de ghoul

Pour les penseurs grecs comme Aristote, l’univers était composé de quatre éléments terrestres : la terre (le solide, la stabilité), l’eau (le fluide, le changement), l’air (le souffle, l’invisible proche), le feu (l’énergie, la transformation). Mais il manquait quelque chose pour expliquer le ciel. Les planètes, les étoiles, la Lune… ne pouvaient pas être faites de la même matière que nous, puisque, dans leur logique, elles ne se corrompent pas et semblent éternelles. D’où l’idée d’un cinquième élément, l’aither, ou quintessence, substance subtile, immuable, propre aux sphères célestes. La cosmologie moderne Aujourd’hui, la physique retrouve étrangement un écho : La matière ordinaire (atomes, planètes, étoiles) n’est que 5 % de l’univers. La matière noire (≈ 27 %) rend visibles les structures cosmiques : elle tient les galaxies ensemble comme une trame invisible. L’énergie sombre (≈ 68 %) agit comme une force de dilatation, poussant l’espace à s’étirer toujours plus vite, emportant les galaxies vers l’infini. Cette énergie sombre ressemble à une nouvelle quintessence : invisible, omniprésente, difficile à saisir, mais indispensable pour expliquer le mouvement du cosmos. Le pont entre les deux Pour les Grecs, la quintessence était le souffle éternel des astres. Pour nous, l’énergie sombre est la poussée mystérieuse de l’univers. Dans les deux cas, c’est une tentative d’expliquer ce qui dépasse nos sens : ce qui est là, partout, mais que nous ne pouvons pas toucher. On pourrait dire que les Grecs ont pressenti par intuition poétique ce que la science moderne démontre par équations et observations.

Nous avons parlé de la matière noire et l'énergie sombre, qui constitue 95% de l'Univers. Et qu'en est- il de ces 5%, qui reste, qui sont appelés dédaigneusement la matière ordinaire », comme si c’était insignifiant. Mais en réalité, c’est le 5 % qui rend tout le reste perceptible, habitable et pensable. Ce sont ces atomes qui forment les étoiles, les planètes, l’eau, l’air. La chimie qui permet aux molécules de s’assembler, puis à la biologie d’émerger. Et ces moustiques qui courent, s'arrêtent, s'endorment, se réveillent...puis refont la même chose , tous les jours la même chose. Comme le Soleil, la Lune ou les étoiles. Ils ont des yeux pour observer, des consciences pour réfléchir, des mains pour écrire, comme moi en cet instant. On pourrait presque dire que c’est « la pointe colorée d’un iceberg invisible » : petite quantitativement, mais qualitativement immense. Donc oui, numériquement, 5 % paraît peu, mais symboliquement et réellement c’est 100 % de notre expérience.

Vous pensez que le COVID était une mystification ? Je répondrais sur ce point puisque ce n'est pas le sujet. Pour la crise climatique, on retrouve la même logique de déni : les arguments contre n’ont aucune base scientifique. Soit on accuse les médias de manipuler, soit on prétend que “la Terre a toujours changé”. Dans les deux cas, cela ne répond pas au problème réel. Les données scientifiques sont solides et démontrent que le changement actuel est bien causé par l’activité humaine.

Salut G 6: Tu m'excuses mais Les deux mots se ressemblent, mais ils n’ont rien à voir entre eux, ils sont presque antinomiques. 1. Vulgarisation Moi j'essaie de faire de la vulgarisation dans mes postes scientifiques. Pour les rendre accessibles à tout le monde. Rendre simple avec des explications simples. Donc C’est un mot positif, associé au partage des connaissances. Mais Vulgaire, c'est qu'il vient lui aussi de vulgus, mais le sens a changé avec le temps. Aujourd’hui, ça veut dire banal, commun (un langage vulgaire = langage courant du peuple), soit grossier, indécent (parler vulgairement = parler de façon choquante, malpolie).

Exemple de réponse possible : La douleur que tu vis est lourd à porter et tu as le droit de te sentir perdu. Ta gentillesse et ta sincérité ne sont pas des faiblesses. Ce sont des forces que la bonne personne saura apprécier. Le fait que ton ex t’ait manipulé ne signifie pas que tu ne trouveras jamais quelqu’un de bien. Cela montre seulement que tu es tombé sur la mauvaise personne. Tu n’as pas besoin de tout régler d’un coup. Parfois, un petit pas suffit, comme en parler à une personne de confiance ou écrire ce que tu ressens. Et le fait que tu aies pensé à t'adresser au forum montre que tu veux changer et celui qui veux, peux. Nous sommes tous avec toi.

