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mary.shostakov

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Tout ce qui a été posté par mary.shostakov

  1. ... ... ... Je ne vois pas que Doyle affirme que l'information permet à l'information d'aller plus vite que la lumière. «Sembler permettre» ne signifie pas «permettre». On peut voir le sens de «sembler permettre» comme celui de «donner l'illusion». Il dit d'ailleurs que cette propriété, qui semble permettre à l'information d'aller plus vite que la lumière (qui donne l'illusion que l'information va plus vite que la lumière), c'est la « non-localité » d'Albert Einstein. Or, Albert Einstein n'a jamais dit que l'information allait plus vite que la lumière. Sa relativité est d'ailleurs fondée sur cette négation, et c''est le sens de son syntagme «non localité». Il faut d'ailleurs savoir que Bob Doyle est un scientifique spécialisé en physique quantique qui sort de l'Université Harvard du Massachusetts. Je vais changer ma traduction pour lever le doute. À l'avenir le paragraphe consacré à l'indication quantique se lira comme suit : L'intrication des particules est un mystère de la physique quantique qui donne l'illusion que l'information va plus vite que la lumière sur de grandes distances. Cette propriété nommée « non-localité » a été découverte en 1905 par Albert Einstein. La physique de l'information montre que même de l'information sur des probabilités (ou des possibilités) émerge au même moment à des points séparés dans l'espace, une signal peut avoir lieu sans dépassement de la vitesse de la lumière, puisque ce qui est transmis n'est ni de la matière, ni de l'énergie. .
  2. ... ... ... Peux-tu me dire où tu vois ça de sa part (j'ai moi-même du mal à croire une telle chose...) .
  3. ... ... ... Et il ne s'agit que de l'introduction ! ... Pour en savoir plus, consulter le blog de Bob Doyle : https://www.informationphilosopher.com/about/ . ... ... ... Ce n'est pas moi qui entends cela, c'est Bob Doyle. Je ne suis que le traducteur de l'introduction à sa Nouvelle philosophie de l'information. Cela dit, Doyle exprime l'une des 14 interprétations de la physique quantique. Certaines interprétations partent du principe de la présence d'un observateur constatant l'effondrement de la fonction d'onde de la physique quantique Certaines autres interprétations partent du principe qu'aucun observateur n'est nécessaire et que la nature se débrouille seule pour fonctionner à l'échelle microscopique. (Je résume tant que je suis loin d'être sûr de me faire comprendre). Bob Doyle fait partie des défenseurs de l'absence d'observateur. C'est le sens de sa remarque «L'univers est son propre observateur». .
  4. ... ... ... PAPIER DE VERRE – Et Ginette, elle va bien ? – Ginette, ça y est, j'en suis débarrassé ! … – Quoi ? Elle est partie ? – Non ... Enfin, oui ... Elle est morte ... – Quoi !? … Elle est morte ? – Oui. Morte. – Ah ben ça alors! Et comment ça s'est passé ? – Euh ... Eh bien ... Je l'ai tuée. – Hein! Tu l'as tuée ? Qu'est-ce que tu m'racontes, là ? – Oui ... je l'ai tuée. – Allez! Arrête, va! Tu l'as tuée, tu l'as tuée ... On ne tue pas les gens comme ça. Oh ! – Je t'assure, je l'ai tuée, et si je te le dis sans problème, c'est qu'en la tuant, j'ai réussi le crime parfait. – Le crime parfait ? – Ouais, le crime parfait ... – Alors tu me dis que tu as