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orangine

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Tout ce qui a été posté par orangine

  1. J'avais compris grand rire une graine qui se transforme en une âme
  2. pas toujours parfois on apprend encore la la leçon
  3. La transmission c'est la vie
  4. Que voila un bel adage tout en positivité C'est moche parce que tout ce que nous avons appris s'en va avec nous. Mais nous avons une grande chance nous pouvons transmettre avant de partir
  5. orangine

    Moral bas

    https://hedoperformance.com/vers-la-douceur-de-soi/
  6. La vie est faite de tracas, d'accident, elle est mortelle, de problémes de coeur, de problémes administratifs, de grands malheurs, de guerres à travers le monde, de conflits de voisinage, de conflits politiques d'incivilités et de violences, d'injustices et de coléres. Et pourtant, il y a tant de belles choses autour. Il y a la musique, les arts, l'amour, l'amitiè, Le ciel , la terre, la mer, le bonheur, les fleurs, nos enfants, notre chat notre chien. La vie est faite de mouvements de défis et de victoires Et puis il y a chez sois. La chaleur du foyer, le confort d'un fauteuil et de sa couette, la fidélité d'une compagnie humaine ou animale. Chez sois il y a toujours un truc qui vous fait de l'oeil. Que votre soirée soit douce, agréable, chaleureuse, pleine de jolies petites choses à s'offrir comme un bon verre de vin. Que votre soirée soit faites de paix et d'amour (de soit ?)
  7. orangine

    Moral bas

    Je sors ma fifille j'ecoute de la musique sur youyou je mange une glace je vais discuter sur un site (audio) je me balade sur internet Je cherche à parler à quelqu'un
  8. De part mon métier, ayant rencontré beaucoup de personnes agées j'ai pu remarquer vos préférences phylosophiques et matérialistes. Nous avons appris à surfer sur le net , nous envoyons des emaiels et des photos. Nous lions des amitiés et des amours. Jamais nous ne partageons les souvenirs de notre enfance nous n'aimons pas beaucoup cela car çà vous appartient. Nous aimons parfois partager des choses bienveillantes avec notre voisine comme le café ou les petits plats chaud proposés avec gentillesse. Nous en savourons la bonne entente et les liens qui se créent. Nous aimons la jeunesse quand elle demeure dans le dialogue; le partage et le respect. Nous sommes pour la plupart gaga de nos enfants et petits enfants. Parfois nous sommes tributaires de notre santé de notre fatigue et des adaptations sont alors appliquées mais l'amour est toujours là ainsi que la compréhension de nos grands enfants. Nous réchauffons nos coeurs et nos pieds au coin d'un feu avec un bol de soupe. Notre âme est simple et joyeuse. A un certain age nous avons besoin que notre vie soit un long fleuve tranquille. Nous n'aimons plus les conflits et les rejetons avec bec et ongles. Nous décretons à notre femme de ménage une maison propre sentant le parfums. Nous voulons nos meubles devenus précieux cirés et bien entretenu. Notre richesse est plus phylosophique que financière. Parfois nous arrivons à etre heureux de ce que nous possédons. Toutes nouvelles acquisitions deviennent trésor car nous connaissons la valeur des choses. Nous aimons toutes ces gestes que nous recevons d'autrui qui embellissent la vie;
  9. orangine

    Je suis fier d'être un âne.

