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AdrienMaths

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Tout ce qui a été posté par AdrienMaths

  1. Qui ligotterait l'univers serait l'univers lui-même. On peut tirer les conséquences du fait que l'univers ultime se définit sans arrière plan : par exemple, que le but de l'univers n'est pas simplement ça ! Votre erreur de mon point de vue est (par exemple) de croire en Descartes, et ensuite de poser que Lim(Extérieur) = Esprit. Alors que la vraie identité est le couplage : M = Extérieur | Esprit (comme développé par Langan). Ou encore, parce que vous appliquez magiquement vos lois scientifiques sur un tableau, alors il n'y a aucun lien entre ces dernières et le monde. Ce ne sont que des modèles de ces lois par notre esprit. Mais avec le médium d'info-cognition du CTMU, les lois vivent dans les objets, ce qui justifie qu'elles s'appliquent à ces objets. Vous croyez mentalement et "arbitrairement" en le temps allant du passé vers le futur, ce qui n'est pas établit comme étant la causalité du monde. Vous appliquez un schéma mental pour vous humilier intellectuellement, cosmiquement et biologiquement, c'est peut être vous le chrétien que critique Nietzsche finalement Votre arrière monde de votre petitesse epistémologique vous sert de violence psychologique interne. Plutôt qu'avoir honte de sa bestialité et d'être fier de soi cosmiquement, le "nouvel homme" a honte de lui cosmiquement et se flagelle des milliards d'années sans lui. Mais l'air du temps est qu'il va dans les deux sens cher ami. Alors cessons de nous penser si bas, après tout, nous sommes en Dieu, qui est l'opposé de la bassesse et nous ne sommes pas ses moindres outils de créations. Ce n'est pas des distances astronomiques qui me feront peur, moi qui définit le nombre 0.5 avec +infini. Un petit isomorphisme, un léger changement de distance, et la terre regagne une place digne de Dieu. Vous voulez dire que le Verbe aurait eu besoin de s'incarner pour être Verbe ? Car sinon il aurait été simplement "dit" ? Et oui, c'est ce que je dis en disant que le Verbe s'est fait chair, mais vous n'écoutiez pas. Vous ne réalisez pas, je crois, l'innovation qui a été faite sur vos conceptions. Toutes les lois physiques sont du Verbe qui précède la matière et s'incarne en-elle. Les lois physiques sont du Verbe qui précède chaque prochain temps. Et le Verbe va jusqu'à l'acte de création libre et sans arrière plan, qui est à la fois la création de l'univers, et son ultime perfection, dont nous sommes des acteurs (si nous acceptons une main tendue par... Dieu). C'est admirable, cependant, admettez que vous n'êtes pas le garant de l'état de vos vignes. L'étincelle de votre conscience n'est tolérée que par l'univers tant qu'il se déploit dans ce monde. Tant qu'un nouveau temps sous ces lois physiques, chimiques et humaines fertiles et pleines de potentielles est désirable. Alors n'oublions ni le soleil, ni le soleil ultime qui fait vivre les vignes.
  2. La pierre est-elle pierre sans attribut "Pierre". Est-elle aveugle sans "voyant" ? Et alors, d'où vient la Télésis qui fait émerger l'instance pierre et l'attribut pierre ? Pourquoi la ferait-elle émerger ? Pourquoi une création qui par définition ne peut avoir aucune contrainte externe à elle-même deviendrait aveugle et sourde et construirait un univers entier pour une pierre ? C'est-à-dire une création qui ne serait pas même capable de développer une syntaxe pour elle-même (des lois qui n'existent pas ?). Comment la pierre ferait-elle exister les lois qui s'appliquent sur elle, si seule pierre il y avait ? Et comment la pierre existerait sans loi qui définisse la pierre ? Pourquoi une pierre qui ne peut ni exister, ni être aveugle, ni sourde, sans un parfait Dieu qui se déploie par délà la Pierre, serait la "chouchou de la création" ? Comme diraient les uns, "Mais vous fumez, Monsieur". Ressaisissez vous. Passez à l'âge du cuivre, et bientôt vous serez avec nous, nous qui savons que Dieu est "le chouchou" de la création.
  3. Vous appliquez la méthode scientifique empirique pour vous comprendre vous-même, mais dois-je vous rappeler que la méthode scientifique ne s'explique pas elle-même. Comment pourrez elle VOUS expliquer ? Le fait de l'évolution ne veut rien dire en soi sans théorie de la causalité, méta-causalité, origine de l'univers, etc... Je vous recommande les travaux que je cite pour vous mettre à jour. On n'inteprète pas l'évolution dans l'univers en se référant à un poète allemand. On part en mer avec un cap. Le début et la fin coincide dans le geste. On pourrait voir par exemple Jésus comme l'image finale du père, et le corps de Jésus celle de l'humanité. Voyez vous, pour qu'il existe un temps t+1, qui se connecte au temps t, il faut bien que l'univers prépare le futur, et s'amène au temps t+1 grâce à la place que le futur a préparé pour le temps t. S'il n'y avait pas de futur où aller, rien ne bougerait. Le futur précède son actualité. Vous prétendez que le futur est toujours fixe et matériel, qu'il émerge par magie du présent, toujours fixe, d'abord matière morte, puis jeune fille en fleur, vous qui contestez Dieu par la théorie de l'évolution, c'est à dire de l'absence de rigidité ? Je crois au contraire que t+1 gagne en perfection et nous donne les possibilités d'accomplir ce que Dieu souhaite. Et nous faisons partie de ce qui définit secondairement t+1 (Dieu primairement). Et vous pensez sérieusement que lorsque vous allez diner, vous choississez votre restaurant que par des temps t et t+1 à l'échelle de Plank ? C'est facile de remarquer que le futur lointain se déploie dans le présent et le passé, même dans votre expérience à vous. La matière se guide et s'organise à longue échelle. Et si ce n'est pas vous qui maintenez l'univers, c'est bien un être plus invariant qui maintient l'ordre et qui réalise son souhait. Les dinosaures ne constataient pas les mathématiques mais vivaient déjà par ce verbe que maintenant vous étudiez. L'esprit de Dieu est distribué dans sa création dans le CTMU, et il n'absorbe que ce qui est parfait. Il est parfait par ce qu'il produit ultimement (pourquoi le temps sinon ?) Et pourquoi Dieu donnerait-il un monde parfait à un être qui ne sait pas se dépasser ? à un être blasé ? Dieu vous a donné la Terre, la techonologie, et tout ce que vous souhaitez, c'est ignorez les métaphysiciens, faire venir des peuple primitifs vous servir le café, donnez le contrôle de technologies à des truands qui s'accaparent la destinée de peuples, et regardez la fin de votre civilisation, la fin de l'évolution spirituelle des hommes, sur votre canapé. Un être parfait léguerait le Paradis à une espèce comme ça ? Quelqu'un qui attend de savoir si macron pense qu'il doit mettre le pied gauche en avant suivie du pied droit ? ou l'inverse ? Il faut se rendre digne de Dieu, en sachant qu'il ne nous a pas crée par malice mais pour nous dôter d'une destinée sortie tout droit de la source de la création. Quand on cherche ce en quoi croire, vous serez surpris de ce que l'on trouve.
