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mary.shostakov

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Tout ce qui a été posté par mary.shostakov

  1. ... ... ... Les États-Unis ont déjà tenté le coup. Ça s'est appelé «Guerre de sécession.» ... ... ...
  2. ... ... ... Ça peut donner de quoi être heureux pour ceux qui sont contents de voir la destruction totale de la démocratie par un imbécile. ... ... ...
  3. ce sont des traits imputables à tous ceux qui atteignent un très haut niveau de pouvoir. ... ... ... Liste de ceux qui ont atteint au cours d'un seul siècle le plus haut niveau de pouvoir du monde, accompagné d'un bon nombre de meurtres, parfois des records toute catégories d'assassinat de toutes sortes. Lénine, Staline, Htler, MaoTséToung, Mussolini, Franco, Salazar, PolPot, Pinochet. La démocratie ne se joue qu'à condition que le pouvoir des autorités supérieures ne soit jamais total, pour ne pas dire totalitaire. Sinon c'est le fascisme. En ayant la volonté de posséder tous les pouvoirs impossibles et inimaginables Trump déclare ouvertement son autoritarisme fasciste. ... ... ...
  4. ... ... ... Je surinterprète certainement le vote du sénat américain, dont la majorité est républicaine et que donc elle est tout ce qu'ill y a de plus pro-Trump et qui a voté quand-même contre les droits de douanes canadiens de Trump. Je surinterprète certainement l'avis des cultivateurs de Californiens et de Floride qui font faillite à cause de l'invendu total des cultures que le Canada leur achetait régulièrement avant qu'il ne réagisse à l'imposition des droits de douane de Trump en ne leur achetant plus un seul navet. Je surinterprète certainement l'avis des employés d'agence fédérale qui ont voté pour Trump et qui se trouvent aujourd'hui foutus à la porte par le même Trump et qui parlent de ça au micro de toutes les manifestations ayant lieu dans la totalité des 50 États américains. Je surinterprète certainement l'avis des hôteliers et restaurateurs américains qui accueillaient le million de Canadiens qui débarquaient chez eux pendant les six mois de l'hiver et qui voient aujourd'hui leur chiffre d'affaire chuter de 70 à 80 %, maintenant que plus un seul canadien ne va chez eux. Je surinterprète certainement l'avis des employés de l'industrie automobile américaine mis à pieds à cause d'une taxe douanière qu'ils doivent en réalité payer, eux, dès qu'ils veulent acheter une voiture américaine et qu'il n'achètent donc pas, ce qui fait baisser inconsidérément les ventes et le chiffre d'affaire de l'industrie automobile des USA. Je surinterprète certainement. Oui. Oui. C'est sûr. C'est sûr .. En attendant, Trump réitère la faillite dont il a l'habitude depuis qu'il tente de créer des affaires, sauf que cette fois-ci il ne s'agit pas de bouteille d'eau «de luxe» ou de fraude à l'université bidon. ... ... ...
  5. ... .... ... Ça n'est certainement pas du tout du matérialisme de l'avis du petit monde des métaphysiciens, platoniciens, cartésiens et autres théologiens, qui se fient tous à leur «bon sens» comme on se fie à la volonté de Dieu. ... ... ...
  6. ... ... ... Pour cerner Trump, il faut écouter et lire ce que dit de lui sa nièce, Mary Trump, diplômée universitaire de psychologie. Trump est un psychopathe au plus haut degré d'égoïsme, d'égocentrisme, de narcissisme et d'autolâtrie, «qualité» qu'on retrouve chez tous les fascistes. Trump est le parfait prototype du fasciste. ... ... ... ... ... ... Aujourd'hui, parmi les gens qui ont voté pour Trump, il y en de plus en plus qui le regrettent amèrement. ... ... ...
  7. ... ... ... La raison de ces taxes ainsi du licenciement de centaines et de milliers d'employés d'agence fédérale, c'est de combler le déficit record d'un budget affaibli par une réduction jamais vue des impôts et des taxes des millionnaires et milliardaires Américains. ... ... ...
  8. ... ... ... Comme si Trump ne faisait pas la guerre au Yemen. (pour faire plaisir à son client Arabe Saoudien) Avec en plus la stupidité d'un Trump et d'un Vance qui ne savent pas ce qu'est la sécurité du secret en cas de guerre. Tout le monde a eu l'occasion de savoir exactement la tactique de l'attaque américaine sur le Yemen ! La réalité du pacifisme de Trump, c'est qu'il sait parfaitement qu'il est trop con pour faire la guerre. ... ... ...
