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kinoton

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Tout ce qui a été posté par kinoton

  1. perso, je suis aussi fonctionnaire (pas à l'intérieur) et pour nous, les notations (quand elle est positive bien sur) accélère en quelque sorte la montée dans les échelons (donc avancement de carrière). Les notations sont faites par notre supérieur. Le hic, c'est qu'ils (nos supérieurs) ont des quotas aussi pour les bonnes notes.... Donc, même si toute l'équipe est excellente, il ne pourra distribuer que x bonnes notes. Ca n'empeche que chaque année, certains ont bien cette bonne note et ce n'est donc pas un leurre, ou une carotte comme tu dis. Le système des notations n'est pas tip top, mais il est bien là pour récompenser les bons. Et les bons, c'est ceux qui remplissent les objectis, les stats... Après, je ne peux pas dire si ça se passe comme ça chez vous aussi mais bon
  2. ouep m'enfin, là, on est dans la partie "philosophie" et donc, je veux juste voir si le raisonnement de chacun est le même pour cette forme de violence :smile2:
  3. par curiosité, si la question avait été "la violence dans un but éducatif est-elle justifiable?" (en fait, vu qu'on parle de la violence en général, c'est sensé en faire parti mais bon....) vos réponses à tous auraient-elles été les mêmes?
  4. ericlagaffe, j'ai l'impression de nous lire y'a quelques semaines... (mais avec les roles inversés) toi te baser sur des écrits??? :smile2: achille, vous n'avez pas de notations?
  5. "Son village entier était derrière lui. Lundi, ils étaient en effet nombreux, venus de Liernais (Côte-d'Or), à le défendre devant le tribunal correctionnel de Dijon. Une amende de 600 euros a finalement été requise contre Jean-Paul Laligant. En septembre 2008, cet instituteur de 52 ans avait menacé un élève de 9 ans qui "sortait son zizi en classe" de "tout couper avec un cutter." Lui assure qu'il s'agissait "d'une boutade mal comprise". Les enquêteurs n'ont apparemment pas le même sens de l'humour. Initialement, les parents du petit Julien avaient en effet décidé de ne pas porter plainte. "Pour moi, y'avait pas de quoi fouetter un chat, estime Christophe, le papa. Les gendarmes m'ont dit que les autres enfants étaient traumatisés. Moi je trouve qu'il y a des choses plus graves à la télé!" Les enquêteurs auraient insisté pour qu'il porte plainte. Il refuse: "Je ne veux aucune sanction contre ce monsieur." Sa femme, en revanche, signe, et la machine judicaire se met en branle. Convoqué une première fois devant le tribunal de Dijon, le 23 janvier, pour répondre de "violences aggravées sur mineur de moins de 15 ans par personne assurant une mission de service public et avec arme", l'instituteur a refusé la procédure de reconnaissance de culpabilité. Il a toutefois déjà passé neuf heures en garde à vue. Pour le comité de soutien à Jean-Paul Laligant, les faits qui lui sont reprochés sont pourtant "anodins." "Le procureur s'acharne", estime Pascal Malter, le président dudit comité. L'intéressé, Jean-Pierre Alacchi, conteste cette version des faits: "Il ne faut pas oublier que l'instituteur s'exprimait devant une classe d'enfants de 8 à 9 ans. Il aurait pris son cutter, en aurait sorti la lame et aurait menacé de couper le sexe d'un enfant simplement pour mettre fin à un chahut? Il est difficile d'admettre cela. J'ai recommandé au parquet d'être pondéré dans cette affaire mais de rappeler les fondamentaux". Outre la suspension de quatre mois infligée par l'Education nationale, l'instituteur risque donc d'avoir à payer une amende de 600 euros, une sanction qui pourrait être assortie du sursis. Un réquisitoire qui a suscité l'indignation du comité de soutien. L'un de ses membres a même été prié de quitter la salle d'audience. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 11 mai. " j'ai trouvé ça. et, autre chose, je viens de lire un autre article disant que la mère s'était entretenue avec l'instit quelques jours après les faits. Apparement, l'affaire avait l'air close à la fin de leur entrevue... Alors je me demande pourquoi y'a t-il eu enquête après? elle aurait changé d'avis?... bref, pour que les choses soient claires: je ne soutiens pas la démarche de cette maman je ne soutiens pas le comportement de cet enfant mais je ne soutiens pas non plus la réaction de l'instit
  6. ben oui et donc face à un gamin perturbé, excuse moi mais l'instit n'a pas trouvé mieux à faire que de faire une blague avec un cutter... pfff, t'embale pas. C'est un instit membre du comité de soutien de l'instit en question, qui parlait à la caméra. Il expliquait comment ça s'était passé pour les parents. Et on a vu un document qu'a signé la mère où est écrit ce que j'ai dit plus haut (qu'elle ne souhaitait pas que l'instit soit jugé etc). Moi, d'après ce que je vois comme info, j'ai pas l'impression du coup que les parents soient allés au commisseriat de leur propre volonté; il me semble plutot que tout le monde a été convoqué non? sinon ce n'est pas logique c'est clair. bah pour moi, l'instit aurait du alerter les parents pour envisager un psy avant de sortir son cutter
  7. autant pour moi, j'avais mal interprété le "à son bureau". mais je n'ai pas dit qu'il ne venait plus à l'école!! je disais simplement que les parents l'ont peut-être appris parce que l'enfant allait à l'école à reculons, il leur aurait dit ce qui le tracassait. mais c'est une hypothèse!! juste pour montrer que ça ne s'est peut-être pas passé comme tu le penses (l'enfant est allé direct se plaindre à ses parents). Et je ne dis pas dit qu'il a été traumatisé, ne déforme pas mes propos! je ne vois pas comment tu peux affirmer ça, comme ça, sans en savoir plus sur l'enfant, sur ce qui s'est passé (et surtout comment). J'ai vu ce midi un reportage sur canal+ sur cette affaire. Visiblement, il y a eu une pression de la part des gendarmes (si j'ai bien compris) envers les parents pour signer une plainte. Le père a refusé et la mère a fini par signer, en précisant bien qu'elle ne souhaitait pas que l'instit soit jugé ou condamné pour un fait qu'elle considère comme anodin. Donc, on a la réponse à notre débat. Ce sont surtout les autorités qui sont allés trop loin, pour porter absolument cette affaire en justice. Les parents ne le souhaitaient pas à la base.
  8. ok :smile2: je suis d'accord avec toi, comme je l'ai déjà dit, la justice est en trop dans cette histoire.
  9. tu veux dire un peu comme quand un adulte tape un enfant?... c'est le cas de le dire non, moi je parlais de rencontrer les parents avant de faire cette menace. L'instit aurait dû selon moi convoquer les parents pour parler du fait que leur enfant montre sa bite! Savoir si c'est quelque chose d'habituel chez lui, voir comment se passe un peu sa vie de famille etc... permets moi d'en douter. Je ne mets pas tous les instits dans le même panier, mais être instit et avoir 50 balais ne garantit pas de tout ça savoir sur le fonctionnement psychologique d'un enfant. Je me rappelle très bien encore de mon instit au cm1 justement comment elle avait humilié une de mes camarades parce qu'elle mangeait des bonbons. J'ai encore entendu il y a quelques jours, une instit qui force encore des gamins en maternelle à ne pas écrire de la main