  4. vous êtes du genre à prouver que l’univers lui même est absurde, peut être ? La vie ne peut pas avoir émergé puisque seule la mort existe ? Et si la vie existe, pourquoi est-ce que votre âme bonne ne serait pas un plan de création qui justifie que Dieu vous fasse émerger où bon lui semble ? Vous d’après cette vie concrète que vous avez vécu, lui qui est capable de faire émerger la vie ? N’est-ce pas Dieu qui vous a déjà fait émerger ici ? Pour moi, le Logos/le Verbe est l’histoire du monde, et il s’incarne. Optimalement, le verbe possède les ressources du monde, et les utilise pour se déployer/évoluer, mais en pratique, des groupes s’accaparent les ressources dont le verbe a besoin, ce qui dépossède l’humanité de sa participation au Verbe aéré et parfait du créateur. Ce n’est pas un petit problème. Si l’humanité se dessèche, se ligote et ne peut plus incarner le verbe, pourquoi Dieu parfait les maintiendrait dans sa création ? Les travaux métaphysiques du CTMU et sa formalisation des rapports entre esprit et réalité, homme et Dieu, me semblent faire partie du Logos.
  5. Il faut distinguer je crois les certitudes métaphysiques, qui permettent d'appliquer des hypothèses telles que "H = Ce n'est pas le doute, c'est la certitude qui rend fou" à un univers, des certitudes qui proviennent d'un contexte donné. Sans les certitudes logiques et métalogiques, votre proposition pourrait ne s'appliquer à rien et n'avoir aucune structure syntaxique suffisament adéquate pour s'appliquer au monde. La certitude en la possibilité de la connaissance est une condition nécessaire de la méta-interprétation des propos de Nietzsche. Une fois que la structure métalogique adéquate est choisie comme méta-interprétation, alors il faut déterminer une interprétation spécifique : qu'est-ce que la folie ? Qu'est-ce que le doute ? Qu'est-ce que la certitude ? En choississant le CTMU comme méta-interprétation, puisque l'univers est génératif, alors on peut dire que la certitude est en certain sens inadéquate quant au contenu de l'univers. La certitude prédictive est une folie en tant que le programme de l'univers est distribué et non déterministe. Cependant, puisque la métalogique de la connaissance donne à l'univers un impétus d'auto-identification, on peut s'attendre à une structure régulière de l'univers par lequel l'univers se connaît lui même (les lois physiques), et par dessus lequel la créativité des "téleurs" s'exprime. Sans lois physiques fixes, pas d'ordinateur. La créativité a besoin d'un terrain sur lequel se construire. On peut s'attendre aussi à des certitudes observationnelles, puisque l'univers se connaît par la perception de ses états. La certitude que j'existais hier, n'est pas folie, mais, source de bon sens. La certitude en ce que vont faire le téleur primaire (Dieu) et secondaire (les hommes) est une folie, mais n'est point fou qui croit en la logique, la méta-logique, la réalité de ses observations, la réalité des lois globales de notre univers. Il y a un autre aspect à la certitude. Elle est finalement nécessaire pour l'action : "La connaissance tue l'action, pour agir il faut que les yeux se voilent d'un bandeau d'illusion." Friedrich Nietzsche. Nous devons agir sans connaitre le programme entier de l'univers et des autres, sans connaître le résultat de nos actions. En un sens, du fait de la structure du monde, nous sommes certains d'être partiellement "fous" (car agissant bien que nécessairement ignorant de l'intégralité de la dynamique causale de notre environnement) et condamnés à l'être. Encore une autre certitude ; )
  6. AdrienMaths

    L'Europe

    Si l’Europe se définit par l’héritage spirituel du christianisme, la pensée abstraite grecque et l’ordre romain, alors on peut remarquer que l’Europe se délite. Plutôt que de pratiquer la charité et l’unité du peuple à l’image du christianisme, l’Europe juge que les laissés pour compte doivent être remplacés par des mercenaires prêts à défendre leurs intérêts contre le peuple (séparation de l’âme humaine en deux classes qui chacune perdent leur humanité par (1) manque de capacité divine d’autodétermination pour les laissés pour compte ou (2) auto-détermination auto-oppressive et donc inhumaine pour ceux qui laissent séparation se mettre en place ) Plutôt que la pensée abstraite, l’Europe a soif de corps concrets avec 60 de QI, qui servent d’automates répondant à de la « spiritualité sonnante et trébuchante », prêts à enfiler un uniforme et oppresser n’importe quel individu abstrait qui remettrait en question un pouvoir à 70 de QI. L’Europe est mise au pas des plus absurdes propagandes, qui s’intègrent dans les constitutions, dans les « trouvailles scientifiques », qu’on répète comme perroquet. L'abstraction du "Sapere Aude" et de la hierarchie spirituelle perd son pouvoir sur le monde concret, par la culture et la démographie, seuls les pouvoirs autoritaires suffisamments absurdes et arbitraires guident une masse "d'Orc". Plutôt que l’ordre romain, qui assure la continuité de ses institutions, l’état préfère favoriser l’invasion par des gens qui se distinguent par leur faculté à déstabiliser l’ordre et leur tendance à produire du désordre, des actes terroristes, de la surpopulation, etc… Plutôt que l’empire romain qui se distingue par La Défense de ses frontières et conquête, l’Europe détruit ses frontières. On invite l’étranger à venir « vacciner » toute la population, à venir s’approprier le territoire, etc… Le nouvel « empire européen » n’est que la consolidation de ces pouvoirs de création de classes parasites, d’invasion étrangères, de mimiqueries de la spiritualité et de la pensée abstraite. On ne soigne pas l'environnement et l'humanité en invitant vagues d'Orcs dans les rues d'Atlantis et en abétissant le peuple sous la propagande. L’Europe qui est particulièrement adaptée à des évolutions spirituelles, des vies en harmonie avec la terre, de l’unité du peuple dans la rationalité, est à vendre, et , en ce qui me concerne, qui l’achète est le démon lui même.
