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orangine

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Tout ce qui a été posté par orangine

  1. orangine

    Vieillir est une aventure

    oui tout à fait pour moi pas de fatalisme j'ai envie de vieillir avec mes bobos pour les raisons suivantes je te préviens c'est une IA L’envie de devenir vieux Il est étrange, dans un monde obsédé par la jeunesse, d’avoir envie de devenir vieux. Et pourtant, cette envie peut être une forme de sagesse, une manière d’aimer la vie dans sa totalité, sans vouloir en effacer les étapes. Avoir envie de devenir vieux, c’est désirer le temps. Non pas un temps figé ou nostalgique, mais un temps vécu, habité, fécond. C’est vouloir voir ce que le temps fera de nous — comment nos élans, nos erreurs, nos amours se transformeront en traces, en mémoire, en paix. C’est espérer un jour pouvoir dire : j’ai vécu, et non pas seulement j’ai duré. Dans la jeunesse, on veut tout vivre, tout apprendre, tout posséder. Mais l’envie de vieillir, c’est le signe d’un autre rapport à l’existence : un rapport d’amitié avec le temps. Vieillir, c’est se rapprocher de soi, apprendre à ne plus courir après ce que l’on n’a pas, mais à aimer ce qui est là. Ce n’est plus une course vers l’avenir, mais un dialogue avec le présent. Avoir envie de devenir vieux, c’est aussi croire que chaque âge a sa beauté. La vieillesse, quand elle est vécue consciemment, peut être un âge de liberté : celle de ne plus plaire à tout prix, de ne plus devoir prouver. C’est l’âge de la simplicité, du détachement, de la contemplation. C’est aussi l’âge où l’on devient, pour les autres, mémoire et repère — un témoin du temps, un passeur d’expériences. L’envie de devenir vieux n’est donc pas un refus de la jeunesse, mais une acceptation du destin humain. C’est vouloir vivre assez longtemps pour comprendre, aimer, transmettre. C’est choisir la profondeur plutôt que la durée, la gratitude plutôt que la peur. C’est espérer que la vie nous mène jusqu’à cette rive calme où, enfin, l’on se sent entier. Je suis désespéréement moi
  2. orangine

    Vieillir est une aventure

    https://www.google.com/search?client=firefox-b-lm&q=youtube+florent+pagny+aime+la+vie#fpstate=ive&vld=cid:c3cba9ca,vid:J9SgNP0-tAQ,st:0
  3. orangine

    Vieillir est une aventure

    C'est notre destin t'inquiète je te comprend depuis peu j'en prend plain le visage avec ma vieillesse .Je pense que l'acceptation deviens sagesse Je vois que tu le prend avec humour c'est chouette de penser comme cela
  4. orangine

    Vieillir est une aventure

    Ce don tu parle fait partie de la vie tu ne peux pas y achapper Ca ne sers à rien de se plaindre c'est une perte de temps et d'énergie Je comprend ce que tu me dis
  5. orangine

    Vieillir est une aventure

    Star ou princesse je veux bien
  6. orangine

    Vieillir est une aventure

    En vla une idée qui est......aléatoire!! naaannnnje garde juste cette vie La réincarnation c'est le risque d'etre une mouche et çà vis pas lonttemps une mouche!!!
  7. orangine

    Vieillir est une aventure

    Mourrir il le faudra bien un jour mais j'espére le plus tard possible Je crois que je vais vivre cent ans pour enquiquiner mon monde
  8. orangine