gauche.... bref, y'en a qui ont tendance à appliquer des méthodes plus que limite... ça s'est fait dans son bureau à l'instit donc il n'y avait que l'enfant et lui apparement. De plus, bien sur que c'était une hypothèse! mais une hypothèse valable, non? pourquoi partir direct sur: l'enfant a compris l'humour (ou pas on s'en fout), mais c'est un ptit merdeux qui est allé cafter à ses parents (incapables au passage)??.... Moi, je me dis juste qu'il est possible que l'enfant aie été marqué par cette phrase. Peut-être que quelques jours plus tard, il a commencé à refuser à aller à l'école et que la mère demandant pourquoi, l'enfant a fini par dire sa peur....qui sait??? Autre point, pourquoi l'enfant montre son zizi? est-ce dans une intention d'emmerder ses camarades? (comme tout le monde ici a l'air de le penser...) ou est-ce par découverte de sa sexualité? ou est-ce qu'il est pas perturbé (divorce par ex)? désolée mais je vois pas en quoi c'est flagrant :smile2: un gamin montre son sexe à l'école, automatiquement il est mal élevé? C'est quelque chose qui peut arriver chez un enfant, sans pour autant que les parents soient de gros incompétents...
  10. bien sur que ce n'est pas normal qu'un gamin montre son sexe à ses camarades. Je pense qu'il y aurait du avoir convocation des parents pour discuter de ça. Voir comment ça se passe à la maison comme tu dis, et voir ce que les parents en pensent. Mais menacer de couper le sexe à un enfant, n'est certainement pas la bonne solution! Et je pense que même si les parents ont compris le second degré, est-ce que l'enfant l'a compris lui? Un enseignant se doit quand même d'avoir d'autres méthodes, c'est tout.
  11. j'me doutais qu'on allait en arriver là... en fait, dans le 1er message, je pensais que l'instit avait un cutter dans la main et du coup, avait sorti la "blague". Mais en fait, il l'a pris et sorti la lame exprès pour lui dire qu'il allait lui couper!... c'est quand même abusé comme façon de faire! alors quoi, un enfant turbulent, on lui montre un marteau et on lui dit qu'on va lui ouvrir le crane??....
  12. pourquoi tu me dis ça? tu crois que je suis contre toute forme d'autorité?.... je ne suis pas d'accord, on n'en sait rien du tout de comment il a compris la "blague". je ne vois pas en quoi ça aurait contribué à rendre normal le fait que l'enfant montre son zizi?? si l'instit avait fait comme si de rien n'était ok! mais faire remonter le pantalon, ben, c'est réagir non?...
  13. c'est faux. il n'a pas le droit de toucher son sexe mais son pantalon, si... et lui dire simplement "remonte ton pantalon"?...
  14. je trouve que ça va trop loin, ce n'est pas à la justice de se meler de cette affaire. En revanche, il est normal pour moi que les parents aient réagi :smile2: On ne menace pas un enfant d'un cutter, même pour blaguer. En CM1, on a quoi? 8 ans? A 8 ans, je ne suis pas persuadée que le 2nd degré soit bien compris..... L'instit aurait seulement pu remonter son froc et basta; les menaces, c'est bas.
  15. pfff dur dur de choisir!! le plus gros concert que j'ai fait et du coup, le plus impressionnant, c'était les Stones à Barcelone. Sinon, en plus petit comité, j'ai adoré Gojira (je les ai vu 2 ou 3 fois, notamment pour le tournage de leur dvd à Bordeaux, et une autre fois à Agen avec un groupe de musiciens Mongol, c'était excellent), Symphony X (chanteur excellent en live!!), Angra (chui allée dans les loges après :smile2: ), Steve Vaï (un de mes premiers concerts, putain de guitariste), Tommy Emmanuel (j'm'en lasse pas, il est trop fort, je l'ai vu 3 ou 4 fois) euh bon en fait je devais en citer qu'un c'est ça?....
  16. kinoton

