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Tout ce qui a été posté par Stein
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C'est vrai qu'avant le repas du Réveillon, ce n'est pas une très bonne idée. Cela dit, toutes ces choses-là ont déjà été évoquées, mais apparemment, nous avons affaire à un troll.
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Pensez vous qu'il y a une hierarchisation des discriminations?
Stein a répondu à un(e) sujet de Wahidao-is-back dans Politique
C'est N'IMPORTE QUOI!!!! Comme le résumait un collègue, un mot a le sens de son USAGE, et non de son etymologie. Est-ce que pour vous, l'Astrologie est une science??? Pourtant, si vous vous référez à son étymologie, c'est le cas! -
Mais vous êtes bouché ou quoi? Avez-vous LU le débat, au moins? --- Un "Chrétien" est une référence spécifiquement religieuse. Un Juif, c'est une référence d'abord ethno-culturelle, et qui peut être religieuse. Donc vous mélangez des torchons et des serviettes, ou plutôt techniquement parlant, vous procédez à un vieux sophisme. --- Pourquoi faites-vous OBSTINEMENT semblant de ne pas comprendre??? Etes-vous lent à comprendre, ou bien est-ce que cet amalgame vous arrange?
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Pensez vous qu'il y a une hierarchisation des discriminations?
Stein a répondu à un(e) sujet de Wahidao-is-back dans Politique
C'est FAUX. Et redoutablement faux, d'ailleurs. Signification du mot antisémitisme Vous pouvez ouvrir TOUS vos dictionnaires, ils vous répondront qu'il s'agit d'une hostilité spécifiquement dirigée contre les Juifs et uniquement eux. La confusion que vous venez d'utiliser n'a qu'un but, qui est en effet de placer tout le monde au même niveau et de déprécier l'histoire, de la niveler, de procéder à de facheux amalgames, à de vastes confusions. C'est un procédé tactique bien connu, et il n'est pas surprenant de voir un jeune antisémite arabe dans le genre de Wahidao se délecter du fait que vous l'ayez employé à sa place. --- « On prétend parfois qu'étant eux-mêmes des sémites, les Arabes ne sauraient être antisémites. Une telle affirmation est absurde pour deux raisons. En effet, appliqué à des groupes humains aussi hétérogènes que les Arabes ou les Juifs, le terme de "sémite" n'a aucun sens, et l'on peut même gager que son emploi est en soi un signe sinon de racisme, du moins d'ignorance ou de mauvaise foi. D'autre part, l'antisémitisme a toujours eu pour unique cible les Juifs; tous les autres peuples, y compris les Arabes, sont donc libres de s'en réclamer. » Bernard Lewis, historien britannique -
Je suis désolé, mais je crains de ne plus rien pouvoir pour vous. Israël, c'est aussi une référence historique et matérielle, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué. Car si on suit votre propre délire alimenté, alors les Athéniens ne peuvent pas être athées, puisque par définition ils sont les descendants des 10 tribus de Thésée, fils de Poséidon. Les Japonais non plus, puisque là encore, ils sont tous censés descendre de la déesse Amaterasu. On peut encore continuer longtemps comme cela... --- Je vous repose donc la question: Pourquoi tenez-vous à faire rentrer spécialement les Juifs dans vos propres boites, aussi grotesque que soit votre définition? Pourquoi eux et pas les Athéniens? Pourquoi eux et pas les Japonais, les Romains, les Perses, les Aryens... tous ces peuples censés avoir une origine mythique! Pourquoi tenez-vous mordicus à entretenir cette confusion? Qu'est-ce que vous y gagnez?
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Donc je n'ai aucun sens, je suis même une erreur de langage, c'est bien cela? Libre à vous de déconner et de soliloquer, d'inventer vos propres définitions. On a demandé si cette expression avait un sens. Un juif vient de répondre que oui, et pas qu'un peu. Je vous ai donné de nombreuses clés culturelles, au passage, des références en hébreu, d'autres historiques, philosophiques... etc... Il me semble pourtant être nettement plus concerné que vous, non?? La prochaine fois que vous demanderez à un boulanger la définition du pain, j'imagine que vous lui rirez au nez dès qu'il vous la donnera. --- Par ailleurs, pourquoi tenez-vous absolument à faire rentrer les Juifs dans vos cases sans même prendre en compte leur propre avis? Qu'est-ce qui vous motive?