  7. Vous êtes de passage dans ce monde, mais êtes vous de passage dans la réalité ? Là est la question, et pour répondre vous avez besoin de théorie de la réalité. On a aussi besoin de théorie de la réalité pour interpréter les religions et ce à quoi elle font référence. La croyance et la connaissance sont couplées. Lorsque Dieu est placé sous nos yeux, il n'y a plus d'autre choses à faire que d'y croire. La réalité ne fume pas avec moi, mais si vous fumez, la réalité fume peut être. Plus sérieusement, j'espère que vous voyez ce que je souhaitiez partager (le fait que la réalité a une syntaxe plus englobante que la votre et qu'elle a des instances dont vous faite partie). La seule raison que je peux imaginer pourquoi ça vous choque l'idée que la réalité pense est que vous avez peut être pris l'habitude de concevoir la réalité comme quelque chose d'impersonnel ( les 3 lois de Newton et quelques autres principes), et vous vous considérez hors de tout ça, avec votre mystère de la conscience, mais avouez que plus sérieusement, pour toute théorie de la réalité, vous êtes inclus dans la réalité et donc qu'elle pense au moins à travers vous. Dans le CTMU, la réalité est TOUTE la réalité et n'exclut rien ni personne. Il y a une imbalance dans le monde actuel. Une théorie métaphysique "tombée du ciel", formalise les dynamiques d'évolutions du monde. A l'image de Saint Augustin qui découvrait que le monde n'était pas un "corps", Christopher Langan nous montre que la réalité n'est pas la réalité "terminale" (physique disons). Derrière "la cave", l'éternel. Langan exhibe une théorie de la réalité qui contient ce à quoi font références les grandes religions. Cette théorie montre de grands crimes contre la réalité. Par exemple, tandis que la vraie "monnaie" du monde est la télèsis, la société "vole" la télésis et essaie de la museler avec des systèmes financiers. Tandis que des groupes comme les nord européens génèrent de la télèse fonctionelle, après des durées longues d'adaptations, ceux-ci sont partout perturbés et transformés par des groupes aux caratéristiques moins adaptives sans justification qui vaille. Pourquoi la réalité se mettrait-elle en péril ? La plupart des individus sont privés d'accès à la compréhension de la réalité qui les entoure, par la lacheté de leur élite, la corruption de leur système d'éducation, ce qui, malheureusement, les privent d'éternité. Nous sommes dans des temps de grande tension entre la Terre et le Spirituel. Il y a des moments de bascule dans l'histoire, et le CTMU est le genre de théorie à faire ces mouvements, car elle discoure sur un contenu métaphysique qui met les hommes en face de leur mortalité, et en face de ce que la réalité en fait. Que chacun s'informe de cette théorie est de notre plus grand intérêt, pour que les puissances graduellement et démocratiquement s'alignent vers celle-ci. Sinon, ça pourrait finir en feu et en sang. L'état politique de la France montre que la France n'est pas prête du tout à gérer le fait qu'une théorie comme le CTMU ait été développée et se propage. Je témoigne de ma compréhension du CTMU et je suis prêt à donner des clés de compréhension, pour aider à cet effort d'information qui me paraît on ne peut plus productif et responsable. Dans le CTMU, Dieu émerge d'un domaine ontique absolument non contraint (la télèse non bornée), donc il transcende tout ce qu'on peut imaginer. Nous serions dans une "phase" d'expression de Dieu, et exploterions la liberté créatrice de ce domaine ontique non contraint, sous la direction des lois globales qu'il nous impose. Le CTMU est une théorie de la réalité dans lequel tout est connecté donc immanent si on veut, mais l'immanent est connecté au transcendant. Le CTMU suggère que le transcendant émerge du téleur primaire (D.I.E.U) est des téleurs secondaires (dont homme) qui guident la programmation du sens respectivement du point de vue global et local. Le CTMU modèle la réalité comme un réseau conspansif qui est génératif. La "lumière" éternelle de la télèse non bornée est attachée à la réalité créativement par à la fois Dieu et les hommes. Cordialement
  8. Vous n'interprétez pas correctement le verbe être quant au concept de la réalité selon la logique du CTMU. Puisque la réalité contient maximalement tout le réel, elle est plus compréhensive que tout sous-réel distingué. Puisque nous pensons, il est tout à fait rationnel d'affirmer que la réalité pense par exemple. Vous pensez, mais la réalité ne pense pas ? Êtes vous hors de la réalité ? (non par définition). Il n'y a pas de problème d'attribution de la pensée à la réalité puisque la réalité contient maximalement tout le réel et nous contient. Puisque nous pensons, la réalité pense, ce qui la rend mentale. Nos opérations mentales, nos qualia (couleurs) sont perçues, digérées par des syntaxes qualio-perceptuelles, et donc la réalité, qui nous contient, contient ces opérations mentales et ces qualia. Ca n'empêche pas que nous puissions êtres mentaux et physiques, nous sommes mentaux et physiques tout comme la réalité. C'est une constatation triviale qui protége des tentations de réduire la réalité à un physicalisme, comme si nous étions "à l'extérieur" de la réalité. Nous sommes à l'intérieur de la réalité, ce qui rend la réalité (comme concept d'étude de ce qu'est le médium général de l'existence) mentale (au moins en partie et M=R complète ce point). J'espère que ce point est clair, mais je peux préciser quelques points théoriques qui aident à les stabiliser dans une structure mathématique déterminée. Langan a réinventé (ou étendu) la logique avec de nouvelles structures et opérations. La logique ne se restreint ainsi pas aux universaux de Platons ( Tous les hommes sont mortels. Socrate est un homme. Donc Socrate est mortel). Dans le cas d'une logique inspirée de ce syllogisme, tout adjectif doit caractériser l'ensemble des instances d'un ensemble, c'est-à-dire que l'adjectif doit agir comme un prédicat de l'ensemble vérifié par chaque élément de l'ensemble. Avec une telle structure de connaissance qui "part du haut" et s'applique à tout le bas, la réalité devrait être le prédicat le plus général, et devrait s'appliquer