tué ta femme, comme ça, là, et moi, je pourrais aller le dire à la police, et toi, là, tu me dis que tu as commis le crime parfait ! ... T'es pas maboul, un peu, des fois ? – Non, je ne suis pas maboul, parce que d'abord tu es mon meilleur copain et alors tu n'iras pas me dénoncer à la police et ensuite parce que même si tu savais comment j'ai fait, tu aurais beau le dire à qui tu voudrais, d'abord personne ne te croirait et ensuite y aurait pas moyen de prouver que Ginette a été assassinée. Alors pour qu'on trouve que je suis l'assassin, hein ... – C'est dingue, ce que tu me dis, là ... Et comment tu as fait ? – Rien de plus facile. Tu sais que Ginette est une maniaque de l'ordre ? – Oui, j'ai déjà remarqué. – Tu sais que si on déplace un seul objet de place dans la maison, elle pique une crise de nerfs ? – Oui, tu me l'as déjà dit. – Mais ce que tu ne sais pas, c'est que si on a déplacé le moindre objet d'un tout petit centième de millimètre, elle s'en aperçoit aussitôt. – Et alors ? – Et alors, c'est invivable. Ou plutôt, c'était invivable, parce que maintenant qu'elle est morte et enterrée, moi, je revis. Plus d'engueulades à cause d'un vase déplacé, plus de scène à cause d'un tableau un peu de travers, ou d'un livre pas tout à fait vertical dans la bibliothèque. Le calme, mon vieux. Le calme divin. – Ça ne me dit pas comment tu as fait pour la tuer ... Comment tu as fait ? – Eh bien, un jour, j'ai pris un morceau de papier de verre et je l'ai légèrement frotté sous l'un des pieds de sa chaise, dans la salle à manger. – ??? – Et alors le soir, quand elle s'est assise pour souper, elle a eu une sorte de crise d'angoisse, à cause de ça. – ??? ??? – Ouais, tu comprends, elle sentait que quelque chose avait changé dans la pièce, mais elle ne savait pas quoi. Le pied de la chaise était assez raccourci pour qu'elle sente qu'il y avait quelque chose de changé et qu'elle en ressente de l'inconfort, mais pas assez pour qu'elle puisse se rendre compte de quoi ça venait ... – Et après ? – Eh bien après, le lendemain, j'ai passé encore une fois le papier de verre sous le pied de sa chaise, très légèrement, comme ça, pffuit, et le soir, elle a eu une crise d'anxiété épouvantable. Elle n'en a pas dormi de la nuit. Pour te dire ! ... – Quoi, c'est comme ça que tu l'as eu, en raccourcissant les pieds de sa chaise ? Tu veux rire, non ? – Pas du tout, mon vieux! Tu ne sais pas à quel point ça l'a perturbée ! Au bout d'une seule semaine de ce traitement à coup de tout petits coups de papier de verre sous les pieds de sa chaise, elle a eu une crise d'asthme, puis de l'urticaire aggravée d'une allergie éruptive. La deuxième semaine, elle a eu la première crise cardiaque de sa vie. J'ai dû appeler l'ambulance pour qu'on l'amène à l’hôpital, où ils ont tenté de la sauver avec des tas et des tas de machins et de machines à ranimer les gens dans le coma et tout le tralala. Et elle morte quand même. Ouf !... – T'es léger, quand même, de dire « ouf », comme ça, toi ! – N'y fais pas attention. Ginette est morte et c'est ça qui compte. – Tu me laisses vraiment rêveur, avec ta Ginette... – Je vois bien, oui. Qu'est-ce que t'as à me regarder comme ça ? – Je te regarde comme ça parce que tu me fais penser à quelque chose, tout à coup. – Je te fais penser à quoi ? – Je voulais te demander ... – Quoi ? – Du papier de verre, y t'en reste ?… .
