Bourrdouga

Une bonne lecture, la mémo en option.. Y a de quoi noter ! https://paris-luttes.info/la-haine-anti-arabe-et-le-19039

L'Orgie Capitaliste - Marc Dugain C'est plutôt un livre de Sociologie, mais que peut avoir intérêt Philosophique sur l'avenir.

Bonsoir, J'ai ma petite idée, Le Sionism...

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 72/100 Mon temps 95 secondes  

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 60/100 Mon temps 100 secondes  

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 60/100 Mon temps 100 secondes  

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 45/100 Mon temps 114 secondes  

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 45/100 Mon temps 114 secondes  

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 45/100 Mon temps 114 secondes  

Peut-être pas dans son exactitude, mais la mémoire personnelle est liée à celle de nos ancêtres, qui eux-mêmes sont connectés à la mémoire collective du patrimoine. Certains événements de notre évolution personnelle peuvent réveiller une mémoire qui ne provient pas directement de notre propre existence. C’est dans l’inconscient de chaque être que s’ancrent certaines réactions héritées du vécu ancestral. La transmission intergénérationnelle des traumatismes, qui montre que certains vécus ancestraux peuvent influencer notre mémoire et notre comportement. Comme L’inconscient collectif de (Carl Jung). Après, j'ai peut-être mal compris ce que vous vouliez exprimer !

La vie a une fin. Pour nous, c’est une disparition, pour elle, une transformation. Mais à travers elle, de nombreux chemins se dessinent, chacun portant une part de son essence. Certains cherchent à assurer l’éternité de l’espèce, d’autres y croient, et certains n’attendent rien. L’éducation, la survie, l’harmonie... Autrefois instinctives, ces notions semblent aujourd’hui s’enliser dans la complexité de notre propre intellect. À force de rationaliser, n’avons-nous pas rendu absurde ce qui était autrefois essentiel ? Sommes-nous devenus les héritiers des sociétés pharaoniques, bâtissant des constructions grandioses mais éphémères, oubliant que, face à l’univers ou pour ma part, le Créateur, elles ne sont rien ? Finalement, le sens de la vie reste une question sans réponse définitive. Tant qu’elle existe, nous continuerons à nous interroger, pour ma part, c'est de vivre en paix, travailler, aimer, m'instruire, échanger, prier par gratitude d'exister malgré les méfaits de l'espèce, et mourir en paix. ''La simplicité est la sophistication suprême'' - Léonard de Vinci

On peut voir le péché comme la religion définit ou comme ses synonymes FAUTE, CRIME, MANQUEMENT, et TRANSGRESSION. De mon point de vue, je ne cherche pas l'éternité en tant que notion, mais la gratitude en tant que existence. Si je suit ton raisonnement, alors peut-être sommes nous simplement un cycle d’espèces reproduisant les mêmes schémas sur chaque planète où nous posons le pied. Mais si l’univers est destiné à s’éteindre, cela signifie qu’il s’est déjà allumé une première fois… ou peut-être même plusieurs fois. Une extinction suppose une naissance, et si ce cycle s’est produit une fois, qu’est-ce qui empêcherait qu’il se répète encore et encore ? L’éphémère n’est-il pas, en lui-même, la preuve qu’il y a eu une origine et peut-être une continuité que nous ne percevons pas encore ? Ce que tu perçois comme des créations de valeurs du temps, je les vois plutôt comme des découvertes issues de la recherche et de la réflexion. Cette étape était nécessaire pour en arriver là où nous sommes aujourd’hui : comprendre, organiser, évoluer dans nos déplacements, nous accorder aux saisons… Ces notions ne sont pas de simples constructions arbitraires, mais des repères qui nous permettent d’exister en harmonie avec notre environnement et d’anticiper l’avenir, aussi incertain soit-il.

L’oubli a un prix dans la mesure où il efface ce qui a compté, ce qui a existé, ce qui a construit. Il est une perte non mesurable, mais ressentie. La vie n’a pas de prix, c’est vrai, car elle est au-delà de toute évaluation humaine. Mais l’oubli en a un, non pas en chiffres, mais en conséquences. ''Ne commettons pas le péché commun d’oublier ce que nous laissons derrière nous pour le lendemain.'' C'est naturellement dans notre patrimoine génétique, la mémoire !

La Sagesse c'est le secret de l'équilibre entre les émotions et la logique, donc a mon avis une personne vraiment sage, ne s'emporte pas mais ne s'en fiche pas non plus. Donc elle permet de vivre heureux tout comme ceux qui en possèdent pas non plus. Ne pas vivre heureux, c'est peut-être un manque de sagesse, mais seul un(e) sage pourrait répondre a cela.

Quel gâchis de vendre mon âme Pour un billet qui n’a pas d’âme. L’argent ne tombe pas du ciel, Mais l’homme s’y accroche comme à l’éternel. L’existence est un don gravé, Bien au-delà des chiffres comptés. Je reviens à mon un et rien, Un seul suffit pour faire le tout. À la Bhāskara, d’un à l’autre, Dans nos écrits brille une Baraka. De Brahmagupta, d’un zéro à la vie, Un don sacré, un souffle infini. Mais pourquoi se sentir concerné ? Pourquoi voir au-delà du papier ? Suis-je ce que je suis né ? Ou suis-je ce que l’on m’a dicté ?