    Vieillir est une aventure

    Accepter de vieillir Accepter de vieillir, c’est peut-être l’un des plus grands défis de l’existence. Nous vivons dans un monde qui glorifie la jeunesse, la vitesse, la performance. Le vieillissement y apparaît souvent comme une faute, une défaite du corps et du temps. Pourtant, vieillir n’est pas une anomalie : c’est la condition même de la vie. Tout ce qui vit, change. Et tout ce qui change, vieillit. Accepter de vieillir, c’est donc réconcilier la vie et le temps. C’est comprendre que le temps n’est pas un ennemi qui nous prend, mais un compagnon qui nous façonne. Chaque ride, chaque souvenir, chaque renoncement, est une trace de ce que nous avons aimé, perdu, vécu. Vieillir, c’est voir s’écrire sur soi l’histoire de sa propre humanité. Philosophiquement, cette acceptation suppose une transformation du rapport à soi. Dans la jeunesse, on cherche à devenir, à s’affirmer, à conquérir. Avec l’âge, il s’agit moins d’ajouter que de consentir : consentir à ce que l’on est devenu, à ce que le temps a révélé et parfois retiré. Ce consentement n’est pas résignation — c’est sagesse. Il ne s’agit pas d’abandonner la vie, mais de l’accueillir sous une autre forme : plus lente, plus intérieure, plus lucide. Accepter de vieillir, c’est aussi accepter de transmettre. C’est reconnaître que l’on n’est plus le centre du monde, mais un maillon dans une chaîne plus vaste. La beauté de la vie réside alors dans sa continuité : ce que nous avons reçu, nous le laissons à d’autres, enrichi de notre passage. Finalement, vieillir ne signifie pas perdre la vie, mais changer de manière de la vivre. Ce n’est plus courir après le temps, mais marcher à ses côtés. Ce n’est plus vouloir tout posséder, mais goûter ce qui demeure. Accepter de vieillir, c’est accepter d’aimer autrement : avec plus de profondeur que d’élan, plus de gratitude que de désir. Un regain de sagesse de volonté de vivre encore de longues années avec nos enfants et petits enfants
  9. orangine

    Vieillir est une aventure

    oui c'était bien l'&cole quand tu est tout jeune Mais à 12 ans tu rentre dans la grande école et tout change @LAKLAS
  10. orangine