à toutes les instances de la réalité. Par suite, la seule chose de commun qui lieraient toutes les choses de la réalité tautologiquement seraient qu'ils "sont" ou "existent", et on ne pourrait attribuer à la réalité que des propriétés vides telles que "l'essence" ou "l'existence". La réalité deviendrait un concept universel vide qui contiendrait prédicativement que l'intersect de toutes les propriétés. La réalité SERAIT, et ne serait rien d'autre que cette essence indéfinie. Le CTMU décrit la réalité comme le couplage (intension/extension) dont l'extension est tout ce qui vous entoure. Vous pensez donc la réalité pense. Quelle structure logique permet de refléter ce point ? La "super logique" de Langan prend une forme mathématique différente des universaux de Platon. La logique n'est pas l'attribution de prédicats à un ensemble. Dans la logique du CTMU, l'adjectif mental est approprié pour la réalité car la réalité est une identité, c'est à dire le couplage de synesis (l'universel distribué) et difféonésis (les instances distinguées). Même si cette structure évoque celle d'un ensemble, avec la synesis jouant le rôle du prédicatif, et la difféonésis jouant le rôle de l'instanciatif, la réalité est un ensemble particulier. D'abord, la réalité est un ensemble qui n'a rien d'autre que lui même au sein duquel être inclu. Qu'est-ce qui contient la réalité si ce n'est la réalité ? Comment se définierait la réalité si elle ne pouvait se prendre comme argument d'une fonction évolutive ? Plusieurs principes font que la réalité se contient elle même. Si la réalité se contient elle-même, ce n'est pas un ensemble qui se contient lui même comme partie. Comme le mathématicien sait, les parties d'un ensemble sortent de lui-même. Et ainsi commence le besoin de quitter le formalisme des ensembles usuels pour modéliser la réalité qui se contient elle-même. La réalité R est un ensemble munit d'une double inclusion, à savoir : la relation de la réalité R aux éléments {s} est l'hologie de la syntaxe de la réalité vers l'élément s (pour syntacteur) (le syntacteur est topologiquement inclus dans la réalité), avec la collection de tous les éléments {s} qui contiennent descriptivement la réalité ( la réalité R est descriptivement incluse dans l'ensemble des syntacteurs {s}). Plutôt que d'avoir une unique forme d'inclusion uni-directionnelle, qui empêcherait à la réalité de se contenir, le CTMU donne à la réalité une double inclusion (topologique et descriptive) qui permet à la réalité de se contenir au moyen d'un processus d'évolution à deux phases (la conspansion, c'est à dire la potentialisation suivie de l'actualisation). Au sens de cette logique, la réalité est mentale, car la syntaxe Ds mentale du syntacteur s (un homme), est une sous-syntaxe de la syntaxe DR de la réalité. Dès lors, on peut constater que Ds contient les opérations mentales d'après notre perspective d'homme, et attribuer à l'identité globale de la réalité cette syntaxe mentale. Et ainsi, je comprends "la réalité est mentale". La réalité n'a pas à exhiber cette syntaxe Ds dans chacun de ses syntacteurs, mais la réalité admet synetiquement une syntaxe DR plus générale que la syntaxe humaine Ds, et difféoniquement elle contient des instances qui exhibent cette syntaxe mentale (par exemple, vous qui pensez). Voilà ce que veut dire, vous pensez donc la réalité pense. Votre curiosité semble avoir quelques barrières, et vous ressemblez à un âne avec des oeillères qui se dirige paisiblement vers l'herbe qu'on lui fait brouter. D.I..E.U. est un élément distingué défini dans la théorie du CTMU et ma réfèrence est appropriée. Le créateur s'auto-engendre à travers la création serait une meilleure représentation de ma pensée. La brutalité du vivant, incluant celle de l'espèce humaine, est à dépasser, parce qu'elle émerge de processus de récursion télique d'un créateur qui nous a donné les mécanismes et raisons de nous dépasser vers sa propre perfection. Téologie est une terminologie employée par Chris Langan. Elle fait référence au grec telesis. J'explique. L'ontologie et l'epistémologie sont couplés dans le CTMU. Quelque chose ne peut ÊTRE (état) que parce qu'il satisfait certaines structures ou transformations (syntaxes acceptantes ou transductives) qui sont RECONNUES par un opérateur. Vous ne pouvez pas avoir d'état sans avoir un attribut (une syntaxe acceptante) qui identifie cet état comme un argument de la syntaxe acceptante. Les deux aspects du couple état-syntaxe sont irréductibles l'un à l'autre et doivent émerger ensemble d'un unique médium qui réalisent leur syndifféonesis (similarité dans la différence), que Langan appelle la telesis. Pour une définition plus "physique" :"L'énergie est généralisée vers une "métasubstance" protéiforme, la télèse, qui détermine intrinséquement ses propriétés et compositions en se liant et détachant dans des cycles conspansifs d'actualization/potentialisation, pour lesquels la conservation de l'énergie n'est que la restriction conservative orthogonale dans le domaine terminal T." (Introduction à la La métaméchanique quantique, 2019) Pour le reste des coquilles variées, je suis un humble ingénieur qui consomme du contenu anglais, et je me mélange les pinceaux avec les noms propres et autres. La réalité consiste d'une "substance admettant des motifs" et les mathématiques sont les motifs par lesquels nous identifions la réalité formellement. Ca ne veut pas dire que la réalité n'est que mathématique. Un des problèmes pour les mathématiques est qu'elles sont "induites" d'axiomes, en conséquence, les mathématiques ne peuvent pas prouver l'intelligibilité de l'univers. D'ailleurs, les mathématiques s'appliquent à la réalité à travers des théories scientifiques qui ont leur propre problème d'induction/ ambiguité et se réduisent au champ de ce qui peut être répliqué objectivement suivant plusieurs observateurs. Cette méthode exclut la subjectivité, les phénomènes exceptionnels, et ne s'applique pas à elle-même ou à ses axiomes (on ne prouve pas les axiomes avec les axiomes). Il y a des lacunes explicatives par construction à l'intérieur de l'alliance mathématique/science empirique. Ce n'est