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C'est une incompréhension uniquement de votre point de vue, comme quoi il y a bien des lignes de fracture culturelles entre nous deux. Je le répète, la définition d'un Juif selon la Halakha, c'est à dire la loi religieuse qui remonte à bien avant notre ère, parle uniquement du peuple d'Israel (Am Yisrael) et non de la croyance religieuse. Paradoxalement, c'est l'Occident qui s'est ingénué à réduire l'identité juive à sa seule composante religieuse, dans le but d'intégrer les Juifs aux nations européennes. Vous saisissez? Et comme cette intégration n'a pas toujours été très réussie (les juifs refusant le plus souvent d'abandonner leur identité, pour des raisons qui me semblent évidentes), les laïcs ont fini par blâmer la religion juive, sans vouloir comprendre ou considérer la part ethno-culturelle. En bref, face, les juifs ont tort, pile, ils n'ont pas raison.
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Ben oui! Ben non, encore heureux! Le judaïsme libéral -majoritaire- n'interdit d'ailleurs pas les mariages mixtes. Il n'est pas besoin d'avoir deux parents Juifs pour faire partie du peuple d'Israël. D'ailleurs, pour les nazis, vous étiez juif dès qu'un de vos grands parents l'était (ô l'épouvantable souillure!). Le grand philosophe Edmund Husserl (mort en 1938), fondateur de la phénoménologie, était un chrétien luthérien dévot, mais malheur à lui, il possédait des origines juives... Il y a de ça...
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D'abord, savez-vous que la Halakha, la loi religieuse juive, a toujours précisé que tout descendant de Juif reste membre du peuple d'Israel, qu'il adhère au judaïsme ou pas? Et comme je vous le disais déjà, être Juif c'est avant tout une identité culturelle. Si vous faisiez régulièrement de la sociologie, vous comprendriez peut-être un peu mieux? Les religions peuvent disparaître, leur influence demeure, que ce soit dans le moule ou dans le contre-moule. Vous pouvez lire Weber ou Durkheim à ce sujet... Pour ce dernier, la religion est même le phénomène social fondateur par excellence, celui à l'origine de tous les autres et ce même si nos sociétés sont à présent désenchantées et déconfessionalisées... Pourquoi parle-t-on de civilisation judéo-chrétienne, à votre avis? Regardez les pays protestants par rapport aux catholiques: ils sont nettement plus individualistes que ces derniers, et pourtant, la religion y est tout autant (voire plus) en déclin. Sauf que cet individualisme est très nettement d'origine religieuse. Le pays le plus athée du monde, ce sont les Pays-Bas. Et pourtant ils sont indissociablement liés à l'identité et aux valeurs calvinistes... Vous voyez, il n'y a pas de paradoxe! --- Même en tant qu'athée (la question de l'existence de Dieu ne m'a jamais concernée), il y a des systèmes de pensée typiquement juifs qui perdurent en moi, comme par exemple le logos talmudique, système de questionnements emboités de manière infinie (La question de la question de la question de la question... etc...)... Ou toutes les problématiques de l'Altérité, celles qui se répètent aussi bien chez Lévinas que chez un poète comme Celan... ou celles des mots, du Nom, de la difficulté qu'il y a à savoir nommer les choses correctement, d'en comprendre les sens conscients et inconscients... L'identité juive, c'est donc une identité culturelle riche, historiquement très dense. Parce que l'histoire, c'est fondamental, nous sommes tous les héritiers de quelque chose, même si ce n'est pas nécessairement d'une croyance. Nous sommes les héritiers tantôt d'une langue, tantôt d'une littérature, de milles formes d'expression artistique, et parfois même d'une forme de pensée (comme dans mon cas). Chaque individu se situe à la croisée de toutes ces influences, et aussi, je ne suis pas QUE Juif, cette relation n'est pas exclusive. Si vous voulez. Les juifs -12 millions de personnes dans le monde- totalisent près de 165 prix Nobels dans presque tous les domaines (y compris littéraires), soit plus qu'aucune autre nation sur Terre (et de loin!). Demandez-vous aussi pourquoi! Le type même du "juif de savoir" (c'est ainsi que le nomme le sociologue Edgar Morin), c'est également un trait culturel typiquement ashkénaze... Si fierté il y a, elle est effectivement là, d'avoir tant donné au genre humain, d'avoir tant contribué à l'édification des connaissances humaines universelles...