    Vieillir est une aventure

    d'un article recopier avec l'aide d'une ia aussi Ce que je soumet a du mérite d'en faire un sujet intéressant et tu fais ce que tu en veux J'aime beaucoup ces deux textes ils ont le mérite d'etre chaleureux d'apporter du réconfort Je me sent ressemblante à ces écrits
  11. Devenir parents puis devenir vieux. Devenir parent, c’est éprouver pour la première fois la continuité du monde à travers soi. Ce n’est pas seulement donner la vie : c’est accepter que la vie ne nous appartienne plus vraiment. L’enfant devient le miroir du temps qui avance — ce que nous avons été, ce que nous ne serons plus, et ce qui, malgré nous, nous survivra. Dans ce geste, l’individu découvre la limite de son individualité. Il ne vit plus seulement pour lui, mais pour un autre. L’amour parental est paradoxal : il attache et il libère, il protège et il prépare à se séparer. C’est une expérience du dépassement de soi, une forme d’altérité radicale : l’autre — l’enfant — devient la raison de notre existence. Puis vient la vieillesse, ce moment où le temps, que l’on croyait maîtriser, se retourne doucement vers nous. Devenir vieux, c’est vivre la lente dépossession : de ses forces, de ses certitudes, parfois de ses rôles. C’est aussi, pour beaucoup, l’écho inversé de la parentalité : après avoir veillé sur un être fragile, on devient soi-même celui qu’on veille. Le cycle se ferme. Entre ces deux étapes — donner la vie et s’en détacher — se joue une leçon essentielle : l’existence n’a de sens que dans la transmission. Le temps ne détruit pas, il transforme. Vieillir n’est pas s’éloigner de la vie, mais en comprendre la profondeur : celle d’un passage. Devenir parent, c’est dire oui à la vie. Devenir vieux, c’est apprendre à lui dire adieu, sans amertume. Entre les deux, il y a la sagesse — celle de savoir que rien ne nous appartient, pas même le temps. Vieillir est une aventure On parle souvent de vieillir comme d’un déclin, une perte, une chute lente vers la fin. Mais si l’on change de regard, vieillir n’est pas une fin du voyage — c’est une autre forme d’aventure : celle de l’intérieur. Quand on est jeune, l’aventure se vit vers l’extérieur : on découvre le monde, on s’y mesure, on le conquiert. Vieillir, au contraire, c’est découvrir le monde en soi. C’est apprendre à voir ce que l’on ne voyait pas, à comprendre ce que l’on vivait sans conscience. Vieillir, c’est une aventure du regard : le regard sur soi, sur les autres, sur le temps. Les visages changent, les corps fatiguent, mais la conscience s’aiguise. Le monde devient plus dense, plus habité. Les choses simples — la lumière du matin, un rire, un souvenir — prennent un relief qu’on ignorait. C’est aussi une aventure du lâcher-prise : apprendre à ne plus vouloir tout retenir, tout contrôler. Comme toute aventure, elle demande du courage — le courage d’accepter la transformation, la perte, l’incertitude. Le courage de devenir autre sans cesser d’être soi. Vieillir, enfin, c’est une aventure de la transmission : passer le flambeau, donner sens à ce que l’on a vécu, offrir aux plus jeunes ce que le temps nous a enseigné. C’est l’aventure de l’héritage, non pas matériel, mais intérieur — celui de la mémoire, de la tendresse, de la sagesse. Ainsi, vieillir n’est pas un naufrage, mais une traversée. Non pas la fin du voyage, mais un changement de cap : du dehors vers le dedans, de la conquête vers la contemplation. Vieillir, c’est encore vivre, mais autrement — avec lenteur, lucidité et gratitude. Ce soir j'ai sorti mes poubelles et puis soudainement la réalité de ma vie m'a sauté au visage. J'ai mis des heures à trouvé les mots j'ai raturé, coché, décoché J'ai trouvé tout les mots qu'il fallait que je dise, j'écrive. La vie c'est toujours le même programme avec des éléments différents. Nos vies sont des morceaux de puzzle que nous saississons ou nous défaisons.
  12. Parler seul(e) c'est améliorer la mémoire, on exprime nos émotions, on s'encourage, on peux prendre du recul face à un événement, on se prépare, on se motive, on clarifie des choses, on met des mots sur nos pensées, effet calmant et apaisant et enfin on se focalise sur ce qui est à faire
  13. Hé oui c'est briser un silence devenu trop lourd c'est mettre de la vie dans le silence pour entendre sa voix et se rassurer que l'on va bien dans sa téte Parler seul c'est aussi de se dire des choses que l'on veut entendre comme "je vais bien " ou je suis contente d'avoir résolu .........un truc"