pas et ne pourra jamais être une théorie de la rationnalité (par construction). Descartes dans ses méditations métaphysiques le savait, l'hypothèse de Dieu est la source a priori de l'intelligibilité, et celle dont dépend l'intelligibilité de l'alliance mathématique/science empirique Le CTMU est le méta-language qui place le language des théories scientifiques et mathématiques à l'intérieur d'une méta-théorie explicative qui ne comporte pas ces limitations. En incluant le CTMU à l'intérieur des mathématiques, les mathématiques supposent l'intelligibilité de l'univers et "induisent logiquement l'existence d'un créateur suprèmement intelligent" comme un élément distingué à l'intérieur d'une structure d'intelligibilité et de rationnalité, ce qui justifie que la réalité est une substance admettant des motifs, qu'il existe des lois identifiables d'évolutions de l'univers, que nous les identifions par les mathématiques, etc.. C'est avec des théories (pré-)mathématiques comme le CTMU qu'on justifie rationnellement les mathématiques et leur efficiacité. Le problème de ceux qui reposent sur les mathématiques pour "croire en Dieu", est qu'ils prennent le risque de confiner leur compréhension de la réalité à la réalité terminale à laquelle sont appliqué les mathématiques, c'est à dire aux conséquences d'une dynamique d'évolution qui est pré-terminale et télique ,et de diviniser cette réalité terminale en panthéisme. Le CTMU montre que l'intelligibilité émerge d'un holopanthéisme dans lequel les syntaxes subjectives descendent de D.I.E.U (L'opérateur-descripteur Global, G.O.D.), et dans lequel l'évolution de la réalité doit prendre des dynamiques bien différentes de celles que les traces de l'intelligence laissées dans les motifs réguliers suivis par l'univers physique laissent supposer. Cordialement,
  9. Je dois vous partager que je trouve que vous écrivez bien. On m’a déjà critiqué, calomnié et congédié avec beaucoup de fautes d’orthographe et de style, et j’en étais offensé. Pour ce qui est du CTMU, Langan c’est la formalisation de la métaphysique. On ne peut « qu’asséner » la théorie. Si une vérité comme « toute proposition est vraie ou fausse » doit sortir de la réalité, on ne peut que l’induire et la constater. Les irrationnels peuvent dire qu’une proposition est « bleue », mais il faut maintenir la dualité « vrai/faux » comme condition de l’intelligibilité. Ma compréhension est que le CTMU est une similaire induction logique plus large, qui persuade en tant que telle qu’elle est une condition de l’intelligibilité applicable à la réalité. Puisque l’induction logique de Langan n’est pas limitée à la subjectivité humaine, mais est pratiquée sur le concept de réalité même, on arrive à : (1) des propositions générales sur la nature de la réalité (2) des certitudes nouvelles puisque la réalité ultime n’est pas dépendante d’une autre réalité plus ultime qui laisserait des zones d’ombres sur la théorie (Langan travaille spécifiquement sur le concept de réalité ultime dans lequel toute chose influençant la réalité est incluse dans la réalité) La « super-logique » de Langan a l’opportunité d’être plus complète et fondamentale que la logique, car elle est incarnée et a une raison d’être. La logique écrite sur un tableau est incomplète, pointe vers autre chose qu’elle même sans s’expliquer. De manière triviale, une formule logique ne se supporte pas elle même car il faut que l’observateur interprète cette formule logique. Cette logique là n’est pas candidate à être un modèle de rationalité dans le monde. Le CTMU se présente comme le bain logique plus large dans lequel le cadre de la rationalité est finalisé, car il ne pointe vers rien d’autre que lui même pour s’expliquer et nous expliquer. Puisque dans le CTMU les objets du monde sont des syntacteurs qui acceptent ou transforment de la syntaxe, la logique est à l’intérieur des objets. Ils s’interpénètrent et produisent des nouveaux états en fonction de la syntaxe à l’intérieur de chacun d’eux, en accord avec la logique qui appartient à chacun d’eux comme expression de la syntaxe globale hologiquement distribuée en eux. Puisque syntaxe et état sont deux aspects couplés, ils doivent émerger d’un médium commun (Telesis) d’où émerge les couplages état/syntaxe (globaux et locaux). Et ainsi de suite. Pour avoir une logique capable de s’incarner et de modéliser notre expérience simple de la perception, il faut certains ingrédients et processus nommés par le CTMU. Lorsque je demande des critiques spécifiques du CTMU, je cherche quelqu’un qui me montrerait que les principes du CTMU seraient insuffisants, intenables ou incommodes pour contenir la réalité. Langan a son propre vocabulaire, mais l’orientation technique fait qu’il reste précis quant à ce qu’il désigne.
  10. D’après le CTMU, la vie c’est l’auto-détermination de D.I.E.U. , et notre vie, c’est le renforcement de ce processus. S’aligner avec sa plus haute identité (soi, famille, communauté, humanité, dieu). Refuser Dieu, c’est se déconnecter de la réalité ultime et se condamner à l’exil. Par exemple, ne pas laisser des politiciens détruire culturellement et ethniquement votre communauté pour des intérêts parasites, identifier l’illogisme de certains discours prétexte. Ne pas laisser la liberté et la créativité de l’humanité être renfermée dans de l’utilité financière quantifiée par l’argent. Être prudent quant à ces systèmes et le découplage par rapport au mérite humain. Comprendre que la structure de la réalité donne des choix et donc que certains chemins sont là pour être évités. Tout n’est pas l’indolente exploration de soi. Reconnaître le chemin à prendre par la compréhension de la réalité que vous inhabitez, sa structure, etc… cordialement,
  11. Puisque vous avez répondu presque instantanément, on peut dire que vous n’avez pas mis longtemps à ne pas comprendre. Puisque vous êtes un « obsédé textuel », souffrez vous d’incompréhension précoce peut être ? Le CTMU se présente comme une théorie rationnelle de la réalité, tout argument rationnel peut attaquer le CTMU. Quel est le votre ? Je n’ai pas lu le Guide du voyageur galactique d’Adam Douglas, vous recommandez de le lire ?