    Mon fils

    est-ce qu'on ne peut pas considéré qu'un adulte qui bat son enfant n'est pas un peu cinglé?... tout ce que tu dis, personne ne le nie. On n'a jamais dit qu'il y avait qu'une seule forme de maltraitance! Je ne parlais même pas de maltraintance, au sens enfant battu, je veux dire un enfant qui se prend une fessée souvent, pour une connerie, on ne considère pas qu'il est maltraité, pourtant, il est "trop" frappé à mon sens, non? Je disais ça pour faire remarquer que sans en savoir plus sur la fréquence et l'intensité des coups que donne ce papa (ou la maman), le conseil donné est "mets lui une fessée"!! comme quoi le fait de frapper un enfant est le remède à tout, même dans le cas d'un enfant un peu "rétissant" à la fessée..... Dans le cadre de ton boulot, comment dépistes-tu les cas de maltraitance (au niveau physique)? quand il y a des traces sur le corps? Donc tant qu'il n'y a pas de traces, tout va bien? on peut continuer jusqu'à ce "qu'il comprenne"?.....
  17. kinoton

    Mon fils

    mes parents en avaient un :smile2: et j'ai lu il y a peu un sondage, 10% des gens en France l'utilisent encore...........
  18. kinoton

    Mon fils

    perso, je n'ai pas été élevée dans le respect de la personne, mais plutot à la méthode "traditionnelle" que les gens défendent ici: "tu te tais et tu obéis"... Pour la fessée ou la gifle, c'est tellement normal dans la tête des gens! c'est vrai, c'est comme ça qu'on éduque les enfants!! pour beaucoup, ça ne leur a jamais traversé la l'esprit que ça pouvait se faire autrement l'éducation d'un enfant! Envisager la fessée comme de la violence, c'est un 1er pas vers l'idée qu'on ne respecte pas son enfant (ou pour ceux qui n'ont pas d'enfants, que leurs parents ne les ont pas respecté) et c'est dur à faire ça. (sérieusement hein) on remet ainsi en question tout un mode d'éducation, le plus souvent celui qu'on a reçu... mais t'inquiète, on n'est pas que 2 sur ce forum :smile2:
  19. kinoton

    Mon fils

    pourtant les enfants sont toujours autant frappés qu'avant.... est-ce que quelqu'un ici est sur que les coups que cet enfant reçoit sont "justifiés"?... non, parce que, c'est teeellement normal qu'un enfant s'en prenne une par ses parents, qu'on considère direct qu'ils sont dans leur droit, car ils éduquent :smile2: imaginons que cet enfant s'en prenne "un peu trop" des coups (où est la limite? selon quel critère? selon qui?), vous réagiriez pareil? on ne répond pas à ses parents, une bonne fessée pour qu'il comprenne?....... missade
  20. kinoton

    Mon fils

    ben non, je ne trouve pas ça acceptable mais je ne trouve pas normal que les parents tapent et tu sais, à 5 ans, un enfant, ça parle, ça comprend des choses, si si j't'assure :smile2: en plus, réfléchis 2sec, tu conseilles aux parents de taper, alors qu'ils le font déjà... c'est ptet que ça marche pas non?.... ptet bien même que c'est pour ça qu'il les tapent eux?....
  21. kinoton

    Mon fils

    ah ben oui ça sera à celui qui tapera le plus fort :smile2:
  22. kinoton

    La fessée interdite

    salut zazou, je suis contente que tu aies essayé Pour ce qui est du comportement de ton fils, c'est normal qu'il ne réagisse pas pareil que sa soeur, il a 2,5 ans, il doit être en pleine période d'opposition! Il a besoin de se "rebeller" pour s'affirmer, pour passer du "statut" de bébé à celui d'enfant. C'est une phase visiblement assez dure à passer car l'enfant cherche les limites constamment et s'oppose à tout, mais quasiment tous les enfants passent par là :D (et ça ne dure pas éternellement) Evidemment, ça doit être encore plus dur à gérer quand on a un 2eme enfant à gérer et surtout qu'on est seule D'après ce que tu décris, le fait d'être confronté à une interdiction met ton fils très en colère. (c'est ça que tu veux dire quand tu parles de caprice? il a fait une crise de colère?) Il exprime sa frustration par 1000 et 1 façons (tape, colère, met le bordel partout, boude etc) Si tu veux des conseils, j'en ai quelque uns, envoie moi un MP :D (on va pas faire un HS ici...) je comprends ce que tu dis, c'est un point de vue. Moi, perso, je n'ai pas vue les choses de la même façon. Et pour les traumatismes, je n'ai pas le souvenir qu'il cite des chiffres, si? (ça fait un moment que je l'ai lu) Il me semble (mais je trompe peut-être) qu'il ne fait que mentionner les possibles conséquences (auxquelles on ne pensent pas automatiquement, contrairement aux bébés secoués où là, on est au courant, et on y pense), non?
  23. kinoton