  5. … … ... En hommage à Agatha Christie et à Alfred Hitchcock … … .. PAPIER DE VERRE – Et Paulette, elle va bien ? – Paulette, ça y est, j'en suis débarrassé ! … – Quoi ? Elle est partie ? – Non ... Enfin, oui ... Elle est morte ... – Quoi !? … Elle est morte ? – Oui. Morte. – Ah ben ça alors! Et comment ça s'est passé ? – Euh ... Eh bien ... Je l'ai tuée. – Hein! Tu l'as tuée ? Qu'est-ce que tu m'racontes, là ? – Oui ... je l'ai tuée. – Allez! Arrête, va! Tu l'as tuée, tu l'as tuée ... On ne tue pas les gens comme ça. Oh ! – Je t'assure, je l'ai tuée, et si je te le dis sans problème, c'est qu'en la tuant, j'ai réussi le crime parfait. – Le crime parfait ? – Ouais, le crime parfait ... – Alors tu me dis que tu as tué ta femme, comme ça, là, et moi, je pourrais aller le dire à la police, et toi, là, tu me dis que tu as commis le crime parfait ! ... T'es pas maboul, un peu, des fois ? – Non, je ne suis pas maboul, parce que d'abord tu es mon meilleur copain et alors tu n'iras pas me dénoncer à la police et ensuite parce que même si tu savais comment j'ai fait, tu aurais beau le dire à qui tu voudrais, d'abord personne ne te croirait et ensuite y aurait pas moyen de prouver que Paulette a été assassinée. Alors pour qu'on trouve que je suis l'assassin, hein ... – C'est dingue, ce que tu me dis, là ... Et comment tu as fait ? – Rien de plus facile. Tu sais que Paulette est une maniaque de l'ordre ? – Oui, j'ai déjà remarqué. – Tu sais que si on déplace un seul objet de place dans la maison, elle pique une crise de nerfs ? – Oui, tu me l'as déjà dit. – Mais ce que tu ne sais pas, c'est que si on a déplacé le moindre objet d'un tout petit centième de millimètre, elle s'en aperçoit aussitôt. – Et alors ? – Et alors, c'est invivable. Ou plutôt, c'était invivable, parce que maintenant qu'elle est morte et enterrée, moi, je revis. Plus d'engueulades à cause d'un vase déplacé, plus de scène à cause d'un tableau un peu de travers, ou d'un livre pas tout à fait vertical dans la bibliothèque. Le calme, mon vieux. Le calme divin. – Ça ne me dit pas comment tu as fait pour la tuer ... Comment tu as fait ? – Eh bien, un jour, j'ai pris un morceau de papier de verre et je l'ai légèrement frotté sous l'un des pieds de sa chaise, dans la salle à manger. – ??? – Et alors le soir, quand elle s'est assise pour souper, elle a eu une sorte de crise d'angoisse, à cause de ça. – ??? ??? – Ouais, tu comprends, elle sentait que quelque chose avait changé dans la pièce, mais elle ne savait pas quoi. Le pied de la chaise était assez raccourci pour qu'elle sente qu'il y avait quelque chose de changé et qu'elle en ressente de l'inconfort, mais pas assez pour qu'elle puisse se rendre compte de quoi ça venait ... – Et après ? – Eh bien après, le lendemain, j'ai passé encore une fois le papier de verre sous le pied de sa chaise, très légèrement, comme ça, pffuit, et le soir, elle a eu une crise d'anxiété épouvantable. Elle n'en a pas dormi de la nuit. Pour te dire ! ... – Quoi, c'est comme ça que tu l'as eu, en raccourcissant les pieds de sa chaise ? Tu veux rire, non ? – Pas du tout, mon vieux! Tu ne sais pas à quel point ça l'a perturbée ! Au bout d'une seule semaine de ce traitement à coup de tout petits coups de papier de verre sous les pieds de sa chaise, elle a eu une crise d'asthme, puis de l'urticaire aggravée d'une allergie éruptive. La deuxième semaine, elle a eu la première crise cardiaque de sa vie. J'ai dû appeler l'ambulance pour qu'on l'amène à l’hôpital, où ils ont tenté de la sauver avec des tas et des tas de machins et de machines à ranimer les gens dans le coma et tout le tralala. Et elle morte quand même. Ouf !... – T'es léger, quand même, de dire « ouf », comme ça, toi ! – N'y fais pas attention. Paulette est morte et c'est ça qui compte. – Tu me laisses vraiment rêveur, avec ta Paulette... – Je vois bien, oui. Qu'est-ce que t'as à me regarder comme ça ? – Je te regarde comme ça parce que tu me fais penser à quelque chose, tout à coup. – Je te fais penser à quoi ? – Je voulais te demander ... – Quoi ? – Du papier de verre, y t'en reste ?… .