  9. ... ... ... Les faits, les voilà : ... ... ... Affaires réussies par Trump. Affaire immobilière héritée de son père, qui l'avait bien formé dans ce domaine, ce qui lui a servi pour développer ce secteur par la suite. Immeubles de luxe et terrains de golf avec complexe hôtelier (certains terrains de golf perdent de l'argent et vont tout droit à faillite). The Apprentice. Série de téléréalité dans lequel le but était de foutre les gens à la porte. «You're Fired» (t'es viré) en était le leitmotiv. Monétisation de son image de marque, «Trump», dont la valeur a chutée après son premier mandat et qui est aujourd'hui pratiquement égale à zéro. Affaires ratées par Trump. Trump Airlines (1988–1992). Achat d’Eastern Air Shuttle pour 365 millions de dollars. Forte dette. Mauvaise gestion. Échec retentissant. Trump Casinos (Atlantic City). Trump a investi lourdement dans plusieurs casinos : Trump Plaza, Trump Castle, Trump Taj Mahal. Résultats mitigés au début, puis échecs. Quatre dépôts de bilan entre 1991 et 2009. Très endetté, il en a perdu le contrôle. Trump University (2005–2010). Trump proposait des séminaires de formation en immobilier. Il a entraîné un règlement judiciaire qu'il a perdu pour cause de fraude. Trump Steaks (2007). Viande «haut de gamme» vendue via les magasins Sharper Image. Lancement très médiatisé mais échec complet et rapide. Trump Vodka (2006). Trump voulait concurrencer les grandes marques de vodka de luxe. Cette vodka ne s’est jamais bien vendue et sa production s'est ensuite très vite arrêtée. Trump Magazine. Revue de luxe qui a fait faillite. Trump Ice. Vente d'eau de source de luxe qui a fait faillite. Trump Mortgadge. Affaire de prêts immobilier qui a fait faillite. Trump shoes. Tentative de vente de chaussures de course qui a tellement faire rire que Trump a évité de la créer. ... ... ... On se demande si, à propos de Trump, faire dans le mystico positif en le résumant à un ange auréolé allant de réussite en réussite ça ne serait pas encore plus court. Il est vrai qu'avec les manifestations de joie partout dans les 50 États des USA, nous avons la preuve de la réussite sans précédent de cet imbécile. ... ... ... ... ... ...
  10. Oh c'est fort possible, vu sa facilité de mentir comme il respire ...
  11. ... ... ... Je ne sais pas si tu vas beaucoup les impressionner, les «saints patrons» de ma «réduction scientiste» ... ... ... ...
  12. ... ... ... Tout ça posé, voir ci-dessous mon «crédo», mon «catéchisme», mes «saints patrons», c'est-à-dire le résumé de mon intérêt d'un demi siècle à l'endroit d'une évolution des sciences du vivant en général et de l'humain en particulier. … … ... Voilà L’homme est un animal social, un animal politique et un animal moral. Est-ce à dire que la science, et plus particulièrement la biologie, peut nous éclairer sur la dimension de l'être et du devenir humaine ? On a longtemps pensé que non. C'est peut-être à partir de cette «exceptionnalité» que peuvent s'expliquer les retards de la psychologie humaine, trop longtemps engluée dans un rationalisme quasi-mystique. Mais les progrès en primatologie, génétique, neurobiologie et autres disciplines «chapeautées» par la théorie de l’évolution ont bouleversé la donne, et ont provoqué des changements de perspective en philosophie des sciences et épistémologie. Non seulement la biologie peut expliquer l’émergence humaine, mais elle a aussi son mot à dire sur le contenu de celle-ci. Une approche biologique de l'humain est-elle légitime ? Tout un courant de pensées anciennes a répondu à cette question par la négative. Le raisonnement «antinaturaliste» peut se simplifier ainsi : l’originalité humaine procède de la culture, qui est un détachement progressif de la nature. L’homme trouve son humanité dans un processus d’arrachement au déterminisme biologique, dont le libre-arbitre est la plus pure expression. L’homme n’a donc pas d’autre nature que celle qu’il se donne par ses constructions individuelles et sociales : il naît vierge de toute pré-programmation. Tout n’est que convention, artifice – tout sauf quelques données élémentaires qui intéressent tout au plus la physiologie, l’anatomie ou la médecine. Cette idée jadis populaire est fausse. On a redécouvert l’importance de la composante biologique des traits et comportements humains. Sous l’égide de la science, et non plus de la philosophie. Dès lors, l’antinaturalisme se trouve de plus en plus contesté par les scientifiques