  12. @hybridex Permettez que par mes descriptions ci-dessous, j'induise le concept et le problème de l'étendu, qui n'est pas un concept mathématique que j'ai vu étudié, mais qui est celui que mon modèle mathématique des nombres réels générées par 3 constantes (0,1,+∞) résout. Pour que votre droite des réels modélisée comme un espace affine soit réellement géométrique, alors il est nécessaire qu’on puisse attribuer géométriquement la position de Pi. Supposons que Pi soit un point. Si on lui assignait une position géométrique, alors je propose qu'on devrait être en mesure d’identifier l’étendue spécifique qui le sépare de l’origine O. Quelle est cette étendue ? Si cette étendue est simplement déclarée être Pi, alors l’étendue est réellement quelconque. Une unité d'étendue spatiale indifférenciée qu’on traiterait comme Pi. Donc vous prétenderiez que le point Pi est dans un espace affine modélisant supposément de l'étendue, mais il serait totalement indifférencié quant à son étendue : que le point soit déclaré être un espace affine ou non, le point Pi n'aurait réellement aucune étendue particulière et donc ne serait pas modélisé géométriquement. Si cette étendue n’est pas quelconque, alors : (1) c’est une étendue (2) elle se définit spécifiquement au sens d’un système d’étendues. Supposons que les nombres entiers puissent porter eux mêmes leur étendue par rapport à l'unité 1. On supposerait que les entiers peuvent s'ajouter proprement et générer de l’étendue distincte de l’unité. Très bien mais l’étendue de Pi n’est pas entière. Supposons que les nombres rationnels puissent porter eux mêmes leur étendue, par rapport à 1. En s’ajoutant ou se divisant en parties égales, et en générant de l’étendue spécifiquement distincte de l’unité. Très bien mais l’étendue de Pi n’est pas rationnelle. Mais alors d’où vient l’étendue de Pi supposée être modélisé géométriquement dans un espace affine ? La droite entière présente une étendue infinie. Puisque l'irrationnel Pi est un point sur la droite, peut être gagne-t-il une étendue si on met l’étendue de la droite à l’intérieur des nombres irrationnels ? Mais alors, les nombres irrationnels ne sont pas distingués. Tous ont l’étendue infinie de la droite. Non, décidemment, ça ne marche pas. Votre droite des réels modélisée en espace affine est composée de points irrationnels qui… ne sont pas étendus par rapport à O. Étrange pour une droite des réels vaste et infinie ! Pour identifier l’étendue de Pi, il suffit de faire émerger les axiomes des nombres réels de l’étendue même. L’étendue du point Pi émerge de (0,1,+∞), un medium distribué interne au nombre, qui prend forme en même temps que l’ensemble des nombres réels geometrisés. Géométriquement, 0 l’origine, 1 l’unité, +∞ l’unique point positif transcendant (des séries d’extension). +∞ est à droite au bout de la droite, et porte une définition de la continuité propre à générer les irrationnels. Logiquement, puisque (0,1,+∞) couvrent les axiomes des nombres réels (cf. ma vidéo), les nombres sur la droite entre 0 et +∞ (sous l’unité 1), sont indistinguables de tout autre manière de définir les nombres. L’étendue de Pi émerge axiomatiquement d’un système étendu. Finalement, les axiomes et la géométrie, pour s’appliquer universellement aux points, doivent être le médium général de notre representation, donc les 3 constantes (0,1,+∞), dans leur aspect logique (se combinant ensemble en les axiomes des nombres réels) et géométrique (fournissant le support étendu), doivent être conçues dans tous les points comme leur médium interne réalisant l’émergence globale de (0,1,+∞). Pour ce qui est de l’interprétation que je fais de la trinité (0,1,+∞), je ne suggère pas que 1 soit littéralement Jesus-Christ. L’idée est que la trinité pourrait être peinte dans les mathématiques. Matériel à discussion sur le CTMU : ARC (Analytic Reality Closure ou Cloture Analytique de la réalité ou principe de réalité) La réalité contient toute la réalité. Principe simple, qui lance la théorie de la réalité. Une conséquence que j’en tire par exemple est que puisque la réalité contient l’esprit, la réalité est mentale. Toute construction dualiste vient d’une classification a posteriori. Toute séparation peut être en premier abord considérée comme de la superstition datée et de la distinction tâtonnante. Vraiment, l’esprit d’un côté et la réalité physique de l’autre ? Certains chercheurs « cherchent la conscience », mais peut être que la réalité EST mentale (elle l’est au moins en partie d’après notre principe de réalité et voir suite). MAP (Metaphysical Autology Principle, ou Principe d’Autologie Métaphysique) La réalité se définit elle-même. Par suite, la réalité « parle d’elle-même ». Toute explication d’un phénomène important pour la réalité est incluse dans la réalité. C’est la source de l’ambition scientifique, et ça complémente l’ARC. Une théorie de la réalité qui refuserait que la réalité théorise sur la réalité est une contradiction en soi. Je ne vois pas comment on pourrait prouver que la réalité n’inclut pas toutes ses opérations, dont explicatives, ou comment on pourrait travailler sans cette hypothèse. M=R (esprit = réalité) La structure mentale adhère à la structure de la réalité (cf les catégories de Kant par exemple) Par extension, et fin de l’approximation du subjectivisme proprement humain, la réalité est complètement quantisée par de l’info-cognition. Le quantum de la réalité est l'info-cognition. L’esprit est un cas particulier d’une réalité généralement cognitive Encore une fois, on voit mal où irait une théorie de la réalité qui supposerait une coupure, à partir de laquelle le mental ne serait plus isomorphe au réel. Toute théorie existante s’étend avec un language (homogène au mental) qui capture le réel, révélant identité entre opérations mentales cognitives et opération réelle. La cognition est couplée à l'information vers un uniquement médium : l'infocognition. Par M=R, l’évolution géométrique devient, de manière homogène aux théories scientifique, une cognition de lois et spécification syntaxiques d’états par de l’info-cognition. Puisque l’homme partage sa cognition avec la réalité dans un continuum de complexité, l’évolution prend un genre nouveau, et des cognitions plus générales sont identifiées (Anges, Dieu) (d’ailleurs la causalité devient bi-directionelle puisque la syntaxe des objets les plus granulaires est résultat des efforts téliques des plus globaux) MU (le principe d’unité multiplexée): La réalité est subdivisée en parties qui multiplexent la syntaxe globale. Les lois/règles/opérations globales forment le médium de la syntaxe locale, par une autosimilarité, et la syntaxe locale est le médium de la syntaxe globale, par une oscillation générative entre global et local. Ce principe me paraît correct dans la mesure où une syntaxe globale doit maintenir les explications de la théorie de la réalité. Cette syntaxe globale est vide sans le médium local des info-cognitions qui définissent leur syntaxe/état relativement à cette syntaxe globale. On sort du solipsisme ici, et on établit les moyens de la communications entre les différentes parties de la réalité. Une « hologie » de la syntaxe globale vers la locale, qui est une forme logique d’holographie, maintient l’unité du médium qui communique en lui, par auto-similarité, à propos de lui. La conspansion