  6. ... ... ... Petite remarque : J'ai changé son nom, mais pas son prénom. Marie-Madeleine a réellement existé tel que je le dis de A à Z. ... ... ...
  7. ... ... ... MARIE-MADELEINE C'était au début des années 2000. Google commençait à faire des ravages dans le secteur des moteurs de recherche, et l'idée de chercher à savoir ce qu'était devenue Marie-Madeleine me vint tout à coup à l'esprit. Je taperais son nom et je verrais bien ce que ça donnerait. Marie-Madeleine, quand j'avais sept ans, je la connaissais déjà depuis toujours. Elle avait sept ans aussi... Les jours de chaleur, en été, nous faisions voguer des petits bateaux en papier dans la rigole de la rue que le cantonnier inondait pour la nettoyer au balai de broussailles. Oh, il y a longtemps... Nous grandissions en même temps, presque toujours ensemble. Nous étions voisins. Nous nous échangions des images d'animaux trouvées dans les emballages de tablette de chocolat. Ou des timbres. Ou des capsules de bouteilles. À la plage, nous bâtissions des châteaux ou sculptions des poissons dans le sable mouillé. Les heures passaient sans que nous ne nous rendions compte que c'était des semaines, des mois et des années qui lentement s'additionnaient. Huit ans. Neuf ans. Dix ans. Encore enfants tous les deux, nous allions aux rampes de mise à l'eau des barques du petit port pour lancer des galets en ricochets sur l'eau. Nos jeux se complexifiaient peu à peu. Ça a été la pêche à la ligne, puis la gymnastique aux agrès de la plage. Et puis aussi la lecture. Notre tout premier livre, à elle comme à moi, ça a été Don Quichotte, le doigt sur la ligne, suivant en même temps le récit, en lisant à voix haute et en éclatant de rire aux mêmes passages, le saladier-chapeau, Sancho balancé en l'air, etc. Onze ans. Douze ans. Treize ans. Dans la fenêtre de Google, je tapai « Marie-Madeleine Bianquis » et appuyai sur Enter. Je ne sais plus si je fus surpris ou si ne le fus pas. Je sais simplement que son nom m'est apparu immédiatement, en haut de la liste, en bleu, et que j'ai cliqué dessus. Nos jeux se complexifiaient. Un jour, le hasard a voulu que nous nous retrouvions seuls chez elle un après-midi de chaleur. Comment tout s'est enchaîné alors, je ne saurais pas l'expliquer. Nous ne savions rien ni l'un ni l'autre de ce qui nous arrivait et qui nous prenait par surprise elle et moi. Tout s'est enchaîné sans que nous n'ayons un seul instant l'impression de pouvoir y faire quoi que ce soit. L'instinct le plus sauvage nous est carrément tombé sur le corps. Un vertige. Un firmament. Un gouffre. Un ouragan bienheureux. Des myriades d'étoiles au fond des yeux. Mon ordinateur n'était pas très rapide. Un texte s'est affiché lentement. Au bout de deux ou trois secondes, j'ai vu qu'il y était bien question de ma Marie-Madeleine à moi. Une minuscule image est apparue tout en bas du texte. Je ne voyais pas ce que c'était. La flèche de ma souris s'est transformée en main quand je l'ai placée dessus... J'ai cliqué. Nous avons eu par la suite quelques fois le même vertige et vu les mêmes étoiles, mais Marie-Madeleine m'a dit un jour que c'était trop dangereux pour elle. Les jeunes filles étaient plus instruites de la vie, plus conscientes des dangers que les jeunes garçons. À cette époque, la pilule n'existait pas. Les préservatifs étaient introuvables. L'avortement était extrêmement dangereux. Le risque était trop grand pour celles qui avaient « fauté », comme on disait à cette époque. Pour une « fille-mère », comme on disait aussi, c'était l'enfer assuré toute la vie. La morale bien pensante régnait de façon tyrannique sur les corps et les esprits. Nous sommes donc passés aux caresses, à la tendresse et à l'amitié la plus pure qui ait existé de mémoire d'amour