orangine
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INTÉRIEUR — OPEN SPACE — 10h47 la machine à café grince comme un vieux modem 56k agent A49 (en mettant la capsule) tout est en place (le café déborde un peu mais il fait comme si c’était prévu) l’Italien sans lever les yeux : l’ordre du jour ne peut PAS rester dans Confluence (deux personnes passent derrière, ils font semblant de rien) agent 404 (arrive avec un gobelet déjà plein) la brèche est refermée agent A49 quelle brèche ? agent 404 Outlook avait crashé l’Italien hoche la tête très lentement comme si c’était une tragédie grecque l’Italien il faudra que le Comité soit informé agent A49 quel comité ? l’Italien boit une micro-gorgée, dit rien juste un regard qui veut dire “j’ai juré le silence dans une cave en 2018” agent 404 passe une capsule à A49 comme si c’était une clé USB volée agent 404 sélectionne “ristretto” c’est moins traçable il y a un silence on entend juste l’imprimante couleur qui se lance plus loin l’Italien (et en remuant son café comme un sommelier) à 11h07… j’aurai besoin d’un témoin personne ne demande témoin de quoi mais les trois acquiescent ensemble comme si c’était parfaitement normal et ils repartent chacun… avec le sentiment d’avoir fait avancer une intrigue qui n’existe que dans leurs têtes
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Combien de temps... Combien de temps encore Des années, des jours, des heures, combien ? Quand j'y pense, mon coeur bat si fort... Mon pays c'est la vie. Combien de temps... Combien ? Je l'aime tant, le temps qui reste... Je veux rire, courir, pleurer, parler, Et voir, et croire Et boire, danser, Crier, manger, nager, bondir, désobéir J'ai pas fini, j'ai pas fini Voler, chanter, parti, repartir Souffrir, aimer Je l'aime tant le temps qui reste Je ne sais plus où je suis né, ni quand Je sais qu'il n'y a pas longtemps... Et que mon pays c'est la vie Je sais aussi que mon père disait : Le temps c'est comme ton pain... Gardes-en pour demain... J'ai encore du pain Encore du temps, mais combien ? Je veux jouer encore... Je veux rire des montagnes de rires, Je veux pleurer des torrents de larmes, Je veux boire des bateaux entiers de vin De Bordeaux et d'Italie Et danser, crier, voler, nager dans tous les océans J'ai pas fini, j'ai pas fini Je veux chanter Je veux parler jusqu'à la fin de ma voix... Je l'aime tant le temps qui reste... Combien de temps... Combien de temps encore ? Des années, des jours, des heures, combien ? Je veux des histoires, des voyages... J'ai tant de gens à voir, tant d'images.. Des enfants, des femmes, des grands hommes, Des petits hommes, des marrants, des tristes, Des très intelligents et des cons, C'est drôle, les cons ca repose, C'est comme le feuillage au milieu des roses... Combien de temps... Combien de temps encore ? Des années, des jours, des heures, combien ? Je m'en fous mon amour... Quand l'orchestre s'arretera, je danserai encore... Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul... Quand le temps s'arretera.. Je t'aimerai encore Je ne sais pas où, je ne sais pas comment... Mais je t'aimerai encore... D'accord ? Serge Réggiani Lle temps qui reste La vie pose des pièges — et pourtant ça pousse. Une tige verte traverse le béton parce que personne ne lui a dit que c’était impossible. Une main ordinaire peut fabriquer une journée extraordinaire avec trois gestes minuscules : regarder écouter choisir. Regarder les détails qui respirent. Écouter sans chercher à répondre. Choisir une toute petite direction et l’aimer. Ce n’est pas que le monde est beau, c’est que l’on peut y planter des actions qui le rendent plus beau. La poésie positive de la vie n’est pas rose. Elle est tenace. Elle dit juste : aujourd’hui, on peut encore. et c’est déjà assez pour commencer.