Elle provient de toute personne qui réfléchis

Sur ce qui nous préoccupe, le pauvre ne sortira sûrement pas de l'auberge

Voilà ce que j'ai dit: Et les énergies dites propres, qui ne renouvellent pas, dont le nucléaire qui émet très peu de CO2, mais il pose la question des déchets radioactifs.

Salut Répy: Je n'ai pas voulu rentrer dans les détails. En réalite, il existe des énergies renouvelables qui comme j'ai cité plus loin ne sont pas à 100 pour cent propres. Mais appelés propre, si ce n'est la Biomasse (bois, biogaz, biocarburants) à cause de la déforestation pour obtenir la biomasse). Donc son nom l'indique،l'énergie renouvelable، c'est celle qui se renouvelle. naturellement à l’échelle humaine (elles ne s’épuisent pas comme le pétrole ou le gaz). Ce sont: Solaire (photovoltaïque, thermique, concentré) Éolien (terrestre et offshore) Hydraulique (barrages, micro-hydraulique, marémotrice) Biomasse (bois, biogaz, biocarburants), non intermittente, contrairement aux autres. Géothermie (chaleur du sous-sol) Énergie des vagues et des courants marins Et les énergies dites propres, qui ne renouvellent pas, dont le nucléaire qui émet très peu de CO2, mais il pose la question des déchets radioactifs.

Et la 4 ème au monde par état

J'ai joint un tableau comparatif entre ces nation, 'Chine : ~9,4 t/hab États-Unis : ~14,0 t/hab Inde : ~2,1 t/hab Russie : ~14,4 t/hab Japon : ~7,6 t/hab La Russie est la plus pollueuse de la planète par habitant

Aucune énergie n’est 100 % "propre". Produire des panneaux solaires, des éoliennes ou des batteries demande des métaux rares, beaucoup d’énergie, et ça génère aussi de la pollution (extraction, transport, recyclage). Mais aucune comparaison entre par exemple pétrole ou le charbon, c’est trompeur. Les énergies fossiles continuent à polluer pendant toute leur utilisation (émissions de CO₂, particules, marées noires…), tandis que les renouvelables polluent surtout au moment de la fabrication et du recyclage. En gros : énergie renouvelable = pollution ponctuelle et limitée VS fossiles = pollution permanente et massive. -

On peut voir l’interstade de Bølling–Allerød comme le dernier grand geste de la nature avant de "clore" la longue glaciation : Pendant des dizaines de milliers d’années, la Terre a travaillé son immense toile de glace, de steppes glaciales et de vents froids. Puis, brusquement, elle a posé un coup de pinceau lumineux : la glace se retire, les forêts repoussent, les animaux reviennent, et les humains trouvent de nouvelles terres fertiles. C’est comme si la planète avait voulu donner une dernière touche de chaleur et de vie avant d’entrer dans la phase suivante (le Dryas récent puis l’Holocène, notre ère actuelle).

Salut à tous, Le nombre de ceux qui pensent que cette amitié est possible semble égal à ceux qui pensent le contraire. Mais une question demeure : où se situe réellement la frontière entre l’amour et l’amitié ? Est-ce un regard, une pensée, une complicité particulière qui fait basculer l’un vers l’autre ? L’attirance physique est-elle forcément le signe d’un amour naissant, ou peut-elle cohabiter avec une amitié sincère ? Et plus largement : La fidélité sexuelle existe-t-elle encore vraiment en Occident ? Est-elle vécue comme une valeur importante ou comme une contrainte dépassée ? L’amour doit-il toujours être exclusif, ou peut-il se conjuguer avec d’autres formes d’attachement, d’amitié profonde ou même de désir partagé ? Qu’en pensez-vous ? Où placez-vous, vous, la limite ? Est-ce que l’évolution des mentalités (réseaux sociaux, relations libres, nouvelles conceptions du couple) change votre vision des choses ?