courtois. Mais un jour, nous avions à peu près quinze ans, les adultes sont tous devenus fous. Il a fallu fuir. Elle a suivi ses parents. J'ai suivi les miens. Nous ne nous sommes plus jamais revus... Une photo se construisit lentement sur mon écran. D'abord les boucles de ses cheveux. Puis l'arc de ses sourcils. L'arrondi de ses oreilles. La limpidité de ses yeux. Le galbe de son nez. Le sourire de sa bouche. Un peu de son épaule. Et sa gorge devinée. Comme une aube, une aurore, un rayonnement, un soleil. Une douceur infinie. Sous la photo, son nom. Marie-Madeleine Bianquis (†) Et, à côté, entre parenthèse, un poignard... . ... ... ... Je l'ai vu régulièrement pendant longtemps, toujours le 24 décembre au soir ... ... ... ...
  8. ... ... ... SOS SUICIDE Toc-toc-toc... Oui! Qui c'est ? C'est SOS suicide. Qui ? SOS suicide. Ha, oui. J'arrive, j'arrive... Bonjour messieurs. Entrez, entrez. Bonjour monsieur. Bonjour monsieur. Eh bien messieurs je suis vraiment content de vous voir, vraiment... Je vous offre quelque chose? Un petit café? Non, merci. Non, merci. Une bière? Euh, non, merci, non... Nous ne resterons pas longtemps. Non, merci, sans façon. Et qu'est-ce qui vous amène chez moi, messieurs ? Nous venons pour vous aider... Ah d'accord! C'est bien, ça! Ah c'est très bien. Nous voulons savoir si vous êtes encore aussi désespéré que tout à l'heure au téléphone ou si votre moral va mieux. Nous sommes venus pour vous venir en aide au cas où vous en auriez besoin. Ah, je vois. C'est une sorte de secours psychologique que vous venez m'apporter, quoi ? Euh... Oui, c'est ça, un secours psychologique. Vous voulez me remonter le moral, en somme ? Oui et non, parce que vous avez l'air bien, comme ça, à première vue, mais tout à l'heure, au téléphone, vous aviez l'air désespéré. C'est bien vous qui nous avez appelés il y a une heure pour nous dire que vous vouliez vous suicider, oui ou non ? Oui, c'est bien moi ! Mais il y a une heure, oui, j'étais dégoûté de tout. Vraiment. J'étais au bout du rouleau. Carrément. Alors je vous ai appelé. Mais après cinq minutes, je me suis senti mieux. C'est le fait de vous parler, je crois. Je n'étais pas si désespéré que ça, en fin de compte. C'était l'effet de je ne sais pas quoi. Trop de café, peut-être. Ou trop de bière. Ou alors pas assez. Je n'en sais rien. Mais ça m'a passé maintenant, et je suis content de vous voir! Merci, messieurs. Merci mille fois! Alors vous ne voulez plus vous suicider? Ah non! Et voilà... ça recommence! ... Quoi, ça recommence? C'est quoi qui recommence? On fait tout pour secourir les gens, et voilà... Quoi, voilà? C'est toujours pareil... Ah j'te jure... On n'a vraiment pas de chance, tu sais... Qu'est-ce que vous voulez dire, là, que vous n'avez pas de chance, que ça recommence ? Je vous en prie, monsieur, n'en rajoutez pas, nous avons assez de soucis comme ça... Qu'est-ce que vous racontez? J'comprend pas... Monsieur, je vous en prie, ne nous compliquez pas la tâche inutilement. Vous nous avez demandé de l'aide, alors nous vous apportons de l'aide. Restez tranquille. Hé! Ho! Qu'est-ce que c'est que ce revolver? Vous êtes fous ou quoi? Qu'est-ce que vous foutez? J'le tiens, vas-y! Lâchez-moaaaaa! Arrêteeeeeez! Au secours ! Au secououours! PAN ! Aaaaaaaaah!... Ahhh!... Au secououours! Hé, tu lui as troué l'oreille pas plus, vise bien la tête, vise bien. Au se PAN ! PAN ! PAN ! arrrhhhhh ... Ah! C'est bon, il a son compte, là! Ça va!... ♪ au clair de la lune ♫ mon ami pierrot ♪ au clair de la lune ♫ mon a... On m'appelle sur mon portable, attends, je réponds... ♪ clair de la lune ♫ mon ami... SOS suicide, j'écoute... ... ... ... Tentative (entre autres) de rendre service à des acteurs de théâtre en mettant en évidence en couleur la partie de chacun, pour leur éviter de le faire avec des marqueurs comme ils le font souvent en catastrophe juste avant les répétitions. .