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Bon trêve de bavardage, je suis moi-même athée, comme beaucoup de juifs ashkénazes l'étaient. L'athéisme doit même sa naissance en grande partie grâce aux juifs (Spinoza, vous connaissez?)... Allez prétendre que Marx (que ce soit Karl ou Groucho), Freud, Einstein n'étaient pas juifs! Par ailleurs, il existe de longue date une branche de la religion juive qui ne prêche pas de croyance en Dieu, et qui de fait est considérée comme athée (c'est que l'on appelle le judaïsme humaniste, et il a ses rabbins... etc... voir ce site pour ceux qui ne me croiraient pas). Un phénomène similaire existe d'ailleurs avec l'hindouïsme et les religions orientales (voir à ce sujet l'école Samkhya et les différentes branches du Nastika, qui sont on ne peut plus athées).
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Je crois que tout est dit. Les Juifs ont donc le droit de vivre à condition qu'ils ne soient pas Juifs... Je ne sais pas s'il faut en rire ou pleurer. --- Mine de rien, c'est 150 ans de sociologie que vous venez de jeter par dessus bord. Souffrez vous à ce point de ne pas avoir fait des études très poussées? C'est vous qui parlez de Faits, de Raison? Mais pourtant, entre nous, vous savez très bien que vous les inventez, les faits, qu'ils sont faux, que la moitié du temps vous en rajoutez, vous racontez n'importe quoi. Vous le savez! Les agrumes de Palestine, Jabotinsky, et maintenant Brauman... Parce qu'autant vous le dire, même si cela vous fait mal, vous êtes MYTHOMANE! Vous êtes même exactement ce que je disais tantôt, un vieux Stal mythomane, haineux et sûr de lui, tellement aveuglé par son narcissisme, par son idéologie, qu'il préfère la vraisemblance à la vérité. C'est à dire ce qui est conforme à ses présupposés. Le Stalinisme, c'est un mensonge perpétuel, même Berthold Brecht le disait. Les palestiniens, en réalité, vous vous en foutez comme de l'an 40. Ils peuvent crever tant que cela conforte votre attitude, votre contenance, le rôle de justicier que vous vous inventez dès que êtes devant Internet. Tout ceci n'est qu'une posture, il n'y a rien de vrai si jamais on vous confrontait au réel de ces pays-là. Depuis le début, vous ne pensez qu'à votre gueule. Apparemment, il y a des questions qui semblent bien trop compliquée pour votre univers monochrome, ou Mal et Bien sont des données absolues, et ce même au quotidien. Pourtant, c'est le rôle d'un intellectuel que de remettre perpétuellement en cause ce qui nous semble "aller de soit"... Seule réponse de votre part, l'injure sur la personne. Le pire c'est que vous ne connaissez même pas Finkie, ni sa pensée (que je vous crois incapable de saisir). Trop de références, j'imagine: Arendt, Durkheim, Adorno... trop compliqué! Dans votre tête, tout se résume à un galimatias pro-Bush... Quelle petite personne vous faites! Ah oui... Vous êtes au courant que Finkie était contre la guerre en Irak? Et que ce n'est certes pas un néo-conservateur, à en juger par tout le mal qu'il en dit! Avez vous lu ses réflexions sur l'oeuvre de Léo Strauss? Non bien sûr, car encore une fois, vous mélangez et vous inventez. Dans le détail, vous n'y connaissez RIEN. Juste des ragots, des bribes, des fantasmes... Juste un discours pré-digéré de perroquet d'extrème gauche. J'aimerais votre source, concernant Brauman. Parce que par ailleurs, je necrois pas que vous ayez lu ce livre-dialogue cosigné par les deux ("La Discorde", Editions des 1000 et une nuits, Paris, 2006), et qui révèle une vision de ce conflit beaucoup plus nuancée que ce que votre esprit étroit pourrait simplement imaginer ou même concevoir. Faux, c'est un "juif athée". Donc tu considère juif comme une race et non une religion ? Non, c'est une IDENTITE culturelle.