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Le Voyage de l’Insomnie Heure 1 – L’Éveil Le café fume sur la table de nuit, arôme amer qui s’accroche à mes narines. Sous la couette chaude, je cherche le refuge, mais mon esprit s’agite, papillonnant entre souvenirs et songes impossibles. Heure 2 – La Fatigue Bâillements qui s’étirent comme des nuages, paupières lourdes mais rebelles. Le drap glisse sur ma peau, doux et froid à la fois, chaque frisson un rappel que je suis encore vivant dans cette nuit silencieuse. Heure 3 – Le Conflit Pensées désaccordées s’entrechoquent comme des notes folles, le café brûlant réveille chaque neuron. La couette me retient, mais mon esprit vagabonde, traversant des corridors invisibles, labyrinthes de souvenirs. Heure 4 – Le Refuge Je m’enfonce dans le duvet, le froissement des draps devient musique. L’ombre m’enlace, la chaleur et la douceur font tomber la tension de mes épaules. Heure 5 – Les Frissons Le vent froid s’invite par la fenêtre entrouverte, mes mains cherchent la caresse du tissu. Froid et chaud se répondent, le contraste me rend étrangement vivant, conscient de chaque sensation. Heure 6 – La Rêverie Pensées spirales, comme la fumée du café qui s’élève. Le goût amer persiste sur ma langue, la lune peint des formes mouvantes sur le mur. Le temps semble suspendu, chaque seconde s’étire. Heure 7 – Le Lâcher-prise Bâillements s’éteignent, la fatigue devient soie, douceur qui recouvre mes paupières closes. Je sombre enfin dans l’ombre, porté par le silence, le souffle chaud de la couette, et la douce sensation de m’abandonner à la nuit.
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♦ Sur le quai d’une vieille gare♦
orangine a répondu à un(e) sujet de Spleen nostalgique dans Littérature
Madame Gertrude n’avait jamais quitté son village. Un jour, en voyant le train filer vers la ville, elle se dit : « Moi aussi, j’ai droit à l’aventure ! » Sans hésiter, elle grimpa à bord, attrapa le levier le plus voyant et… le train démarra. Les passagers, incrédules, virent une vieille dame tricoter tranquillement tout en pilotant le convoi. — « Où allons-nous ? » demanda un jeune homme, les yeux écarquillés. — « Au soleil ! » répondit Gertrude. « Et si vous êtes sages, vous aurez droit à des cookies à l’arrivée ! » Le contrôleur, rouge de colère, hurla derrière le train : — « Madame ! Rendez le train ! » — « Non, mon petit, j’ai une vie à rattraper ! » répondit-elle avec un sourire diaboliquement adorable. À la fin, le train s’arrêta sur une voie abandonnée près d’un champ de fleurs. Les passagers applaudirent la courageuse grand-mère. Gertrude, elle, se pencha par la fenêtre et murmura : — « Voler un train, c’est le nouveau yoga, mais avec plus de style. » -
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Hibernathus et moi Il était une fois, dans un village où l’hiver durait presque toute l’année, un être mystérieux nommé Hibernathus. Personne ne savait vraiment ce qu’il faisait : certains disaient qu’il passait son temps à tricoter des nuages de neige, d’autres qu’il conversait avec les marmottes pour leur apprendre des secrets ancestraux. Un soir, je le rencontrai par hasard dans la forêt. Il portait un manteau fait de cristaux gelés et un chapeau qui semblait contenir un petit orage. « Bonjour », dit-il, en soufflant de la vapeur qui formait des lettres dans l’air. « Veux-tu venir hiberner avec moi ? » Je le suivis, intrigué. Nous avons traversé des rivières de chocolat chaud, des champs de sapins qui chantaient, et même une montagne qui marchait lentement vers le nord. À chaque pas, Hibernathus me racontait des histoires si improbables que je ne savais plus si j’étais éveillé ou en train de rêver. Finalement, nous arrivâmes à une grotte éclairée par des lucioles arc-en-ciel. « Ici, le temps n’existe pas », murmura-t-il. Et je compris que, peut-être, hiberner avec Hibernathus, c’était un peu comme dormir debout : étrange, merveilleux, et impossible à oublier.
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ouiii et je m'amuse comme une grande folle J'y met deux trois de mes folies douce et l'ia transforme mes folies en folie douce
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vouiii “Le gâteau au chocolat, c’est comme la foi : certains n’y croient pas… jusqu’à la première bouchée.” “Manger un morceau de chocolat, c’est ma prière quotidienne : douce, réconfortante et toujours efficace.” “Le chocolat est un miracle permanent : même les calories disparaissent… dans nos espoirs.” “J’ai demandé un signe du ciel… et on m’a servi un gâteau au chocolat tiède.” “La foi soulève des montagnes… mais le chocolat soulève mes esprits.” “Si le paradis existe, j’espère qu’il a un buffet de gâteau au chocolat à volonté.” “Confession : j’ai péché… j’ai mangé tout le gâteau au chocolat avant la messe.” “Le chocolat, c’est mon saint Graal : il transforme les journées grises en miracle.” “Dieu a créé le monde en 7 jours… mais le gâteau au chocolat, lui, il l’a créé pour qu’on croie encore plus.” “La foi, c’est croire même sans voir… et le chocolat, c’est croire que demain je vais regretter, mais aujourd’hui, tant pis !”