  14. Je dis :"il faut que je range mon bureau et poff c'est fais!! "On va promener Zaya?" et poff elle trépigne de joie. Sur le chemin de la promenade je parle à ma fifille Je dis même bonjour aus gensqui tirent la gueule hihihihi J'ai lu quelque part que parler toute seule était trés bon pour le moral et la santé mentale Parler tout seule Je me parle tout seule, parfois, comme si quelqu’un m’écoutait derrière la porte. Je dis des choses qui ne servent à rien, juste pour entendre ma voix faire un peu de bruit dans le silence. Je dis : “tiens, il pleut encore…” Je dis : “faut que je range ce coin-là…” Et puis je me tais, comme surprise d’être encore là. Les mots tombent tout seuls, comme des miettes de pensée. Et moi, je les regarde, sans trop savoir à qui je parle. Mais c’est pas grave. Ça fait du bien, parfois, de se répondre tout seul. Anonyme
  15. Trop joli tôaa Je parle à ma fifille elle me comprend et m'approuve toujours et le pire c'est que je me parle à moi même Je pense pas que ce soit grave hein?
  16. Parler de paix et d’amour, c’est interroger le cœur même de l’existence humaine. l’humanité cherche dans ces deux notions la clé d’une vie juste et harmonieuse. toujours à conquérir. la véritable paix ne se décrète pas par des traités, elle se cultive dans les âmes. Le philosophe stoïcien Épictète affirmait : « Ce qui trouble l’homme, ce ne sont pas les choses, mais l’opinion qu’il s’en fait. » Autrement dit, la paix commence lorsque l’esprit cesse de s’agiter devant ce qu’il ne peut maîtriser. La paix intérieure — la fameuse ataraxie — est la condition première pour qu’une société puisse elle-même être pacifique. Tant que l’homme est en guerre avec lui-même, il cherchera à projeter cette guerre sur les autres. L’amour : principe de lien et de dépassement L’amour, dans sa dimension philosophique, n’est pas seulement passion ou émotion. Il est ce mouvement par lequel l’être humain sort de lui-même pour reconnaître autrui comme un autre soi. Pour Platon, l’amour (eros) est une ascension vers le Beau et le Bien, un désir de perfection qui élève l’âme. Pour Levinas, il devient une responsabilité : aimer, c’est répondre à la présence d’autrui, c’est se sentir engagé par son existence même. Ainsi, l’amour n’est pas faiblesse — c’est la force la plus radicale, celle qui rompt le cercle de la domination et ouvre la voie à la compréhension. Paix et amour : deux faces d’une même vérité L’amour donne sens à la paix, et la paix rend possible l’amour. Sans amour, la paix devient indifférence ; sans paix, l’amour se déforme en attachement ou en peur. C’est dans leur union que l’homme trouve sa plénitude : une paix vivante, nourrie par la bienveillance, et un amour lucide, fondé sur la liberté. La sagesse ne consiste donc pas à fuir le monde, mais à l’aimer sans le posséder, à œuvrer pour l’harmonie sans effacer les différences. Conclusion La paix et l’amour ne sont pas des utopies, mais des tâches. Elles demandent courage, vigilance et foi en l’humain. Chaque fois que nous écoutons au lieu de juger, que nous pardonnons au lieu de haïr, que nous aimons sans attendre, nous faisons un pas vers cet idéal que les sages nomment parfois la « paix du cœur ». Aimer, c’est déjà faire la paix. Et faire la paix, c’est apprendre à aimer Petit truc machin chose que j'ai trouvé aprés moultes recherches Que la paix, l'amour soit avec vous.
  17. Parler de paix et d’amour, c’est comme respirer un peu de lumière dans un monde souvent trop bruyant. Un cœur qui bat, c’est le tambour discret de la vie. Chaque pulsation murmure : « Je suis ici, je respire, je sens. » Il bat dans le silence du matin, dans le frisson d’un vent léger, dans le sourire échangé. Chaque battement est une promesse : celle de la présence, celle de l’amour possible, celle de la paix que l’on peut cultiver, même quand le monde hurle autour. Un cœur qui bat nous rappelle que tout commence par soi : apprendre à écouter, à sentir, à accueillir. C’est un rythme fragile, et dans sa fragilité se cache sa force. Et quand nos cœurs battent en harmonie avec ceux des autres, naît alors la paix véritable, celle qui se vit, qui se partage, celle qui transforme chaque instant en lumière
  18. De Charles Aznavour les enfants de la guerre Paroles Les enfants de la guerre Ne sont pas des enfants Ils ont l'âge des pierres Du fer et du sang Sur les larmes de mères Ils ont ouvert les yeux Par des jours sans mystère Et sur un monde en feu Les enfants de la guerre Ne sont pas des enfants Ils ont connu la terre À feu et à sang Ils ont eu des chimères Pour aiguiser leur dents Et pris des cimetières Pour des jardins d'enfants Ces enfants de l'orage Et des jours incertains Qui avaient le visage Creusé par la faim Ont vieilli avant l'âge Et grandi sans secours Sans toucher l'héritage Que doit léguer l'amour Les enfants de la guerre Ne sont pas des enfants Ils ont vu la colère Étouffer leurs chants Ont appris à se taire Et à serrer les poings Quand les voix mensongères Leur dictaient leur destin Les enfants de la guerre Ne sont pas des enfants Avec leur mine fière Et leurs yeux trop grands Ils ont vu la misère Recouvrir leurs élans Et des mains étrangères Égorger leurs printemps Ces enfants sans enfance Sans jeunesse et sans joie Qui tremblaient sans défense De peine et de froid Qui défiaient la souffrance Et taisaient leurs émois Mais vivaient d'espérance Sont comme toi et moi Des amants de misère De malheureux amants Aux amours singulières Aux rêves changeants Qui cherchent la lumière Mais la craignent pourtant Car les amants de la guerre Sont restés des enfants