est le principe « géométrique » de communication entre les info-cognitions pour faire évoluer le local, avec l’incoversion de la syntaxe locale vers la global. La célérité c devient le ratio de conspansion (propagation cognitive de l’intersection des lois inscrites à l’intérieur des objets info-cognitifs, dont fonction d’onde). Une spécification peut être hâtive, mais qui internalise linguistiquement la géométrie dans les « points » du varié conspansif. Puisque la syntaxe est dirigée , « télique », avec des opérateurs, on approche de la définition de Christopher Langan de Dieu, qui est l’opérateur global distribuant état initial de matière, lois physiques, mais aussi qui maintient les syntaxes en cours de configurations, dont la syntaxe cognitive Humaine. Les conséquences sont des ré-interprétations des évolutions cosmologiques et biologiques, de la hiérarchie des êtres et des causalités dans la création, en particulier une co-optimisation syntaxique du futur, guidée par Dieu, et complémentée par des téleurs locaux, qui guident les nouveaux états et opportunités. Le résultat est une clôture explicative rationnelle du monde, le modélisant comme globalement et localement génératif, en accord avec ARC, MAP,M=R et MU. J’ai étendu un peu la description pour donner un horizon à ces principes, mais merci de votre réponse critique à ces 3-4 principes du CTMU (ARC, MAP, M=R, MU). Ma nouvelle vidéo traite de ces principes et également de la recursion télique, un processus par lequel le sens est auto-determiné par la réalité. La réalité ultime n’a rien d’autre qu’elle même pour définir son sens, donc tout système réel doit ultimement reposer sur l’auto-déterminisme. https://youtu.be/aF99zDfJ_oM?si=OHJc_nu_7wXHr7vP Tous ces principes du CTMU sont censés être des « nécessités logiques » du CTMU, un système meta-formel qui induit une « super tautologie » sur la nature de la réalité ultime, donc toute réfutation de ces principes serait particulièrement pertinente pour la critique de la théorie (référencer l’auteur permettrait de réduire le bruit de mes propres commentaires)
  13. Bonjour, Je partage mes représentations du Modèle Théorique-Cognitive de l'Univers, par Christopher Langan, par de l'IA générative dans cette vidéo : https://youtu.be/aF99zDfJ_oM?si=9gmrGXthWlULX8OK Les principes fondamentaux du MTCU (CTMU en anglais), sont représentés. Par exemple, à 0:35 secondes. Dieu, comme monade trialique Théorie-Modèle-Univers / Espace-Temps-Objet / Signe-Objet-Interprétant; s'identifiant à lui même. Cordialement, Adrien
  14. Bonjour, Je partage des réflexions sur le CTMU, qui se présente comme un système de connaissance révolutionnaire à la hauteur d'un Kant ou Platon selon mon estimation. Le format principal de mon discours est vidéo, avec des images générées par l'IA pour illustrer les concepts. Les attaques ad-hominem de piètre qualité sur l'auteur du CTMU auront pour réponse des attaques de même niveau sur les soi-disant élites intellectuelles française (pour que chacun s'amuse à juste mesure de l'immense privilège d'appartenir à la foule gueuse et puant des pieds dans la rue, jetant bouse et crotte de nez à la fenêtre de nos éminences pensantes si admirables en tout point). Nous pouvons discuter sur les idées de ce discours vidéo à savoir : Le besoin d'un modèle qui co-modélise perception et logique (comme la Critique de la Raison Pure de Kant) afin de rendre la connaissance applicable à la perception Les limites du modèle de Kant, avec les phénomènes à la merci des Noumènes. Soit les phénomènes forment un modèle complet et auto-contenu (comme le CTMU), soit leur structure est fragile et menacée par l'inconnaissable de la chose en soi. La faculté du CTMU de fournir une source valide de connaissance, par : (1) ses ingrédients initiaux (2) sont universalité par le principe de réalité (3) son auto-justification (il se prouve lui même par sa structure perceptive, ne laissant aucun point qui nécessiterait une réalité externe ou un inconnaissable noumène (cf. principe de réalité)). Le fait que le CTMU prend la forme d'une (super)tautologie vient du fait que la syntaxe globale est nécessairement un médium partout vrai qui n'admet pas de négation. Comme Kant avait l'idée qu'on ne peut rien imaginer hors de l'espace, de maniere plus abstraite, on ne peut rien penser en dehors des conditions générales de la réalité. La description du medium originel de la réalité prend par suite la forme d'une tautologie. (C'est le cas car il se définit au niveau de la réalité même. La réalité ne peut pas avoir de "catégories a priori" car la définition de toute contrainte est incluse dans la réalité (cf. principe de réalité)). https://www.youtube.com/watch?v=JLOEh6X6y20 Cordialement, Adrien PS: Les gens qui ont un besoin pressant de me partager la définition de la relation de Chasles et de la droite affine n'avaient qu'à sécuriser mon access aux forum mathématiques. Il faut plus de pertinence quand on est hors sujet.
  15. Je réponds brièvement à plusieurs sujets dont les sorties non conventionnelles de Langan ou mes associations non conventionnelles de sujets. J’ai une perspective opposée aux votres quant à ce qu’elle disent de la santé des théories. C’est à dire que ce sont des signes de santé scientifique. Moi ce qui m’inquiète, c’est quand le gouvernement annonce des priorités sociales, par exemple l’égalité “homme=femme”, et que les élites intellectuelles françaises de toute formation et expertise commencent à la prouver. Stanislas Delaheane, Conseiller scientifique de l'Éducation nationale, prouve cette équation en donnant de la géométrie/dessin à des jeunes filles. Cédric Villani prouve cette égalité en l’énonçant comme son premier axiome pour le bicentenaire de Blaise Pascale. Rien n’est signe d’anti-science plus fort que de s’arranger pour prouver un résultat politique. Ces gens sont des décorateurs intellectuels qui vendent des capacités intellectuelles à la puissance terrestre de leur communauté. Ils font peut être de la craniologie au 19eme siècles, construisent des chambres en 40, et prouvent quoi qu’on ne sait d’autres. Quant à moi, je partage mes théories que, pédagogiquement, les nombres sont représentatifs, puis que les nombres sont spatiaux, puisqu’ils sont spatiaux+theologie, puis qu’ils se décrivent plus particulièrement à travers une certaine religion. Mon approche est toujours honnête, historiquement variée ce qui vous contredit factuellement par ailleurs, et je ne cherche pas à décorer intellectuellement les maths en institution de la république laïque ou je ne sais quoi. Moi je ne suis pas le poul aveugle et peut être violent de mon gourvernement, et je ne construis pas de chambre en 40 contrairement à vous peut être. Quant à Langan, les 200QI est sa personnalité médiatique qu’il ne met pas en avant pour le contenu de ses écrits. Il n’utilise pas ses capacités intellectuelles pour prouver les théories de la république française d’aujourd’hui, ce qui en fait un individu qui respecte peut être suffisamment “la vérité” pour développer des sujet personels et modèles solides que tout le monde devrait pouvoir discuter s’en d’échafauder et diverger. Puisque tout le monde a atteint ce qu’on appelle le “point Godwin”, je pense qu’on peut s’arrêter là et moi de vous laisser discuter entre gens brillants avec vos droites affines et vos sources Wikipedia.