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Les pantoufles des retraités et des futurs retraités.
orangine a répondu à un(e) sujet de Popy dans Education et Famille
Les pantoufles magiques et le chaos quotidien Un beau matin, Léon reçut un colis étrange : une paire de pantoufles magiques avec une note : « Pour marcher vers la grandeur… ou le désastre. » Dès qu’il les enfila, les pantoufles prirent vie. À chaque pas, elles parlaient : — « À gauche ! » — « Non, saute ! » — « Oh, et si on faisait un tour sur le toit ? » Léon se retrouva sur le toit de son immeuble à essayer de négocier avec ses chaussures : « Mais je ne sais pas voler ! » Les pantoufles rirent. Littéralement. Elles avaient inventé un rire mécanique qui sonnait comme un orchestre de canards enrhumés. Au supermarché, elles décidèrent qu’il était temps de tester leur sort le plus puissant : la téléportation aléatoire. Léon disparut dans le rayon surgelés, réapparut dans un parking à Milan, puis au zoo… où il se retrouva nez à nez avec un lama perplexe. Le lama semblait plus maître des pantoufles que lui. Finalement, Léon comprit une vérité universelle : ces pantoufles étaient totalement inutiles pour marcher normalement… mais parfaites pour transformer la vie en comédie épique. Depuis, il ne sort plus jamais sans elles… même si chaque pas signifie maintenant « aventure ou désastre ». -
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le corbeau qui apprend l’heure à 06:38 il a compris que les humains ne se levaient pas quand le soleil se levait mais quand le téléphone chantait à 07:12 il a compris que le bip du micro-ondes annonçait un fromage fondu à 13:59 il a compris que la ville se taisait un peu après avoir avalé le midi à 16:46 il a compris que les enfants dans les cours pouvaient prédire le futur à 5 minutes près (juste en écoutant quand ils hurlent) à 19:04 il a compris que l’heure n’existe que quand quelqu’un la regarde à 23:51 il a compris que la nuit appartient aux oiseaux et le matin suivant il a arrêté de lire les chiffres et il a recommencé à lire le vent Le corbeau et le réveil magique Sur le toit d’une vieille grange, vivait Argos, un corbeau célèbre pour deux choses : ses plumes d’un noir parfait et surtout… sa capacité à tout casser sans faire exprès. Un matin, dans la déchèterie derrière la maison, Argos trouva un objet étrange. C’était un réveil transparent, avec une seule aiguille, et un bouton violet. Il appuya. Le temps s’arrêta. Plus de vent dans les feuilles. Plus de vaches qui mâchent. Plus de tracteur au loin. Argos battit des ailes — rien ne bougeait. Il rappuya. Le temps repartit. Argos comprit alors qu’il pouvait arrêter le monde quand il voulait. Au début, c’était rigolo : il arrêtait le temps pour voler des noix, ou pour se placer pile au-dessus de la tête du fermier (pour lui lâcher… un petit cadeau bien humide). Mais peu à peu, Argos sentit quelque chose de bizarre. Dans les silences qu’il créait, il se sentait seul. Personne ne riait avec lui. Personne ne courait avec lui. Personne ne l’aimait dans cet arrêt total. Alors un matin, il vola jusqu’à la rivière, posa le réveil sur une pierre, et appuya une dernière fois pour figer le monde. Il respira dans cet immense silence. Puis dit tout haut : — J’ai besoin des autres. Et il reprit le temps. Il s’envola vers la ferme, tendit le réveil au fermier — avec le plus doux croassement qu’il puisse faire. Le fermier, surpris par tant de délicatesse, lui rendit ce qu’Argos avait perdu : un sourire, un gratouillis sous le cou, et la sensation d’être… avec quelqu’un. Morale Le pouvoir le plus rare n’est pas d’arrêter le temps. Le pouvoir le plus rare est de vouloir le vivre ensemble.