  19. Tout 0à fait mais ma réponsem'est une politesse à @Enchantant pour l'histoire qu'il nous a conté L'air de rien nous sommes restés dans l'enseignement
  20. Ne pas oublier que nous français avions perdu la guerre de 1870 contre l’Allemagne ainsi que les territoires d’Alsace et de Lorraine. Que toute la génération entre 1870 et 1914, après cette défaite incitât collectivement à un besoin de revanche, Jules Ferry structurant l’école publique de l’époque, ayant pour mission de former des bons petits soldats pour la prochaine. Quelle ignominie que d'éduquer des enfants dans le but de les envoyer à la guerre...
  21. Créer des groupes de parole çà c'est fait!! En parler dans les écoles fait enfin je crois ?? Les jours de commérations doivent continuer envers et contre tout Ce jour pour moi est un jour de tristesse parce que0d'autres guerres vont surgir avant ma mort je ne me fait pas d'illusions Les guerres c'est des histoires de fric çà rapporte plus que la paix ha si !! j'adore et j'apprend j'y retourne
  22. Effectivement cela devient lassant mais avons nous le choix? je ne sais pas. (je suis allée sortir Zaya d'oû mon retard à te répondre) Nos enfants 0et petits enfants sont condannés à en parler indéfiniment il y a tant de choses à faire évoluer sur notre terre
  23. Je vous préviens je suis allée sur lIA C’est une très belle et profonde question Un monde sans guerre est théoriquement possible, mais extrêmement difficile à atteindre dans la pratique. Voici pourquoi — et aussi pourquoi il ne faut pas perdre espoir : Pourquoi ce serait possible L’évolution morale et sociale de l’humanité : Les valeurs de paix, de coopération et de droits humains sont beaucoup plus répandues aujourd’hui qu’il y a un siècle. L’idée même de la guerre est de plus en plus rejetée par les sociétés civiles. Les institutions internationales : Des organisations comme l’ONU, l’Union européenne ou l’Union africaine sont nées précisément pour éviter les conflits par le dialogue, la diplomatie et la coopération. La mondialisation et les interdépendances : Les pays sont aujourd’hui tellement liés économiquement et technologiquement que la guerre devient de moins en moins "rentable" ou même soutenable. Les nouvelles générations : Beaucoup de jeunes rejettent la violence et plaident pour la justice sociale, le climat, et les droits humains. Ce sont des bases essentielles pour la paix. Pourquoi ce n’est pas encore le cas Les intérêts économiques et géopolitiques : Les ressources (pétrole, eau, terres, technologies) et le pouvoir politique restent des sources majeures de rivalités. Les inégalités et les injustices : Tant que des peuples souffriront de pauvreté, d’oppression ou d’exclusion, il y aura des tensions prêtes à exploser. Les identités et la peur de l’autre : Le nationalisme, la religion ou l’idéologie peuvent encore être manipulés pour diviser. L’arsenal militaire : Tant que les armes existent — surtout les armes nucléaires — le risque de guerre ne peut pas disparaître complètement. Conclusion : un horizon, pas une utopie Un monde totalement sans guerre n’existe pas encore, mais un monde avec beaucoup moins de guerres est possible. Cela dépend de l’éducation, de la coopération internationale, de la réduction des inégalités, et de la capacité des peuples à résoudre leurs conflits autrement que par la violence. La paix dans le monde c'est pas pour tout de suite et je crains que l'on y arrive jamais il y a trop de choses qui vont mal. Ce n'est pas à cause de notre voisin mais de la politique de nos gouvernants. C'est donc le peuple entier de la terre qui doit changer Et puis il y a maintenant trop de lois liberticides incongrues et inadaptées générées pour en sortir un peu la tête de l'eau il fait compter sur les professeurs dans les écoles et aussi continuer à dénigrer la guerre à travers ce monde La guerre c'est encore et toujours faire le mal
  24. Non mais je te comprend et tu as raison de réagir à ce probléme qui devient effectivement trés envahissant un beau sujet de discussion????
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