  9. ... ... ... Inspiré de l'«Étranger» ... ... ... LE PAUMÉ DE HOUSTON Le juge, je voyais bien qu'il ne comprenait rien à ce que je lui disais. J'avais beau lui expliquer. Il n'entendait rien. Une face de mur, il avait J'avais beau lui dire « La route était glissante », il ne comprenait pas. J'avais beau lui dire « Il y avait comme de l'huile par terre », il n'entendait rien. « Quand la petite fille a traversé, j'ai freiné. De toutes mes forces j'ai freiné », je lui ai dit. « Mais j'ai glissé. Et paaf la petite. Elle a volé par-dessus le capot et son crâne a éclaté sur le pare-brise. Alors moi, avec toute cette cervelle étalée sur la vitre, je n'y voyais plus rien, Monsieur le juge. Alors, j'ai mis en marche les essuie-glaces. Et sa petite main qui faisait “au revoir, au revoir”... ». Les aiguilles de l'horloge du tribunal ont tourné et le juge m'a tapé sur le tympan : « Vous êtes condamné à mort » d'un coup de marteau sur la table. Je lui ai répondu « Vous aussi, Monsieur le juge, vous êtes condamné à mort.» C'est drôle, les yeux qu'il a fait. . .
  10. ... ... ... Que je perde ou gagne les concours de zboub ne m'intéressent pas Sur ce fil de discussion il est question de science et de rien d'autre. .
  11. ... ... ... Les concours de zboub ne m'intéressent pas. ... ... ... Cela dit, à ta question : Les lois de la physique sont elles les même partout ? Claude 3.7 sonnet répond comme suit : Les lois de la physique sont considérées comme universelles, c'est-à-dire qu'elles sont les mêmes partout dans l'univers observable. C'est un principe fondamental de la physique moderne. Cette universalité signifie que: Les mêmes équations régissent les phénomènes physiques, que ce soit sur Terre ou dans une galaxie lointaine Les constantes fondamentales (comme la vitesse de la lumière, la constante gravitationnelle, la constante de Planck) ont les mêmes valeurs partout Les principes de conservation (énergie, quantité de mouvement, etc.) s'appliquent de manière uniforme Cependant, cette question a des nuances importantes: Certaines théories cosmologiques suggèrent que les constantes fondamentales pourraient varier légèrement sur des échelles de temps ou d'espace extrêmement grandes, mais les observations actuelles n'ont pas confirmé de telles variations de façon concluante. La relativité générale nous apprend que l'espace-temps est courbé par la matière et l'énergie, ce qui fait que les lois physiques s'expriment différemment selon le référentiel, mais les équations fondamentales restent les mêmes. Cette universalité des lois physiques est l'une des raisons pour lesquelles nous pouvons étudier des objets célestes lointains et appliquer notre compréhension de la physique pour interpréter ce que nous observons. Tu continue ensuite comme suit : Les lois physiques sont établie à partir des conditions de standard, or ces conditions standard ne sont pas les même pour un français et pour un népalais (haute altitude), par exemple, ce qui fait qu'il n'auront pas la même physique, tu comprends ? Ce à quoi Claude 3.7 sonnet précise à ton attention personnelle un point d'une importance capitale : Je comprends votre point, mais il y a une distinction importante à faire. Les conditions standard (température, pression, etc.) sont des références de mesure, pas les lois physiques elles-mêmes. Les lois fondamentales de la physique (gravitation, électromagnétisme, etc.) sont invariantes. Ce qui change avec l'altitude ou d'autres conditions, ce sont les manifestations de ces lois. La suite de ton propos se résume à une incompréhension de ta part au sujet des manifestations des lois. .