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le temps s’enfuit il passe comme on souffle un grain de sucre sur le rebord d’une tasse encore chaude tu crois qu’il reste là — qu’il va se poser — qu’il va t’attendre et il déserte l’air au premier battement de cil on vit en hors-champ de tout on relit nos propres journées comme des captures d’écran prises trop tard et si le temps s’enfuit c’est peut-être que le temps n’a jamais été à nous mais nous à lui nous n’avons fait que prêter notre sang à sa circulation wouhaa toi ! j'aime tellement tout beau tout chaud et charmant
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J"ai trouvé mon percolateur dans ma cuisine ouverte à tout heure. J'ai du appuyer sur un bouton et attendre Le personnel n'est plus sérieux!!! A l'instant sur ma commune Je te souhaite un joli dimanche Caaafffééé...
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Il était une fois un poulet nommé Claudin. Claudin n’était pas un poulet comme les autres : dès qu’il entendait une mélodie, ses pattes ne pouvaient s’empêcher de bouger… et pas n’importe comment. Il dansait le moonwalk, le tango et même la samba, tout en caquetant joyeusement. Un jour, alors qu’il se promenait dans la ferme, il trébucha sur une plume magique tombée du ciel. Dès qu’il la toucha, Claudin se mit à flotter légèrement au-dessus du sol, tournoyant comme un hélicoptère miniature. Les vaches s’arrêtaient de ruminer, les cochons tapaient du sabot, et même le vieux tracteur semblait applaudir. Claudin décida alors de partir en tournée à travers le monde. Il dansa sur la Tour Eiffel, fit des pirouettes sur le Taj Mahal, et fit une chorégraphie synchronisée avec des manchots en Antarctique. Les journaux titraient : “Le Poulet qui Valait Tous les Ballets du Monde !” Et chaque soir, après ses spectacles ébouriffants, Claudin rentrait à la ferme, s’endormait en rêvant de nouvelles figures, et laissait derrière lui un sillage de plumes colorées qui brillaient sous la lune. Depuis ce jour, chaque poulet de la ferme rêve de danser… mais aucun n’a jamais eu l’étoile magique que Claudin avait trouvée. Quelques semaines plus tard, Claudin entendit parler d’un concours de danse inter-espèces organisé dans la mare voisine. Les grenouilles, réputées pour leurs sauts acrobatiques, étaient les grandes favorites. Mais Claudin, sûr de ses talents, décida de s’inscrire… avec un tutu scintillant qu’il avait volé au poulailler de Mme Coq. Le jour du concours, les grenouilles sautillaient en rythme, les libellules faisaient du claquette dans les airs, et un vieux crapaud juge semblait somnoler. Claudin entra en scène et… se mit à danser le twist en lévitation, faisant tourner son tutu et ses plumes comme une tornade arc-en-ciel. Les grenouilles restèrent bouche bée et le crapaud, surpris, lâcha son sifflet dans la mare. À la fin, le jury ne savait plus qui avait gagné : Claudin ou le talent aquatique des grenouilles. Alors, dans un élan de générosité et de folie, Claudin proposa un final collectif, où tous les participants dansèrent ensemble : grenouilles, libellules, crapaud et même un canard curieux. Le spectacle devint si extraordinaire que même les nuages s’arrêtèrent pour applaudir. Depuis ce jour, on raconte que si tu passes près de la mare la nuit, tu peux entendre le cacardement‑chorégraphique de Claudin et de ses amis, une danse qui rendrait n’importe quel animal… complètement fou de joie. Une nuit, alors que Claudin s’entraînait près de la mare, un arc-en-ciel vivant descendit du ciel et lui fit signe. Les étoiles filantes, curieuses, se mirent à tournoyer autour de lui comme des projecteurs célestes. Claudin comprit immédiatement : c’était le moment pour sa performance la plus abracadabrante jamais vue. Il se mit à danser sur un nuage de poussière d’étoiles, ses plumes scintillant comme des confettis cosmiques. Les grenouilles formaient un chœur aquatique en arrière-plan, les libellules faisaient du trampoline sur les arcs-en-ciel, et même la lune semblait se pencher pour admirer le spectacle. Claudin tenta alors une figure impossible : un grand jeté interstellaire, où il passa à travers un arc-en-ciel et fit rebondir chaque étoile filante comme des balles de jonglage. Les étoiles, ravies, commencèrent à suivre le rythme de ses ailes, formant une véritable chorégraphie céleste. À la fin, Claudin atterrit doucement dans la mare, épuisé mais radieux. Tous les animaux et les étoiles se mirent à applaudir, et la lune dessina un grand sourire lumineux dans le ciel. Claudin était désormais le seul poulet de l’univers capable de danser avec les étoiles… et tout le monde le savait. Depuis ce soir-là, quand on lève les yeux au ciel, on peut parfois apercevoir une plume brillante filer à travers les étoiles, et on se dit : “Là-bas, Claudin danse encore.” Chez nous on rit de beaucoup de choses on aime déraisonner et on adore la dérision; on la pratique à tout temps à tout mauvais vents et tempétes