Salut Pierrot, ceux que j'ai cités correspondent à ton souhait

De quelles variations climatiques tu parles

Résultats comparés (émissions annuelles de CO₂ par habitant en 2023) Chine : ~9,4 t/hab États-Unis : ~14,0 t/hab Inde : ~2,1 t/hab Russie : ~14,4 t/hab Japon : ~7,6 t/hab Pourquoi? -On voit que les États-Unis et la Russie ont une empreinte carbone par personne bien plus élevée que la Chine, malgré des émissions totales plus faibles. L’Inde, elle, a un poids énorme en émissions totales uniquement à cause de sa population gigantesque, mais chaque habitant émet très peu.

Émet peu ou pas de gaz à effet de serre (CO₂, méthane, etc.) lors de sa production et utilisation. Pollue peu l’environnement (air, eau, sols). Est renouvelable ou durable (c’est-à-dire qu’elle ne s’épuise pas rapidement). Les énergies: solaire, éolien...

Parlons un peu statistique: Pays qui polluent le plus (émissions totales de CO₂) D’après les données 2023 : Chine : environ 13,26 Gt CO₂ États-Unis : environ 4,68 Gt CO₂ Inde : environ 2,96 Gt CO₂ Russie : environ 2,07 Gt CO₂ Japon : environ 0,945 Gt CO₂ À peu près 24 Gt CO2 uniquement ces 5 pays, sur 40 Gt mondial. Ils représentent une part majeure des émissions globales. Malheureusement ils sont les plus puissants.

Oui, c’est contraignant — c’est même un changement profond — mais les rapports scientifiques montrent qu’un effort massif et rapide est nécessaire pour éviter des catastrophes climatiques plus graves. Les leviers : gain d’efficacité, électrification avec énergies renouvelables, réduction du trafic aérien, changements d’habitudes alimentaires, réduction du gaspillage, politiques publiques (taxe carbone, investissements, réglementation), et technologies d’élimination du CO₂ lorsque c’est indispensable. Moi je ne retiens qu'un seul mot ''Gaspillage ''

l’anticonformisme peut être créateur, libérateur, mais aussi risqué, car il dérange toujours l’ordre établi.

C un plaisir de lire la sagesse C'est mitigé, car il y a dérèglement et dérèglement.

Paroles nobles, et la noblesse ce n'est pas courant en ces temps, je te salue du salut militaire.

Salut Répy: Les grands cataclysmes (impact géant qui a contribué à la formation de la Lune, dérive des continents, intense volcanisme, glaciations, etc.) ont bel et bien façonné la Terre telle qu’on la connaît et créé les conditions où la vie, puis l’humain, ont pu apparaître et prospérer. Quelques exemples rapides : La dérive des continents a construit des montagnes, créé des océans et façonné les climats régionaux. Des impacts météoritiques et des épisodes volcaniques ont modifié l’atmosphère et les cycles géochimiques. Des transformations lentes (comme l’oxygénation de l’atmosphère) ont permis l’évolution d’organismes complexes. Mais il y a une différence cruciale : le temps et la vitesse des changements. Les bouleversements géologiques/opérationnels se déroulent sur des millions voire des centaines de millions d’années. Cela laisse du temps à la vie pour s’adapter, migrer ou évoluer. Ce que nous faisons aujourd’hui (émissions massives de CO₂, déforestation, pollution chimique, destruction d’habitats) change l’équilibre à l’échelle de dizaines d’années ou de quelques générations — beaucoup plus rapide que la plupart des changements naturels. Quand le rythme est trop rapide, les organismes et les sociétés humaines n’ont pas le temps de s’adapter : c’est précisément ce qui cause extinctions massives et crises sociales (migrations, famines, conflits). En clair : oui, les cataclysmes du passé ont rendu la Terre habitable — mais ça n’explique ni n’excuse notre passivité aujourd’hui. Nous héritons d’un monde façonné par des forces gigantesques, et nous avons la responsabilité (et la capacité technologique) de ne pas le transformer en un enfer pour nous-mêmes. Le fait que la Terre « survivra » n’enlève rien au fait que nos enfants, nos cultures et des millions d’espèces risquent d’en payer le prix si on continue à accélérer les perturbations.

Il n'y a pas mieux qu'une amie que je ne toucherai pas.