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"On croyait l'avoir compris: il faut se méfier des idéologies, fussent-elles des plus généreuses. Car sur le chemin du bien on finit par rencontrer un goulag ou un camp. Aurait-on mal retenu la leçon? Les bonnes intentions que l'on nourrit aujourd'hui seraient-elles en train de paver le prochain enfer? A croire le philosophe Alain Finkielkraut, c'est l'antiracisme, la «religion de l'homme», qui devient à son tour un pousse-au-crime. Cette idéologie qui ne dit pas son nom réduit la réalité à un conflit entre agresseurs et agressés, elle opère des renversements pervers (les juifs sont des nazis, l'Amérique est un pays totalitaire) et cultive un antisémitisme travesti en humanisme. «La haine des antiracistes est aussi dangereuse que celle des racistes», avertit ici Finkielkraut." (Introduction de Dominique Simonnet)
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Pourtant, dans l'esprit de tous, un juif reste un juif, même s'il n'a pas adhéré volontairement au judaïsme. Faux, pour la religion, un juif est juif que s'il embrasse la religion juive. S'il ne croit en rien, c'est athée comme les autres. Par contre, là où est toute l'ambiguité c'est quand on parle de Juif est-ce un humain de religion juive ou bien un humain de race juive? D'ailleurs, les sionistes jouent là dessus pour mettre à l'Index certaines personnes osant critiquer Israel, les sionistes et leurs actions tel Dieudonné par exemple. Mais le "peuple" juif, historiquement est issu des araméens comme les arabes. "Osant critiquer Israël", quel doux euphémisme de la part de quelqu'un qui traite les sionistes de nazis, de rebut de l'humanité, et qui espère en la disparition pure et simple de cet état... Critiquer Israël, ce n'est pas difficile pourtant. Sauf qu'il y a une différence de degré dans ce que vous faites, puisque vous en exigez tacitement l'extermination de ses habitants, et l'annihilation de l'identité juive. On peut critiquer le président Sarkozy sans exiger que la France disparaîsse, sans traiter tous ses électeurs de nazis, sans vouloir la faire "payer", sans hurler à la mort à chaque fois! Là, ce n'est plus de la "critique", c'est de la haine, de la haine, rien que de de la haine. Et gueuler tout ça sur un forum, est-ce que ça vous défoule? Est-ce que vous vous sentez mieux après? Qu'est-ce que cela vous apporte? --- Est-ce que vous vous fantasmez tel un blanc paladin terrassant le Dragon? Ou bien est-ce l'inverse? Est-ce que cette sentation vous procure une quelconque plénitude, celle de désigner un Ennemi coupable de tous les pêchés sur terre, qu'il faut accabler de tous les vices? Au fond, cher "athéologue", quel différence existe t-il entre votre attitude et celle de nombreux religieux? Est-ce là la puissance de l'idéologie, de se laisser séduire par une idée de perfection? Quelle est votre idée de la perfection, à part cet ordre stalinien dans lequel tous les "fachos" auraient été déportés en camp, dans lequel le capitalisme aurait été écrasé, les religions concurrentes de la votre éradiquées, les américains et les israëliens humiliés, ce genre de chose? Un jour, réaliserez vous qu'à force de stigmatiser les "salauds", de leur donner la chasse, vous pourriez bien en être devenu un vous-même? --- "Quand tu regardes en l'abime, l'abime aussi regarde en toi" (Nietzsche)
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Oui, et la distillerie Bruichladdich pousse sa conscience jusqu'à n'utiliser que des orges issus de culture biologique, et non importés (la distillerie possède sa propre usine d'embouteillage, et a racheté un grand nombre de terres cultivées et de champs, de manière à s'assurer qu'il n'y ait pas de fraude rapport à ses objectifs de qualité. C'est ce que j'appelais le contrôle intégral du cycle de production). Hélas, cette révolution n'a pu avoir lieu qu'il y a une dizaine d'années, et c'est donc pourquoi seules les cuvées récentes comme le "Moine Mhor" peuvent démontrer leur différence de caractère. Mais cette différence est globalement positive: en plus d'avoir un produit original, la plupart des experts s'accordent à dire qu'à contre courant de la tendance productiviste et consumériste qui existe chez de nombreux distillateurs tournés vers l'exportation, la qualité des Bruichladdich s'est très nettement améliorée, et rivalise désormais avec les Labels les plus légendaires de ses voisins. Finalement, rapport à son prix, c'est une très bonne affaire -à mon avis-, en plus d'être un achat politiquement noble.