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Histoires abracadabrantes, histoires à dormir debout Je souhaite que cette page est un avenir complétement dingues de nos esprits
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j'adore vous étes mon héros
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Il était une fois un pingouin nommé Gustave qui rêvait de devenir pilote de montgolfière. Le seul problème, c’est qu’il vivait… au milieu du désert du Sahara. Chaque matin, il s’étirait, regardait le soleil brûlant et disait : « Aujourd’hui, je volerai… ou je fondrai. » Un jour, il rencontra un cactus philosophe nommé Marcel. Marcel lui enseigna les secrets du vent et de la sieste prolongée. Ensemble, ils construisirent une montgolfière faite de chaussettes oubliées et de confiture de fraises. Le grand jour arriva. Gustave s’élança dans les airs… mais la montgolfière était si légère qu’elle fut emportée par un nuage de poussière qui parlait en alexandrins. Gustave discuta avec le nuage pendant trois heures, apprenant que les nuages avaient une passion secrète pour le tricot. Finalement, il retomba doucement… dans un lac de pudding au caramel, où les poissons portaient des lunettes de soleil et jouaient aux échecs. Et c’est ainsi que Gustave devint le premier pingouin pilote de montgolfière… à nager dans du pudding. Il était une fois un éléphant rose nommé Barnabé, qui avait une passion dévorante pour le violon. Oui, un éléphant. Rose. Avec une trompe assez longue pour tenir l’archet et gratter les cordes en même temps. Un soir, alors qu’il répétait son concerto préféré pour les grenouilles du jardin public, un vaisseau spatial en forme de beignet atterrit juste devant lui. De la porte du vaisseau sortirent des extraterrestres tout verts, trois yeux, quatre bras, et… une obsession pour la musique classique terrestre. « Jouez-nous du violon, terrestre pachyderme ! » ordonna le capitaine, qui ressemblait étrangement à une citrouille à paillettes. Barnabé, qui n’avait jamais vu d’extraterrestre de sa vie, se gratta la trompe et commença à jouer. À chaque note, le vaisseau se mettait à flotter dans les airs, les étoiles dansaient la polka, et un troupeau de canards interstellaires apparut pour applaudir en tournoyant. Puis, brusquement, le violon se transforma en fusée et Barnabé fut propulsé… sur une planète où les arbres étaient faits de glace à la vanille et où les habitants portaient des chaussettes en spaghetti. Les extraterrestres étaient ravis, les canards chantèrent l’hymne national du fromage fondu, et Barnabé comprit enfin une grande vérité : la musique pouvait faire apparaître des miracles, même les plus absurdes. Et depuis ce jour, Barnabé joue encore du violon… mais uniquement pour des extraterrestres à chaussettes spaghetti. Après son premier concert pour les extraterrestres à chaussettes spaghetti, Barnabé, l’éléphant violoniste, eut une idée brillante (ou folle, selon qui regarde) : organiser le plus grand concert intergalactique jamais imaginé. Il commença par envoyer des invitations à tous les êtres de l’univers. Les dauphins lunaires, qui glissaient sur des anneaux de Saturne comme sur des toboggans, acceptèrent immédiatement. Les arbres de glace à la vanille fournirent des baguettes géantes pour battre la mesure, et les canards interstellaires se portèrent volontaires comme choristes. Le jour J, le concert eut lieu sur une planète flottante en forme de donut cosmique. Barnabé dirigea l’orchestre avec sa trompe, jouant des solos de violon si puissants que les étoiles elles-mêmes scintillaient en rythme. Les dauphins lunaires s’élançaient dans les airs, exécutant des pirouettes, tandis que les extraterrestres à quatre bras jouaient des tambours faits de météorites fondantes. Soudain, un piano fait de nuages apparut et… se mit à flotter tout seul, jouant des notes invisibles qui transformaient chaque spectateur en un arc-en-ciel dansant. Même les comètes passantes se mirent à onduler en cadence, et Barnabé comprit que la musique pouvait littéralement faire vibrer l’univers. À la fin du concert, tout le monde applaudit en lançant des confettis de poussière d’étoiles. Barnabé s’inclina, heureux et fatigué, et déclara : « Si le monde n’est pas assez grand pour mes concerts, l’univers lui-même le sera ! » Et depuis ce jour, chaque fois qu’une étoile brille un peu plus fort dans le ciel, certains disent que c’est Barnabé qui joue un nouvel air… pour tous les habitants de l’espace.