    Alors moi je suis cinéphile
  10. Bonjour, Je vais appel à votre temps et à votre curiositée. Je suis membre d'un groupe Belge. Nous avons besoin de nouveaux adhérants pour que ce groupe survive. Les personnes qui font vivre ce groupes sont formidables. Tous les sujets y sont abordés avec bienveillance et grande écoute. Si vous souhaitez participer à la communauté faîtes moi un MP
  11. J'en suis trés heureuse et satisfaite que cela t'est mise de la joie au coeur Bisou Ces textes sont un partage et non ma création Je les trouve formidables et les ai envoyé à mon fils
  12. Je peux encore, mon fils… même si parfois cela ne semble pas le cas. Je peux encore marcher avec toi dans la rue, même sans destination précise. Ne t’inquiète pas pour mon pas : si tu es à mes côtés, je me sentirai plus vivante que jamais. Je peux encore m’asseoir à ta table un dimanche matin, pour partager un petit-déjeuner simple. Tu n’imagines pas comme ce serait doux pour moi de te voir manger, rire, et sentir que je fais encore partie de ton monde. Je peux encore t’écouter avec attention, si tu me parles avec tendresse. Ne me crie pas dessus, mon fils. Ne me parle pas avec impatience. En vieillissant, ce n’est pas tant ce qu’on nous dit qui compte… mais la manière dont on nous le dit. Si parfois je dis des choses qui n’ont plus beaucoup de sens, ne te moque pas, ne me fais pas taire. Ris avec moi. Prends-moi dans tes bras. Fais-moi sentir que ma présence compte encore, que j’ai toujours quelque chose à offrir. Ne m’écarte pas. Ne me traite pas comme si j’étais un fardeau. Mon corps change, c’est vrai… mais mon esprit conserve des souvenirs précieux… dont beaucoup sont avec toi. Et si tu peux, viens me voir de temps en temps. Je ne viens rien te demander. Je veux juste regarder ton visage, t’écouter un instant, et savoir que tu es encore là. Ne m’enferme pas. Ne me laisse pas dans un lit comme si je ne comptais plus. Oui, le corps fait mal parfois… Mais ce qui fait le plus mal, c’est le silence, la distance, l’oubli. Car l’âme, elle aussi, tombe malade quand elle ne se sent plus aimée. La douleur d’une mère d’enfants devenus grands est une douleur particulière. Elle ne crie pas. Elle ne pleure pas en public. C’est une douleur discrète, profonde, contenue — celle qui se glisse dans les prières du soir, dans les pensées qui veillent trop tard, dans un soupir muet tandis qu’elle boit une tasse de thé, seule, dans la cuisine. C’est une douleur qui naît quand les enfants ont grandi, quand ils ont pris leur envol, quand ils font leurs propres choix, leurs propres erreurs. Une mère voudrait courir après eux, leur reprendre la main comme autrefois, quand ils étaient petits et qu’elle pouvait encore les protéger du monde, de la douleur, des mauvais pas. Elle voudrait crier : « Arrête-toi ! Je sais ce qui est bon pour toi ! J’y suis déjà passée, moi ! » Mais… elle ne peut pas. Parce qu’il n’est plus ce petit enfant que l’on serre sous son aile. C’est un adulte à présent. Avec sa propre route, son propre destin, et ce cœur à lui, qui apprend à travers ses propres blessures. Et c’est bien cela, le plus douloureux : laisser son enfant vivre sa vie. Le laisser tomber… et se relever. Se tromper… et comprendre. Se taire alors qu’on voudrait crier. Ne pas conseiller quand on voudrait tant guider. Juste attendre. Être là. Prier en silence. Envoyer de l’amour, en pensée, et espérer qu’il le reçoive. Croire que tout ira bien.
  13. Mon petit grain de sel pour ce joli lieux, L’amour est un bouquet de violettes Chanson de Luis Mariano Paroles L'amour Est un bouquet de violettes L'amour Est plus doux que ces fleurettes Quand le bonheur, en passant Vous fait signe et s'arrête Il faut lui prendre la main Sans attendre à demain L'amour Est un bouquet de violettes Ce soir Cueillons, cueillons ces fleurettes Car, au fond de mon âme Il n'est qu'une femme C'est toi Qui sera toujours mon seul amour Violetta, mon amie Mon amie si jolie Violetta, je t'en prie N'aie pas peur de la vie Il faut perdre la tête Et songer que l'amour Est comme ces violettes Il se fane un beau jour L'amour Est un bouquet de violettes L'amour Est plus doux que ces fleurettes Quand le bonheur, en passant Vous fait signe et s'arrête Il faut lui prendre la main Sans attendre à demain L'amour Est un bouquet de violettes Ce soir Cueillons, cueillons ces fleurettes Car, au fond de mon âme Il n'est qu'une femme C'est toi Qui sera toujours mon seul amour
  14. Se pacser estil un acte administratif ou juste une décision entre deux personnes ? Tu veux certainement parler des célicouples. C'est vrai que les factures sont doubles car double maison/ou appart mais chacun fait ce qu'il veut chez lui ......pas de dispute pour qui a bouché l'evier ou les toilettes rires
  15. Un homme déconstruit porte des jupes et des talons hauts c'est un féministe
  16. .si je comprend bien tu est célibataire et satisfaite de l'étre. 42 ans ce n'est pas etre vieille. Même seule de nos jours peut etre une bonne situation. Peu etre un jour sait on jamais tu pourrais rencontrer quelqu'un le mariage n'est plus une obligation de nos jours Que pense tu du céli couple ?