  16. Une réponse qui s'est perdue dans mon fil de réponse. Je l'attache. En informatique, beaucoup de gens pensent que P =/= NP, c'est à dire que trouver une solution à un problème demande des ressources plus importantes que vérifier que la solution est valide. Je n'ai pas 200 de QI mais suis devenu familier avec le contenu, l'ordre de la présentation des idées, etc... Le CTMU ne présente pas la réalité comme une dérivation logique sur un papier, il faut le laisser capturer les autres dimensions à décrire autour de vous. Moi j'intuitais que la droite des réels n'était pas un "R espace vectoriel", et je voyais la force de la critique de la raison pure de Kant qui justifie la connaissance par le fait que l'entendement partage sa structure avec l'intuition, donc j'ai été naturellement ouvert et réceptif aux idées de Langan qui cherchent des isomorphismes, ne laisse pas les choses communiquer sans médium facilitateur etc... et je ne suis pas encore deçu de mon intérêt pour le CTMU
  17. Bonjour, Je réponds aux diverses questions : Je suis un ingénieur qui vise la définition d'objets adéquats, je ne suis pas un marchand des valeurs, même si c'est votre droit de me suspecter... Pour diverger une seconde sur le sujet : mon intérêt principal est la pédagogie mathématique. Particulièrement, l'incompatibilité, mais la double utilité, des nombres réels construits avec des axiomes (corps totalement ordonné et complet) ou extrait de l'intuition géometrique a priori de Kant/Schopenhauer (droite mentale). En quelques mots, x n'est pas homogène à un point car il n'est nul part sur la droite. Il est logiquement représentatif et homogène à la droite des réels en entiers, c'est à dire aux axiomes des nombres réels. Le bon language qui me convient n'est pas celui de Platon, où x serait l'idée du nombres réels, ni celui de Russell, où x n'est qu'une variable à remplacer dans un systeme, ni de la représentation géométrique cartésienne, où x serait un point. Je trouve mon modele des nombres intéressant et précis pour mélanger le géometrique et le logique, le logique est injecté dans le point, qui devient représentatif du tout. Je suis satisfait en outre parce qu'il reflète des concepts du CTMU, ce qui m'a valu des compliments de Langan. Certains contenus se discourent avec des videos. Si vous voulez répondre à mon introduction au CTMU avec une vidéo, je n'aurais pas d'objection. D'ailleurs, j'ai plusieurs vidéos deja plannifiées et j'apprecierais une audience qui peut réagir a ce contenu, peut etre sur ce forum. Le CTMU a une communauté anglophone active qui développe et fait vivre le CTMU (wikipedia, vidéos, forum avec l'auteur qui répond aux questions). Si vous etes a l'aise avec l'anglais, c'est votre chemin le plus facile. Pour le francais, la traduction francaise du papier original est littérale avec quelques coquilles mais devrait être la meilleure source pour les idées de Langan. Peut etre avez vous l'opportunité de comprendre le CTMU avec vos référence et de la traduire pour vos pairs. Je suis devenu familier avec le CTMU et je prends l'initiative de l'expliquer avec mes propres references scientifiques et philosophiques. Langan recommande Aristote, les néo-platonistes (Plotinus), les religions Védiques ainsi que les philosophes qui ont travaillés ces concepts : Anelsm, D'Aquin, Augustin. Il pense que la pensée occidentale a pris un mauvais tournant après ces philosophes avec le dualisme. Votre dualisme qu'il critique aboutit a des philosophes comme Daniel Dennett qui proclament que les états mentaux n'existent pas. Peut etre que le dualisme, qui a permis d'isoler la connaissance scientifique et de la faire progresser dans son domaine particulier d'application, a atteint son reductio ad absurdum et a besoin de se raffraichir dans des nouvelles sources de rationalité comme le CTMU.
  18. Bonjour, Je vous partage ma premiere video de vulgarisation du CTMU, ou Modèle Cognitif Théorique de l'Univers. Christopher Langan est un américain autodidacte qui a montré des capacité cognitives hors du commun et a développé sa propre théorie du Tout. Son CTMU renouvelle les travaux Kantien de fondation de la connaissance, avec une ambition d'exhaustivite inscrite dans les structures linguistiques et principes de son induction logique, qui se debarasse alors des Noumenes et permet des discours plus generaux sur la structure rationnelle qui tient la realite. La cloture onto-epistemologique de Langan empeche tout gap essentiel et plongent les hommes directement au contact de la realite. Dans ses travaux, l'univers a une teologie aristotelicienne, il n'est pas determiné mais profondemment génératif, et il exhibe une forme generale a priori de la connaissance, ou "supertautologie", qui connecte tout le reel, les principes créatifs et la connaissance. Pour revenir a Nietzsche, les travaux de Langan distribuent la causalité a l'interieur de l'univers, mais seulement comme une expression de la teologie generale. Ni simples déterminés spinoziens, ni locus de la creation nietzschéens : nous sommes des createurs, comme pouvait l'envisager Nietzsche, mais a l'image du createur. La création est une création au profit de la teologie generale de l'univers. J'apprecie vos commentaires, soutiens, et perspectives sur ces contenus. https://youtu.be/AEFGrnWmVho?si=fulqFbN-As7BbbyI Cordialement, Adrien
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