  12. ... ... ... Tu commets l'erreur de ne pas avoir compris Claude 3.7 sonnet. ... ... ...
  13. ... ... ... Note du bas de chaque page de l'intelligence artificielle dont je me sers régulièrement : ChatGPT peut faire des erreurs. Vérifiez les informations importantes. ... ... ...
  14. ... ... ... Question : Les lois de la physique enseignées dans les université du Népal sont-elles différentes que celles enseignées dans les universités de France ? ... ... ...
  15. ... ... ... Au moyen âge, les juges étaient sous les ordres des nobles de droit divin. Ça a été l'alliance sacrée du sabre et du goupillon pendant des siècles. .
  16. ... ... ... ... ... ... Pour relancer la discussion autour du bienfait de la pensée matérialiste scientifique et athée face à la croyance POLITIQUE en Dieu. ... ... ...
  17. ... ... ... Tu consulteras sans doute avec intérêt : Pour en finir avec Dieu (2008, trad. Jean-Baptiste Grasset) L’un de ses livres les plus connus, où Dawkins consacre un chapitre entier (« La religion et les enfants ») à la critique de l’endoctrinement religieux dès le plus jeune âge. Sortir de Dieu (2020, trad. Guillaume Villeneuve) Conçu pour les adolescents et jeunes adultes. Il y encourage la réflexion indépendante sur les croyances religieuses, dans un style accessible.. .
  18. ... ... ... Ce que tu développes ainsi fort à propos, c'est ce qu'affirme le biologiste et philosophe Richard Dawkins dans ses nombreuses campagnes et conférences contre toutes les religions. Dawkins est un genre de «croisé» intellectuel et athée. Il vaut le détour. .
  19. ... ... .... Un tel individu peut faire ce qu'il veut de sa croyance s'il ne joue pas à l'intrusion spiritualiste en science et s'il ne se mêle jamais d'une politique démocratique qui se respecte. .
  20. ... ... ... Pour rester en vie, je préfèrerais la médecine. .
  21. ... ... ... La foi est l'habit sacerdotal de la crédulité. .
  22. ... ... ... Le matérialisme scientifique et athée n'a jamais eu pour vocation de tous savoir du monde, mais il n'a pas non plus la volonté de dire n'importe quoi. Par contre, en s'appuyant sur ce que ne sait pas le matérialisme scientifique et athée, l'idéalisme de la croyance en Dieu ou en Allah appuie son argument sur une ignorance SELON LA SCIENCE. Or, la science a déjà bien décortiquée la psychologie de la CRÉATION DE DIEU ET D'ALLAH PAR L'HOMME. En conclusion, l'idéalisme de la croyance en Dieu ou en Allah appuie son argument sur deux ignorances, celle de la science et celle des travaux de la science sur la question de Dieu et d'Allah. La science est le premier ennemi des religions par leur volonté de curiosité conduisant au savoir. Car depuis des milliers d'années les religions s'appuient fortement sur l'ignorance. .
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