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Prépare-toi à naviguer vers de nouvelles aventures. Comme un bon capitaine, tu sais toujours comment garder le cap même dans les tempêtes. Ta détermination et ton sens de l'humour sont tes meilleurs alliés. Surtout, n'oublie pas de savourer chaque moment. La vie est pleine de surprises et d'opportunités, et tu sais les saisir avec brio. Alors, lève l'ancre et laisse-toi porter par les vagues, le meilleur est encore à venir. Je te met au défis de me raconter des carabistouilles plus grosses que toi
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Il était une fois un chat qui voulait devenir horloger. Oui, un chat. Pas un horloger pour chatons, non, un horloger pour humains. Chaque matin, il se levait à six heures pile (ce qui, pour un chat, est en réalité très tard) et mettait son chapeau haut-de-forme pour inspecter les pendules du voisin. Un jour, il décida que les aiguilles des montres étaient trop lentes. Alors il entreprit de leur donner des chaussures de course. Les montres de la ville couraient partout, mais les gens continuaient à arriver en retard. Le chat haussa les épaules et dit : « C’est simple, il suffit d’enseigner aux secondes comment faire du skate. » Personne ne comprit, mais tout le monde applaudit parce que, après tout, c’était un chat en chapeau haut-de-forme. Et le chat, fier, ouvrit une école de skateboard pour secondes, et les horloges commencèrent à faire des pirouettes dans les salons. Depuis ce jour, si tu regardes une horloge, tu peux parfois voir une seconde faire un salto arrière… et le chat applaudit quelque part derrière son comptoir. Il était une fois un chat horloger. Oui, le même que tout à l’heure, celui avec le chapeau haut-de-forme. Mais cette fois, il avait un problème très sérieux : les horloges de la galaxie étaient en retard. Les planètes arrivaient à leurs rendez-vous cosmiques en décalé, et les étoiles râlaient dans le ciel. Alors le chat enfila son combinaison spatiale en laine, prit son skateboard intersidéral, et s’élança dans l’espace sur une comète qui faisait office de bus spatial. Il visita Mars, où les horloges faisaient la sieste, et leur donna des chaussettes pour qu’elles bougent mieux. Puis il passa par Saturne, où les anneaux étaient si lents qu’ils avaient besoin d’un peu de musique disco pour se réveiller. Le chat mit un vinyle sur la platine stellaire et les anneaux se mirent à danser la samba. Enfin, il arriva sur Pluton, où une horloge géante avait décidé de dormir pour l’éternité. Le chat, très sérieux, sortit son trombone magique et joua une mélodie qui fit bondir l’horloge de son sommeil. Mais l’horloge était un peu rebelle et décida de courir dans toutes les directions à la fois, entraînant les autres horloges de la galaxie dans une valse folle. Le chat, imperturbable, dit : « Parfait… tout est en retard, mais de façon parfaitement synchronisée. » Et depuis ce jour, si tu lèves les yeux vers le ciel et regardes les étoiles, tu peux parfois voir un chat en combi spatiale faire du skateboard sur une comète, en distribuant des chaussettes et des trombones aux horloges capricieuses de la galaxie. Il était une fois le chat horloger de l’espace, celui au chapeau haut-de-forme et au skateboard intersidéral. Après avoir mis un peu d’ordre dans les horloges des planètes, il se rendit compte d’un problème encore plus grave : certaines horloges avaient appris à parler. Et elles n’étaient pas polies. Sur Mercure, une horloge grincheuse disait à qui voulait l’entendre : « Je ne tourne plus ! Je fais la sieste depuis 3 000 ans ! » Le chat, imperturbable, sortit son trombone magique et joua une mélodie jazzy. L’horloge se mit à chantonner un rap intergalactique, mais à moitié en morse, ce qui faisait exploser les petites étoiles autour. Sur Jupiter, les planètes elles-mêmes avaient décidé de prendre le thé. Le thé, bien sûr, était servi par des comètes en tutu, et les anneaux de Saturne dansaient la valse avec les nuages de tempêtes. Le chat, toujours très sérieux, apporta ses chaussettes de skate pour planètes, afin qu’elles puissent glisser élégamment sur