avoir voulu eslire un autre maistre, Et ce voudroient bien tous estre endormis Alors que vous sortistes de Paris. Le noble roy voulant lire la lettre Ne se doubtant pas de ce malheureux traistre De sa gran'manche en sortit un cousteau Qui lui perça le ventre et le boyau. Incontinent les archers de la garde Subitement à grands coups d'hallebarde Se sont jetés dessus le Jacopin Jusques à tant qu'ils en ont veu la fin Après cela que tous ces Seigneurs virent Que pensez vous les regrets qu'ils en firent ? Chacun croit que pour ce grand pesché Cet assasin en avoit bon marché. Quand le roy vit que la mort falloit prendre A Jésus Christ son âme il recommande En lui disant : Ayez de moy mercy Car je suis mort sans l'avoir déservi. Et vous aussi, noble roy de Navarre Soyez toujours suivi de bonne garde Ne vous fiez en ces traistres ligueux Car vous voyez le malheur qui vient d'eux. Si l'on a veu un grand malheur en France C'est aujourd'hui, hélas ! car il avance Le cours de vie du noble roy Henry Je prie Dieu qu'il lui doint Paradis. Mais, ce grand roy de Navarre et de France Nous ostera trestous hors de souffrance ; Ainsi il est à toutes vertus né Et pour nostre heur du haut ciel destiné. Plie genou et repents-toi de tes médisances à propos de notre roi Henri!
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Comment dois-je le prendre?