    La fessée interdite

    désolée, c'est vrai, j'ai cette facheuse habitude, je ne me rends pas compte que ça peut être illisible j'ferai un effort
  24. kinoton

    La fessée interdite

    donc voici la suite des études (et autres infos) faites sur le sujet: une enquête SOFRES faite en janvier 1999 pour « éduquer sans frapper », montre que seulement 12,5 % des personnes interrogées ayant des enfants ne leur donnent jamais de coups, alors que 33 % en donnent rarement, et que 54,5 % en donnent plus souvent. On entend couramment dire que la délinquance serait en rapport avec l'éducation post-soixante-huitarde qui fait des enfants trop « gâtés », le divorce des parents ou leurs problèmes financiers. Or, Sakuta, au Japon, étudiant en 1994 des délinquants de 14 à 16 ans, découvre que 70 % d'entre eux vivaient avec leurs deux parents et 90 % dans des familles financièrement stables. Mais 30,3 % étaient considérés comme « élevés sévèrement » et seulement 17,3 % comme « gâtés » . Brenner découvre que les adeptes des punitions corporelles déplorent chez leurs enfants des problèmes de comportement qui sont de 20 % plus élevés que chez les parents qui ne les utilisent pas . Dans un groupe de 52 mères, interrogées sur leurs façons d'agir et celles de leurs enfants, les problèmes de comportement des enfants apparaissent significativement en relation avec les cris et les coups utilisés comme méthode de discipline . Murray Straus va alors prouver, chez 933 mères d'enfants de 2 à 14 ans, que plus les punitions corporelles sont utilisées et plus les enfants s'engagent dans des conduites et des actes impulsifs. Chez 807 mères d'enfants de 6 à 9 ans, il note que plus elles utilisent la fessée pour corriger des conduites anti-sociales telles que mensonges, agressivité et vols, plus ces conduites sont élevées. Quand les parents n'utilisent plus les punitions corporelles et les remplacent par d'autres modes de discipline, les conduites anti-sociales diminuent . Alors qu'Edfeldt démontre en Suède comment avoir reçu des fessées augmente la probabilité d'avoir une dépression . Et que Mc Cord aux USA décèle que plus les enfants reçoivent de punitions corporelles, plus ils sont égoïstes et moins ils ont de considération pour les autres . Les parents les plus irritables, déprimés, fatigués et stressés sont apparus comme les plus grands utilisateurs de punitions corporelles : l'enfant est donc puni en fonction de ce dont souffre ses parents et non pas en fonction de ce qu'il fait ou ne fait pas. L'utilisation des châtiments corporels est d'ailleurs en relation avec un faible degré de chaleur parentale et d'attachement parent-enfant . Mille mères du Minesotta ayant utilisé des punitions corporelles au cours des 6 mois précédents sont interrogées rétrospectivement sur cette pratique : 54 % reconnaissent que, dans la moitié des cas, la fessée n'avait pas été la bonne chose à faire. Dans un autre groupe de parents interviewés, 85 % de ceux qui utilisaient la fessée étaient prêts à l'abandonner si on leur apprenait de meilleures alternatives. Ils reconnaissaient que les fessées n'avaient d'efficacité qu'à très court terme et ne modifiait pas le comportement de l'enfant à plus long terme.
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