  17. C'est trés vrai ce que tu dis mais il y a des personnes trés indépendantes qui bien sur doivent travailler pour s'offrir ce dont ils elles ont besoin pour le confort Amon mariage comme toi je me suis sentie dépossédée de mon non de jeune fille mais en mếme temps j'aimais que l'on me dise Madame untel. De demoiselle appelation charmente à notre oreille l'on deviens grande Le changement de statut demeure toujours une montée en grade "sourire" Je comprend ton sentiment de reprise de possession de ton non de jeune fille
  18. Quel joli témoignage pour débuter ce post Comme quoi il ne faut jamais désespérerLes fleurs tu les mérite Tu semble satisfaite de ta nouvelle vie. Et je suis certaine que Mr est quelqu'un de bien pour toi J'en suis fort aise
  19. Avez vous à l'esprit un jour de vous remarier ? A votre avis qu'elle est la meilleure solution pour retrouver le bonheur à deux ou seul(e) ? Quelles sont à votre avis les adaptations à apporter pour un bonheur à deux ou seul(e) ? Vous en pensez quoi aujourd hui du mariage ou du célicouple ? Se marier aujourd hui est ce encore d'actualités ?
  20. Homme et femme nous avons le pouvoir de créer et de vivre plein de choses l'orsque nous faisons le choix de vivre comme un (e)célibataire.Le mariage c'est de grandes responsabilités il faut avoir les reins solides un moral en béton armé et de bonnes finances bien sur et beaucoup d'abnégation Nous ne maitrisons dans un divorce ou une séparation que notre part de responsabilités Etre amoureux(se) est une "prison" mentale Le mariage est une case administrative. Le mariage est forcément périssable quand l'on aime plus c'est une chose qu'il faut admettre. La déception, l'abandon des valeurs du mariage est devenue chose normale avec ce monde de fous dans lequel nous vivons. Heureusement il existe encore plein de couples qui se maintiennent de nos jours et ils ont de bien grands mérites
  21. Vous etes un couple qui fait exception Votre histoire est un bel exemple de véritable amour Je vous souhaite encore plein plein d'années heureuses
  22. « Ma chère femme, Il y a deux jours, nous avons eu une forte dispute. J'étais rentré fatigué avec les problèmes au travail. Il était 18h et tout ce que je voulais, s'était m'asseoir sur le canapé et regarder le match. Quand je t'ai vu, tu étais épuisée et de mauvaise humeur. Les enfants se battaient et le bébé pleurait pendant que tu essayais de l'endormir, alors j'ai augmenté le volume de la télé... "Ça serait pas mal si tu pouvais m'aider un peu et t'impliquer davantage dans l'éducation de nos enfants", m'as-tu dit avec un visage boudeur tout en baissant le volume de la télévision. J’ai répondu avec colère : "J’ai passé toute la journée à travailler pour que tu puisses rester à la maison et jouer avec des poupées." La discussion devint longue... Tu as pleuré de colère et de fatigue. J'ai dit des choses cruelles, tu as crié que tu n'en pouvais plus et tu as quitté la maison en me laissant seul avec les enfants. Je devais donner à manger aux enfants et les préparer à aller au lit. Le lendemain, tu n'es pas revenue, j'ai dû demander un jour de congé à mon patron pour m'occuper des enfants. J'ai vécu les crises de colère et les pleurs. J'ai fait l'expérience de courir sans arrêt et de ne même pas avoir le temps de me doucher. J'ai dû préparer le lait, habiller un enfant et nettoyer la cuisine en même temps. J'ai vécu enfermé toute la journée sans parler à personne de plus de dix ans. J'ai fait l'expérience de ne pas pouvoir manger en paix, assis à table et à mon rythme parce que je courais après un enfant. En une seule journée, j'étais tellement épuisé physiquement et mentalement que j'aurai voulu dormir 20h d'affilées, mais j'ai dû me réveiller 3h après m'être endormi parce que le bébé pleurait. En tout, j'ai vécu seulement deux jours et deux nuits à ta place et je peux te dire que maintenant je comprends. Je comprends ta fatigue. Je comprends qu'être mère est un renoncement constant. Je comprends que c'est plus épuisant que 10h entre les requins du business et les décisions économiques. Je comprends la tristesse d'avoir choisi de quitter ton métier et ta liberté économique pour être présente dans l'éducation de nos enfants. Je comprends l'incertitude que tu ressentes à l'idée que tes finances ne dépendent plus de toi, mais de moi. Je comprends les sacrifices que représente le fait de ne pas avoir le temps de sortir avec tes amis, de faire de l'exercice ou de dormir une nuit complète. Je comprends à quel point il peut être difficile de se sentir enfermé à s'occuper des enfants et d'avoir l'impression de louper ce qui se passe à l'extérieur. Je comprends même la colère que ma mère critique ta façon d'élever nos enfants. Je comprends qu'en tant que mère, tu portes le fardeau le plus lourd de la société... Celui que personne ne reconnaît, ni ne valorise, ni ne rémunère. Je t'écris cette lettre non seulement pour que tu puisses revenir parce que tu me manques, mais parce que je ne veux pas qu'un autre jour passe sans que je te le dise avant la fin de la journée : "Tu es très courageuse, tu t'en sors à merveille et je suis vraiment reconnaissant pour tout ce que tu fais pour notre famille." - Texte de Nohemí Hervada traduite par Naissance mère'veilleuse
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