eux-mêmes, secondés de philosophes, et ce mouvement s'est accéléré depuis le dernier quart du XXe siècle. Le coup d’envoi symbolique de l’assaut contre la forteresse «antinaturaliste» a été donné en 1975, lorsque Edward O. Wilson fait paraître une œuvre monumentale : «Sociobiology, the New Synthesis». Ce chercheur américain provoque alors l’une des plus importantes controverses scientifiques du siècle passé. Il se fait le porte-parole de tout un courant de recherche né dans les années 1960, notamment avec Desmond Morris, visant à comprendre les bases biologiques des comportements sociaux et incluant l’homme dans le champ légitime de ses travaux. Trois vagues successives vont remettre au goût du jour les explications naturalistes de l'humain. Une première vague, née dans les années 1960, est un renouveau du darwinisme appelé néodarwinisme, dont les représentants les plus connus sont William Hamilton, George Williams, Richard Dawkins, Robert Trivers et Edward O. Wilson lui-même. Ces auteurs et d’autres opèrent trois révolutions intellectuelles. D’abord, ils postulent que le schéma darwinien de survie du plus apte (variation-sélection-adaptation) explique aussi bien les traits physiques que les comportements complexes (psychologiques notamment). Ensuite, ils considèrent que l’adaptation biologique (la «fitness» darwinienne) s’exerce au niveau de l’individu et non du groupe. Enfin, ils font l’hypothèse que la sélection différentielle se comprend quant à elle au niveau du gène, seule unité réellement transmise par l’hérédité. Appliqué (grossièrement) à notre sujet, le raisonnement néodarwinien donne ceci : l'humain a un comportement codé par des gènes et qui a été sélectionné au cours de l’évolution car il favorisait la survie des individus qui en étaient porteurs. Une deuxième vague, se développant à partir des années 1970, est issue de l’étude du comportement des animaux (l’éthologie) et plus particulièrement de l’analyse de nos plus proches cousins, les singes (la primatologie). Un certain nombre de chercheurs, dont les plus connus sont Frans de Waal, Jane Goodall ou Christopher Boehmv dans le monde anglo-saxon, Jacques Vauclair ou Dominique Lestel dans la francophonie, ont souligné la présence chez les animaux de comportements moraux ou proto-moraux dépassant le simple cadre de l’anecdote. Chez les grands singes notamment, observés à l’état sauvage ou en captivité, les interactions individuelles laissent place à des logiques d’empathie, d’altruisme et de réciprocité qui évoquent fortement ce que les humains qualifient de «morale». Ces observations suggèrent logiquement que cette dernière est issue de l’évolution biologique plus que d’une création culturelle humaine sui generis. Une troisième vague scientifique a contesté la position antinaturaliste à partir des années 1980. Celle-là est venue de la psychologie et des sciences du cerveau. Elle retrouve le darwinisme de la première vague sur certains points, mais s’intéresse d’abord aux explications neurophysiologiques et développementales de l'humain — comme l’ensemble des traits complexes de la cognition humaine : mémoire, intelligence ou langage. Ses représentants les plus connus sont Jean-Pierre Changeux, Antonio Damasio, Joseph LeDoux, John Tooby, Leda Cosmides ou encore Michael Gazzaniga et Robert Plomin. La question posée ici est : quelles sont les zones fonctionnelles du cerveau impliquées dans le jugement ? Et subsidiairement : en quoi cette neuro-anatomie nous aide-t-elle à comprendre les fondements de la pensée et de l’activité humaine ? Anthropologues, psychologues, généticiens, neurobiologistes, zoologistes… les travaux des auteurs que nous venons de citer sont de nature scientifique. Comment échappent-ils à la supposée «erreur naturaliste» de leurs prédécesseurs ? De plusieurs manières. D’abord, la critique de l’erreur naturaliste reposait elle-même sur un certain nombre d’erreurs, notamment une conception erronée de la nature humaine. À moins de défendre une position religieuse ou métaphysique, tous les faits à notre disposition laissent penser que l’homme procède de l’évolution biologique au même titre que toutes les autres espèces vivantes sur Terre. Tous les traits humains, sans exception, possèdent une base matérielle, moléculaire, cellulaire, qui influe sur leur expression. L’existence de cette influence n’est plus guère niée, même si sa nature exacte reste l’objet de l’investigation scientifique. … … ...