le parquet cosmique. Puis vint Pluton, où une horloge géante avait invité toutes les autres horloges à une fête surprise éternelle. Les aiguilles faisaient du hula-hoop, les secondes jouaient à cache-cache, et les minutes… eh bien, elles faisaient du yoga. Le chat monta sur son skateboard, fit trois saltos arrière et cria : « Parfait ! Tout est complètement désorganisé et ça, c’est exactement ce qu’il fallait ! » Mais le clou du spectacle fut quand une comète en costume de gentleman proposa au chat de prendre le thé… avec des étoiles filantes. Chaque gorgée faisait tomber une pluie de météores multicolores, et les horloges parlantes applaudissaient en rythme. Depuis ce jour, si tu lèves les yeux dans le ciel nocturne, tu peux parfois apercevoir : un chat en combi spatiale qui fait du skateboard sur une comète, des horloges qui chantent en morse, des planètes qui prennent le thé avec des nuages dansants, et des secondes qui font du yoga sur Saturne. Et si tu fermes les yeux très fort, tu peux presque entendre le chat murmurer : « Le temps est fou… et moi aussi. » Dans la galaxie du Temps Fou, le chat horloger interstellaire avait décidé que tout devait danser ensemble. Les horloges parlantes, les planètes en tutu, les comètes en costume de gentleman et même les météores multicolores se préparèrent pour la grande chorégraphie cosmique. Le chat, perché sur son skateboard qui roulait sur un arc-en-ciel spatial, leva sa patte et cria : « Que la valse des secondes commence ! » Alors, toutes les horloges se mirent à tournoyer comme des ballerines : les secondes faisaient des pirouettes, les minutes des arabesques, et les heures… eh bien, elles se suspendaient au plafond de l’espace en riant. Les planètes se mirent à tourner en duo avec des étoiles filantes, formant des cercles parfaits qui semblaient défier la gravité. Même Saturne prit un partenaire dans la nébuleuse voisine, et ses anneaux tournoyaient en rythme avec les battements d’un tambour cosmique. Les comètes, quant à elles, apportaient le thé… mais chaque tasse laissait échapper des pluies de météores sucrés, qui dansaient au rythme du jazz intergalactique du trombone magique du chat. Les constellations applaudissaient, et certaines étoiles décidèrent de descendre sur scène pour faire un duo de claquettes avec les horloges. Et là, le chat eut une idée folle : il sauta sur son skateboard et fit trois saltos arrière, touchant chaque horloge avec une patte. Soudain, toutes les horloges et toutes les planètes se mirent à flotter en synchronie, formant un gigantesque mandala lumineux tournant autour de lui. Les secondes faisaient des figures acrobatiques, les minutes faisaient des vagues, et les heures créaient des spirales hypnotiques. Au centre de ce chaos parfaitement orchestré, le chat déclara : « Le temps n’existe plus… et c’est merveilleux ! » Depuis ce jour, si tu lèves les yeux vers le ciel nocturne, tu peux parfois voir : des horloges volant en duo avec des étoiles filantes, des planètes dansant le tango avec des nuages de comètes, des météores sucrés tombant en rythme, et un chat en combi spatiale qui fait du skateboard sur un arc-en-ciel cosmique, orchestrant la plus folle chorégraphie de l’univers. Et si tu fermes les yeux très fort… tu pourrais presque entendre le chat murmurer, avec un sourire : « Dormir debout n’a jamais été aussi amusant. »
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Les pantoufles des retraités et des futurs retraités.
orangine a répondu à un(e) sujet de Popy dans Education et Famille
J'ai trouvé mon bonheur tut tut j'a r r i v e..... -
Ceci est une orangine Cette chanson est trop mignonne mercis pour le partage
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Les bons voisins ressemblent au bon vin : ils se chérissent d'autant plus qu'on ne les bois pas tous les jours. Les meilleurs voisins sont comme les grands vins: leur vertu est dans la mesure, non dans l'excès. Entre voisins comme entre bouteilles, la qualité se juge à l'art de ne verser jamais une goutte de trop
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J'aurais bien aimé l'avoir comme voisin celui là