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Et si, pour les fêtes, vous voulez un produit "tendance", de bonne qualité et abordable (disons 45 euros, mais je peux vous la trouver à 35), je vous recommande le Bruichladdich "Moine Mhor" (c'est mon coup de coeur, comme on dit, un produit que j'ai plaisir à défendre)... Avec celui-là, vous aurez au moins la conscience tranquille, car il s'agit d'un des seuls producteurs totalement indépendant, le seul qui contrôle entièrement le cycle production/captation/distillation/embouteillage sur le site d'origine, mais qui se dédie aussi à des méthodes intégralement écologiques et naturelles, avec filtrage à froid, aucun additif ou technique artificielle de maturation (comme c'est hélas le plus souvent le cas). Le résultat est malgré tout largement plus qu'honnête, et cette cuvée "Moine Mhor" (= "Grosse Tourbe") sait particulièrement se défendre. Et si en plus, c'est pour la bonne cause...
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Si vous le pouvez un de ces 4 matins, franchement, essayez un Ardbeg, la différence est incommensurable, même avec un whisky écossais "standard" pris au hasard. Car vous avez là parmi les meilleurs single malt du monde, y compris avec les versions bas de gamme à moins de 40 euros... D'ailleurs, le saint Graal de tout amateur, c'est le mythique "Ardbeg 1977". Ce n'est même pas la plus chère de toutes les bouteilles (elle doit valoir dans la centaine d'euros à tout casser), mais c'est la plus légendaire et la plus titrée, sans aucun doute! Et ce n'est pas un tuyau percé, c'est moi qui vous le dit!
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Non, c'est ce que vous osez mettre dans votre verre!
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Vade retro, satanas!
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J'ai corrigé, ce n'est "que" du 23 ans... Mais il est redoutable quand même. On touche vraiment le paradis: une palette aussi complexe, ça vous hante le palais comme rien d'autre! --- Jusque là, je ne jurais que par les Ardbeg ou les Lagavulin, mais celui-là vaut vraiment la peine, il est assez atypique, presque doux en arrière-bouche (ce qui est unique pour un Islay... quoique les Finlaggan aient souvent une saveur de miel). C'est un avant goût de Noël offert par mon fils cadet, qui est tout aussi connaisseur.
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En attendant, je me savoure un verre de Bowmore 23 ans d'âge, et je peux dire que dans ces moments-là, Dieu sait s'incarner dans une liqueur ambrée... Pendant ces brefs instants de complète béatitude, de totale félicité, je dois dire que mon athéisme est soumis à rude épreuve... Ce qui me fait penser à ces bons mots de Heinrich Heine: "Wenn der Braten ganz schlecht war diskutierten wir über die Existenz Gottes. Der liebe Gott hatte aber immer die Majorität. Nur drei von der Tischgenossenschaft waren atheistisch gesinnt; aber auch diese lieéen sich überreden, wenn wir wenigstens guten Käse zum Dessert bekamen."
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Que les trolls dans ton genre ne méritent pas le temps consacré à leur répondre... (Mais que par ailleurs, la tentation de se payer ta tête est souvent trop forte)
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En quoi ce que vient d'écrire notre Grenouille serait faux? Il me semble au contraire qu'il s'agit de faits historiques unanimement reconnus par les historiens de l'antiquité. Il n'y a aucune interprétation dans les FAITS qu'il mentionne.
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Polonais: Niebyt/Nic Tchèque: Absence (Si, c'est le mot exact), mais on dit aussi Nic Afrikaans: Niks Hongrois: Semmi Roumain: Nimic Bulgare: съвсем не/нищо Serbo-croate: Ni¿ta Suédois/Norvégien: Ingenting Danois: Gratis Breton: Netra Gallois: Dim Gaëlique irlandais: Faic Gaëlique Ecossais: Neoni Italien: Niente Catalan: Res Latin: Nihil Javanais: Tidak berarti Farsi: هیچ Thaï: ไม่มีอะไร Turc: Sifir Hébreu: שׁוּם דָּבָר /לא כלום
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Attention, c'est en yiddish (juste pour changer de l'hébreu)...
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Le néant, c'est le Nirvāna, synonyme de vacuité absolue et de libération... --- Juste pour faire plaisir à Simplicius, la version en sanskrit -> निर्वाण