  13. ... ... ... C'est normal, il est vu par certains bigots comme le véritable, l'authentique, l'incontestable envoyé de Dieu sur la terre pour sauver l'Amérique. Lui-même croit hors de tout doute qu'il est cet envoyé de Dieu depuis qu'il a échappé de justesse à deux tentatives de meurtre. ... ... ...
  14. ... ... ... Tu mets le doigt sur le point exact qui m'a fait fuir de France après avoir tenté de fonder sans jamais aboutir une succursale de mon entreprise dans ce beau pays. ... ... ...
  15. ... ... ... L'irrationnel en tant qu'ignorance, c'est le carburant de toutes les idéologies théologiennes. La science n'a jamais eu pour objectif de tout savoir, mais elle n'a pas non plus pour vocation de dire n'importe quoi, contrairement à toutes les théologies du monde. ... ... ...
  16. ... ... ... Oh, je ne me considère pas comme un dirigeant, mais comme un patron qui a su organiser son travail en fonction de ses besoins et en faisant appel à des collègues sous-traitant plutôt qu'à des employés salariés, ce qui m'a permis une souplesse d'exécution phénoménale dans la gestion humaine et aussi dans la variation importante de la valeur des contrats et donc du travail à produire. Autrement dit, quand j'avais trop de travail et donc trop d'argent à encaisser je refilais mon surplus à d'autres, ce qui m'assurait d'être toujours au plafond de mes possibilités. Je n'avais aucune fiche de paie à produire ni de charges sociales à verser, je me contentais de payer les factures que mes sous-traitants m'envoyaient. Le plus gros travail administratif et fiscal c'était la gestion de l'équivalent de la TVA française (la TPS pour le fédéral + la TVQ pour le provincial), que je confiais d'ailleurs en sous-traitance également. Il faut dire que le système social canadien se prête à ce genre d'organisation, car les éléments sociaux que sont la santé et la retraite ne dépendent pas forcément des charges sociales versées par les directions et employés des grandes entreprises. Le système de santé est gratuit pour tout sujet vivant légalement sur le sol canadien et la retraite est assurée par une fiscalité versée auprès de caisses gouvernementales gérées en fonction des valeurs mobilières du système boursier international. (Je vais faire des jaloux, mais une partie de ma retraite canadienne actuelle est financée par le rendement d'entreprises françaises du CAC 40.) ... ... ...
  17. ... ... ... Je n'ai aucun problème à reconnaître mes erreurs. C'est un des fondements de la méthode scientifique. Sauf que Turkheimer fait une erreur lui aussi en ne comprenant rien aux travaux de Plomin. ... ... ...
  18. . Qui vivra verra, comme d'habitude ... .
  19. ... ... ... Dans tous les quartiers des plus grandes villes américaines des milliers de manifestations partout dans les 50 États. ... ... ...
  20. ... ... ... Je sais aussi que les nazis ont bénéficié à la fin de la guerre d'une substantielle aide des responsables religieux de l'Église apostolique et romaine en vue de les soustraire aux procès de Nuremberg et les envoyer se reposer en paix sur le territoire Sud-Américain comme qui dirait grâce à Dieu. ... ... ...
  21. ... ... ... il ne peut certainement pas avoir d'équivalent absolument, parfaitement, incontestablement les mêmes entre Hitler et Trump, néanmoins l'arrestation au faciès et à l'accent de latino-américains a lieu aujourd'hui-même avec déportation sans procès vers les prisons de Guantanamo et du Nicaragua, les pires du monde. ... ... ...
  22. ... ... ... Dans le Mein Kampf de Hitler on peu lire le passage suivant : « Le christianisme primitif, tel qu’il a été prêché par Paul, était en réalité un produit du judaïsme. Il a introduit dans le monde antique un poison dont l’effet a été de briser l’ordre établi et de miner les fondements de la civilisation gréco-romaine. C’est seulement lorsque le christianisme a été aryanisé par l’Église que l’Europe a pu en faire un instrument de grandeur. » ... ... ... Par ailleurs la boucle du ceinturon de l'armée hitlérienne portait l'inscription suivante pendant la deuxième guerre mondiale. «GOTT MIT UNS» (Dieu avec nous)
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